Vermelle
ancienne commune française
Ne doit pas être confondu avec Vermelles.
Vermelle est une ancienne commune du département de l'Isère qui fut, en l'an X, supprimée et son territoire fut rattaché à la commune des Éparres[1].
En , Vermelle fut distrait du territoire des Éparres, et uni au territoire du hameau de Nivolas, lui-même soustrait de la commune de Sérézin-de-la-Tour, pour former la nouvelle commune de Nivolas-Vermelle[2].
Il semble que « son existence communale ne fut jamais réelle. Si des registres d'état-civil portent son nom uni à celui de Ruffieux, c'est à Ruffieux que les registres furent tenus, Vermelle, n'ayant jamais possédé de maison communale. »[3]
Références
modifier- Jean-Joseph-Antoine Pilot de Thorey, Statistique du département de l'Isère, Grenoble : F. Allier père & fils, 1847, p.45 [1]
- Loi qui distrait les Sections de Vermelle et de Nivolas, des communes des Eparres et de Serezin (Isère) pour en former une Commune distincte qui prendra le nom de Nivolas-Vermelle », du 7 août 1882, promulguée au J.O. le 8 août 1882, dans le Bulletin des lois de la République française, 12e série, 2e semestre de 1882, vol.25 (n°707 à 723), Paris : imprimerie nationale, 1883, p. 946 [2]
- Jean Fréchet, Vie, traditions, coutumes, des Terres Froides et du Dauphiné, E. Bellier, 1984, p.166
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Abbé Élie Dugon, Vermelle: pieux souvenirs autour de sa vieille église — Nivolas-Vermelle-Ruffieu, Comité pour la conservation de l'église de Vermelle, Paillet, 1953, 47 p.
