Utilisateur:Alxmed117/Brouillon
BROUILLONS
El Jadida (Tunisie)
modifierEl Jadida est un village tunisien, rattaché à la délégation de Bou Argoub, dans le gouvernorat de Nabeul.
Géographie
modifierLocalisation
modifierLe village se trouve entre Belli au nord et Bou Argoub au sud. L'A1 borde le village à l'est.
Relief et géologie
modifierIl se se situe dans la plaine de Grombalia au pied de Djebel El Nahla qui se trouve à l'ouest.
Hydrologie
modifierLe village se situe à quelque centaines de mètre au sud de l'oued Tébournouk.
Voies de communication et transport
modifierEl Jadida se situe légèrement à l'écart de la RN1.
Étymologie
modifierEl Jadida signifie la Neuve en arabe.
Histoire
modifierPériode antique
modifierLe site pourrait être celui d'Ad Mercurium mentionné dans la table de Peutinger d'après plusieurs historiens[1][2]. Ad Mercurium était une station sur la voie de Carthage à Théveste et accueillait un temple dédié à Mercure[3]. Sa localisation exacte fait toujours débat.
REFERENCES à consulter en bibli : [4][5]
Période médiévale
modifierLe site occupe l'emplacement de la cité médiévale de Menzel Bachou d'après plusieurs historiens[6]. REFERENCES à consulter: [7]
Période moderne
modifierA l'instar des localités voisines de Turki, Belli ou Nianou, El Jadida voit le jour avec l'arrivée des morisques au XVIIème siècle, sous l'impulsion d'Othman Dey. Elle est mentionnée pour la première fois par Ibn Abi Dinar qui la décrit comme particulièrement riche et urbanisée.
REFERENCES à consulter : Ibn Abi Dinar, Al-Muʾnis fī Akhbār Afrīqiyah wa-Tūnis, Tunis,1350 H.
Période contemporaine
modifierLe village, connu aussi sous le nom Bled Jedida ou Beled Djedeida, a perdu de son opulence passée. [8] Il s'est subitement dépeuplé vers la fin du XVIIIe siècle[3][8].
Beaucoup de ruines antiques et modernes, dont une tour et des restes de colonnes, sont signalées dès la première moitié du XIXe siècle dans divers témoignages et cartes[1][9]. De plus, le village a complètement perdu sa mosquée lors des bombardements de la deuxième guerre mondiale[2].
De nos jours, c'est une bourgade qui concentre une vingtaine de maisons autour du mausolée de Sidi Hajj Slimane[6].
Patrimoine
modifier- Le mausolée de Sidi Hajj Slimane qui possède une coupole dans le style des XVIIe-XVIIIe siècles et qui constituerait le seul vestige de la fondation andalou}}se[6].
p 14-15
http://www.inp.rnrt.tn/Carte_archeo/pdf/Fr/029Grombalia.pdf
Référence
modifier- Ernest Babelon, René Cagnat, Salomon Reinach et Jean-Baptiste Chabot, Atlas archéologie de la Tunisie, Paris, Ernest Leroux, 1892-1940 (lire en ligne), p. 87
- Inventaire du patrimoine méditerranéen - Carte informatisée du patrimoine, Tunis 2009, 90 p. (lire en ligne [PDF]), p. 17
- Charles Tissot, Exploration scientifique de la Tunisie : géographie comparée de la province romaine d'Afrique, t. II, Paris, 1884-1888, 918 p. (lire en ligne), p. 128
- Yann Le Bohec, L'Afrique, la Gaule, la religion à l'époque romaine : Mélanges à la mémoire de Marcel Le Glay, Paris, Latomus, , 876 p. (ISBN 9782870311660), p. 145
- Samir Aounallah, Le Cap Bon, jardin de Carthage: recherches d'épigraphie et d'histoire romano-africaines, 146 a. C - 235, Ausonius, , 388 p. (ISBN 9782910023263), p. 336
- Adnan Louhichi, Faouzi Mahfoudh et Tahar Galia, Contrôle et distribution de l'eau dans le Maghreb antique et médiéval, Rome, École française de Rome, , « L'hydraulique de Menzel Bachu », p. 253-265
- Hassan Hosni Abdelwaheb, Mélanges offerts à William Marçais par l'Institut d'études islamiques de l'Université de Paris, G.-P. Maisonneuve, , 329 p., « Villes arabes disparues de l’Ifriqiya »
- Victor Guérin, Voyage archéologique dans la Régence de Tunis, t. II, Paris, , 398 p. (lire en ligne), p. 268
- Christian Tuxen Falbe et Évariste Pricot de Sainte-Marie, Carte de la régence de Tunis, dressée au Dépôt de la guerre, Paris, (lire en ligne)
Menzel Bachou
modifierMenzel Bachou (منزل باشو), orthographié aussi Manzil Bachu ou Manzil Basu, est une ancienne cité médiévale en Tunisie. Elle était également connue sous le nom de Menzel El Kébir.
Description
modifierMenzel Bachou est le chef-lieu du cap Bon, appelé Jaziret Charik, à partir du Xème siècle, en succédant ainsi à la cité de Nouba[1].
Elle est citée par Ibn Hawqal au X siècle, Al Bekri au etc....
On connait un des gouverneurs de la cité qui y avait un palais et qui s'était rebellé contre les aghlabites. Il s'appelait Ahmed Ibn Issa.....
Chute
modifierLa cité est détruite par les Béni Ghania (braunschvig, histoire de la berbérie orientale). Tijani, qui écrit au tout début du XIVe siècle, note que la cité est en ruine[4]. Ces ruines de Menzel Bachou ont servi à la construction de différents monuments à Tunis, dont la mosquée de la Kasbah[5].
Emplacement
modifierPendant longtemps, la position de la cité demeure inconnue. La seule indication que les chroniqueurs du moyen-âge avait laissé est son emplacement sur la route entre Tunis et Sousse. L'historien Hassan Hosni Abdelwaheb a enfin réussi à localiser la cité en 195? sur le site de l'actuel village d'El Jadida.
Sources à consulter : [6]
Références
modifier- Robert Brunschvig, « A propos d'un propos tunisien du Moyen-âge : Nuba - Nubiya », Revue tunisienne : organe de l'Institut de Carthage, no 22, , p. 149-155 (lire en ligne [PDF])
- Georgette Cornu, Atlas du Monde Arabo-islamique à l'époque classique, IXe-Xe siècles, Brill,
- Adnan Louhichi, Faouzi Mahfoudh et Tahar Galia, Contrôle et distribution de l'eau dans le Maghreb antique et médiéval, Rome, École française de Rome, , « L'hydraulique de Menzel Bachu », p. 253-265
- Tidjanī, Abou Moḥammad Abd Ạllāh b́n Ibrahim (trad. Alphonse Rousseau), Voyage du scheikh Et-Tidjani dans la Régence de Tunis, pendant les années 706, 707 et 708 de l'hégire (1306-1309 de J.-C.), Paris, , 290 p. (lire en ligne), p. 24
- Saadaoui Ahmed, « Le remploi dans les mosquées ifrîqiyennes aux époques médiévale et moderne », Études d'antiquités africaines, Éditions du Centre National de la Recherche Scientifique « Lieux de cultes : aires votives, temples, églises, mosquées. IXe Colloque international sur l’histoire et l’archéologie de l’Afrique du Nord antique et médiévale (Tripoli, 19-25 février 2005) », , p. 295-304 (lire en ligne)
- Hassan Hosni Abdelwaheb, Mélanges offerts à William Marçais par l'Institut d'études islamiques de l'Université de Paris, G.-P. Maisonneuve, , 329 p., « Villes arabes disparues de l’Ifriqiya »
http://www.nabeul.gov.tn/fr/relation-des-voyageurs-arabes/
http://www.nabeul.gov.tn/fr/category/le-cap-bon/histoire/page/2/
Adnane Louhichi (INP, Tunis), Note sur un ouvrage hydraulique de Menzel Bachou (IXe-Xe siècles)
Musée du cinéma (Tunis)
modifierCollections |
Ethnographie régionale |
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Le Musée du cinéma est un musée situé à Tunis en Tunisie.
Bâtiment
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Collections
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Références
modifierhttp://www.commune-tunis.gov.tn/publish/content/article.asp?ID=18344
Musée de l'éducation (Tunis)
modifierCollections |
Ethnographie régionale |
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Le Musée de l'éducation est un musée situé à Tunis en Tunisie.
Bâtiment
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Collections
modifierRéférences
modifierhttps://didactikhistoire.blogspot.com/2018/05/le-musee-national-de-leducation-tunis.html
Musée géologique de l'Ichkeul
modifierCollections |
Ethnographie régionale |
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Le Musée géologique de l'Ichkeul est un musée situé à Ichkeul en Tunisie.
Bâtiment
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Collections
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Références
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Références
modifierhttps://zaherkammoun.com/2015/08/26/musee-dar-sghir-mahdia-dar-sghir-museum/
Musée des arts et traditions populaires de Tunis
modifierLe musée des arts et traditions populaires de Tunis est un musée situé à Tunis en Tunisie.
Bâtiment
modifierLe musée se trouve dans de Dar Ben Abdallah dans la médina de Tunis. Ce palais du XVIIIe siècle est racheté par l'Office des arts tunisiens et abrite depuis 1964 le Musée des arts et traditions populaires de Tunis. Il est un ensemble exemplaire de l'architecture tunisoise domestique du XIXe siècle. Le musée occupe ?? salles
-
Salle du 19ème siècle.
-
Salle de l'homme.
Collections
modifierElle expose, dans un décor reconstitué, de nombreux bijoux, jouets, costumes traditionnels et du mobilier ancien.
http://www.inp.rnrt.tn/index.php?option=com_content&view=article&id=56&Itemid=39&lang=fr
Institut culturel étranger en Tunisie
modifierInstitut culturel italien de Tunis
Institut Goethe de Tunis
Institut Cervantes de Tunis
Centre Russe des Sciences et de la Culture de Tunis
Dar Sebastien - Centre culturel international d'Hammamet
modifierhttp://www.ccih.gov.tn/activites-culturelles/
https://www.webdo.tn/2020/02/23/hammamet-le-fabuleux-destin-de-george-sebastian/#.YBkltuhKjIU
https://regard.ro/en-tunisie-lhistoire-perdue-de-george-sebastian/
https://www.ideomagazine.com/dar-sebastian/
Festival international d'Hammamet
http://www.nabeul.gov.tn/fr/centre-culturel-international-de-hammamet/
Déco Jean-Michel Frank
https://www.festivaldehammamet.com/fr/page/fih
http://www.ccih.gov.tn/villa-sebastian/
https://www.festivaldehammamet.com/fr/page/dar_sebastien_le_centre_et_ses_jardins
https://annuaire.tunisie.co/portfolios/616/dar-sebastien-160617
Village artisanal de Den Den
modifierhttp://www.commerce.gov.tn/Fr/actualites_7_55_D144
http://www.villagesartisanauxdetunisie.tn/denden/index.html
http://kapitalis.com/tunisie/2020/02/25/lartisanat-et-lhabit-traditionnel-tunisiens-a-lhonneur-a-denden/ https://www.linstant-m.tn/article_4746_lete-au-village-artisanal-de-den-den-.html
Sidi Jdidi, l'ancienne Arida
modifierhttps://www.persee.fr/doc/mefr_0223-5102_1993_num_105_1_8082
https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00983488
https://journals.openedition.org/nda/1430
https://www.persee.fr/doc/mefr_0223-5102_2007_num_119_1_10351
Mausolées berbères antiques
modifier..... intro
Nombre d'entre eux sont ... Mausolées royaux de Numidie, de la Maurétanie et les monuments funéraires pré-islamiques
Description
modifierhttps://journals.openedition.org/encyclopedieberbere/532?lang=fr
Monuments
modifierAlgérie
modifierDate de soumission : 30/12/2002
Siga dit Beni Rhenane
https://whc.unesco.org/fr/listesindicatives/1776/
Non inscrits :
Mausolée de Blad Guitoun en Algérie
Bénian ntâa Soumâa en Algérie
Libye
modifierMausolée de Bès à Sabartha en Libye : Ce mausolée fait partie du site archéologique de Sabratha, inscrit dans le patrimoine mondial depuis 1982.
Maroc
modifierBazina du Gour au Maroc : Ce mausolée inscrit au VIIème siècle est inscrit dans la liste indicative du Maroc sous le nom "El Gour"
Tunisie
modifierMausolée libyco-punique de Dougga
nécropole numide de Chemtou
https://whc.unesco.org/fr/listesindicatives/5684/
Date de soumission : 17/01/2012
Non inscrits :
Protections
modifierProtections nationales
modifierPatrimoine mondial
modifierL'Algérie et la Tunisie ont inscrit leurs monuments dans leur liste indicative respective en vue d'une prochaine inscription au patrimoine mondial. Le nom retenu pour se patrimoine transnational est les Mausolées royaux de Numidie, de la Maurétanie et les monuments funéraires pré-islamiques. Les critères présentés sont....
En 2002, l'Algérie a inscrit six monuments à savoir : .
En 2012, la Tunisie a inscrit cinq monuments à savoir :
Palette
modifierCeci est la documentation du modèle {{Alxmed117/Brouillon}}.
Syntaxe
L’utilisation de cette palette se fait par l’ajout, en fin de page, avant les portails, du code {{Palette|Alxmed117/Brouillon}}
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.
Il est déconseillé d’utiliser la forme {{Alxmed117/Brouillon}}
, qui ne permet pas, contrairement au modèle {{Palette}}, de séparer correctement la ou les palettes du texte qui précède par de l’espace vide.
La documentation de ce modèle est générée par le modèle {{Documentation palette}}.
Les éditeurs peuvent travailler dans le bac à sable (créer) et la page de test (créer).
Voir les statistiques d'utilisation du modèle sur l'outil wstat.
Liste d'attaques islamistes en Tunisie
modifierCette page recense les actes/attaques/attentats islamistes perpétrés en Tunisie.
Le terrorisme islamiste frappe la Tunisie apparaît en 2002, dans le sillage des attentats du 11 septembre 2001. Il faut attendre une décennie pour observer la renaissance des actes terroristes et leur multiplication dans le cadre de l'insurrection djihadiste en Tunisie.
Chronologie des actes terroristes en Tunisie
modifierAnnée 2002
modifier- Le 11 avril 2002, attentat de la Ghriba à Djerba et revendiqué par le groupe Al-Qaïda : 19 morts et 30 blessés
Année 2012
modifier- Le 14 septembre 2012, en réaction au film L'Innocence des musulmans, un millier de manifestants prennent d'assaut l'ambassade américaine de Tunis, incendiant deux de ses bâtiments et hissant le drapeau noir des salafistes djihadistes. Le rassemblement est finalement dispersé par l'armée, les violences faisant cinq morts et au moins 28 blessés.
Année 2013
modifier- Le 6 février, 2013, attentat Chokri Belaïd, revendiqué par Boubaker El Hakim, affilié à l'Etat islamique : 1 mort.
- Le 25 juillet 2013, attentat contre Mohamed Brahmi, revendiqué également par Boubaker El Hakim, affilié à l'Etat islamique : 1 mort.
- Le 29 juillet 2013, attaque à Sabaa Diar dans le gouvernorat de Kasserine : 8 morts.
Année 2014
modifier- Le ??? : 15 morts
Année 2015
modifier- Le 18 mars 2015, attentat du musée du Bardo : 43 morts et 24 blessés.
- Le 26 juin 2015, attentat de Sousse : 38 morts et 39 blessés.
- Le 13 octobre 2015, attaque dans la région d'Al-Soltanya dans le gourvernorat de Kasserine, revendiqué par la katiba Okba Ibn Nafaa, affilié à l'AQMI : 1 mort.
- Le 24 novembre 2015, attentat à Tunis visant un bus de la garde présidentielle et revendiqué par l'Etat islamique : 12 morts et 20 blessés.
Année 2016
modifier- Le 7 mars 2016, bataille de Ben Gardane : 7 civils morts et ?? blessés.
- Le 29 août 2016, attaque à Djebel Sammama, revendiqué par l'AQMI : 3 morts et 6 blessés[1].
- Le 8 juillet 2016 : attaque à Ghardimaou ; 6 morts
Année 2017
modifier- Le 3 juin 2017, attaque dans la région d'Al-Soltanya dans le gourvernorat de Kasserine, revendiqué par la katiba Okba Ibn Nafaa, affilié à l'AQMI : 1 mort.
Année 2018
modifier- Le 30 octobre 2018, attentat-suicide à Tunis revendiqué par : 20 blessés, dont quinze policiers et cinq civils
Année 2019
modifier- Le 27 juin 2019, un double attentat-suicide à Tunis revendiqué par l'État islamique : 1 mort et 8 blessés
Année 2020
modifier- Le 6 septembre 2020, attaque à Sousse revendiqué par l'Etat islamique : 1 mort et 1 blessé.
- Le 20 décembre 2020, attaque dans la région d'Al-Soltanya dans le gouvernorat de Kasserine, revendiqué par l'AQMI : 1 mort.
Références
modifier- « Tunisie: Aqmi revendique l'attaque qui a tué 3 soldats », sur lefigaro.fr, (consulté le )