Vaivre-et-Montoille
Vaivre-et-Montoille est une commune française située en banlieue ouest de Vesoul, dans le département de la Haute-Saône, la région culturelle et historique de Franche-Comté et la région administrative Bourgogne-Franche-Comté.
Vaivre-et-Montoille | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Bourgogne-Franche-Comté |
Département | Haute-Saône |
Arrondissement | Vesoul |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Vesoul |
Maire Mandat |
Nadine Munier 2020-2026 |
Code postal | 70000 |
Code commune | 70513 |
Démographie | |
Population municipale |
2 436 hab. (2022 ) |
Densité | 287 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 47° 37′ 53″ nord, 6° 06′ 18″ est |
Altitude | Min. 212 m Max. 380 m |
Superficie | 8,48 km2 |
Type | Ceinture urbaine |
Unité urbaine | Vesoul (banlieue) |
Aire d'attraction | Vesoul (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Vesoul-1 |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
modifier |
Le lac de Vesoul - Vaivre, de près de 100 hectares, ainsi qu'un parc aquatique, se trouvent dans la commune.
Géographie
modifierDescription
modifierLa commune est située à l'ouest de l'agglomération vésulienne dont elle fait partie. Sa vie économique repose en grande partie sur l'usine Peugeot implantée partiellement sur le territoire de la commune, et partiellement sur celui de Noidans-lès-Vesoul.
La commune est desservie par les lignes 3, 5 et D4 du réseau Vbus.
Communes limitrophes
modifierMontigny-lès-Vesoul | Grattery | Pusey | ||
N | Vesoul | |||
O Vaivre-et-Montoille E | ||||
S | ||||
Chariez | Noidans-lès-Vesoul |
Géologie
modifierLe territoire communal repose sur le gisement de schiste bitumineux de Haute-Saône daté du Toarcien[1].
Hydrographie
modifierSitué entièrement sur la commune de Vaivre-et-Montoille, le lac de Vesoul - Vaivre, d'une superficie de 90 hectares, agrémente les loisirs de visiteurs[2].
Véloroute
modifierLa Trace du Courlis (8 kilomètres) est une véloroute qui relie Vaivre-et-Montoille à Chemilly[3]
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 038 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vesoul Ville », sur la commune de Vesoul à 4 km à vol d'oiseau[6], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 007,7 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −22,2 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | −0,4 | −0,5 | 1,8 | 4,4 | 8,5 | 12,1 | 14 | 13,7 | 9,9 | 7 | 3 | 0,3 | 6,2 |
Température moyenne (°C) | 2,9 | 3,9 | 7,5 | 10,8 | 14,9 | 18,6 | 20,6 | 20,3 | 16,1 | 12 | 6,8 | 3,6 | 11,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,3 | 8,3 | 13,1 | 17,3 | 21,2 | 25 | 27,2 | 26,9 | 22,2 | 16,9 | 10,6 | 6,8 | 16,8 |
Record de froid (°C) date du record |
−22,2 16.01.1966 |
−18,5 26.02.1986 |
−15,5 06.03.1971 |
−7 08.04.03 |
−2,9 01.05.1962 |
0,5 03.06.1962 |
2,8 01.07.1960 |
2,5 30.08.1998 |
−1,2 26.09.1972 |
−6 29.10.12 |
−10,5 30.11.10 |
−18,5 20.12.09 |
−22,2 1966 |
Record de chaleur (°C) date du record |
18,9 01.01.23 |
23 27.02.19 |
26,5 30.03.1989 |
29,5 21.04.18 |
33,5 29.05.05 |
38,5 26.06.19 |
40,5 25.07.19 |
40,5 12.08.03 |
34,5 09.09.1898 |
29,5 03.10.1985 |
25 02.11.1899 |
20 16.12.1989 |
40,5 2019 |
Précipitations (mm) | 80,9 | 71,9 | 69,7 | 68,5 | 98,1 | 85 | 83,9 | 80,1 | 80,6 | 94,7 | 96,8 | 97,5 | 1 007,7 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
6,3 −0,4 80,9 | 8,3 −0,5 71,9 | 13,1 1,8 69,7 | 17,3 4,4 68,5 | 21,2 8,5 98,1 | 25 12,1 85 | 27,2 14 83,9 | 26,9 13,7 80,1 | 22,2 9,9 80,6 | 16,9 7 94,7 | 10,6 3 96,8 | 6,8 0,3 97,5 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Vaivre-et-Montoille est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Vesoul[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant huit communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vesoul, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[13]. Cette aire, qui regroupe 158 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (43,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (47,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (34,7 %), zones urbanisées (19,2 %), eaux continentales[Note 5] (11,9 %), forêts (10,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (6,3 %), terres arables (4,8 %), zones agricoles hétérogènes (4,1 %), mines, décharges et chantiers (1,9 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
modifierJusqu'au XVIIe siècle, Vaivre était une terre domaniale des comtes de Bourgogne. Le roi de France qui leur succéda en 1674 était le seul supérieur justicier.
En 1748, Claude Odo Guillemin devient seigneur de Vaivre. Son fils Jean-Baptiste Guillemin de Vaivre (1736-1818) est intendant de Saint-Domingue et termine sa carrière à la Cour des comptes[17].
Montoille, constituée commune en 1790 a été réunie à celle de Vaivre par le décret du [18]. La commune de Montoille comptait 205 habitants en 1790, 201 en 1800 et 209 en 1806[18].
La commune disposait de la gare de Vaivre sur la ligne de Paris-Est à Mulhouse-Ville, désormais fermée au service ferroviaire. La gare était l'origine de la ligne de Vaivre à Gray mise en service en 1853 par la compagnie des chemins de fer de l'Est et fermée au service des voyageurs en 1970. Elle est désormais entièrement fermée à l'exploitation ferroviaire depuis [19]
Vaivre et Montoille était comme bien d'autres villages habités par des cultivateurs. On a observé son changement vers les années 1960 lors de l'installation des premières usines à Vesoul.
En 1967, le maire de l'époque, Pierre Bonnet, répondant à une demande de l'État, propose la création d'un lac artificiel support d'une base de loisirs. Après près de 15 années de concertation et de bagarre, l'acquisition de 384 propriétés et le déplacement d'un million de mètres cubes de terres et roches, le lac est mis en eau en moins de deux jours grâce à la zone marécageuse du Durgeon et à la fonte des neiges[2],[20].
Politique et administration
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierLa commune fait partie de l'arrondissement de Vesoul du département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté. Pour l'élection des députés, elle dépend de la première circonscription de la Haute-Saône.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Vesoul. Celui-ci est scindé en 1973 et la commune intègre le canton de Vesoul-Ouest[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Vesoul-1.
Intercommunalité
modifierLa commune fait partie depuis 1969 du District urbain de Vesoul, transformé en 2001 en communauté de communes de l'agglomération de Vesoul, puis en 2012 la communauté d'agglomération de Vesoul, appartenant elle-même au pays de Vesoul et du Val de Saône.
Tendances politiques et résultats
modifierConseil Municipal des Jeunes
modifierDepuis Octobre 2021, la commune possède un Conseil Municipal des Jeunes (C.M.J), à la suite de l'élection du 09 Octobre 2021, c'est Enzo Figueira (lycéen) qui a été élu Président pour 2ans. Le CMJ est composé de 11 jeunes de la commune.
Liste des maires
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].
En 2022, la commune comptait 2 436 habitants[Note 6], en évolution de +0,79 % par rapport à 2016 (Haute-Saône : −1,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
modifierLa commune dispose de deux écoles[28] :
- une école maternelle (Les Mésanges) ;
- une école élémentaire (Les Goélands).
Santé
modifierL'hôpital le plus proche est le centre hospitalier de Vesoul[29].
Organismes
modifierVaivre-et-Montoille est le siège de l'association départementale de protection civile de la Haute-Saône.
Économie
modifierVaivre-et-Montoille est une banlieue résidentielle de Vesoul, où travaillent de nombreux habitants. L'usine PSA de Vesoul, un des principaux employeurs, est en partie située sur le territoire de la commune.
La commune accueille la plus grande boîte de nuit du département[30], Manouchka.
Le silo d'Agrival implanté le long de la voie ferrée, est le plus grand silo à céréales du département[31].
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- La mairie, belle et vaste maison du XVIIIe siècle, occupe l'ancienne maison des Seguin de Jallerange depuis 1844.
- L'église Saint-Christophe fut reconstruite entre 1738 et 1771, sauf le chœur du XIIe siècle, et la chapelle latérale du XVIe prolongée au XVIIIe siècle.
- Plusieurs autres maisons, datant du XVIIe siècle.
- Le lac de Vesoul - Vaivre, situé en totalité sur la commune, est un site de loisirs, de voile et de pêche apprécié des touristes et des habitants de la Haute-Saône et qui accueille 200 espèces d'oiseaux recensés[2]
- Le Ludolac est un vaste parc aquatique situé sur le territoire de Vaivre-et-Montoille. D'une superficie de 28 000 m2, il s'agit du deuxième plus vaste parc aquatique de la région Franche-Comté et du Grand Est de la France[32],[33]. Ouvert le 19 juillet 1999[34], le Ludolac est situé avenue des Rives-du-Lac[35]. Le parc se trouve dans une zone naturelle, à proximité du lac de Vesoul - Vaivre[36],[37],[38]. Il ouvre ses portes tous les étés, généralement de mi-juin à début septembre[39]. Le Ludolac est constitué de nombreuses attractions aquatiques[40]. On compte cinq bassins totalisant une surface de 1 370 m2, pour un volume total d'eau de 1 538 m3[37].
- Le vélo-rail de Vesoul-Vaivre, le seul du département[41], qui se développe sur 5 km environ le long de la véloroute du Courlis, sur la plate-forme de l'ancienne ligne de Vaivre à Gray[42].
- Monuments historiques
- Galerie
-
Croix.
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Croix.
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Croix.
Personnalités liées à la commune
modifier- Jean-Baptiste Guillemin de Vaivre (1736-1818), seigneur de Vaivre.
- Philippe Charles François Seguin (1741-1812), député, est décédé à Vaivre-et-Montoille.
- Mickaël Ravaux (1979-), footballeur professionnel, a grandi à Vaivre-et-Montoille et a joué au club de football de la commune de 1985 à 1993.
- Paul Nardi (1994-), footballeur professionnel, a grandi à Vaivre-et-Montoille et a joué au club de football de la commune de 2000 à 2003.
- Soline Lamboley (1996-), coureuse cycliste, a grandi à Vaivre-et-Montoille.
- Candice Denizot, triathlete ayant grandi dans la commune
Héraldique
modifierLes armes de la commune se blasonnent ainsi : |
Voir aussi
modifierArticle connexe
modifierLiens externes
modifierNotes et références
modifierNotes
modifier- Les records sont établis sur la période du au .
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Vesoul comprend une ville-centre et sept communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Marcel Lanoir, Carburants rhodaniens : les schistes bitumineux, notamment dans la Haute-Saône, vol. 7, coll. « Les Études rhodaniennes », (lire en ligne), p. 328.
- « Vesoul : l'histoire du lac de Vaivre racontée par l'ancien maire de la commune : Le lac de Vesoul-Vaivre a 40 ans. Etendue d'eau artificielle, le lac a été imaginé par des élus locaux, dont l'ancien maire de Vaivre-et-Montoille, qui raconte cette histoire dans un livre. », France 3 Bourgogne Franche-Comté, (lire en ligne, consulté le ).
- « La Trace du Courlis », sur le site de l'association française de développement des Véloroutes et Voies Vertes (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Vaivre-et-Montoille et Vesoul », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Vesoul Ville », sur la commune de Vesoul - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Vesoul Ville », sur la commune de Vesoul - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Vesoul », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Vaivre-et-Montoille ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Vesoul », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Sylvie Nicolas, Les derniers maîtres des requêtes de l'Ancien Régime (1771-1789) : Dictionnaire prosopographique, Paris, École des Chartes, coll. « Mémoires et documents de l'École des Chartes » (no 51), , 399 p. (ISBN 2-900791-21-9), p. 196-200.
- Fiche de Montoille sur le site du projet Cassini de l'EHESS
- « Ligne de Vaivre à Gray », Histoire de lignes oubliées, (consulté le ).
- Didier Fohr, « C’est l’histoire d’un lac... Pierre Bonnet publie ses archives : Il avait promis d’écrire un jour sa vérité sur l’histoire de la naissance du lac de Vesoul-Vaivre. Pierre Bonnet l’a fait. Ça s’appelle : « Le lac, j’en ai rêvé ». Un livre pour l’instant confidentiel et distribué au compte goutte. », L'Est républicain, (lire en ligne, consulté le ).
- « Pierre Lortet, maire de la commune depuis 1995, s’est éteint », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône, (lire en ligne).
- « Un nouveau maire à Vaivre-et-Montoille », L'Est républicain, (lire en ligne, consulté le ) « Ancienne première adjointe, Madame le maire connaît bien les rouages d’une commune et continuera son développement ».
- « Nadine Munier réélue », sur L'Est républicain, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- « Enseignement à Vaivre et Montoille », sur le site de la commune de Vaivre et Montoille (consulté le ).
- Site officiel du Groupe hospitalier de la Haute-Saône.
- Manouchka sur Infobel.com, consulté le 27 mars 2014.
- « Les premiers trains de céréales pour Strasbourg », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône, (lire en ligne).
- « Carte des parcs aquatiques en France », sur parcs-aquatiques.com (consulté le ).
- « images », sur le site de la communauté d'agglomération de Vesoul (consulté le ).
- « Les 50 qui font bouger Vesoul et la Haute-Saône », sur lexpress.fr (consulté le ).
- Collectif, Petit Futé Vacances avec les enfants, , 384 p. (lire en ligne), p. 138.
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- « Présentation », sur le site de la communauté d'agglomération de Vesoul (consulté le ).
- Guy-Jean Michel et Marc Paygnard, Voir Vesoul, Haute-Saône, Langres, Dominique Guéniot, , 156 p. (ISBN 2-87825-268-3), p. 145.
- « Le Ludolac se prépare à ouvrir », sur le site la presse de Vesoul (consulté le ).
- « Parc aquatique Ludolac à VAIVRE-ET-MONTOILLE », sur parcsetloisirs.fr (consulté le ).
- « Le vélo-rail continue d’avancer », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône, (lire en ligne).
- « Un parking pour les usagers du vélorail », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône, (lire en ligne).