Utilisateur:Lecosaque1/Brouillon

Pyrochlore
Image illustrative de l’article Lecosaque1/Brouillon
Pyrochlore de Russie
Général
Classe de Strunz
Classe de Dana
Formule chimique (Na,Ca)2Nb2O6(OH,F)
Identification
Système cristallin cubique
Propriétés chimiques
Densité 4.45 à 4.90

Unités du SI & CNTP, sauf indication contraire.

Le pyrochlore (Na,Ca)2Nb2O6(OH,F) est un groupe minéralogique du niobium et un membre du super-groupe des pyrochlores (quoi ???. de quoi traite cet article ???)

Occurrence

modifier

Le minéral est associé aux étapes finales métasomatiques[Quoi ?] des intrusions magmatiques. Les cristaux de pyrochlore sont habituellement bien formés (euédrique[Quoi ?]), se produisant habituellement sous forme d'octaèdres d'une couleur jaunâtre ou brunâtre avec un éclat résineux. Il est généralement métamide[Quoi ?] en raison des dommages causés par les rayonnements provenant des éléments radioactifs se trouvant dans le cristal.

Le pyrochlore se trouve dans les pegmatites, associées aux syénites néphéliniques[Quoi ?] et à d'autres roches alcalines. On le trouve également dans les pegmatites et les greisens de granit. Il est caractéristique dans les carbonatites. Les minéraux associés comprennent le zircon, l'aegirine, l'apatite, la pérovskite et le columbite. [1]

Inventeur et étymologie

modifier

Le pyrochlore a été décrit pour la première fois en 1826 grâce à un échantillon de Stavern (Fredriksvärn) dans la ville de Larvik, dans le comté de Vestfold en Norvége. Le nom vient du Grec ancien πῦρ, qui signifie feu, et χλωρός, qui signifie vert tout simplement car ce minéral devient généralement vert à l'allumage de la lampe lors des analyses classiques d'un minéral.[2]

Structure cristalline

modifier

Mine de nobium

modifier

Les trois plus grands producteurs de minerai de niobium sont des exploitations minières des dépôts de pyrochlore. Le plus grand dépôt au Brésil est la mine CBMM au sud de la ville de Araxá, dans l'état fédéral de Minas Gerais, suivi par le dépôt de la mine de Catalão à l'est de la ville de Catalão, dans l'état fédéral brésilien de Goiás. Le troisième plus gros dépôt de minerai de niobium est la mine de Niobec à l'ouest de la ville de Saint-Honoré près de Chicoutimi au Québec.[3]

Le minerai de pyrochlore contient généralement plus de 0,05% d'uranium et de thorium, composants radioactifs d’origine naturelle.[4]

Voir aussi

modifier

Références

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

  1. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Handbook
  2. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Mindat
  3. J. Kouptsidis, F. Peters, D. Proch et W. Singer, « Niob für TESLA » (consulté le )
  4. K. Dias da Cunha, M. Santos, F. Zouain, L. Carneiro, G. Pitassi, C. Lima, C. V. Barros Leite et K. C. P. Dália, « Dissolution Factors of Ta, Th, and U Oxides Present in Pyrochlore », Water, Air, & Soil Pollution, Springer Netherlands, vol. 205, nos 1–4,‎ , p. 251–257 (ISSN 0049-6979, DOI 10.1007/s11270-009-0071-3)
  • D. Atencio, M. B. Andrade, A. G. Christy, R. Gieré et P. M. Kartashov, « The pyrochlore supergroup of minerals: nomenclature », The Canadian Mineralogist, vol. 48, no 3,‎ , p. 673–698 (DOI 10.3749/canmin.48.3.673)