Uhart-Cize

commune française du département des Pyrénées-Atlantiques

Uhart-Cize [yaʁt siz] est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Uhart-Cize
Uhart-Cize
L'église Notre-Dame de l'Assomption.
Blason de Uhart-Cize
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays basque
Maire
Mandat
Claire Dutaret-Bordagaray
2020-2026
Code postal 64220
Code commune 64538
Démographie
Gentilé Uhartear
Population
municipale
801 hab. (2021 en évolution de +0,38 % par rapport à 2015)
Densité 69 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 09′ 56″ nord, 1° 14′ 36″ ouest
Altitude Min. 149 m
Max. 1 064 m
Superficie 11,66 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Saint-Jean-Pied-de-Port
(ville-centre)
Aire d'attraction Saint-Jean-Pied-de-Port
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Montagne Basque
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Uhart-Cize
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Uhart-Cize
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Uhart-Cize
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Uhart-Cize
Liens
Site web uhart-cize.fr

Le gentilé est Uhartear[1] ou Uhartegaraztar[1].

Géographie

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Localisation

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Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune d'Uhart-Cize se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 118 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 52 km de Bayonne[4], sous-préfecture, et à 42 km de Mauléon-Licharre[5], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Jean-Pied-de-Port[2].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Saint-Jean-Pied-de-Port (0,6 km), Ascarat (1,1 km), Ispoure (1,1 km), Lasse (1,5 km), Caro (2,9 km), Saint-Michel (3,7 km), Anhaux (3,8 km), Saint-Jean-le-Vieux (4,1 km).

Sur le plan historique et culturel, Uhart-Cize fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[9],[10]. La commune est dans le pays de Cize (Garazi), au sud-est de ce territoire.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Arnéguy, Ascarat, Ispoure, Lasse, Saint-Jean-Pied-de-Port et Saint-Michel.

Communes limitrophes d’Uhart-Cize[11]
Ascarat Ispoure
Lasse   Saint-Jean-Pied-de-Port
Arnéguy Saint-Michel

Hydrographie

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Réseaux hydrographique et routier d'Uhart-Cize.

La commune est drainée par la Nive, la Nive d'Arnéguy, le ruisseau d'Alamey, le ruisseau de Pagola, le ruisseau de Hontalatzé, le ruisseau de Sourits, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 15 km de longueur totale[12],[Carte 1].

La Nive, d'une longueur totale de 79,3 km, naît au pied du Mendi Zar (1 323 m), au-delà de la frontière espagnole, sous le nom de Harpeko erreka, et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans l'Adour à Bayonne, après avoir traversé 20 communes[13].

La Nive d'Arnéguy, d'une longueur totale de 20,8 km, naît au pied du col d'Ibañeta, dans la commune de Luzaide (Espagne), et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Nive sur le territoire communal, après avoir traversé 4 communes[14].

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[15]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[16].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 536 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[17]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bustince-Iriberry à 5 km à vol d'oiseau[18], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 327,4 mm[19],[20]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[21].

Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[23],[Carte 2] :

  • « la Nive », d'une superficie de 9 473 ha, un des rares bassins versants à accueillir l'ensemble des espèces de poissons migrateurs du territoire français, excepté l'Esturgeon européen[24] ;
  • les « montagnes de Saint-Jean-Pied-de-Port », d'une superficie de 11 760 ha, une montagne à estives, espaces pastoraux d’altitude (au-dessus de 800-900 m) ouverts sur de vastes étendues[25].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Deux ZNIEFF de type 2[Note 5] sont recensées sur la commune[26],[Carte 3] :

  • les « montagnes de Saint-Jean-Pied-de-Port » (14 133,83 ha), couvrant 9 communes du département[27] ;
  • le « réseau hydrographique des Nives » (3 596,23 ha), couvrant 33 communes du département[28].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Uhart-Cize est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[29]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Jean-Pied-de-Port[Note 6], une agglomération intra-départementale regroupant sept communes, dont elle est ville-centre[Note 7],[30],[2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Jean-Pied-de-Port, dont elle est une commune du pôle principal[Note 8],[2]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[31],[32].

Occupation des sols

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Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (49,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (51,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (28,8 %), forêts (28,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (21,3 %), prairies (16,3 %), zones urbanisées (5,4 %)[33]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Lieux-dits et hameaux

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  • Eskanda ;
  • Gaztelu-mendi ;
  • Gezaine ;
  • Kataritze ;
  • Pentxeto ;
  • Zihe.

Voies de communication et transports

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Uhart-Cize est desservie par les routes départementales D 918 (ancienne route nationale 132) et D 933 (ancienne route nationale 133).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune d'Uhart-Cize est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[34]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[35].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment la Nive d'Arnéguy et la Nive. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 2008, 2009, 2011, 2014, 2018 et 2021[36],[34].

Uhart-Cize est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[37]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[38],[39].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Uhart-Cize.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[40]. 25,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 9],[41].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune d'Uhart-Cize est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[42].

Toponymie

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Son nom basque est Uharte-Garazi.

Le nom basque de la commune est Uharte-Garazi. Uharte provient de ur arte, c'est-à-dire étymologiquement 'entre les eaux'[43]. En effet, c'est à proximité d'Uhart-Cize que se rejoignent trois cours d'eau : la Nive (Errobi) de Beherobie, la Nive d'Arneguy et le Laurhibar, au lieu-dit Irureta ou « Trois eaux ».

Le toponyme Uhart-Cize apparaît[44] sous les formes Uhart (1193, cartulaire de Bayonne[45]), Uhart (1513, titres de Pampelune[46]) et Uharte (1621, Martin Biscay[47]).

Paul Raymond[44] note que « le nom d'Uhart-Cize est donné à la commune, située dans le pays de Cize, pour la distinguer de celle d'Uhart-Mixe (canton de Saint-Palais), placée dans le pays de Mixe. »

Histoire

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Héraldique

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  Blasonnement :
Coupé mi-parti en chef : au 1 d'or à deux fasces ondées d'azur au franc quartier d'azur à un avant mur adextré d'un porche couvert, ouvert et ajouré du champ et surmonté d'un clocher ajouré du même, le tout d'argent et maçonné de sable ; au 2 d'argent à trois fasces de gueules ; au 3 d'azur à un pommier au naturel fruité de gueules terrassé de sinople et un chaudron d'argent posé sur la terrasse brochant sur le fût, cantonné de quatre coquilles d'or[48].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 1999 Dominique Mendy    
1999 2001 Jean-Gabriel Camou    
2001 2008 Jean-Gabriel Camou    
2008 2014 Jean-Gabriel Camou    
2014 2020 Jean San-Pedro    
2020 En cours Claire Dutaret-Bordagaray LR Conseillère régionale (depuis 2015)
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité

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La commune appartient à huit structures intercommunales[49] :

Jumelages

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Uhart-Cize est jumelé avec des communes qui ont la même racine d'"ur arte". Il s'agit des communes navarraises d'Huarte, près de Pampelune, et d'Uharte-Arakil, ainsi que de la commune bas-navarraise d'Uhart-Mixe (Uhartehiri), près de Saint-Palais.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[51].

En 2021, la commune comptait 801 habitants[Note 10], en évolution de +0,38 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
443458479528624637651665700
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
601662672657662634590586629
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
608594596530517553550548472
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
477498518563658599613620669
2014 2019 2021 - - - - - -
789803801------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[52] puis Insee à partir de 2006[53].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine

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Le fronton.

Patrimoine civil

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  • Un gaztelu zahar (situé à 343 m d’altitude) est visible au lieu-dit Gaztelu-mendi
  • L'actuelle mairie[54], ancien presbytère, date de 1618 ;
  • L'ancien collège Dujakenea[55] date du XVIIIe siècle ;
  • La redoute de Kurutchamendy[56] date du XIXe siècle ;
  • La villa Harriet[57], datant des années 1930, est de style néobasque.

Patrimoine religieux

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  • L'église Saint-Martin[58] date de 1650 et 1767.

Équipements

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Personnalités liées à la commune

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Nées au XVIIIe siècle

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Joseph Matenot, dit Matenotte ou La Victoire, né à Uhart-Cize[59] et décédé en 1794, est un tailleur mort général de brigade.

Nées au XIXe siècle

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Jean Ybarnegaray, né en 1883 à Uhart-Cize et décédé en 1956 à Paris, est un ancien ministre, député des Basses-Pyrénées, ancien maire, président-fondateur de la Fédération française de pelote basque.

Nées au XXe siècle

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Pierre Camou (1945-2018), né dans la commune, président de la Fédération française de rugby de 2008 à 2016.

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Le Pays Basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[22].
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  7. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Saint-Jean-Pied-de-Port comprend trois villes-centres (Saint-Jean-le-Vieux, Saint-Jean-Pied-de-Port et Uhart-Cize) et quatre communes de banlieue.
  8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique d'Uhart-Cize » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Uhart-Cize », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Uhart-Cize », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  2. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune ».
  3. Stephan Georg, « Distance entre Uhart-Cize et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Uhart-Cize et Bayonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. Stephan Georg, « Distance entre Uhart-Cize et Mauléon-Licharre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Communes les plus proches d'Uhart-Cize », sur villorama.com (consulté le ).
  7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
  8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
  9. « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
  10. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
  11. Carte IGN sous Géoportail
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  13. Sandre, « la Nive ».
  14. Sandre, « la Nive d'Arnéguy ».
  15. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  16. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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  53. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  54. « Notice sur la mairie », notice no IA64000917, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  55. « Notice sur le collège Dujakenea », notice no IA64000919, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  56. « Notice sur la redoute de Kurutchamendy », notice no PA00084575, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  57. « Notice sur la villa Harriet », notice no IA64000921, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  58. « Notice sur l'église Saint-Martin », notice no IA64000918, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  59. Philippe Veyrin, Les Basques : de Labourd, de Soule et de Basse-Navarre, leur histoire et leurs traditions, Grenoble, Arthaud 1975, , 366 p. (ISBN 978-2-7003-0038-3 et 2-7003-0038-6), p. 188.

Voir aussi

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Articles connexes

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