The Slow Show

Informations générales
Pays d'origine	Angleterre
Genre musical	Rock indépendant
Années actives	Depuis 2010
Site officiel	www.theslowshow.co.uk
Membres	Rob Goodwin (chant, guitare); Frederik't Kindt (clavier); Joel Byrne-McCullough (guitare); Chris Hough (batterie)

The Slow Show est un groupe de rock indépendant anglais fondé en 2010 à Manchester.

Biographie

Le quatuor tire son nom de la chanson éponyme du groupe de rock indépendant The National^[1].

Il voit le jour à la suite de la rencontre entre Frederik't Kindt (clavier) et Rob Goodwin (chant, guitare). Pour ses débuts, il fait la première partie des concerts du groupe anglais Elbow^[2].

Ils sortent leur premier album en 2015 et le deuxième en 2016. Depuis cette dernière année, Rob Goodwin réside à Düsseldorf, en Allemagne^[2].

Leur musique, qualifiée tour à tour de minimaliste, sombre, lente, poétique et magistrale, se distingue par la voix de « crooner baryton» du chanteur^[3]^,^[4]^,^[5]^,^[6]^,^[7] et évoque Tindersticks et Leonard Cohen^[8].

Membres

Rob Goodwin - chant, guitare
Frederik't Kindt - clavier
Joel Byrne-McCullough - guitare
Christopher Hough - batterie

Rob Goodwin au Festival Papillons de nuit, 2019.

Discographie

Albums studio

White Water (2015, Haldern Pop Recordings)^[9]^,^[10]
Dream Darling (2016, Haldern Pop Recordings)^[11]
Lust and Learn (2019, PIAS)^[12]^,^[13]
Still Life (2022, PIAS)
Subtle Love (2023, PIAS)

Singles

Midnight Waltz (2011)
Brother (2012)
Dresden (2014, Haldern Pop Recordings)
Bloodline (2014, Haldern Pop Recordings)
Augustine (2015, Haldern Pop Recordings)
Hopeless Town / Breaks Today (2015, Haldern Pop Recordings)
Ordinary Lives (2016, Haldern Pop Recordings)
Strangers Now (2017, Haldern Pop Recordings)
Sharp Scratchs (2019, PIAS Group)
Live With Halle Youth Choir (2019)

Références

↑ (de) Marlen Gruner, « The Slow Show präsentieren Debütalbum im Privatclub », sur www.bz-berlin.de, 27 mai 2015 (consulté le 3 février 2022).
↑ ^{a et b} « The Slow Show: Lust and Learn album sublime! », sur weirdsound.net, 9 septembre 2019 (consulté le 3 février 2022).
↑ « Les Profondeurs de l’Apprentissage: « Interview de The Slow Show » », sur No BS: Just Rock & Roll!, 17 janvier 2020 (consulté le 3 février 2022).
↑ Philippe Richard, « Musique. Des voix de basse pour des temps graves », Ouest France,‎ 19 avril 2020 (lire en ligne).
↑ Étienne Poiarez, « MaMA 2016, jour 1 », sur indiemusic, 13 octobre 2016 (consulté le 3 février 2022).
↑ « The Slow Show, le charme à l’anglaise », sur canyouhear.fr, 25 novembre 2015 (consulté le 3 février 2022)
↑ Thomas Monot, « The Slow Show : petits frères de The National », sur Songazine, 29 novembre 2015 (consulté le 3 février 2022).
↑ (en) « The Slow Show Biography, Songs, & Albums », sur AllMusic (consulté le 3 février 2022).
↑ (de) Jens Bauszus, « The Slow Show glückt ein meisterhaftes Debüt zum Verlieben », sur FOCUS Online, 4 mars 2015 (consulté le 3 février 2022).
↑ (de) Jan Wiele, « Album der Woche: Ein wohlklingender Zusammmenbruch », Frankfurter Allgemeine,‎ 11 mai 2015 (ISSN 0174-4909, lire en ligne, consulté le 3 février 2022).
↑ (de) « Album der Woche: The Slow Show: "Dream Darling" », sur Der Standard, 14 octobre 2016 (consulté le 3 février 2022).
↑ « The Slow Show revient avec un nouveau disque », sur 20 minutes, 5 septembre 2019 (consulté le 3 février 2022)
↑ (de) David Kilchoer, «Ich habe akzeptiert, dass im Nichtwissen sehr viel Leben steckt», sur Negative White, 16 novembre 2019 (consulté le 3 février 2022).

Liens externes

[1] (de) Marlen Gruner, « The Slow Show präsentieren Debütalbum im Privatclub », sur www.bz-berlin.de, 27 mai 2015 (consulté le 3 février 2022).

[:0-2] {a et b} « The Slow Show: Lust and Learn album sublime! », sur weirdsound.net, 9 septembre 2019 (consulté le 3 février 2022).

[3] « Les Profondeurs de l’Apprentissage: « Interview de The Slow Show » », sur No BS: Just Rock & Roll!, 17 janvier 2020 (consulté le 3 février 2022).

[4] Philippe Richard, « Musique. Des voix de basse pour des temps graves », Ouest France,‎ 19 avril 2020 (lire en ligne).

[5] Étienne Poiarez, « MaMA 2016, jour 1 », sur indiemusic, 13 octobre 2016 (consulté le 3 février 2022).

[6] « The Slow Show, le charme à l’anglaise », sur canyouhear.fr, 25 novembre 2015 (consulté le 3 février 2022)

[7] Thomas Monot, « The Slow Show : petits frères de The National », sur Songazine, 29 novembre 2015 (consulté le 3 février 2022).

[8] (en) « The Slow Show Biography, Songs, & Albums », sur AllMusic (consulté le 3 février 2022).

[9] (de) Jens Bauszus, « The Slow Show glückt ein meisterhaftes Debüt zum Verlieben », sur FOCUS Online, 4 mars 2015 (consulté le 3 février 2022).

[10] (de) Jan Wiele, « Album der Woche: Ein wohlklingender Zusammmenbruch », Frankfurter Allgemeine,‎ 11 mai 2015 (ISSN 0174-4909, lire en ligne, consulté le 3 février 2022).

[11] (de) « Album der Woche: The Slow Show: "Dream Darling" », sur Der Standard, 14 octobre 2016 (consulté le 3 février 2022).

[12] « The Slow Show revient avec un nouveau disque », sur 20 minutes, 5 septembre 2019 (consulté le 3 février 2022)

[13] (de) David Kilchoer, «Ich habe akzeptiert, dass im Nichtwissen sehr viel Leben steckt», sur Negative White, 16 novembre 2019 (consulté le 3 février 2022).

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