Velma Pollard

écrivaine jamaïcaine

Velma Pollard, née en , est une poétesse et écrivaine jamaïcaine. Parmi ses œuvres les plus remarquables figurent Shame Trees Don't Grow Here (1991) et Leaving Traces (2007)[2]. Elle est connue pour les manières mélodieuses et expressives de son travail[3]. Elle est la sœur d'Erna Brodber[4].

Velma Pollard
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Biographie
Naissance
[1] (87 ans)
Nationalité
Activités

Biographie

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Velma Pollard est née en 1937 d'un fermier et professeur d'école à Woodside, dans la paroisse de Saint Mary en Jamaïque. Velma Pollard et sa sœur Erna ont exprimé leur intérêt pour les arts à un jeune âge. Pollard a fréquenté l'école secondaire Excelsior à Kingston, en Jamaïque. Elle a ensuite fréquenté l'université des Indes occidentales[5]. Elle détient une maîtrise en anglais et en éducation de l'université Columbia et de l'université McGill, respectivement[2].

Son intérêt pour l'écriture a commencé à un âge précoce. A sept ans, elle remporte son premier prix de poème. Ce n'est qu'en 1975 qu'elle a hâte de voir son travail publié[pas clair][6]. Elle a envoyé son travail dans diverses revues, dont le Jamaica Journal. Depuis 1988, son travail a été publié dans plusieurs médias, dont The Women's Press et Canoe Press . Elle a publié plusieurs anthologies et cinq livres de poésie. Son roman Karl a remporté le prix littéraire Casa de las Americas en 1992[7]. Depuis sa retraite, Pollard est à l'université des Indes occidentales comme maître de conférences.

Pollard a longuement étudié les langues créoles des Caraïbes anglophones[8]. Elle a trouvé l'inspiration pour sa poésie dans ce domaine de recherche.

Travaux

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L'éducation de Pollard dans une communauté rurale a eu une forte influence sur ses écrits. Son travail présente souvent la nostalgie de la campagne et un ton philosophique fort[4]. La façon dont elle récite son travail reflète la fermeté et la richesse de son écriture. Sa poésie reflète souvent la modernité en contraste avec les modes de vie plus lents du passé. En 2013, Pollard a publié un recueil de poèmes intitulé And Caret Bay Again: New and Selected Poems[3]. Cette collection présente son style d'écriture plein d'esprit ainsi que sa capacité à maintenir l'intérêt de son public[9].

Bibliographie

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  • (en) Velma Pollard, Dread talk : the language of Rastafari, McGill-Queen's University Press, (ISBN 0-7735-2030-9). 

Références

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  1. Notice de la BnF
  2. a et b « Velma Pollard », yorku.ca
  3. a et b « Velma Pollard launches 'And Caret Bay Again' », The Gleaner,‎
  4. a et b « Velma Pollard », Poetry Archive
  5. Pamela Mordecai, "Velma Pollard", Her True-True Name: An Anthology of Women's Writing from the Caribbean, Heinemann, 1989, p. 59.
  6. « Velma Pollard », Peepal Tree Press (consulté le )
  7. « Karl - Velma Pollard », SPD Books
  8. « Velma Pollard | poetryarchive.org », www.poetryarchive.org (consulté le )
  9. « Launch of Velma Pollard’s And Caret Bay Again », University of West Indies

Liens externes

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