Frontières

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Terre-Neuve

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Québec

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Nouvelle-Écosse

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Nouveau-Brunswick

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  • 1784, création du Nouveau-Brunswick à partir de la partie continentale de la Nouvelle-Écosse.[réf. nécessaire]
  • , le Nouveau-Brunswick devient la première province à joindre la Confédération canadienne.[réf. nécessaire]

Île-du-Prince-Édouard

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Ontario

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  • 1603, le roi Henri IV de France concède l'Acadie à Pierre Dugua de Mons ; le territoire comprend toutes les terres nord-américaines situées entre le 40e et le 46e parallèle[2]. Toute la côte atlantique est explorée et la première colonie permanente est Port-Royal, dans l'actuelle Nouvelle-Écosse ; aucune colonie n'est fondée dans l'actuel territoire du Maine[2].
  • 1606, le roi Jacques d'Angleterre crée la Compagnie de Virginie, comprenant toutes les terres nord-américaine entre le 34e et le 45e parallèle nord[2]. La colonie est en fait divisée entre deux compagnie, la Compagnie de Plymouth obtenant le territoire au nord du 38e parallèle[2].
  • 19 août 1607, la colonie de Popham est fondée sur la pointe Sabino, désormais Hunnewell, à l'embouchure de la rivière Kennebec[2]. Les colons retournent en Angleterre l'année suivante[2].
  • 1620, Jacques 1er accorde une charte à la Compagnie de Plymouth, comprenant le territoire entre le 40e et le 48e parallèle[2].

À compléter, p.55-60.

New Hampshire

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  • 1606, le roi Jacques d'Angleterre crée la Compagnie de Virginie, comprenant toutes les terres nord-américaine entre le 34e et le 45e parallèle nord[2]. La colonie est en fait divisée entre deux compagnie, la Compagnie de Plymouth obtenant le territoire au nord du 38e parallèle[2], comprenant entre autres l'actuel New Hampshire (p. 92)[3].
  • 1620, Jacques 1er accorde une charte à la Compagnie de Plymouth, comprenant le territoire entre le 40e et le 48e parallèle[2] soit, entre autres, le territoire actuel du New Hampshire (p. 55)[3].
  • 1622, concession de Ferdinando Gorges, comprenant l'actuel territoire (p.35)[3].
  • 1629, le président et le conseil de Plymouth pour la Nouvelle-Angleterre accorde une concession au Capitaine John Mason, délimitée par la rivière Merrimack au sud, l'océan atlantique à l'est et la rivière Piscataqua au nord[3].
  • 1635, la concession de John Mason de 1629 est confirmée par l'ajout de compléter[3].
  • La concession comprend aussi les isles of Shoals, ce qui causera un conflit avec le Maine avec l'augmentation de la pêche[3].
  • Décembre 1635, mort de John Mason[3].
  • 1641, les colons demande la protection du Massachusetts ; en vigueur jusqu'en 1675[3].
  • 1675, Robert Mason, petit-fils de John Mason, obtient un décret royal[3].
  • 1680, par ce décret, le New Hampshire est doté d'un gouvernement colonial[3]. Aucune concession n'est toutefois accordée[3].
  • 1680, un décret issu par le roi à l'égard de John Cutt, de Portsmouth, décrit le New Hampshire comme étant délimité au sud par une ligne à trois miles au nord de la rivière Merrimack, et au nord par le Maine[3].
  • 1690, le New Hampshire retourne sous la protection du Massachusetts[3].
  • 1692, le New Hampshire redevient une province[3].
  • Un conflit éclate entre le New Hampshire et le Massachusetts, au sujet de leur frontière commune mais aussi de la frontière entre le New Hampshire et le Maine[3]. Des commissaires sont nommés par les deux provinces mais ne parviennent pas à s'entendre[3]. Le New Hampshire fait appel au roi, qui demande la création d'une commission nommée par les colonies limitrophes[3]. La commission se réunit en 1737 à Hampton et soumet une proposition au roi[3].
  • 1740, le roi déclare que la frontière nord du Massachusetts suit une ligne similaire au cours de la rivière Merrimack mais à trois miles au nord de cette dernière, à partir de l'océan Atlantique vers l'ouest jusqu'aux chutes Pawtucket – l'actuelle ville de Lowell – et, à partir de ce point, une ligne plein Ouest jusqu'à la limites des frontières des autres colonies[3]. Le New Hampshire souhaitait que sa frontière parte plein Ouest à partir d'un point dans l'océan situé à trois miles au nord de l'embouchure de la rivière Merrimacks tandis que le Massachusetts espérait obtenir toutes les terres jusqu'à trois miles au nord de la dite rivière, sur toute sa longueur[3]. Cette décision eut pour conséquence d'accorder une zone de 50 miles de longueur et de largeur variable que le New Hampshire ne revendiquait même pas[3]. Le roi demande à ?, alors gouverneur des deux provinces, de faire arpenter la frontière mais seul le gouvernement du New Hampshire accepte[3].
  • 1741, la frontière est arpentée par George Mitchell et Richard Hazen ; le gouverneur permet une déclinaison magnétique terrestre de 10 degrés vers l'ouest pour la ligne droite[3]. La déclinaison étant trop grande, la ligne est décalée vers le nord-ouest[3]. Ce problème est connu avant la révolution américaine[3].
  • 1774, George Sproule, se basant sur des observations astronomiques précises et sur le terrain, calcule que le Ne Hampshire a perdu 59872 acres à cause de l'erreur[3].
  • 1825, une commission est crée par les deux États pour délimiter la frontière mais le Massachusetts déclare qu'il ne peut que délimiter la frontière originale(incomplet)[3].
  • 10 mars 1827, la législature du Massachusetts vote l'installation de monuments afin de préserver la frontière[3].
  • 1885, une commission conjointe retrace la frontière au nord de la rivière Merrimack, n'en changeant que des détails, mais ne parvient pas à un arrangement concernant la frontière à l'ouest des chutes Pawtucket[3].
  • 1894, une commission tripartite (Massachuetts, New Hampshire et Vermont), convient de préserver la frontière tracée en 1741 par Richard Hazen[3].
  • D'après la concession de 1740, le New Hampshire s'étendait aussi loin à l'est que les limites du Massachusetts et du Connecticut, comprenant ainsi le territoire actuel du Vermont[3]. New York revendiquait tout le territoire à l'Ouest du Connecticut en se basant sur les concessions de 1664 et 1674 au Duc d'York[3]. En 1740, le gouverneur du New Hampshire écrit à son homologue de New York qu'il considère que la frontière sud de sa province suit une ligne plein Ouest à partir d'un point à 3 miles au nord des chutes Pawtucket jusqu'au fleuve Hudson, soit la même définition donnée dans la commission du gouverneur Benning Wentworth en 1741[3].
  • La frontière Sud est matérialisée par des monuments[3]. Telle qu'elle existe de nos jours, cette frontière est décallée de 2,5 degrés vers le sud-est[3]. Elle fut approuvée par le Massachusetts en 1899 et par le New Hampshire en 1901[3].
  • 1764, la frontière Ouest du New Hampshire est décrétée par le roi comme étant constituée par la rivière Connecticut[3]. D'abord fermement opposés à cette décision, les deux états en sont venus à accepter cette frontière (p. 64-65)[3].
  • 1842, un traité britannique détermine la frontière Nord de l'État comme partant d'un monument (actuellement le monument 475 de la frontière internationale) situé à la frontière commune du Maine, du Québec et du New Hampshire, ensuite le long de la rivière Halls jusqu'au 45e parallèle nord, tel que déterminé en 1741[3]. En pratique, ce point est situé à la position compléter[3]. La frontière commune entre le Vermont et le New Hampshire suit ensuite une ligne d'environ 1 miles et 3 quarts vers l'est, jusqu'à la rivière Connecticut[3]. La partie du territoire du Vermont situé à l'est de la rivière Halls est surnommé « The Gore » est elle est souvent identifiée comme une partie du New Hampshire sur les cartes[3].
  • La souveraineté dues environs des lacs Connecticut et en fait des terres situées au nord du 45e parallèle a longtemps été disputée avec le Canada[3].
  • 1829, création de la république d'Indian Stream à cause de cette situation[3].
  • 1835, guerre d'Indian Stream, le New Hampshire prend le contrôle du territoire[3].

Vermont

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  • La concession du roi Henri IV de France, en 1603, ainsi que la concession du roi Jacques 1er d'Angleterre, en 1606, incluent le territoire correspondant au Vermont (compléter)[4]. Il est aussi inclus dans la concession du Conseil de Plymouth pour la Nouvelle-Angleterre, en 1620[4].
  • 1664, 1674, les concessions faites au Duc d'York comprennent toutes les terres situées entre la rivière Connecticut et la rivière Delaware[4]. La province de New York réclame donc la zone correspondant au Vermont[4].
  • Massachusetts revendique très tôt les terres à l'Ouest de la rivière Connecticut - faisant désormais partie de son territoire - ainsi que la majeure partie de l'actuel Vermont[4].
  • 1629, la charte de la colonie de la Baie du Massachusetts comprend les terres situées jusqu'à trois miles au nord de la rivière Merrimack[4].

Massachusetts

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Rhode Island

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Connecticut

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New York

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New Jersey

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Pennsylvanie

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Delaware

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Géorgie

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Floride

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  • 1763, légué à la Grande-Bretagne par l'Espagne[13]
  • 1763, la Grande-Bretagne divise la colonie en deux, Floride occidentale et Floride orientale, à la rivière Apalachicola[13]. La frontière nord de la Floride occidentale va jusqu'au 31 parallèle[13].
  • 1764, la frontière nord de la Floride occidentale est déplacé à une ligne...32 28 N ou 32 22 N[13].
  • 1783, la Grande-Bretagne cède par un traité de paix la partie de la Floride occidentale au nord du 31e parallèle aux États-Unis[14].
  • 1783, la Floride occidentale et la Floride orientale sont cédées à l'Espagne, qui conserve les frontières[13].
  • De 1803 à 1810, le territoire entre la rivière Pearl, le 31 parallèle nord, la rivière Perdido et le golfe du Mexique est revendiqué par les États-Unis, qui tolèrent toutefois la présence espagnole.[réf. nécessaire]
  • Les Américains basent leur prétention sur l'article 24 du traité de San Ildefonso, considérant que la Floride occidentale faisait autrefois partie de la Louisiane[15]. Les Espagnols considèrent quant à eux que ce n'était qu'un traité de rétrocession, c'est-à-dire qu'il ne faisait que rendre à la France ce qui leur appartenait avant 1762. D'ailleurs, l'Espagne ne possédant pas la Floride occidentale en 1762, elle n'aurait pas été en mesure de la rétrocéder[15].
  • 23 septembre 1810, proclamation de la République de Floride occidentale, entre le Mississippi, le 31 parallèle nord, la rivière Perdido, le golfe du Mexique et le Territoire d'Orléans (lacs Pontchartrain et Maurepas, rivière Iberville jusqu'au Mississippi.[réf. nécessaire]
  • 27 octobre 1810, annexion de la République de Floride occidentale aux États-Unis; mise sous tutelle du Territoire d'Orléans[15].[réf. nécessaire]
  • 1810-1812, un mouvement de sécession de la Floride occidentale est réprimé[15].
  • 1812, la zone de la Floride occidentale située à l'Ouest de la rivière Pearl est annexée à l'État de Louisiane[15].
  • 1811, l'insurrection se répand dans le reste de la Floride occidentale et le Congrès américain autorise le président américain à prendre possession de cette zone[15].
  • 1812, territoire délimité par le Mississippi à l'Ouest, le 31 parallèle Nord, la rivière Pearl à l'Est, le golfe du Mexique au sud et le Territoire d'Orléans au sud-Ouest est annexé à ce dernier.[réf. nécessaire]
  • 1812, le reste de la zone, délimitée à l'Ouest par la rivière Pearl, au Nord par le 31e parallèle et à l'Est par la rivière Perdido, appelé le District de Mobile, est annexé au Territoire du Mississippi[15].
  • 1817, le territoire délimité à l'Ouest par une ligne 10 miles à l'est de la rivière Pascagoula, au Nord par le 31e parallèle et à l'Est par la rivière Perdido est annexé à l'Alabama. Le Mississippi conserve le reste.[réf. nécessaire]
  • 22 février 1819, la Floride est cédée par l'Espagne aux États-Unis pour cinq millions de dollars, soit le montant des réclamations des citoyens américains contre l'Espagne[15].
  • Le même traité délimite la frontière Ouest des États-Unis avec l'Espagne. Le traité est ratifié rapidement par les États-Unis alors que l'Espagne attend en 1821 pour le faire[15]. Le Mexique, nouvellement indépendant de l'Espagne, reconnaît la frontière en 1828[15].
  • 1822, création du territoire de Floride[13]
  • 1845, création de l'état de Floride et entrée dans l'Union[13]

Mississippi

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  • 7 avril 1798, une loi du Congrès créée le territoire du Mississippi, un territoire délimité à l'Ouest par le fleuve Mississippi, au nord par une ligne plein est entre l'embouchure de la rivière Yazoo (Yazous dans le texte) et la rivière Chatahouchee, à l'est par cette même rivière et au sud par le 31e parallèle[16].
  • 7 avril 1789, les revendications de la Géorgie sur ce territoire sont prises en compte par la création d'une commission de délimitation[16].
  • 1802, la Géorgie ne revendique plus le Mississippi voir p. 100[16].
  • 1804, la Caroline du Sud cède ses revendications à l'Ouest de son territoire au gouvernement américain[16].
  • 1804, le Gouvernement général (?) annexe au territoire du Mississippi la zone bordé au nord par le Tennessee, à l'est par la Géorgie et à l'Ouest par la Louisiane[16].
  • 1803, achat de la Louisiane. Les États-Unis considère que le territoire à l'Est de la rivière Pearl, à l'ouest de la rivière Perdido et au sud du 31e parallèle fait partie de la Louisiane mais tolère l'occupation espagnole[16].
  • 27 octobre 1810, le Président proclame que les États-Unis doivent prendre possession de ce territoire et demandent au gouverneur du territoire d'Orléans d'en prendre le contrôle[16].
  • 1812, cette zone est annexée au territoire du Mississippi. À ce moment, il comprend la totalité des états actuels du Mississippi et de l'Alabama[16].
  • 10 décembre 1817, la partie Ouest du territoire du Mississippi devient un État et est admis dans l'Union[16].
  • 1872, la frontière est précisée dans la Constitution du Mississippi ; grosso modo, la frontière est n'est plus en ligne droite p. 109[16].
  • 1819, la frontière entre le Tennessee et le Mississippi est arpentée par des commissaires[16].
  • 1833, la législature du Tennessee reconnait la frontière comme étant celle délimitée par John Thompson en 1830, ce que le Mississippi n'accepte pas[16].
  • 1837, la frontière est délimitée par une commission bilatérale, dont les travaux sont officiellement reconnus par les deux législatures[16].
  • 26 janvier 1909, des résolutions conjointes du Congrès permettent au Mississippi, à la Louisiane et à l'Arkansas de délimiter eux-même leur frontières dans le fleuve Mississippi et de faire le transfert de territoires s'étant retrouvés séparés par le changement du cours du fleuve[16].
  • Deux jugements de la Cour suprême traitent du changement des côtes du fleuve[16].
  • Dans le Code de l'État du Mississippi, la frontière riveraine est décrite comme « le fleuve Mississippi » (the Mississippi River), sous-entendant ainsi qu'elle passe par le centre de la rivière[16].

Louisiane

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  • 1682, la Louisiane française est revendiquée par René-Robert Cavelier de La Salle, en se basant sur les explorations et la colonisation[14].
  • Le territoire comprend la totalité du bassin hydrographique du fleuve Mississippi et une partie de la côte du golfe du Mexique, s'étendant à l'ouest jusqu'au « Rio de las Palmas », qui est probablement le Rio Grande[14].
  • 1712, la France accorde à Alexandre de Crozat le monopole du commerce dans la Louisiane, un territoire qui excluerait les revendications espagnoles au Sud-Est et ne comprendrait vraisemblablement pas les actuels États de Washington, Oregon et Idaho mais qui comprendrait le bassin du fleuve Mississippi au moins jusqu'à la confluence avec la rivière Illinois[14].
  • 1717, Alexandre de Crozat abandonne son monopole[14].
  • 3 novembre 1762, la France donne le « pays connu sous le nom de la Louisiane » par un traité secret à l'Espagne, qui n'en prend pas tout de suite possession[14].
  • 1763, la France rend ses possessions en Amérique du Nord à la Grande-Bretagne et à l'Espagne[14]. La frontière entre les deux pays est le fleuve Mississippi, puis, au sud, la rivière Iberville (désormais appelé le bayou Manchac; à l'époque, un cours d'eau reliait cette rivière au golfe du Mexique, formant l'île de la Nouvelle-Orléans), le lac Maurepas et le lac Pontchartrain[14].
  • 1783, la Grande-Bretagne cède la Floride aux États-Unis et à l'Espagne[14].
  • 1800, le traité secret de San Ildefonso rend la Louisiane à la France[14].
  • Novembre 1802, le président américain Jefferson apprend le transfert et tente de négocier des droits de passage sur le fleuve Mississippi[14]. Napoléon Bonaparte, craignant une guerre avec la Grande-Bretagne et la prise de l'embouchure du fleuve, décide de vendre la Louisiane aux États-Unis[14]. L'offre est acceptée, quoique les opposant déclarent que c'est anticonstitutionnel[14].
  • 30 avril 1803, le traité de cession décrit le territoire comme celui cédé par l'Espagne à la France[14].
  • Pas fini (p.23-26)
  • 1804, la zone correspondant à une partie de l'actuel état de la Louisiane devient le Territoire d'Orléans[17].
  • 1804, le reste de la Louisiane française devient le District de Louisiane[17].
  • 1804, la zone à l'est de l'actuelle Louisiane (rivière Pearl), à l'ouest du Perdido et au sud du 31e parallèle est revendiquée par les États-Unis comme faisant partie de l'achat de la Louisiane ; ils la considèrent comme une partie du Territoire d'Orléans mais tolèrent l'occupation espagnole[16],[17].
  • 3 mars 1805, le District de Louisiane devient le Territoire de Louisiane[17].
  • 23 septembre 1810, proclamation de la République de Floride occidentale, entre le Mississippi, le 31 parallèle nord, la rivière Perdido, le golfe du Mexique et le Territoire d'Orléans (lacs Pontchartrain et Maurepas, rivière Iberville jusqu'au Mississippi.[réf. nécessaire]
  • 27 octobre 1810, annexion de la République de Floride occidentale aux États-Unis; mise sous tutelle du Territoire d'Orléans.[réf. nécessaire]
  • 1812, territoire délimité par le Mississippi à l'Ouest, le 31 parallèle Nord, la rivière Pearl à l'Est, le golfe du Mexique au sud et le Territoire d'Orléans au sud-Ouest est annexé à ce dernier.[réf. nécessaire]
  • 1812, le reste de la zone, délimitée à l'Ouest par la rivière Pearl, au Nord par le 31e parallèle et à l'Est par la rivière Perdido, appelé le District de Mobile, est annexé au Territoire du Mississippi.[réf. nécessaire]
  • 8 avril 1812, effectif le 30 avril 1812, le Territoire d'Orléans devient l'état de la Louisiane[17].
  • 4 juin 1812, le Territoire de Louisiane devient le Territoire du Missouri[17].
  • 1812, les frontières au sud-est de l'État (nord du lac Pontchartrain) sont repoussées jusqu'à leurs limites actuelles[17].
  • 1819, l'Espagne reconnait les revendications américaines sur la zone délimitée à l'Ouest par la rivière Sabine et à l'Est par le fleuve Mississippi[17].
  • 1819, la Floride est cédée par l'Espagne aux États-Unis[13].
  • 26 mars 1804, les frontières du Territoires d'Orléans sont délimitées comme le 33e parallèle nord, le fleuve Mississippi à l'est, et la frontière de la Louisiane française à l'Ouest[17].
  • 1812, la loi créant l'État de Louisiane délimite les frontières comme étant la rivière Sabine à l'Ouest jusqu'au 32e parallèle nord, une ligne plein nord jsuqu'au 33e parallèle nord, à l'est jusqu'au fleuve Mississippi, le long de ce fleuve jusqu'à la rivière Iberville, le long de cette rivière à l'est jusqu'aux lacs Maurepas et Pontchartrain, et ensuite le golfe du Mexique[17].

Alabama

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  • 3 mars 1817, création du territoire à partir de l'est du territoire du Mississippi[18].
  • 2 mars 1819, les frontières de l'Alabama sont délimitées au sud par le 31 e parallèle nord, de la rivière Perdido à la frontière de la Géorgie, à l'Est par cette dernière, au nord par le Tennessee, vers l'Ouest (35 parallèle, qui avait été mesurée par Thomas Freeman en 1807) jusqu'à la rivière Tennesse, vers l'amont de cette dernière jusqu'à l'embouchure de la rivière Bear, ensuite en ligne droite vers le sud, jusqu'au coin nord-est du comté de Washington, ensuite plein sud jusqu'au golfe du Mexique[18].
  • 14 décembre 1819, l'Alabama devient un État[18].
  • 1820, la frontière avec le Mississippi est arpentée[18].

En pratique, la frontière nord de l'État ne suit pas le 35e parallèle nord, qu'elle croise à 87 degré 20 minutes ouest. Le nord-est de la frontière se trouve en effet à plus d'un mile au sud du 35e, et est marqué par un monument, tandis que le nord-ouest se trouve à un demi mile au nord du 35e[18].

frontière entre l'Alabama et la Géorgie, p. 103

frontière entre l'Alabama et la Floride, p. 102

Tennessee

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Kentucky

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  • Le Kentucky fait partie du territoire originel de la Virginie, en tant que partie du comté d'Augusta, formé en 1738[19].
  • 1769, le comté de Botetourt est formé à partir d'une portion du comté d'Augusta[19]
  • 1772, formation du comté de Fincastle à partir du comté de Botetourt[19].
  • 1776, formation du comté de Kentucky à partir du comté de Fincastle[19].
  • 1783, la frontière Ouest du Kentucky est délimitée comme étant le fleuve Mississippi, par un traité de paix[19].
  • 1784, la Virginie cède la rive nord de la rivière Ohio aux États-Unis, créant ainsi la frontière nord du Kentucky[19].
  • 1789, la Virginie autorise la création d'un nouvel état à partir du comté de Kentucky[19].
  • 4 février 1791, reconnu par une loi du Congrès[19].
  • 1 juillet 1792, entrée en vigueur de la loi et entrée du Kentucky dans l'Union[19].
  • 1820, la cour suprême des États-Unis décide qu'une île est une terre toujours entourée d'eau signifiant que des îles apparaissant seulement à marée haute dans la rivière Ohio ne peuvent pas faire partie à la fois de l'Indiana et du Kentucky[19].
  • Dû à la frontière complexe du sud-ouest de l'État, deux méandres rapprochés du fleuve Mississipi font qu'un territoire de 10 miles carrés ne peut être atteint qu'à partir du Missouri ou du Tennessee[19].

frontière entre Kentucky, Virginie occidentale et Virginie, p. 94

frontière entre Kentucky Tennessee, p. 110

Indiana

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Notes et références

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  1. (en) Norman Nicholson, Boundaries of the Canadian Confederation, McGill-Queen's Press, , 252 p. (ISBN 9780770517427, lire en ligne), p. 12-22
  2. a b c d e f g h i et j (en) Franklin K. Van Zandt, Boundaries of the United States and the several States : with miscellaneous geographic information concerning areas, altitudes, and geographic centers, U.S. Govt. Print. Off., , 191 p. (lire en ligne), p. 55-60
  3. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa ab ac ad ae af ag ah ai aj ak al am an ao ap aq ar et as (en) Van Zandt (1976), op. cit., p. 60-63.
  4. a b c d e et f (en) Van Zandt (1976), op. cit., p. 64-65.
  5. (en) Van Zandt (1976), op. cit., p. 65-71.
  6. (en) Van Zandt (1976), op. cit., p. 71-72.
  7. (en) Van Zandt (1976), op. cit., p. 72-74.
  8. (en) Van Zandt (1976), op. cit., p. 74-79.
  9. (en) Van Zandt (1976), op. cit., p. 79-80.
  10. (en) Van Zandt (1976), op. cit., p. 80-84.
  11. (en) Van Zandt (1976), op. cit., p. 84-85.
  12. (en) Van Zandt (1976), op. cit., p. 100-104.
  13. a b c d e f g et h (en) Van Zandt (1976), op. cit., p. 104-105.
  14. a b c d e f g h i j k l m et n (en) Van Zandt (1976), op. cit., p. 23-26.
  15. a b c d e f g h i et j (en) Van Zandt (1976), op. cit., p. 26-27.
  16. a b c d e f g h i j k l m n o p et q (en) Van Zandt (1976), op. cit., p. 105-106.
  17. a b c d e f g h i et j (en) Van Zandt (1976), op. cit., p. 106-108.
  18. a b c d et e (en) Van Zandt (1976), op. cit., p. 108-109.
  19. a b c d e f g h i j k et l (en) Van Zandt (1976), op. cit., p. 109-111.
  20. (en) Van Zandt (1976), op. cit., p. 111-114.
  21. (en) Van Zandt (1976), op. cit., p. 114-115.

Politique de l'Acadie

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Utilisation du modèle

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Ce modèle permet de présenter une palette de navigation pour l'éducation en Acadie.
Vous pouvez l'utiliser, généralement à la fin d'un article, en indiquant : {{Palette Éducation en Acadie}}

Voir aussi

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[[Catégorie:Modèle Acadie]]