Tignac

commune française du département de l'Ariège

Tignac est une commune française située dans le sud-est du département de l'Ariège, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du pays du Sabarthès, structuré par la haute vallée de l'Ariège en amont du pays de Foix avec Tarascon-sur-Ariège comme ville principale.

Tignac
Tignac
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Ariège
Arrondissement Foix
Intercommunalité Communauté de communes de la Haute Ariège
Maire
Mandat
Joseph Ferrand
2020-2026
Code postal 09110
Code commune 09311
Démographie
Gentilé Tignacois
Population
municipale
21 hab. (2021 en évolution de −8,7 % par rapport à 2015)
Densité 5,9 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 44′ 48″ nord, 1° 47′ 45″ est
Altitude Min. 720 m
Max. 1 440 m
Superficie 3,53 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Haute-Ariège
Législatives Première circonscription
Localisation
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Tignac
Liens
Site web http://www.tignac.com

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par divers petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Tignac est une commune rurale qui compte 21 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 238 habitants en 1851. Ses habitants sont appelés les Tignacois ou Tignacoises.

Ses habitants sont les Tignacois et les Tignacoises[1].

Géographie

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Localisation

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La commune de Tignac se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 29 km à vol d'oiseau de Foix[2], préfecture du département, et à 5 km d'Ax-les-Thermes[3], bureau centralisateur du canton de Haute-Ariège dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Ax-les-Thermes[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Perles-et-Castelet (0,7 km), Vaychis (1,0 km), Unac (2,3 km), Bestiac (2,5 km), Savignac-les-Ormeaux (2,6 km), Caussou (2,7 km), Luzenac (3,2 km), Ignaux (4,0 km).

Sur le plan historique et culturel, Tignac fait partie du pays du Sabarthès, structuré par la haute vallée de l'Ariège en amont du pays de Foix avec Tarascon-sur-Ariège comme ville principale[5].

 
Carte de la commune de Tignac et des proches communes.

Située dans les Pyrénées, la commune fait partie du terroir historique du Sabarthès.

Géologie et relief

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La commune est située dans les Pyrénées, une chaîne montagneuse jeune, érigée durant l'ère tertiaire (il y a 40 millions d'années environ), en même temps que les Alpes. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches sédimentaires datant du Paléozoïque, une ère géologique qui s'étend de −541 à −252,2 Ma (millions d'années). La structure détaillée des couches affleurantes est décrite dans la feuille « n°1087 - Vicdessos » de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème du département de l'Ariège[7],[8] et sa notice associée[9].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 3,53 km2[10],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 3,66 km2[8]. Son relief est particulièrement escarpé puisque la dénivelée maximale atteint 720 mètres. L'altitude du territoire varie entre 720 m et 1 440 m[13].

Hydrographie

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Réseaux hydrographique et routier de Tignac.

La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Vigne, Rec de Barex, le ruisseau de Guissou, le ruisseau de Maleich et par un petit cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 2 km de longueur totale[15],[16].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[17]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées centrales, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 200 mm[18].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 958 mm, avec 8,9 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[17]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Ascou à 6 km à vol d'oiseau[19], est de 9,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 258,8 mm[20],[21]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[22].

Milieux naturels et biodiversité

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 3] est recensée sur la commune[23] : les « montagnes orientales d'Ax-les-Thermes » (9 524 ha), couvrant 20 communes dont 16 dans l'Ariège et 4 dans l'Aude[24] et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[23] : « le bassin versant de l'Oriège et montagnes orientales d'Ax-les-Thermes » (18 551 ha), couvrant 25 communes dont 18 dans l'Ariège, 4 dans l'Aude et 3 dans les Pyrénées-Orientales[25].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Tignac est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[26]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[27],[28].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (83,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (99,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (57,1 %), forêts (26,8 %), zones agricoles hétérogènes (16 %), prairies (0,1 %)[29]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement

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En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 41, alors qu'il était de 38 en 2013 et de 39 en 2008[I 2].

Parmi ces logements, 27,9 % étaient des résidences principales, 72,1 % des résidences secondaires et 0 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Tignac en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (72,1 %) supérieure à celle du département (24,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 80 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (80 % en 2013), contre 66,3 % pour l'Ariège et 57,5 % pour la France entière[I 3].

Le logement à Tignac en 2018.
Typologie Tignac[I 2] Ariège[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 27,9 65,7 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 72,1 24,6 9,7
Logements vacants (en %) 0 9,7 8,2

Voies de communication et transports

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Le village est desservi par la RD 44.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Tignac est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains, avalanche et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque particulier, le risque radon[30],[31].

Risques naturels

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Zonage de l'aléa retrait-gonflement des argiles sur la commune de Tignac.

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle d'un cours d'eau, ou ruissellement d'un versant[32].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des chutes de blocs, soit des glissements de terrains, soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Tignac[33]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[34].

Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Tignac[33]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[34].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Tignac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[35].

Toponymie

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Une forme ancienne est Tinhaco, notifié pour la première fois en 1272 dans le dénombrement des terres du comté de Foix[36],[37],[Note 5].

L'origine du nom de Tignac remonterait à un nom de personne latin Tennius ou Tineius auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à *Tiniacum, « domaine de Tineius »[38].

Histoire

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Le Registre d'inquisition de Jacques Fournier[39] (évêque de Pamiers) et futur pape Benoît XII relate en date du 5 novembre 1322 le témoignage de Bernard Laufre, fils de feu Pierre Laufre de Tignac, qui avait été suspect en matière d'hérésie et qui dénonce alors Raimond Delaire :

« ...pour les erreurs et hérésies suivantes, tant sur la place de Tignac qu'ailleurs :

  • que l'homme n'a d'autre âme que le sang, et qu'après la mort, l'âme de l'homme n'éprouvait pas le bien et ne souffrait pas le mal ;
  • que les bêtes ont une âme aussi bonne que les hommes ;
  • que notre Seigneur le Christ avait été engendré par le coït d'un homme et d'une femme, comme le sont communément les autres hommes ;
  • que ce monde visible était Dieu, et qu'il n'était d'autre Dieu que ce monde visible ;
  • que la messe, ni rien de ce qui se fait à l'église, n'ont une valeur quelconque ; qu'il n'y avait ni enfer ni paradis dans un autre monde ;
  • que ce n'était pas un péché que de connaître charnellement des femmes, à moins qu'elles ne fussent les mères de ceux qui le font, ou leurs filles ou leurs sœurs. »

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune de Tignac est membre de la communauté de communes de la Haute Ariège[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Luzenac. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[40].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Foix, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 1]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Haute-Ariège pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la première circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[41].

Liste des maires

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La mairie
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1983 En cours Joseph Ferrand DVG Retraitée Fonction publique

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[43].

En 2021, la commune comptait 21 habitants[Note 6], en évolution de −8,7 % par rapport à 2015 (Ariège : +1,38 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
186149187211222216200232238
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
215216203195178160163155164
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
156158155114109101886557
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
362321141015282819
2015 2020 2021 - - - - - -
232121------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee à partir de 2006[45].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 6] 0 % 0 % 0 %
Département[I 7] 8,9 % 11,1 % 11,2 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 11 personnes, parmi lesquelles on compte 70 % d'actifs (70 % ayant un emploi et 0 % de chômeurs) et 30 % d'inactifs[Note 7],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 9]. Elle compte 2 emplois en 2018, contre 2 en 2013 et 2 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 8, soit un indicateur de concentration d'emploi de 25,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 43,8 %[I 10].

Sur ces 8 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, aucun ne travaille dans la commune[I 11]. Pour se rendre au travail, la totalité des habitants utilise un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues[I 12].

Activités hors agriculture

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Aucun établissement[Note 8] relevant d’une activité hors champ de l’agriculture n’est implanté à Tignac au [I 13].

Agriculture

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1988 2000 2010
Exploitations 6 2 2
Superficie agricole utilisée (ha) 41 31 37

La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Région pyrénéenne »[46]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 9] sur la commune est l'élevage d'ovins et de caprins[47]. Deux exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole[Note 10] de 2010 (six en 1988). La superficie agricole utilisée est de 37 ha[47].

Équipements, services et vie locale

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Les services de proximité et l'enseignement sont à Savignac-les-Ormeaux et Ax-les-Thermes.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[11],[12]
  3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Lu Linhaco du texte latin d'origine sur certains ouvrages.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  9. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  10. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[48].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de l'Ariège », (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Tignac et Foix », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Tignac et Ax-les-Thermes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Tignac », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 365-366.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « Carte géologique de Tignac » sur Géoportail (consulté le 23 avril 2022).
  8. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Tignac », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  9. « Notice associée à la feuille n°1087 - Vicdessos de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  10. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Tignac », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  13. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  14. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Fiche communale de Tignac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  16. « Carte hydrographique de Tignac » sur Géoportail (consulté le 29 octobre 2021).
  17. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  18. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  19. « Orthodromie entre Tignac et Ascou », sur fr.distance.to (consulté le ).
  20. « Station Météo-France « Ascou Lavail » (commune d'Ascou) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  21. « Station Météo-France « Ascou Lavail » (commune d'Ascou) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  22. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  23. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Tignac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  24. « ZNIEFF les « montagnes orientales d'Ax-les-Thermes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  25. « ZNIEFF « le bassin versant de l'Oriège et montagnes orientales d'Ax-les-Thermes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  26. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  27. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  28. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  29. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  30. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) de l'Ariège » [PDF], sur le site de la préfecture, (consulté le ), chapitre Liste des risques par commune.
  31. « Les risques près de chez moi - commune de Tignac », sur Géorisques (consulté le ).
  32. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) de l'Ariège » [PDF], sur le site de la préfecture, (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  33. a et b « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) de l'Ariège » [PDF], sur le site de la préfecture, (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  34. a et b « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Tignac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  35. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) de l'Ariège » [PDF], sur le site de la préfecture, (consulté le ), chapitre Risque radon.
  36. Histoire générale de languedoc, avec des notes et les pièces, vol. 6, , Enquête sur les limites du comté de Foix, p.602
  37. Site de la commune
  38. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 667.
  39. Traduit par Jean Duvernoy, « 67 Bernard Laufre de Tignac », Registre d'inquisition de Jacques Fournier (évêque de Pamiers) 1318 - 1325,‎ , p. 822 (lire en ligne)
  40. « communauté de communes de la Haute Ariège - fiche descriptive au  », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
  41. « Découpage électoral de l'Ariège (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  42. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  43. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  44. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  46. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  47. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Tignac - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  48. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  49. « Statue de l'église », notice no PM09000788, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  50. « Plat de quête », notice no PM09000866, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture