Université Paris-Panthéon-Assas

université française publique à dominante juridique

L'université Paris-Panthéon-Assas[3], également appelée Paris-II[4],[5], Panthéon-Assas ou plus familièrement Assas est un établissement d'enseignement supérieur sous le statut d'établissement public expérimental. Elle est fondée en 1970 après les événements de mai 1968 et l'éclatement de l'université de Paris.

Université Paris-Panthéon-Assas
Logo de l'université Paris-Panthéon-Assas.
Entrée du centre Panthéon.
Histoire
Fondation
1970
Statut
Type
Forme juridique
Établissement public national à caractère scientifique culturel et professionnel (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Président
Membre de
Site web
Chiffres-clés
Étudiants
23 000[1]
Enseignants
Budget
91 millions d'euros (2013)[1]
Localisation
Pays
Campus
25 (dont 17 à Paris et 3 à l’étranger)
Ville
Localisation sur la carte de Paris
voir sur la carte de Paris

L'université, qui doit son nom aux centres Panthéon et Assas, enseigne le droit ainsi que la science politique, l'économie et le journalisme. Elle est généralement considérée comme la meilleure université de droit en France[6].

Historique

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Créée sous le nom de Paris-II[4] en 1970, elle est rebaptisée université de droit, d'économie et de sciences sociales de Paris II en 1988[7], puis Panthéon-Assas Paris II en 1990[8], Panthéon-Assas en 1998, puis Paris-Panthéon-Assas en 2022.

À l'instar de l'université Paris-I Panthéon-Sorbonne, Panthéon-Assas est créée sous le nom de Paris-II lors du démembrement de l'université de Paris à la suite de mai 1968[4]. La majorité des juristes de l'ancienne faculté de droit de Paris (en particulier les privatistes et les historiens du droit) rejoint Paris-II[9], considérée depuis comme une université conservatrice et principalement spécialisée en droit. À l'inverse, les professeurs préférant une université pluridiscplinaire se rallient à Paris-I[10].

En 1983, ses étudiants participent au mouvement contre la réforme Savary des universités ainsi qu'au mouvement contre le projet de loi Devaquet.

Entre 2010 et 2019, l’université était associée à la communauté d’universités et établissements Sorbonne Universités avec les universités Paris-IV Sorbonne et Paris-VI Pierre-et-Marie-Curie (UPMC)[11],[12]. Elles finissent par fusionner pour former Sorbonne Université en 2019, l'université Paris-II Panthéon-Assas ayant quitté le projet par peur de « perdre son identité »[13],[14].

Le , elle devient un établissement public expérimental, prend le nom d'université Paris-Panthéon-Assas et intègre quatre nouveaux établissements en tant qu'établissements-composantes : l'Institut de management et de communication interculturels (ISIT), l'École française d'électronique et d'informatique (EFREI), le Centre de formation des journalistes (CFJ) ainsi que l'École W[15],[16].

Composantes

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Au , les composantes de l'université sont les établissements-composantes, les collèges de formation et de recherche (CFR), les six départements universitaires, les unités mixtes de recherche, les centres de recherche, les écoles doctorales et les instituts.

Avant le et conformément au Code de l'éducation, les composantes de l’université sont les unités de formation et de recherche (UFR) et les instituts[17]. Des départements délibèrent notamment sur l’organisation et l’affectation des enseignements ou sur l’orientation de la recherche[3].

Établissements-composantes

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Dans le cadre de l'établissement public expérimental, quatre établissements-composantes sont intégrés à l'université Paris-Panthéon-Assas au [3] :

L'ISIT est une grande école membre de la Conférence des grandes écoles (CGE) dispensant un enseignement en management et communication interculturels, relations internationales, traduction et interprétation de conférence. Quant à elle, l'EFREI est une grande école membre de la Conférence des grandes écoles (CGE) et l'une des 204 écoles d'ingénieurs françaises accréditées au 1er septembre 2020 à délivrer un diplôme d'ingénieur. Le CFJ est une grande école membre de la Conférence des grandes écoles (CGE) dispensant un enseignement au journalisme. Créée en 2016 par le CFJ, l'École W est une école pluridisciplinaire spécialisée dans la production et la création de contenus appliqués au journalisme, à la communication, au marketing, ainsi que de productions documentaires et de fiction[18],[19].

Collèges de formation et de recherche

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Au , l'université Paris-Panthéon-Assas se compose de huit collèges de formation et de recherche (CFR)[3], dont un CFR de 1er cycle (CFR Découverte et fondamentaux, et ses quatre secteurs : Droit et science politique, Sciences économiques, Sciences de gestion et Lettres, sciences humaines et sociales) ; ainsi que sept CFR de 2e et 3e cycles, formés autour des thématiques de formation et champs disciplinaires couverts par des départements de formation ou des établissements-composantes[20]: Europe et international ; Information et réseaux ; Marchés, entreprise et travail ; Organisation, État et action publique ; Patrimoine, contrats et personnes ; CFR Risque, environnement et sécurité ; CFR Société, justice et criminalité.

Instituts

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L'université Paris-Panthéon-Assas est composée de six instituts, dont l'Institut de préparation à l'administration générale de Paris, l'Institut d'études judiciaires Pierre-Raynaud (IEJ), l'Institut français de presse (IFP), fondé en 1937, l'Institut « Maison des sciences de gestion » ainsi que l'Institut de Recherche en Propriété Intellectuelle.

Bibliothèques

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L'université Paris-Panthéon-Assas compte 4 bibliothèques universitaires membres du service commun de la documentation (SCD) de l’Université. Parmi elles : la bibliothèque d'Assas qui, après plusieurs années de travaux, a ouvert en mars 2011 et dont ses collections sont en libre accès et en magasin. Elle dessert tous les cycles ; la bibliothèque de Melun qui a ouvert en 1986 et dont toutes ses collections sont en accès libre. Elle dessert principalement les étudiants inscrits en licence au centre de Melun ; la bibliothèque de Vaugirard qui a ouvert en 1996 et dont toutes ses collections sont en accès libre. Elle dessert principalement les étudiants en première année de licence de droit, de science politique ainsi que d'économie-gestion. Elle est située au 391 rue de Vaugirard (15e arrondissement) ; les bibliothèques Noailles et Collinet spécialisé en Droit romain, et d'histoire économique au sein du centre Sainte-Barbe ; ainsi que la bibliothèque Cujas, ouverte aux enseignants et aux étudiants à partir de la 2e année de licence[21].

Implantation

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Centre Panthéon : le bâtiment principal sur la place du Panthéon.
 
Entrée arrière du Centre Panthéon depuis la rue Saint-Jacques.
 
L'amphi 1 du Centre Assas lors de la cérémonie de remise des diplômes des docteurs.
 
L'implantation au 391, rue de Vaugirard. L'ancien collège de l'Immaculée-Conception où le jeune Charles de Gaulle a été élève sert aujourd'hui de centre universitaire aux étudiants de première année.
 
Institut de droit comparé de Paris.
  • Dans le 13e arrondissement de Paris :
 
Le Centre de formation des journalistes et de l'École W.

Le centre universitaire délocalisé de Panthéon-Assas en Seine-et-Marne se nomme « Institut de droit et d'économie de Melun »[22], situé au 19 rue du château. Il est destiné aux formations d'économie et de droit du premier cycle (licence) et d'enquêteurs de droit privé en master.

Villejuif

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L'école d'ingénieurs EFREI Paris s'y trouve[23].

Formation et recherche

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Enseignement

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L'université Paris-Panthéon-Assas dispense des enseignements en droit, sciences politiques et sociales (média et communication), sciences de gestion et sciences économiques. Elle dispose de cinq écoles doctorales, de 25 centres de recherche et délivre des diplômes à 8 600 étudiants par an (sur les 18 000 que compte l'établissement, dont 3 000 étrangers). La formation se décompose en 17 licences, 6 licences professionnelles, 24 master 1 (M1), 87 master 2 (M2), 41 diplômes universitaires (DU), 6 diplômes supérieurs d'université (DSU), 3 Master of Laws (LLM), 1 Master of Business Administration (MBA), 1 cursus master ingénieur (CMI) et 23 formations en apprentissage[24].

L'université dispose d'accords académiques avec d'autres établissements d’enseignement supérieurs français : Sorbonne Université pour 5 doubles diplôme (histoire de l'art et droit, histoire et droit, histoire et médias, sciences et droit et relations internationales), l'ESSEC pour des doubles diplômes en master[25],[26], l'université Paris-Dauphine, pour un master en ingénierie économique[27], l'école nationale supérieure des mines de Paris, pour un master[28], École des hautes études commerciales de Paris pour un master en fiscalité internationale[29], et l'INSEAD pour un LL.M. en droit international des affaires. 3 masters en droit public sont en co-habilitation avec l'université Paris-1 Panthéon-Sorbonne[30].

Depuis la rentrée 2013, l'université Paris-Panthéon-Assas, à travers le site Agor@ssas, propose une licence en droit en ligne[31].

Recherche

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L'université compte cinq écoles doctorales, et 23 laboratoires de recherche, dont deux unités mixtes de recherche (UMR) du CNRS[32].

Elle comprend près de 270 enseignants-chercheurs, plus d'un millier de doctorants, près de 120 thèses sont rédigées chaque année. Le budget annuel alloué à la recherche est de l'ordre de 1,3 million d'euros[33]. Une banque de mémoire est accessible depuis le site de l'université. Celle-ci regroupe des mémoires soutenus en Master 2 recherche, ou professionnel, que l'on peut consulter gratuitement[34].

Alliances

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De 2010 à 2013, elle a fait partie du regroupement d'universités Sorbonne Universités aux côtés de Paris-IV et Paris-VI[35]. L'université Paris-Panthéon-Assas a conclu des accords de coopération avec plus de 160 universités étrangères, toute matière confondue[36].

Classements

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Selon Le Figaro, il s'agit de l'université française avec la plus haute proportion d'étudiants ayant obtenu la mention « très bien » au Baccalauréat[37]. Selon Le Nouvel Observateur, ce chiffre serait proche de 97% en 2020[38].

Ses anciens étudiants ont le meilleur salaire à la sortie parmi les formations de droit en France selon les rapports du ministère de l'Enseignement supérieur[39]. En 2017, celui-ci est en moyenne de 42 100 euros[40], 30 mois après le diplôme. Il est de 49 100 euros pour les diplômés d'économie[41], et de 85 000 euros en sortie d'étude pour le magistère juriste d'affaire selon Capital.

En 2024, l'université Paris-Panthéon-Assas est la 1re place du classement des meilleures universités de droit françaises selon Le Figaro Étudiant, devant les universités Panthéon-Sorbonne (2e) et Jean Moulin - Lyon 3 (3e)[42][pertinence contestée].

Au concours d'entrée de l'École nationale de la magistrature, une forte proportion de la promotion vient de l'université Paris-Panthéon-Assas (plus de 40 % en 2011[43] par exemple).[source secondaire nécessaire]

Elle est à la 49e place au classement national des taux de réussite en licence, réalisé par Le Figaro[44] et à la 54e place dans le classement de L'Étudiant[45].

L'université Paris-Panthéon-Assas compte deux écoles de journalisme reconnues par la profession, dont l'une, le Centre de formation des journalistes (CFJ), se classe à la 3e place du classement réalisé par Le Figaro Étudiant , derrière Sciences Po (1re) et l'École supérieure de journalisme de Lille (2e). Son département universitaire, l'Institut français de presse (IFP) est classé à la 11e place de ce même classement[46][pertinence contestée].

Vie étudiante

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Évolution démographique

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Évolution démographique de la population universitaire

1991 1992 1993 1994 1995 2000 2001 2002
17 974[47]17 875[47]17 531[47]18 499[47]18 450[47]17 319[48]17 704[49]17 355[50]
2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010
17 098[51]16 655[52]16 320[53]15 637[54]14 490[55]14 499[56]15 223[57]15 602[58]
2011 2012 2020 2023 - - - -
15 371[59]16 808[60]18 000 [1]23 000----

Associations

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En 2023, l'université compte 360 associations étudiantes[61].

L'université enregistre la présence de militants d'extrême-droite, ainsi que d'associations liées à cette orientation politique depuis sa création, notamment le Groupe union défense (GUD) depuis la fin des années 1960, jusqu'aux années 1990[62]. Dans les années 2010, des associations d'extrême droite comme le Rassemblement étudiant de droite, de nouveau le GUD, puis Assas Patriote tentent régulièrement de prendre pied à l'université[63],[64],[65],[66].

Personnalités liées à l'université

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Présidents

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Présidents de l’université
Mandat Nom Qualité UFR de rattachement
1974 - 1979 Berthold Goldman Professeur des universités Droit (privé)
1979 - 1984 Jacques Robert Professeur des universités Droit (public)
1984 - 1989 Jean Boulouis Professeur des universités Droit (public)
1989 - 1993 Georges Durry Professeur des universités Droit (privé)
1993 - 1997 Philippe Ardant Professeur des universités Droit (public)
1997 - 2002 Bernard Teyssié Professeur des universités Droit (privé)
2002 - 2006 Jacqueline Dutheil de la Rochère Professeur des universités Droit (public)
2006 - 2012 Louis Vogel Professeur des universités Droit (privé)
2012 - 2020 Guillaume Leyte Professeur des universités Droit (histoire)
depuis 2020 Stéphane Braconnier Professeur des universités Droit (public)

Enseignants-chercheurs

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Louis Vogel (deuxième en partant de la droite), président de Panthéon-Assas de 2006 à 2012.

François Terré[67], Pierre Delvolvé, Yves Gaudemet, Louis Vogel[68] et Serge Sur[69] sont membres de l'Académie des sciences morales et politiques ; Henri Mazeaud en fut membre de 1969 à 1993, Roland Drago de 1990 à 2009 et Prosper Weil de 1999 à 2018. Albert Rigaudière[70] est membre de l'Académie des inscriptions et belles-lettres. Joe Verhoeven est secrétaire général de l'Institut de droit international.

Étudiants

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Personnalités politiques

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Présidents de la République étrangers

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Premiers ministres étrangers

Personnalités politiques diverses

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Monde des médias

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Personnalités du monde des affaires

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Juristes

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  • Akima Paul Lambert, avocate et militante britannique
  • Immaculée Nyirinkwaya, première femme présidente de la cours suprême au Rwanda en 1995[72].

Notes et références

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  1. a b c et d « Chiffres clés année 2013-2014 »
  2. Recensement des diplômes délivrés par les universités à l'issue de l'année universitaire 2005-2006
  3. a b c et d « Décret n° 2021-1831 du 24 décembre 2021 portant création de l'Université Paris-Panthéon-Assas et approbation de ses statuts », sur Legifrance, (consulté le ). Les statuts sont mis à jour sur le site de l'université.
  4. a b et c « Décret n°70-1174 du 17 décembre 1970 portant érection en établissements publics à caractère scientifique et culturel d'universités et centres universités », sur Legifrance, (consulté le ).
  5. La dénomination institutive, Paris-II, est restée en vigueur à l'item no 48 de l'« Article D711-1 du Code de l'éducation », sur Legifrance, (consulté le ), jusqu'à son abrogation le 1er janvier 2022. Depuis cette date, l'université Paris-Panthéon-Assas ne figure plus dans cette liste des universités, mais à l'item no 14 de celle des établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel expérimentaux, dans l'« Article D711-6-1 - Code de l'éducation », sur Legifrance, (consulté le ).
  6. « Classement 2024 des meilleures universités de droit françaises », sur Le Figaro Etudiant, (consulté le )
  7. Approuvés par arrêté du 26 octobre 1988, en application de la loi du 26 janvier 1984
  8. Le 14 mars 1990, Rapport du Comité national d'évaluation de 2006 p. 10.
  9. « Les programmes de I à VII », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  10. « Paris-II Assas, la longue marche vers le centre droit », sur Libération.fr
  11. Décret du 22 juin 2010 portant approbation des statuts de la fondation de coopération scientifique « Sorbonne Universités » et décret no 2015-664 du 10 juin 2015 portant création de la communauté d'universités et établissements « Sorbonne Universités » et approbation de ses statuts
  12. Décret no 2015-1594 du 7 décembre 2015 portant association de l’université Paris-II à la communauté d'universités et établissements « Sorbonne Universités »
  13. « Le retour de la grande université de Paris », sur Le Figaro Etudiant, (consulté le )
  14. « L'université Paris 2 Assas claque la porte de Sorbonne Universités », sur L'Etudiant, (consulté le )
  15. « Regroupement : Paris-II Panthéon-Assas lance un projet d’établissement public expérimental avec l’Isit, l’Efrei et le CFJ », sur www.letudiant.fr (consulté le )
  16. « Paris-II veut créer un EPE avec l’Isit, l’Efrei Paris et le CFJ/École... », sur www.aefinfo.fr (consulté le )
  17. Article L713-1 du code de l'éducation
  18. « « W », une école pour devenir producteur de contenus numériques », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  19. Nora Elhajjioui, « Le nouveau master fiction & documentaire de l'Université-Paris-Panthéon-Assas et l'École W », sur JUPDLC, (consulté le )
  20. « Élections des représentants aux Collèges de formation et de recherches », sur Université Paris-Panthéon-Assas (consulté le )
  21. http://www.u-paris2.fr/04935358/0/fiche___pagelibre/&RH=Bibliotheque Bibliothèques du réseau de l'université Panthéon-Assas
  22. L'ouverture de l'université Panthéon-Assas à Melun, reportage Midi 2 du 23 novembre 1987 (durée 3 min 08 s) : source INA
  23. « A Villejuif, l'Efrei pousse les murs de son campus », sur Citoyens.com, (consulté le )
  24. Consulter la plaquette détaillée de l'ensemble des formations dispensées par l'université Paris II sur son site internet
  25. Détails disponibles sur le site u-paris2.fr
  26. Lire le communiqué de presse publié sur le site de l'Essec L'université Panthéon-Assas et l'ESSEC signent un accord de partenariat stratégique
  27. Consulter le site du Master Ingénierie économique (TSI-AD)
  28. Voir la fiche du master STV
  29. Consulter le site de l'association du Master 2 Fiscalité internationale
  30. http://www.u-paris2.fr/25712751/0/fiche___pagelibre/&RH=MASTER-09&RF=M2-DROIT-09
  31. Site de la licence de Droit en ligne Agor@ssas
  32. « Centres de recherche », sur Université Paris-Panthéon-Assas (consulté le )
  33. Voir rubrique recherche
  34. Voir rubrique banque de mémoire sur le site de l'université
  35. Décret du 22 juin 2010 portant approbation des statuts de la fondation de coopération scientifique « Sorbonne Universités »
  36. Voir accords de coopération
  37. Baptiste Legout, « Parcoursup: notre classement des universités françaises qui attirent les meilleurs lycéens », sur Le Figaro.fr, (consulté le )
  38. Gurvan Le Guellec, « En droit, les facs les plus prestigieuses victimes de leur succès », L'Obs,‎ (lire en ligne  )
  39. Filière par filière, les facs qui donnent le meilleur salaire
  40. Ministère de l'Enseignement et de la Recherche, « Enquête relative à l’insertion professionnelle des diplômés 2017 de l’université »  , sur enseignementsup-recherche.gouv.fr, (consulté le )
  41. Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche, « [Archives] Résultats nationaux : insertion professionnelle des diplômés en 2016, 2015, 2014, 2013, 2012, 2011, 2010, 2009, 2008 et 2007 »  , sur www.enseignementsup-recherche.gouv.fr, (consulté le )
  42. « Classement 2024 des meilleures universités de droit françaises », sur etudiant.lefigaro.fr, (consulté le )
  43. Préparation au concours d'accès à l’École nationale de la magistrature (ENM) à l'université Panthéon-Assas
  44. Julie-Anne De Queiroz, « Palmarès des universités où les étudiants réussissent le mieux », dans Le Figaro, le 22 septembre 2014, consulté sur etudiant.lefigaro.fr le 6 juillet 2016
  45. « Réussite en licence : le classement des universités selon leur valeur ajoutée », dans Educpro, le 15 septembre 2014, consulté sur www.letudiant.fr le 6 juillet 2016
  46. « Classement des meilleures écoles de journalisme 2022 du Figaro Etudiant », sur etudiant.lefigaro.fr, (consulté le )
  47. a b c d et e Comité national d'évaluation, L'université de Paris II, rapport d'évaluation, Paris, , 149 p.,p. 12
  48. Jean-Richard Cytemann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2001, Imprimerie nationale, p. 161, (ISBN 2-11-092136-6), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  49. Jean-Richard Cytemann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2002, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-092152-8), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  50. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2003, Imprimerie nationale, p. 155, (ISBN 2-11-093455-7), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  51. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2004, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-094345-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  52. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2005, Imprimerie nationale, p. 175, (ISBN 2-11-095390 X), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  53. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2006, Imprimerie nationale, p. 179, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  54. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2007, Imprimerie nationale, p. 181, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  55. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2008, Imprimerie nationale, p. 173, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  56. Daniel Vitry, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2009, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097805-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  57. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2010, Imprimerie moderne de l’Est, p. 173, (ISBN 978-2-11-097819-6), consulté sur www.education.gouv.fr le 17 septembre 2010
  58. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2011, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097810-3), consulté sur www.education.gouv.fr le 2 septembre 2011
  59. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2012, Imprimerie moderne de l’Est, p. 177, (ISBN 978-2-11-099368-7), consulté sur www.education.gouv.fr le 30 août 2012
  60. Chiffres clés 2012-2013
  61. Chiffres clés | Université Paris 2 Panthéon-Assas (u-paris2.fr)
  62. Philippe Rochette, « L'université en Ile-de-France (4) Paris-II Assas, la longue marche vers le centre droit », dans Libération, le 24 mai 1995, consulté sur www.liberation.fr le 23 juillet 2016
  63. « Les « rats noirs » du GUD », sur www.leparisien.fr/,
  64. Olivier Faye, « Forum étudiant, GUD: la petite agitation nationaliste dans les facs », sur droites-extremes.blog.lemonde.fr,
  65. Olivier Faye, « Avec « Assas Patriote », l’extrême droite tente de reprendre pied à Paris-II Panthéon-Assas », sur droites-extremes.blog.lemonde.fr,
  66. Véronique Soulé, « Une excroissance du GUD emménage à Assas », sur www.liberation.fr,
  67. professeur émérite, droit civil des personnes, des obligations et des biens, ex-Responsable du DEA Philosophie du droit
  68. « Louis Vogel élu à l’Académie des sciences morales et politiques », sur u-paris2.fr,
  69. « Serge Sur élu académicien au fauteuil de Jacques Boré (6 décembre 2021) », sur academiesciencesmoralesetpolitiques.fr,
  70. responsable du DEA Histoire du droit
  71. « Les non-dits de « l’arrivée éventuelle » de Jean-Michel Blanquer à l’université Paris Panthéon-Assas », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  72. (af) BUGIRIMFURA Rachid, « Abagore bari imbere mu rwego rw’ubucamanza mu Rwanda Ikinyamakuru Intego », (consulté le )

Voir aussi

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Bibliographie

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Liens externes

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