Vacognes-Neuilly
Vacognes-Neuilly est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 669 habitants[Note 1].
Vacognes-Neuilly | |
Église Saint-Sébastien et mairie. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Calvados |
Arrondissement | Caen |
Intercommunalité | Communauté de communes Vallées de l'Orne et de l'Odon |
Maire Mandat |
Anne Mancel 2020-2026 |
Code postal | 14210 |
Code commune | 14721 |
Démographie | |
Population municipale |
669 hab. (2021 ) |
Densité | 85 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 04′ 29″ nord, 0° 31′ 30″ ouest |
Altitude | Min. 63 m Max. 157 m |
Superficie | 7,90 km2 |
Type | Commune rurale à habitat dispersé |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Caen (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton d'Évrecy |
Législatives | Sixième circonscription |
Localisation | |
modifier |
Géographie
modifierAccès
modifierLieux-dits et écarts
modifierCommunes limitrophes
modifierReliefs
modifierGéologie
modifierHydrographie
modifierLa petite rivière de l'Ajon passe par Neuilly-le-Malherbe et se jette dans l'Odon au Locheur.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant à la plaine agricole de Caen à Falaise, sous le vent des collines de Normandie et proche de la mer, se caractérisant par une pluviométrie et des contraintes thermiques modérées[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 811 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Seulline à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 992,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Vacognes-Neuilly est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,8 %), prairies (20 %), zones agricoles hétérogènes (7,2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
modifierLe nom Vacognes-Neuilly vient des communes de Vacognes et de Neuilly-le-Malherbe associées en 1972 dans le cadre de la loi Marcellin.
Le nom de la localité de Vacognes est attesté sous la forme Vasconia vers 1350[14],[15]. Les Vascons ont donné leur nom à ce toponyme.
Neuilly-le-Malherbe vient du mot Norr (qu'on écrit Noue) qui signifie « lieu humide et gras » et de l'ancienne famille de Malherbe-Saint-Agnan qui en a possédé la seigneurie[16]. Il est attesté sous la forme Nully en 1328[17], Nuylly le Malherbe en 1453[15] et Nully le Malherbe en 1460[18]. Elle a porté le nom de Neuilly-sur-Odon[19] au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale.
Histoire
modifierAu XIIIe siècle Jean Malherbe, de la famille Malherbe-Saint-Agnan, est seigneur de Neuilly-le-Malherbe[20]. En 1312 la terre de Neuilly-le-Malherbe est confisquée à Jean de Malherbe pour forfaiture et donnée à Pierre le Paumier, apothicaire du Roi[20].
Au XVe siècle, Jean d'Arclais est seigneur de Neuilly-le-Malherbe et épouse le Marguerite Costard de Cambes. Leur fils Jean épouse Jeanne de Vauville en 1539. Leur fils Nicolas épouse Florimonde de Sainte-Marie en 1565. Leur fils Jean épouse Catherine de Vernay en 1597[21].
Au XVIIe siècle et XVIIIe siècle, plusieurs membres de la famille de Fontaines sont seigneurs de Neuilly :
- N. de Fontaines, dont la famille est anoblie en 1628[16] ;
- Simeon ou Simon de Fontaines, écuyer, vicomte de Caen en 1647[16] ;
- Claude de Fontaines, écuyer, vicomte de Caen en 1684[16] ; Guy de Fontaines, chanoine de Bayeux, supérieur général des Eudistes, mort à Bayeux le [16],[22] ;
- Michel de Fontaines.
On trouve la tombe d'Isabeau de Fontaines (avant 1590- ), mariée en 1605 à Siméon le Coustellier, et petite-fille de Catherine Malherbe[23] dans l'église Saint-Martin de Vacognes-Neuilly.
Autre famille notable, les Vassel, famille qui siècle possédait des biens à Neuilly-le-Malherbe et a notamment intenté des procès aux curés Jean de Surville en 1722 et Antoine Louvet en 1733. Dans cette famille on trouve :
- Nicolas Vassel. anobli en 1598. Né à Neuilly-le-Malherbe vers 1542 et mort entre 1614 et 1622[24].
- Pierre Vassel, écuyer, gentilhomme ordinaire de la chambre du Roi, chevalier de l'ordre du Saint Sépulchre de Jérusalem, marié à Florence du Thon le [25]. Il est fils aîné de Nicolas Vassel. En 1623 il possède le fief Baussain à Neuilly, ayant appartenu à Pierre Fontaine, écuyer, avocat au bailliage et siège présidial de Caen.
- Guillaume Vassel, écuyer, marié à Madeline de Villaines en 1657, mort à Paris en 1678. Il est fils de Pierre Vassel[25].
Dans la 2e moitié du XVIIIe siècle, René-Henri de Brunville est seigneur de Neuilly-le-Malherbe.
Du début du second Empire jusqu'à la Deuxième Guerre mondiale des carrières de galets et de sables sont exploitées à Neuilly-le-Malherbe[26].
Au début du XXe siècle, l'abbé Eugène Marie (1854-1937) recueille des enfants abandonnés, comme le font ensuite ses successeurs les abbés Robine, Noë et Leroy[26]. En 1961 une association Les Amis de Jean Bosco est créée, avec comme objectif de reconvertir l'orphelinat en institution spécialisée et en 2012 l'association représentait 17 établissements et services, 550 salariés[27]. L'Institut Pédagogique des Amis de Jean Bosco, situé derrière l'église de Neuilly, ferme dans la décennie 2010.
Dans le cadre du plan Raymond Marcellin visant à réduire le nombre de communes, Vacognes (109 habitants en 1968) absorbe le [28] Neuilly-le-Malherbe (137 habitants)[29],[19], au nord de son territoire, qui conserve le statut de commune associée.
Politique et administration
modifierLe conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et trois adjoints[31]. L'un des adjoints est maire délégué de Neuilly-le-Malherbe.
Démographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].
En 2021, la commune comptait 669 habitants[Note 3], en évolution de +14,55 % par rapport à 2015 (Calvados : +1,02 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Vacognes a compté jusqu'à 253 habitants en 1831, Neuilly-le-Malherbe atteignant son maximum démographique la même année avec 261 habitants.
Économie
modifierUn projet d'aménagement d'un champ éolien est en cours au sein de la commune. La commune entend ainsi profiter de l'essor de l'éolien pour assurer sa croissance et contribuer à atteindre les objectifs français en termes d'énergies renouvelables.
Lieux et monuments
modifier- Château du Moustier, dont le site est classé depuis le [35].
- Église Saint-Sébastien de Vacognes, médiévale.
- Église Saint-Martin de Neuilly-le-Malherbe, médiévale. D'après Arcisse de Caumont, la nef (XIIIe siècle ?[36]) est plus ancienne que le chœur (période ogivale), lui-même plus ancien que le clocher en bâtière (XVIIIe siècle). La porte principale qui se trouvait dans le mur latéral sud a été refaite en 1783. Entre cette porte et la tour a été placée dans une niche une sculpture en pierre polychrome représentant la charité de saint Martin (XVIe siècle)[37]. L'église est remaniée en néo-gothique à la fin du Second Empire et au début de la IIIe République et le clocher est restauré en 1885[26]. Dans la nef, trois dalles funéraires : dalle funéraire non identifiée (datée 1545), d'Isabeau de Fontaines (1628) et d'Antoine Louvet (1748)[38]. L'église abrite des statues dont celles de saint Charles Borromée du début du XVIIe siècle[39],[40],[41],[17],[Note 4] (ou plutôt saint Célerin du XVe ou XVIe ?[42]) mais aussi des statues du XXe siècle comme celles de Thérèse de Lisieux et du curé d'Ars. Vitraux signés J. Pelletier (1958).
- Ferme d'Auvers, construite vers 1600[26].
- Grange aux dîmes du XVIIe siècle à côté de l'église Saint-Martin, détruite après la Seconde Guerre mondiale[26].
- Croix de chemin : croix route d'Évrecy, érigée en 1861, réédifiée en 1893, brisée en 2017 ; croix des Baudes, route de Tournay, sans date ; croix des Bois, chemin des Londes, sans date.
- Lavoir de Neuilly construit en 1903 et restauré en 1988[26].
- Château du XVIIe siècle, acquis par François Louis, comte de Saint-Pol (1780-1846)[43]. Ce château, endommagé pendant les bombardements de Normandie de , n'existe plus[26] : ne subsistent au XXIe siècle que ses dépendances.
- Château classique avec chapelle néogothique, construits par la famille de Saint-Pol au Second Empire. De 1897 à 1899, Lazare Cernuski, connu pour son faux témoignage contre Alfred Dreyfus, y est hébergé[44].
-
L'église Saint-Martin de Neuilly-le-Malherbe.
-
Le cadran solaire de 1707.
-
La croix de chemin le long de la route d'Évrecy en 2017.
-
Le lavoir de Neuilly-le-Malherbe.
-
Vestiges de l'ancien château de Neuilly-le-Malherbe.
Activité et manifestations
modifierJumelages
modifier- Johannesberg (Allemagne) depuis 1990.
Personnalités liées à la commune
modifierVoir aussi
modifierBibliographie
modifier- Jean Anne, Brève monographie de Vacognes-Neuilly, Vacognes-Neuilly, Jean Anne, , 23 p.
- Communauté de communes Évrecy Orne Odon, Les communes du canton d'Évrecy, S.l., Soréco éditions, s.d.
- René Dubourg, « Quelques pages d'histoire locale : les Vassel, seigneurs de Neuilly-le-Malherbe », Annuaire des cinq départements de la Normandie, , p. 185-286 (lire en ligne)
- Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790 : Calvados. Archives civiles. Série E supplément, Caen, Charles Vallin, (lire en ligne), p. 86-89Actes de baptêmes, mariages et sépultures pages 86 à 89 pour Neuilly-le-Malherbe et pages 146 à 152 pour Vacognes.
Notes et références
modifierNotes
modifier- Population municipale 2021.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- L'ouvrage Les trésors d'art religieux du Calvados en 1940 est le premier à l'identifier comme représentant saint Charles Borromée et à la dater du début du XVIIe siècle tout en remarquant qu' « on la croirait du XVIe siècle, si la canonisation de saint-Charles Borromée ne datait de 1605. Ce serait donc un de ses premières statues ». L'ouvrage précise aussi que d'après l'abbé Marie cette statue aurait été trouvée au XIXe siècle, enterrée dans le cimetière. L'hypothèse y est émise que cette statue aurait fait partie d'un autel détruit, d'autant qu'il se trouvait « à Caen, au presbytère Saint-Julien, une statue, des mêmes dimensions, de saint Martin, provenue de Neuilly-le-Malherbe, et hospitalisée par M. Le chanoine de Saint-Pol ». La statue est exposée en 1957 pour l'exposition des trésors d'art du Calvados et de Basse-Normandie. Cette identification et datation sont reprises dans le catalogue publié dans la revue Art de Basse-Normandie en 1957 puis répétées. L'hypothèse émise dans la brochure éditée par la communauté de communes d'une représentation de saint Célerin est plus en accord avec le style Renaissance de la statue.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
- « Orthodromie entre Vacognes-Neuilly et Seulline », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Georges D » (commune de Seulline) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Georges D » (commune de Seulline) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
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- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Caen », sur insee.fr (consulté le ).
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- Le Patrimoine des communes du Calvados, éditions Flohic, , p. 789-790
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- Guy Chamillart, Généralité de Caen, recherche de la noblesse, faite par ordre du roi (Louis XIV) en 1666 et années suivantes, Caen, H. Delesques,
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- Jean Anne, Brève monographie de Vacognes-Neuilly, Vacognes-Neuilly, Jean Anne, , 23 p.
- « Les amis de Jean Bosco : 50 ans déjà », Le Loupy, no 47, , p. 6 (lire en ligne, consulté le )
- Insee : toutes les modifications de commune pour le département du Calvados (14) de 1930 à 2012
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Réélection 2014 : « Un deuxième mandat pour Michel Bannier », sur Ouest-france.fr (consulté le ).
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Site de la DREAL de Basse-Normandie - Les sites classés du département du Calvados » (consulté le ).
- (en) Arthur Kingsley Porter, Medieval architecture, its origins and development, with lists of monuments and bibliographies, New Haven, Yale University Press, , p. 360
- Arcisse de Caumont, Bulletin monumental ou collection de mémoires et de renseignements pour servir à la confection d'une statistique des monuments de la France, classés chronologiquement., t. 9, Caen, A. Hardel, (lire en ligne), p. 342
- L' Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790. Calvados. Archives civiles. Série E supplément, pp. 86-89 fait la liste des actes de baptêmes mariages et sépultures de 1620 à 1792.
- Fernand Engerand, Les trésors d'art religieux du Calvados, t. I : Caen et l'arrondissement de Caen, Caen, Marigny et Joly, , p. 302
- Jean Seguin, Saints guérisseurs, saints imaginaires, dévotions populaires... : en Basse-Normandie et Haute-Bretagne, Paris, Librairie Guénégaud, , 256 p. (lire en ligne), p. 156
- « Exposition des trésors d'art du Calvados et de Basse-Normandie Église Saint-Nicolas de Caen Été 1957 », Art de Basse-Normandie, no 6, , p. 29
- Communauté de communes Évrecy Orne Odon, Les communes du canton d'Évrecy, S.l., Soréco éditions, s.d., p. 31
- « Généalogie de la famille de Saint Pol - 9 », sur pinsonnais.free.fr (consulté le ).
- Ministère de la Justice, Enquête de la Chambre criminelle : Affaire Dreyfus : 2e révision. Tome 2, Paris, Imprimerie nationale, , 511-[19] (lire en ligne), p. 107
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2013 (site de l'IGN, téléchargement du 19 mars 2014)
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier- Résumé statistique de Vacognes-Neuilly sur le site de l'Insee
- « Délibérations du conseil municipal de Neuilly-le-Malherbe (1787-1852) », sur archives.calvados.mnesys.fr (consulté le ).
- « Délibérations du conseil municipal de Neuilly-le-Malherbe (1852-1972) », sur archives.calvados.mnesys.fr (consulté le ).
- « Délibérations du conseil municipal de Vacognes (1787-1972) », sur archives.calvados.mnesys.fr (consulté le ).
- Inventaire des archives communales sur le site des Archives départementales du Calvados