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{{Infobox Communes de France
| nomcommune = Esclanèdes | image = | image-desc = | armoiries = | armoiries-desc = | armoiries-taille = | logo = | logo-desc = | logo-taille = | région = Languedoc-Roussillon | département = Lozère | arrondissement = Mende | canton = Chanac | insee = 48056 | cp = 48230 | maire = Bernard Pinot | mandat = 2001-2008 | intercomm = Communauté de communes du Pays de Chanac | longitude = 3.3622 | latitude = 44.4825 | alt mini = 627 | alt maxi = 1001 | km² = 12.51 | sans = 250 | date-sans = 1999 | aire-urbaine = | date-aire-urbaine = | nomhab = | siteweb = | géoloc-département =
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Esclanèdes est une commune française, située dans le département de la Lozère et la région Languedoc-Roussillon. Ses habitants sont appelés les Esclanédiens.
Géographie
modifierLa commune d'Esclanèdes se situe à cheval sur la vallée du Lot et le Causse de Sauveterre.
Le principal village de la commune est Le Bruel. Il se situe sur la rive nord-ouest du Lot, tout comme le village de la Rocherousse et la ferme de Marance, tous deux un peu plus haut sur le versant sud de la vallée. De l'autre côté de la rivière se trouvent la ferme du Mazet et le village d'Esclanèdes qui donne son nom à la commune. Enfin, le hameau des Crottes se situe sur le plateau que constitue le Causse.
Histoire
modifierAdministration
modifierDémographie
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Monuments et lieux touristiques
modifierLe pont d'Esclanèdes
modifierCe pont relie le village d'Esclanèdes à la nationale 88.
L'église Saint-Hyppolyte
modifierL'église se situe dans le village d'Esclanèdes et dépend de la communauté de paroisses de Chanac. On y accède par une allée traversant le cimetière qui l'entoure.
Vraisemblablement construite au cours du XIIIe siècle, l’église Saint-Hippolyte fut rattachée à la mense épiscopale de Mende en 1315. Après son incendie par les Huguenots en 1562, elle fut reconstruite en 1630. La sacristie fut ajoutée en 1721, suivie du presbytère et du clocher au XIXe siècle[1].
Le curé Fages initia la restauration de l’église par des maçons locaux et des volontaires en 1971[2]. Une nouvelle rénovation du bâtiment, concernant les façades, la toiture et les installations électriques et de chauffage, s'est achevée en 2007 par la restauration des vitraux.
Transports
modifierVoir aussi
modifierNotes et références
modifier- Base de donnée Mérimée du ministère de la culture
- Félix Buffière - « Ce tant rude » Gévaudan - Tome I - p.549