Utilisateur:Flothar/bacasable

Wace, Le roman de Brut. Tome 2, Antoine Le Roux de Lincy, É. Frère (Rouen), 1838, 174 p. p. 230, https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6557576t/f242.image

Ancor i est, Breton l'atandent, (Il y est encore, les Bretons l'attendent)

Si com il dient et antandent ; (Il disent et entendent)

De la vanra, ancor puet vivre (Il revient, il peut encore vivre)

[1]

Comme d'autres auteurs contemporains, Wace, en 1155 dans son Roman de Brut s'était exprimé dans ce sens

Selon l'analyse du médiéviste Francis Gingras, Wace aurait dans un premier temps « prêté foi aux "fables" colportées par les Bretons au sujet des merveilles de Brocéliande », mais après, avoir vérifié lui-même dans la forêt bretonne s'il y avait des « des fées "e altres merveilles plusors"[2] », aurait reconnu d'« avoir manqué de jugement en accordant crédit à ces histoires trop belles pour être vraies »[3]

La mauvaise langue et les lettres statuts de la rumeur et de l’écrit à la naissance du roman (1150-1230). in: Protée Volume 32 La rumeur, numéro 3, hiver 2004, p. 87–99, Diffusion numérique : 1 septembre 2005, https://doi.org/10.7202/011262ar §14

"Le clerc Robert Wace, traducteur de l’Historia Regum Britanniae de Geoffroy de Monmouth et auteur du Roman de Rou [19] (qui relate l’histoire des ducs de Normandie) confesse s’être lui-même laissé prendre au jeu de la création populaire, puisqu’il affirme avoir prêté foi aux « fables » colportées par les Bretons au sujet des merveilles de Brocéliande. Après s’être lui-même rendu dans la forêt bretonne en quête des fées « e altres merveilles plusors » (v. 6389), il admet être rentré bredouille et reconnaît avoir manqué de jugement en accordant crédit à ces histoires trop belles pour être vraies (« fol i alai, fol m’en revinc », v. 6397)."


Également au milieu du XIIe siècle, Guillaume le Breton (vers 1165-vers 1226[4]) évoquait « le prodige de la fontaine merveilleuse de Brecelien » ("« Brecelianensis monstrum admirabile fontis" »)[5], dont Wace avait déjà parlé sans y découvrir des merveilles[6].


Ce "roman" était revendiqué comme un ouvrage d'histoire consacré aux ducs de Normandie et sans rapport avec le légende arthurienne[7]. La « fontaine de Berenton », dont parle Wace au vers suivant pour donner un exemple des « fables » racontés par les chevaliers bretons est aussi évoqué dès le XIIe siècle par Guillaume le Breton, qui parle du « prodige de la fontaine merveilleuse de Brecelien » ("« Brecelianensis monstrum admirabile fontis" »)[8] ou encore par Chétien de Troyes. Wace cependant prend ses distances avait déjà parlé sans y découvrir des merveilles[9].

Alain de Benoist

Michel Wayoff

Jean-Joël Brégeon

Pierre Vial

Guillaume Faye

Claudine Glot, Sire Gauvain et le Chevalier vert, illustrations de David Balade, éditions Ouest-France, collection « Jeunesse – Adolescents », 2021. https://www.revue-elements.com/sire-gauvain-et-le-chevalier-vert/

[10]

Claudine Glot, directrice d’Artus, RENAISSANCE CULTURELLE ET DESTIN BRETON Actes de colloque : N° 16 avril 1982 Pour un gramscisme de droite. Acte du XVIe colloque national du GRECE, Palais des congrès de Versailles, 29 novembre 1981 – PDF https://www.revue-elements.com/produit/pour-un-gramscisme-de-droite-pdf/

L’espace le plus difficile, Claudine Glot Éléments : N° 48-49 - PDF décembre 1983 Tiers mondisme et cause des peuples (version PDF) https://www.revue-elements.com/produit/11235/

Patrick Grainville ou le massacre des Saints Innocents, Claudine Glot, In : Éléments : N° 50 - PDF mars 1984 L’argent (version PDF), https://www.revue-elements.com/produit/largent-version-pdf/


https://www.revue-elements.com/qui-sommes-nous/

« Eléments [...] offre une tribune à tous ceux dont le travail contribue à identifier, raffermir et faire croître les racines d’un futur européen qui est notre passion commune. Cette aventure intellectuelle est aussi un combat contre la pensée unique et le silence assourdissant des médias, [...]

Les actes du colloque publient son intervention l'année suivante, sous le titre Renaissance culturelle et destin breton[11],[12]. L'autrice est présentée dans le sommaire comme « directrice d'Artus[13], nom d'une revue que cette créatrice du Centre de Recherche Arthurien à Comper-en-Brocéliande[14] a fondées en 1979[15].

Brocéliande

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Dans un contexte associant l'historiographie, le mystère qui entourait la mort d'Arthur de Bretagne[16], et l'étude de certains phénomènes naturels d'apparence merveilleuse, Guillaume le Breton (vers 1165-vers 1225[17]) citait la Brecelianensis monstrum admirabile fontis[18],[19],[20] dans son poème Philippides (une partie de la Gesta Philippi Augusti) édité dans l'Historiae Francorum en 1656[17]. L'éditeur en 1818 de ce texte dans son Recueil des historiens des Gaules et de la France[19] associait ce phénomène alternativement à une fontaine dans le Dauphiné ou un lac en Auvergne[21]. Le nom latin fut traduit en 1825 par Breceil dans une édition française des Philippides François Guizot[22]. L'interprétaion du Recueil fut rejetée en 1885 par H.-F. Delaborde : Brecelianensis [...] fontis était alors identifiée à « la fontaine de Barenton, située dans la forêt de Bocéliande, plus tard Brécilien, aujourd'hui forêt de Paimpont »[23], interprétaion reprise en 1896 par Arthur Le Moyne de La Borderie selon qui Brecelianensis [...] fontis était la fontaine de Brecelien, la fontaine de Barenton[24].

Chronologie approximative des variantes du nom de la forêt arthurienne
Nom de la forêt Auteur et œuvre Dates de vie de l'auteur (ou de la rédaction) Date de la première attestation connue du nom Manuscrits & sources Les plus anciennes éditions Contexte de l'apparition du nom
Brecheliant[25],[26] Wace, Roman de Rou vers 1100-après 1174 1160 (vers)[27],[28] XIIIe siècle (début)[27],[29] 1827[25],[30] (mauvaise édition[31]), 1877[26] 1066 : rassemblement des troupes de Guillaume le Conquérant, dont des Bretons, à Saint-Valéry[25],[26]
Bercéliande, Breceliande,[32] Brocheliande[33], Brocéliande[34],[35],[36] Chrétien de Troyes, Yvain ou le Chevalier au Lion XIIe siècle 1177-1181[37] (1164-1173[38]) XIIIe siècle[37] 1851[32],[39], 1912[35] (meilleur choix de variantes[40])
Bresilianda[41],[42],[43],[44], Broselianda[45] Bertand de Born, D'un sirventes nom cal far loignor ganda[44] et Gent part nostre reis liouranda[46] XIIe siècle 1183[47],[48] et 1196[43],[41],[45] XIIe siècle[49] Bresilianda synonyme de la Petite-Bretagne[41] ; 1183 : conflit entre Henri le Jeune, Geoffroi de Bretagne et leur frère Richard Cœur de Lion ; 1196 : expédition de Richard Cœur de Lion en Bretagne[41],[50]
Breziljân[51],[52], Brezzilian[53],[54] Hartmann von Aue, Iwein, der Ritter mit dem Löwen vers 1160-vers 1210 vers 1200[55] XIIIe siècle[55]
Brecilianda[56],[57],[58] Jaufré XIIe au XIIIe siècle[59] 1275-1325[60] XIVe siècle[58]
Brecelianensis [...] fontis[18],[19],[20] [Traductions : fontaine de Breceil, 1825[22], Brocéliande ou Bercéliande[20], Brecelien, 1885[20], 1896[24]] Guillaume Le Breton, "Gesta Philippi Augusti=. In : Historiae Francorum (Entre autres : ) vers 1165-vers 1225 1656[18],[61] Présentation du mystère de la fontaine comme parabole du mystère qui entoure le meurtre d'Arthur de Bretagne en 1203[62],[63].

Note de bas de page de l'éditeur de 1818 : « Intelligendus videtur auctor in Delphinatu fonte, de quo vulgata sunt mirabilia plura ; vel de celebri in Alvernia juxta urbem Besse lacu, cui si lapis injiciatur, talia portenta funt. » (« L'auteur semble être renseigné au sujet de la fontaine dans le Dauphiné, dont on a rapporté bien des choses merveilleuses ; ou encore du fameux lac d'Auvergne, près de la ville de Besse, dans lequel, si l'on jette une pierre, de tels présages se produisent. »[18],[19]

Note de bas de page des éditeurs (1885) : « Il ne s'agit pas ici ni de la Fontaine Ardente du Dauphiné, ni du lac Pavin en Auvergne, ainsi que le proposaient Barth et D. Brial, mais de la fontaine de Barenton, située dans la forêt de Bocéliande, plus tard Brécilien, aujourd'hui forêt de Paimpont et dont il est souvent fait mention dans la littérature du moyen âge. »[20]

Brecéliande, Berchéliande[64] et Berciliande[65] Huon de Méry, Le Tornoiement de l'Antéchrist XIIIe siècle XIIIe et XIVe siècles[66],[67] Manuscrits B et D, XIIIe et XIVe siècles[68],[69],[70] 1836[71]
Bersillant[72],[73],[74] XIVe siècle Seconde moitié du XIVe siècle[75] 1836
Brecelien[76], Béthelien, Brucellier[77], Bertelien[78],[79] Ponthus et Sidoine XIVe au XVe siècle 1387-1405[80] XVe siècle (2e moitié)[80]
Brecelien[81],[82] [Guy XIV de Laval], Usemens et Coustumes de la forest de Brecelien 1406-1482 1467[81],[82] 1634 ? (copie)[83]
Brecclien[84] Pierre Le Baud, Histoire de Bretagne 1458-1505 1401-1500[85] 1638

(P. Le Baud est alors au service de Guy XV de Laval[86],[87])

1144 (Éon de l'Étoile)
Bressélian[88],[89] Le demosterion de Roch Le Baillif edelphe medecin spagiric 1540-1589 1578 « Le Seigneur de la Rivière Baillyf a travaillé aux recherches de nostre Bretagne, pour le regard principalement des choses qui y sont peu cogneuës [...] comme aussi les beautez de la forest de Bresselian, appartenante au Seigneur Comte de Laual, ou se voit encore le Perron Merlin, l'ancien plaisir des chevaliers errans (que quelques ignorans ont voulu dire estre fables en tout, & histoires faictes à plaisr) & la fontaine de Balanton [...] »
Brécilien[90] Bertrand d'Argentré, L'Histoire de Bretaigne 1519-1590 1582 1148 (Éon de l’Étoile)
Bresrelien[91], Brecilien[92] Chronicon Brittannicum (Guy-Alexis Lobineau, Histoire de Bretagne) XVe siècle (cahier de notes prises par ou pour Pierre Le Baud d'après un manuscrit de l'église de Nantes)[93],[94],[95] 1707 1145 (Éon de l'Étoile)
Bresrelien[96], Bresilien[97] Chronicon Brittannicum (Pierre-Hyacinthe Morice, Memoires pour servir de preuves) XVe siècle (cahier de notes prises par ou pour Pierre Le Baud d'après un manuscrit de l'église de Nantes)[93],[94],[95],[98] 1742 1145 (Éon de l’Étoile)
Brecelin[99] Pierre-Hyacinthe Morice, Histoire ecclésiastique et civile de Bretagne. Tome 2 imprimé de 1651 ou 1652 1750-1756 Bornement du vicomté de Rohan et du comté de Porhoët (1651 ou 1652, à l'occasion du procès pour la préséance entre MM. les ducs de Rohan et de la Trémoille)[99],[100]
Brocéliane ou Brocéliand (= forêt de Lorge)[101] Edouard Richer "Les Souvenirs de l'Armorique (à M. Miorcec de Kerdanet)" 1823
fontaine de Breceil[22] La Philippide (poème par Guillaume le Breton, traduction française) 1825 Présentation du mystère de la fontaine en parallèle au mystère qui entoure le meurtre d'Arthur de Bretagne en 1203[62],[63]
Brecilien[102] M. F.-G.-P.-B. Manet, Histoire de la Petite-Bretagne 1834
Brekilien ou Brecilien[103] Aurélien de Courson, Histoire des peuples bretons dans la Gaule et dans les îles britanniques 1846 Conflit Francs/Bretons au VIe siècle
Brocélian, Brocéliande, Bréchéliant, Brécilien, Bréchilien[104] Louis-Ferdinand-Alfred Maury, Les forêts de la Gaule et de l'ancienne France 1867

Sources et Matériaux

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Attestations anciennes (IVe s. - 1656)]

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Abbé Bossard[105] :

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"Meu (Le), affl. de la Vilaine. Cis enim fluvium Modonem [Car tu traverses la rivière Modone], VIe s. (Boll. III, 146, vita sancti Meveni, 21 juin). – Vinea juxta aquam Modani [Un vignoble au bord de l'eau de Modani], 1213 ( I H 3, 12). – Rivière de Meue, 1412 (arch. de la L.I., B 2091). – Rivière de Moue, 1455 (ibid.). – Rivière de Moee, 1471 (F, fds de la Borderie, tit. de Montfort). – Le Moe, 1518 (arch. De la L. I., B 2091). – Le Meust, 1578 (ibid.) – Le Moeue, 1656."

"Meu (Le), f., cne de Cintré. – Ripvière de Meouée, 1423 (arch. de  la L.I., B 2315)."

J.-Y. Le Moing[106] :

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"le Meu (ru &[= forme ancienne]Modonem VI BO [= abbé Bossard] &Modani 1213 BO) : MONTFORT-sur-MEU (M [=Diocèse de Saint-Malo])"

Oresve, F.-L.-E. (recteur de l'Hermitage, Abbé), Histoire de Montfort et des environs, Montfort-sur-Meu, A. Aupetit, 1858, 303 p., p. 302–303., (Pièces justificatives)

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5470391r

p. 103, 106–107, 110, 122, 125
p. 299

Anno ab Incarnatione Domini MCLII, etc. sortita est initium ecclesia beati Jacobi di Montfort, [...]

p. 302–303

In burgo de Bretuil Guillelmus sacerdos dedit quamdam domum quam ego ipso illli dederam. In Gevreti Joannes fllius Truselli concedentibus fratribus dedit decimam feudo Espergat pro anima Rafredi fratris sui. In Irrodoir Gaufridus fllius Ulrici dedit terram Capellae. In Bedesco Dualenus fllius Blanchae, concedentibus flliis et fratre, concedit jus suum quod habebat in loco Sancti Jacobi. Corninellus dedit vineam juxtà aquam Modani. Hubertus dedit vineam, concedentibus filiis. In castro Monfortensi Daniel cognomine Brito dedit domos quas habebat de feodo Flohardi et cum his omnibus proprium filium obtulit Ecclesiae. In parrochiâ Collum Radulphus sacerdos de Paci dedit vineam.

Dotation de l’abbaye de Saint-Jacques

p. 103

« L’an de l’Incarnation du Seigneur 1152 l’église de Saint-Jacques de Montfort fut commencée ; […]

p. 110–111

Dans le bourg de Breteil, Guillaume, prêtre fit don d'une maison qu’il avait reçue de moi [Guillaume, seigneur de Montfort]. En Gevezé, Jean fils de Trussel, avec la concession de ses frères, a donné un dîme du fief d'Espergat pour l'âme de Rafred, son frère. En Irrodoir [Irodouer], Geoffroi, fils d’Ulric, a donné la terre de la chapelle. En Bedée Dualen, fils de Blanche, avec la concession de ses fils et de son frère, a abandonné le droit qu'il avait dans le lieu de Saint-Jacques. Corninelle a donné une vigne auprès de la rivière du Meu. Hubert a donné une vigne, avec l’agrément de ses fils. A Montfort, Daniel, surnommé Lebreton, a donné les maisons qu'il tenait du fief de Floard, et en sus il a offert son propre fils à l'Église. Dans la paroisse de Coulon, Raoul, prètre de Pacé a donné une vigne. […] »

p. 122

Après cette destruction de Montfort [de 1198], Guillaume fit sa résidence au château de Boutavent, en Iffendic. Là, il […] confirma également toutes les donations qui avaient été faites à l’abbaye de Saint-Jacques. Voici les actes traduits en latin :

« […] Qu’il soit à la connaissance de tous que nous avons ratifié et confirmé toutes les donations qui ont été faites à l’abbaye de Saint-Jacques […]

Cette ratification a été faite par moi, dans le palais de Boutavent, l’an de grâce 1213. »

Observations :

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Auffray, Dictionnaire du Gallo[107] : La terre ét moule [est molle], p. 371; mouere grande mare, p. 372

Au sujet de Modonem

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Arthur Le Moyne de La Borderie, Histoire de Bretagne. 1 , J. Plihon et L. Hommay (Rennes), 1898-1914, III + 592 p., Lire en ligne , p. 424 : Lorsque Mewen repassa ensuite chez Caduon, celui-ci redoubla d’efforts pour Ie retenir :

— Allons, homme de Dieu, promène-toi dans ce domaine, fais-en le tour, tu verras comme il est grand et de bonne qualité ; il s’étend des deux côtés du Meu ; des deux côtés il sera à toi ; […] (3)

(3) « Perambula et gyra circa istam terram, famule Dei. Cis enim fluvium Modonem et ultra cam posside. Terrula quam tibi do Transfossa nominatur.» (S. Mevenni § 7, Analecta Bollandiana III, p. 146)

p. 425 : Caduon habitait immédiatement les bords du Meu (1), le domaine donné à Mewen était traversé par cette rivière. Or le Meu coule à 5 kilomètres de l’abbaye et de la ville actuelle de Saint-Meen : ce n’est donc pas là qu’habitait Caduon ni que pouvait se trouver la terre de Tréfoss où Mewen bâtit son lann. Le territoire de Gaël répond au contraire très bien a la situation décrite dans la Vie de saint Méen ; aussi la tradition donne-t-elle le nom de Saint-Jean de Gaël au monastère primitif du saint (2). S’il n occupait pas le lieu même du bourg actuel de Gaël (ce que l’on ne peut affirmer) il était quelque part font près du Meu sur le sol de cette paroisse.

(1) « Caduonus usque ad Modonem fluvium quotidie deambulabat. » (Vit. S. Meven. § 6, dans Anal. Bolland. III, p . 186)

Anonymous, Vita S. Mevenni / Life of St Mewan, BHL 59441, (publié par Roger Pearse)

Lire en ligne

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p. 2

St Mewan (Latin: S. Mevennus, French: Saint Méen) is a saint honoured in Wales, Cornwall and Brittany, who seems to have lived in the early 6" century. His biography is transmitted to us in a hagiographical “Life”, listed in the Bibliotheca Hagiographica Latina as BHL 5944. This seems to be one of a cycle of “Lives”, written in the 10-11th century. p. 15 6. […] Hujus igitur amoris igne succensus praedictus Gaduonus, usque ad Modonem fluvium quotidie deambulabat, ut Deum hospitem mereretur accipere. p. 16 7. Cis enim fluvium Modonem et ultra eam posside, jureque perpetuo tene; et ut certius donationem agnoscas, terrula quam tibi do Transfosa nominatur

Analecta Bollandiana liste :

Fr. Plaine, Vita S. Mevenni abbatis et confessoris in Britannia Armoricana (520?-638) ab anonymo fere suppari conscripta -

Bu Rennes 2

Vie de Saint Méen = Buhez Mewen : d'après le manuscrit BN Lat 9889, Obituaire de Saint-Méen = hervez dronskrid BN Lat 9889, Obider Sant-Mewen

Lesneven : Hor Yezh . 1999

Bu Rennes 2

Du VIe s. ? Lire en ligne « Malheureusement il est un peu court, et la date de rédaction reste incertaine. »
Duine F. Bio-bibliographie de saint Méen. In: Annales de Bretagne. Tome 19, numéro 2, 1903. pp. 214-240. DOI A. Molinier. Les sources de l’Hist. de France, t. I, Paris, Picard, 1901. P. 131, n° 392. — [...] Ce savant attache fort peu de valeur au texte édité par Dom Plaine. C'est, dit-il, une « vie fabuleuse. »
CHEDEVILLE, André, GUILLOTEL, Hubert, La Bretagne des saints et des rois. Ve‑Xe siècle, Rennes, Ouest France Université, 1984, 409 p., p. 17, 135 « une Vita Meveni à laquelle on attribue parfois une plus grande ancienneté [que le XIe siècle] »

« Saint Méen ou Méven nous est connu par la Vita que rédigea le moine Ingomar, sans doute lui aussi lors de la restauration de son abbaye à partir de 1024, encore qu'on la date parfois du VIIIe siècle. Comme l'a montré F. Duine, Ingomar bâtit son récit autour de trois noms célèbres : Samson, Waroc et Judicaël. Vers 570, Samson envoie son disciple Méen vers Waroc qui se taillait alors une principauté dans le Vannetais. En cours de route, il reçoit d'un chef local nommé Caduon ou Cadvan de quoi fonder le monastère de Gaël puis celui qui porta son nom mais qui n'était alors qu'une dépendance du précédent. L'établissement connaît un lustre supplémentaire quand le roi de Domnonée Judicaël, qui aurait été non seulement un ami, mais un parent de saint Méen, vient résider à proximité du monastère avant de s'y retirer pour y finir ses jours en odeur de sainteté vers 637. Mrs Chadwick a vu en saint Méen « l'un des saints bretons les plus authentiques » ; mieux vaut reconnaître que l'on ne sait pas grand-chose de lui."

Alfred Holder, Altceltischer Sprachschatz, B. G. Teubner (Leipzig), 1896-1913, 2023 col. Lire en ligne, col. 605. Mod-o(n[eutrum]) fl[luss = fleuve/rivière]., j[etzt = de nos jours]. le Meu, dep. Ille-et-Vilaine. Vita s. Mevenni 6 Anal. Boll. 3, 146: Usque ad Modonem fluvium. 7 p. 146: Fluvium Modonem.
Edouard Le Héricher, Normandie scandinave, ou Glossaire des éléments scandinaves du patois normand, H. Tribouillard (Avranches), 1861, 117 p., Lire en ligne, p. 93


Charles Du Fresne Du Cange, Glossarium mediae et infimae latinitatis. Tome 4 , exc. F. Didot fratres (Parisiis), 1840-1850 Lire en ligne

MIOLLE , MIOLETTE , s. f. hydromel , qu'ou boit encore aux marches bret . c'est le Miod du Nord , en l. Modonem : on voit encore à Paris l'écriteau : Bon miod du Nord. En a. Mead , hydromel : de là l'a. The meathe, la boisson. Toutefois les Bretons appellent aussi l'hydromel [...] V. Fabricius , Mem. des Antiq. de N. : « si quis attulerit siceram, modonem , vel moratum (vin de mûres) » (Consuetudo Cadomi ). En N. les Contributions indir . font figurer sur leurs regristres ; Cidres poirés, hydromels .



Confusion avec Medonem ?

MEDO, MEDA, Aqua mulsa, et melicraton, Medicis, et hydrameli, potio melle mixta, et dicitur a mel, quasi melo, inquit Jo. de Janua. [...] Monasticum Anglic. tom. 1. pag. 26. Duas amphoras de mellito potu ,quem Medonem vocant. [...] Petrus de Dusburg in Chron. Prussiae cap. 5 : Pro potu habent simplicem aquam, et mellieratum seu Medonem. [...] Hist. Britan. pag. 80 : Tristabatur tamen admodum, quod in adventu tantorum virorum vinum non habebat, quanquam Medonem et cervisiam abundantissime haberet.]

Le Mein : Christophe-Paul de Robien[108] (1ère moitié du XVIII s.)

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Dans la première moitié du XVIIIe siècle, Christophe-Paul de Robien présente le Meu dans le Chapitre V - Des fleuves et rivières de sa Description historique, topographique et naturelle de la Bretagne :

"[le] Mein, autre petite rivière, mais moins grosse [que l’Ille], qui prend la source près Broons, s’unit aux eaux de l’étang de Montfort et se mêle à la Vilainne au-dessous de Rennes près du pont-réan".

(Le) Mu(h)el, M(é)en, Le Meu: Dictionnaires d'Ogée (fin XVIIIe s.) et d'Ogée/Marteville/Varin (milieu XIXe s.)

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Cartes Paroisses

(Dictionnaire d'Ogée, 1778-1780)

Nom du Meu

(Dictionnaire d'Ogée,

1778-1780)

Communes

(Dictionnaire d'Ogée/Marteville/Varin, 1843-1853)

Nom du Meu

(Dictionnaire d'Ogée/Marteville/Varin, 1843-1853)

Cadastre dit "napoléonien" Nom actuel de la commune
Saint-V(é)ran[109] Saint-V(é)ran "La commune de Saint-Veran forme l’un des points culminants de la montagne dite le Mené, et peut être considérée comme le point de partage des eaux de la Bretagne. [...] Du même point [du Bas-Breil] sort un autre ruisseau qui traverse les étangs de la Hardouinais et du Liscouel , pour se jeter dans le Meu, [...]." [110] Rivière de Mur (1810), Rivière de Meu ou de Mur (1845)[111] Saint-Vran Côtes-d'Armor
Merdrignac[112] Merdrignac[110] Meux (1810), Meu 1845)[111] Merdrignac Côtes-d'Armor
Saint-Launeuc[109] Saint-Launeuc[110] Meux (1823)[111] Saint-Launeuc Côtes-d'Armor
Trémorel[109] Trémorel[110] Meux (1811)[111] Trémorel Côtes-d'Armor
Le Locouet (trève de Témorel)[113],[114] (Le) Loscoet[115] Meu (1810), Meu (1845)[111] Loscouët-sur-Meu

(1880)

Côtes-d'Armor
Ogée 1771 (Muel) - Ogée 1771 (Muel &

Men)

Gaël[112] "rivière du Muhel" Gaël[115] "rivière de Muel" Meu ([1837])[116] Gaël Ille-et-Vilaine
Muhel (trève de Gaël[112]) Muel[110] "la rivière le Meu" le Meu (1836)[116] Muel Ille-et-Vilaine
Bléruais (graphie erronnée : Saint-Blervais), trève d'ffendic[112],[115] Bléruais[115] "le Meu" le Meu (1835)[116] Bléruais Ille-et-Vilaine
Saint-Maugan[109] "rivière Muel" Saint-Maugan[110] "rivière du Men" le Meu (1835)[116] Saint-Maugan Ille-et-Vilaine
Saint-Gonlai[109] "rivière de Muel" Saint-Gonlai/Saint-Gonlay[110] "rivière de Muel" le Meu[116] (1842) Saint-Gonlay Ille-et-Vilaine
Iffendic[112] "rivière Muel" Iffendic[115] "rivière du Muel" Meu (1810), Meu (1845)[116] Iffendic Ille-et-Vilaine
Montfort[112] "rivière de Méen" Montfort[110] "rivière de Méen" Montfort-sur-Meu

(1801)

Ille-et-Vilaine
Talensac[109] "rivière de Men" Talensac[110] "la rivière de Men [Meu]" (en italique entre crochets : ajout par Marteville/Varin) Le Meu (1846)[116] Talensac Ille-et-Vilaine
Cintré[117] "rivières de Men & de Flusel" Cintré[115] "rivières de Meu et de Flusel [de Flume]" (en italique entre crochets : ajout par Marteville/Varin) Meu (1829)[116] Cintré Ille-et-Vilaine
Mordelles[112] "rivière de Men" Mordelles[110] "rivière de Meu" Le Meu (1829)[116] Mordelles Ille-et-Vilaine
Bréal[117] "rivière de Men ou de Flusel" Bréal[110] "rivière de Men [Meu] ou de Flusel" (en italique entre crochets : ajout par Marteville/Varin) Meu (1824)[116] Bréal-sous-Montfort Ille-et-Vilaine
Chavaigne[117] "[rivière] de Men" Chavaigne [Chavagne] (en italique entre crochets : ajout par Marteville/Varin) "[rivière] de Meu" Meu (1824)[116] Chavagne Ille-et-Vilaine
Goven[112] Goven[115] "entre la rivière de Vilaine et l'entrée du Meu dans celle-ci" Le Meu (1832)[116] Goven Ille-et-Vilaine

Jean Maillet (2022)[118]

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"Le vieux-breton *mon, à rapprocher du gallois mawn "marécage", a donné Meun qui entre en composition dans plusieurs noms de villages bretons comme Kermeun et Tromun dans les côtes d'Armor. Ce mot non attesté en breton moderne, peut être à l'origine du nom de la rivière Meu avec apocope (chute) du son [n]. Le Meu aurait alors été identifié comme une rivière au lit marécageux, ce qui se vérifie dans la traversée des étangs de la Hardounais, à quelques kilomètres de la source."

Observations :

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  • L'auteur ne cite (connaît ?) pas les formes anciennes. Modonem étant attesté pour le VIe s. correspond alors à la période de l'immigration bretonne (Ve/VIe s.). Le vieux-breton appartient à la période entre l'immigration bretonne (Ve-VIe s.) et le Xe s.
  • D'après (FANTOIR et IGN-Géoportail, Les lieux-dits Kermeun à Nevez et Tromun à Plouyé sont dans le Finistère, respectivement près de la rive ouest de l'Aven et près de la rive ouest de l'Aune.Kermeun correspond peut-être au sens du toponyme se trouvant en basse altitude et entouré de ruisseaux. Tromun à 200 m de l'Aune, est 25 m au-dessus du ce cours d'eau.
  • DEVRI : mon .1 = excréments, selles (1732), Dictionnaire Le Gonidec[119] : excrément, merde
  • Dictionnaire Le Gonidec[119] : Marécage : Geùn (une seule syllabe), p. 332 ou Lagen attesté au XIe s., p. 403 ou gwern (Aulnais ou marais), p. 363
  • L'allure de la page Wikipedia de Jean Maillet paraît peu conforme aux règles que s'est imposé Wikipedia.
  • Récension, lire en ligne.

Flusel/Flume

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Aurélien de Courson[120] :

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"puis, descendant vers Hédé, elle venait rejoindre le Flusel, un affluent du Meu » p. 125–126 [rectifié, p. 397] - « De même que l'archidiaconé de Rennes, celui du Désert avait des cours d'eau pour limites de plusieurs côtés : d'une part, la  [sic!] Meu, avec son affluent le Flusel » p. 129

Abbé Bossard[121] :

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Flume (la), rivière, affl. du Meu. - Rivière de Fleume, 1410 (arch. de la L.I., B 1541). - La Flume prend sa source à Saint-Gondran, passe à Pacé, Vezin, l'Hermitage, le Rheu, et se jette dans la Vilaine au dessus d'Apigné. Cours de 23 km.

Flumel (Le), ruiss., affl. de la Flume, coule en Pacé (= ruisseau de Champalaune ?].

Fluxel (Le) [= ? la Vaunoise], ruiss., source en Pleumeleuc [Bédée/Romillé, l'étang de la Perronaye, passe par Pleumeleuc], arrose Saint-Gilles, se jette dans le Meu en Cintré [? à Mordelles].

Paul Banéat

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Le département d'Ille-et-Vilaine. Histoire - Archéologie - Monuments? Tome I, Rennes, Larcher, 1927/1994, p. 418 (Cintré) : Flumel, le manoir du Plessis-Cintré est sur sa rive gauche [IGN-Géoportail : le LD le Plessis sur la rive gauche de la Vaunoise]

A. Dauzat, G. Deslandes, Ch. Rostaing,

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Dictionnaire étymologique des noms de rivières et de montagnes en France, Klincksieck, réservent Flume à des rivières en Corse. Le Meu n'est pas traité.

Dauzat, Nègre...

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L'hydronyme le Meu n'est pas traité par

  • Albert Dauzat, Les Noms de lieux. Origine et évolution. Villes et villages - Pays - Cours d'eau - Montagnes - Lieux-dits, Paris, Delagrave, 1926 ;
  • Albert Dauzat, Gaston Deslandes, Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de rivières et de montagnes en France, Klincksieck ;
  • Ernest Nègre, Les noms de lieux en France, Paris, Colin, 1963, malgré plusieurs chapitres sur l'hydronomie classés par langue.

Lieux-dits (le) Meu

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FANTOIR (F) et IGN-Géoportail (G)

  • Cintré: Meu (F), Clos de Meu (F, G), Le Villemeu (F)
  • Châtillon-sur-Seiche : Le Meu (F)
  • Portes du Coglais : Le Meu Barrée (F)
  • Val d’Anast : Tremeu (F), Treheu (G)
  • Loscouët-sur-Meu : Meu, près du bord du Meu (F, G)

Notes et références

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  21. « « Intelligendus videtur auctor in Delphinatu fonte, de quo vulgata sunt mirabilia plura ; vel de celebri in Alvernia juxta urbem Besse lacu, cui si lapis injiciatur, talia portenta funt. » [« L'auteur semble être renseigné au sujet de la fontaine dans le Dauphiné, dont on a rapporté bien des choses merveilleuses ; ou encore du fameux lac d'Auvergne, près de la ville de Besse, dans lequel, si l'on jette une pierre, de tels présages se produisent. »] »

    Michel-Jean-Joseph Brial, Recueil des historiens des Gaules et de la France. Tome dix-septième. Contenant la première livraison des monumens des Règnes de Philippe-Auguste et de Louis VIII, depuis l'an MCLXXX jusqu'en MCCXXVI. Tome dix-septième, Paris, Imprimerie royale, 1818 (lire en ligne), p. 193

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  79. Ponthus et la belle Sydonie, Lyon, Gaspard Ortuin, [vers 1488-1490] (lire en ligne), fol. d1r - Image 47 of 156
  80. a et b Marie-Claude de Crécy (dir.), Le roman de Ponthus et Sidoine. Édition critique, Genève, Droz, , CLVII-458 p. (ISBN 9782600001953, lire en ligne  ), p. VII, CI, CIII
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  83. Aimé Marie Rodolphe Baron du Taya, Brocéliande, ses chevaliers et quelques légendes. Opuscules bretons III, s.l., Vatar, , III-359 p. (lire en ligne), p. 172
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    « Et en celuy an [1144] selon lesdits Annaux, furent brulees plusieurs maisons d’Ermites en Brecclien, & d’autres forests »

  85. Pierre Le Baud, "Compillation des Cronicques et ystores des Bretons, partie en III livretz," par Pierre LE BAUT, secrétaire de Jean, sire de Derval, 1401-1500, manuscrit, 395 feuillets à 2 colonnes (lire en ligne)
  86. Karine Abelard, Édition scientifique des Chroniques des rois, ducs et princes de Bretagne de Pierre Le Baud, d’après le manuscrit 941 conservé à la Bibliothèque municipale d’Angers, Angers, Université d’Angers, , 736 p. (lire en ligne [PDF]), p. 6
  87. "Introduction." In: Auguste Molinier, Les Sources de l'histoire de France - Des origines aux guerres d'Italie (1494). II. Époque féodale, les Capétiens jusqu'en 1180, Paris, A. Picard et fils, 1902 (lire en ligne) p. 66
  88. Félix Bellamy, La forêt de Bréchéliant : la fontaine de Bérenton, quelques lieux d'alentour, les principaux personnages qui s'y rapportent : tome premier, Rennes, J. Plihon & L. Hervé, 1896, 772 p. (lire en ligne), p. 3 (notes 4. Roch Le Baillif, 1578) [= Roch Le Baillif, Le demosterion de Roch Le Baillif edelphe medecin spagiric, Rennes, Pierre le Bret marchant libraire, 1578 (lire en ligne)]
  89. Roch Le Baillif de La Rivière, Le demosterion de Roch Le Baillif edelphe medecin spagiric . Auquel sont contenuz trois cens aphorismes latins & françois. Sommaire veritable de la medecine paracelsique, extraicte de luy en la plus part, par ledict Baillif. Le sommaire duquel se trouvera au fueillet suyvant, A Rennes, pour Pierre le Bret marchant libraire, demeurant audict lieu pres la porte S. Michel, 1578, [16]-190 p., Partie : "Au lecteur, I.D.C.I.", 2e page
  90. Bertrand d'Argentré, L'Histoire de Bretaigne, des rois, ducs, comtes et princes d'icelle : l'establissement du royaume, mutation de ce titre en duché, continué jusques au temps de Madame Anne dernière duchesse, & depuis Royne de France, par le mariage de laquelle passa le duché en la maison de France. Mise, Paris, chez Jacques Du Puys, à la Samaritaine, , [38]-1174 p. (lire en ligne), p. 240, 241
  91. Guy-Alexis Lobineau, Histoire de Bretagne, composée sur les titres & les auteurs originaux,. Tome II, Paris, la veuve François Muguet, , LXXII p.-1828 col. (lire en ligne), col. 33 (vue 67) :

    « MCXLV […] Cometa visa, hyems tepida et arbores fuerunt steriles […] cremantur, quibusdam inhabitantium gladio et fame peremptis, et aliae multae heremitarum mansiones in Bresrelien et aliis forestis a quodam haeretico ipsas forestas cum multis sequacibus habitante quem […] tantum sequebantur. Qui inter caeteras haeres Deum se faciebat, in cujus etiam fidei, immo haeresis perseverantia multi per diversas provincias in Aletensi Episcupatu diversa usque ad mortem pertulere supplicia. Eudo erat nomine, de pago Lodiacense ortus. »

  92. Guy-Alexis Lobineau, Histoire de Bretagne, composée sur les titres & les auteurs originaux,. Tome II, Paris, la veuve François Muguet, 1707, LXXII p.-1828 col. (lire en ligne), col. 1666 (vue 883)
  93. a et b Arthur de la Borderie, « Examen chronologique des chartes du cartulaire de Redon antérieures au XIe siècle », Bibliothèque de l'École des Chartes, 5e série, vol. 5,‎ , p. 403 (lire en ligne)
  94. a et b Armelle Le Huërou, « De quand date la Vita S. Meuenni (BHL5944) ? », Britannia Monastica « Mélanges offert au professeur Bernard Merdrignac », no 17,‎ , article no halshs-01343276 (lire en ligne [PDF])
  95. a et b "1258. Chronicon Britannicum". In: Molinier Auguste, Les Sources de l'histoire de France - Des origines aux guerres d'Italie (1494). II. Époque féodale, les Capétiens jusqu'en 1180. Paris : A. Picard et fils, 1902, (lire en ligne) p. 67
  96. Pierre-Hyacinthe Morice (Dom), Memoires pour servir de preuves a l'histoire ecclesiastique et civile de Bretagne. Tome 1, Paris, Charles Osmont, rue S. Jacques, à l'Olivier., 1742-1746, 1708 p. (lire en ligne), p. 5 :

    « MCXLV […] Cometa visa, hyems tepida et arbores fuerunt steriles […] cremantur, quibusdam inhabitantium gladio et fame peremptis, et aliae multae heremitarum mansiones in Bresrelien et aliis forestis a quodam haeretico ipsas forestas cum multis sequacibus habitante quem […] tantum sequebantur. Qui inter caeteras haeres Deum se faciebat, in cujus etiam fidei, immo haeresis perseverantia multi per diversas provincias in Aletensi Episcupatu diversa usque ad mortem pertulere supplicia. Eudo erat nomine, de pago Lodiacense ortus. »

  97. Pierre-Hyacinthe Morice (Dom), Memoires pour servir de preuves a l'histoire ecclesiastique et civile de Bretagne. Tome 1, Paris, Charles Osmont, rue S. Jacques, à l'Olivier, 1742-1746, 1708 p. (lire en ligne), p. 1685
  98. "3121. Chronicon Britannicum alterum (593-1463), dans Dom H. M. Morice, Mémoires pour servir de preuves à l'histoire ecclésiastique et civile de Bretagne, I, 101-118". In: Auguste Molinier, Les Sources de l'histoire de France - Des origines aux guerres d'Italie (1494). IV. Les Valois, 1328-1461, Paris, A. Picard et fils, 1904. (lire en ligne), p. 30
  99. a et b Dom Pierre-Hyacinthe Morice, Histoire ecclésiastique et civile de Bretagne. Tome 2, A Paris, de l'imprimerie de Delaguette, rue S. Jacques, à l'Olivier, 1750-1756, XVI-483-CCCLXXX p., [8] p. de pl. (dont portraits) (lire en ligne), p. CLX, CLXXX (article CCXLVII)
  100. « 6ème partie du fascicule "Survol de l'histoire des protestants en Bretagne Centrale" : Le prêche de l'Hermitage Histoire et Protestants en Centre-Bretagne », sur Histoire et Protestants en Centre-Bretagne, (consulté le ) : « Ce dernier fut appelé à plusieurs reprises à présider les États de Bretagne (en 1651, et en 1657 notamment, quand la dispute entre les deux prétendants à ce rôle, le duc de La Trémoille, baron de Vitré et le duc de Rohan-Chabaud, prince de Léon, était devenue ingérable ! ou quand le duc de La Trémoille, son beau-frère était empêché). »
  101. Edouard Richer, « Les Souvenirs de l'Armorique (à M. Miorcec de Kerdanet) », Le Lycée armoricain, vol. 1,‎ , p. 17
  102. M. F.-G.-P.-B. Manet, Histoire de la Petite-Bretagne, ou Bretagne-Armorique, depuis ses premiers habitans connus‎ : tome premier : l'Armorique sous les Gaulois et sous les Romains, Saint-Malo, E. Caruel - Reproduction numérique, , VIII-456 pages (lire en ligne), p. 203
  103. Aurélien de Courson, Histoire des peuples bretons dans la Gaule et dans les îles britanniques. Tome Premier, Paris, Furet et Cie & Ernest Bourdon, , XII-450 p. (lire en ligne), p. 245 (Vue 267)
  104. Louis-Ferdinand-Alfred Maury, Les forêts de la Gaule et de l'ancienne France : aperçu sur leur histoire, leur topographie et la législation qui les a régies, suivi d'un tableau alphabétique des forêts et des bois principaux de l'Empire français, Paris, Ladrange, , 501 p. (lire en ligne), p. 331
  105. Pierre Bossard (abbé), Dictionnaire topographique du département d'Ille-et-Vilaine, [Rennes], Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, s.d. (avant 1930), 4 vol. (2135 colonnes et p. 980-1065), Tome II, colonne 240
    L'auteur a déposé son travail inachevé avant son décès en 1930 aux Arch. Dép. d'Ille-et-Vilaine. Son manuscrit a été retranscrit par un archiviste en 1945.
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  106. Jean-Yves Le Moign, Les noms de lieux bretons en Haute-Bretagne, Spezed, Coop Breizh, , 480 p., p. 372
  107. Régis Auffray, Le Petit Matao. Dictionnaire Gallo-Français, Français-Gallo. Motier Galo-Françaez-Françaez-Galo, Rennes, Rue des Scribes, , 1000 p. (ISBN 2-906064-64-5), p. 371–372
  108. Christophe-Paul de Robien, Description historique, topographique et naturelle de la Bretagne, enrichie de plans, cartes et dessins, 3ème partie, 1e moitié du 18e siècle, Lire en ligne, P. 25 (planche 39).
  109. a b c d e et f Jean Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, Tome 4e , Nantes, Vatar, 1780, 528 p., Lire en ligne, p. 233, (Saint-Gonlai), 256 (Saint-Launeuc), 336 (Saint-Maugan), 395, (Saint-Veran), 422 (Talensac), 460 (Trémorel).
  110. a b c d e f g h i j et k Jean Ogée, Alphonse Marteville et Pierre Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne dédié à la nation bretonne. Tome II, Rennes, Moliex, , 986 p. (lire en ligne), p. 28–29 (Merdrignac), 48 (Montfort), 57 (Mordelles), 80 (Muel), 103 (Bréal), 758 (Saint-Gonlay), 775 (Saint-Launeuc), 837 (Saint-Maugan), 880 (Saint-Vran), 904 (Talensac), 934 (Trémorel)
  111. a b c d et e Archives départementales des Côtes d'Armor, Cadastre ancien, lire en ligne, TA = Tableau d'assemblage; Sn = Section. Le Loscouët-sur-Meu (1810 : Sn D, 1845 : TA & Sn C2), Merdrignac (1810 : TA, 1845 : TA), Saint-Launeuc (1823 : TA1 & TA2), Saint-Vran (1810 : Sn D, 1845 : TA ; 1845 : TA & Sn D3), Trémorel (1811 : TA & Sn A).
  112. a b c d e f g et h Jean Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, Tome 2nd, Nantes, Vatar, 1779, 552 p., Lire en ligne, p. 131–132 (Gaël), 142–143 (Goven), 209 (Iffendic), 494–495 (Merdrignac), 518 (Montfort), 527 (Mordelles), 132 et Table alphabétique (Muhel).
  113. Amedée Guillotin de Corson, Pouillé historique de l'archevêché de Rennes. [Volume 1], Rennes, Fougeray, 1880-1886, 803 p., Lire en ligne, p.711.
  114. Église catholique. Diocèse (Saint-Brieuc), Le diocèse de Saint-Brieuc pendant la période révolutionnaire : notes et documents. Tome II, Saint-Brieuc, R. Prud'homme, 1884-1899, 456 p. (lire en ligne), p. 63
  115. a b c d e f et g Jean Ogée, Alphonse Marteville et Pierre Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, dédié à la nation bretonne. Tome I, Rennes, Molliex, , 534 p. (lire en ligne), p. 91 (Bléruais), 181 (Cintré), 300 (Gaël), 311 (Goven), 356 (Iffendic), 486 (Loscoet), 527 (Le Loscoet)
  116. a b c d e f g h i j k et l Archives départementales d'Ille-et-Vilaine (par : Menu - Archives en ligne), Cadastre Napoléonien, lire en ligne. TA = Tableau d'assemblage, Sn = Section. Bléruais (1835 : TA), Bréal-sous-Montfort (1824 : TA), Chavagne (1824 : TA), Cintré (1829 : TA), Gaël ([1837 ou avant] : TA & Sn C1, K1), Goven (1832 : TA), Iffendic (1810 : Sn D3, E3,4, F1,2, G1,2, T1,2,3, U1, 1845 : TA), Mordelles (1829 : TA), Muel (1836 : TA), Saint-Gonlay (1842 : TA), Saint-Maugan (1835 : TA), Talensac (1846 : TA).
  117. a b et c Jean Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, Tome 1er, Nantes, Vatar, 1778, CCLXX + 252 p., Lire en ligne, p. 102 (Bréal), 206 (Chavaigne), 211 (Cintré).
  118. Jean Maillet, Dictionnaire étymologique des hydronymes et toponymes nautiques. Histoires d’eaux, fleuves, rivières, lacs, caps, baies et îles de la France, Paris, Honoré Champion, , 669 p. (ISBN 2380960402), p. 431–432
  119. a et b Jean François Marie Maurice Agathe Le Gonidec, Dictionnaire breton-français de Le Gonidec : précédé de sa grammaire bretonne, Saint-Brieuc, L. Prud'homme, , XII-594 p. (lire en ligne), p. 450
  120. Aurélien de Courson, La Bretagne du Ve au XIIe siècle, Paris, Impr. impériale, , 404 p., p. 126, 129, 397 (Additions et corrections)
    p. 125–126 : "puis, descendant vers Hédé, [la limite du diocèse de Rennes] venait rejoindre le Flusel, un affluent du Meu"  ; p. 397 rectification de la p. 125–126 : "Flusel, un affluent du" est barré - p. 129 : "De même que l'archidiaconé de Rennes, celui du Désert avait des cours d'eau pour limites de plusieurs côtés : d'une part, la [sic !] Meu, avec son affluent le Flusel"
  121. Pierre Bossard (abbé), Dictionnaire topographique du département d'Ille-et-Vilaine, [Rennes], Archives départementales d'Ille-et-Vilaine (Photocopie d'un manuscrit non publié), s.d., 4 vol. (2135 col et p. 980-1065), Tome II, colonne 719–720