The Mind Robber
The Mind Robber (Le voleur d'esprit) est le quarante-cinquième épisode de la première série de la série télévisée britannique de science-fiction Doctor Who, diffusé pour la première fois en cinq parties hebdomadaires du au .
The Mind Robber | ||||||||
Épisode de Doctor Who | ||||||||
Le logo de la série (période 1967-1969) | ||||||||
Titre original | The Mind Robber | |||||||
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Numéro d'épisode | Saison 6 (1re série) Épisode 2 (ou 45) | |||||||
Code de production | UU | |||||||
Réalisation | David Maloney | |||||||
Scénario | Derrick Sherwin (non crédité) Peter Ling |
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Production | Peter Bryant | |||||||
Durée | 5 x 20 minutes | |||||||
Diffusion | au sur BBC One | |||||||
Personnages | Docteur : 2e Compagnons : Jamie McCrimmon Zoe Heriot |
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Chronologie | ||||||||
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Liste des épisodes | ||||||||
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Résumé
modifierCherchant un atterrissage d'urgence, le Docteur et ses compagnons se retrouvent dans un espace nommé le « vide » dans lequel ils rencontrent des personnages issus de l'imaginaire.
Casting
modifier- Patrick Troughton — Le Docteur
- Frazer Hines — Jamie McCrimmon
- Wendy Padbury — Zoe Heriot
- Emrys Jones — Le Maitre
- Bernard Horsfall — Gulliver
- Christopher Robbie — Karkus
- Sue Pulford — Méduse
- Philip Ryan — Le soldat anglais
- Christine Pirie — La princesse Raiponce
- John Greenwood — D'Artagnan / Lancelot
- David Cannon — Cyrano
- Gerry Wain — Barbe Noire
- Paul Alexander, Ian Hines, Richard Ireson — Les soldats
- Barbara Loft, Sylvestra Le Tozel, Timothy Horton, Christopher Reynalds, David Reynalds, Martin Langley — Les enfants
- John Atterbury, Ralph Carrigan, Bill Wiesener, Terry Wright — Les robots
Synopsis
modifierAprès avoir défait les Dominateurs, le TARDIS se retrouve au beau milieu de la lave d’une explosion volcanique. Le Docteur tente alors de faire redémarrer l’appareil avec l’aide de Jamie et Zoe. Obligé d’utiliser l’unité d’urgence lors de ce démarrage en catastrophe, le Docteur amène son vaisseau hors de la réalité elle-même. Ayant atterri au milieu d’un espace blanc évoquant le néant, le Docteur tente de réparer le TARDIS. Jamie et Zoe sont attirés dehors par des images évoquant leurs pays natals. Hypnotisés par des robots, il faudra l’intervention du Docteur pour les ramener à l’intérieur.
Dans une tentative de retourner dans la réalité, le TARDIS explose et ses occupants sont emmenés dans l’inconnu. Ils atterrissent dans une forêt où, vus d’en haut, les arbres sont des lettres et forment des mots. À la recherche de Jamie et Zoe, le Docteur se retrouve face à des enfants facétieux, puis à des énigmes incrustées dans le paysage. Il réussit à retrouver Jamie sous forme d’une statue sans visage et transforme accidentellement son visage en tentant de le ramener à la vie. Après avoir retrouvé Zoe, ils rencontrent un étrange capitaine de navire avant d’être poursuivis par des soldats de plomb géants. Poussés à l’orée de la forêt, ils font face à une licorne.
La menaçante licorne se transforme en statue lorsqu’ils parviennent à se convaincre que celle-ci n'est pas réelle. Alors qu’ils sont observés par un mystérieux personnage nommé « le Maitre », le Docteur et ses compagnons poursuivent leur voyage. Un peu plus loin, Jamie est rechangé en statue après avoir attaqué un soldat anglais ce qui permet au Docteur de lui redonner son véritable visage avant de le réanimer. À l’intérieur de la maison, ils retrouvent de nouveau le capitaine, que le Docteur identifie comme étant Gulliver avant d’arriver à l’intérieur d’un labyrinthe. Laissant Jamie derrière eux, le Docteur et Zoe font face à des créatures mythologiques comme le Minotaure et Méduse, puis parviennent à s’en débarrasser de la même façon que la licorne.
Poursuivi hors du labyrinthe par un des soldats de plomb, Jamie parvient à s’en échapper en escaladant des rochers puis en s’agrippant à une corde menant à un château. Il s’avère que la corde est en réalité les cheveux de la princesse Raiponce, assez mécontente de voir que Jamie n’est pas un prince. À l’intérieur du château, Jamie découvre une forteresse technologique, des dossiers contenant les différents mondes imaginaires, et une bande magnétique retraçant ce qu’il arrive au Docteur et à Zoe. Une alarme finit par retentir et Jamie se retrouve face à Gulliver, qui semble ne pas voir les robots qui menacent le jeune homme.
Zoe et le Docteur sortent du labyrinthe et rencontrent le Karkus, un personnage de dessin animé venu de l’époque de Zoe. Celui est une sorte de voleur masqué qui les menace avec un « rayon désintégrateur anti-moléculaire » (une arme qui ne peut exister, selon le Docteur.) Seule Zoe réussit à vaincre le Karkus dont elle connait les aventures et ils réussissent à s’en faire un fidèle serviteur. Il les amène à la citadelle où ils croisent de nouveau Jamie. Zoe met en route accidentellement l’alarme et des robots les amènent vers la salle de contrôle.
Là, ils rencontrent enfin le Maitre, un écrivain terrien enlevé et attaché à un cerveau géant afin de créer tout un univers. S’estimant vieillissant, il a amené le Docteur afin que celui-ci puisse le remplacer et avoue que les épreuves précédentes n’étaient que des tests destinés à analyser sa capacité d’imagination. Afin de forcer le Docteur à coopérer, Jamie et Zoe sont enfermés dans un livre géant, mais le Docteur parvient tout de même à s'enfuir.
Le Maitre transforme Jamie et Zoe en créatures de fictions afin qu’ils puissent tromper le Docteur et le forcer à devenir le nouveau Maitre. Attachés à une machine, le Docteur et le Maitre se livrent un combat faisant apparaitre des créatures de fictions. Le Docteur réussit à libérer Jamie et Zoe et à provoquer les robots pour qu’ils se détruisent eux-mêmes. Il réussit à détacher le Maitre de ses liens vers le cerveau géant, ce qui lui permet de redevenir lui-même. Les robots sont poussés à détruire le cerveau, tandis que le TARDIS se reconstruit pour prendre sa forme originelle.
Continuité
modifier- Le Maitre n'a rien à voir avec le Seigneur du Temps du même nom. De même, le minotaure rencontré n'a rien à voir avec celui vu dans les épisodes The Time Monster (3e Docteur), The Horns of Nimon (4e Docteur) et The God Complex (11e Docteur).
- Cet épisode commence exactement là où l'épisode précédent finissait. De même, il s’ouvre sur un cliffhanger qui n’est résolu que dans l'épisode suivant même si le sort réservé au Maître ne trouve pas de réponse.
- Il est assez ironique de voir que, pour quelqu’un qui utilise souvent le charabia pseudo-scientifique, le Docteur estime qu'un rayon désintégrateur anti-moléculaire ne peut pas exister.
- Le pays de la fiction réapparaît dans des romans et des pièces radiophoniques dérivées de la série.
Références extérieures
modifier- On trouve de nombreux personnages de la littérature interagissant avec les personnages de la série : la princesse Raiponce est issue des contes de Grimm, Lemuel Gulliver est le héros d'un roman de Jonathan Swift, Les Voyages de Gulliver, Lancelot est issu de la légende des Chevaliers de la Table ronde.
- On trouve aussi des personnages ayant réellement existé mais dont la vie a fait l’objet de romans : le d'Artagnan évoqué est celui du roman de 1844 d'Alexandre Dumas, Les Trois Mousquetaires, le Cyrano de Bergerac décrit est le personnage de la pièce de théâtre d'Edmond Rostand de 1897 et Barbe Noire s’apparente aux pirates vus dans le roman pour enfants de Robert Louis Stevenson L'Île au trésor (1883).
- De même, on trouve de nombreux monstres issus du bestiaire de la mythologie grecque et du fantastique en général : une licorne, Méduse, le Minotaure, etc.
- Les soldats ont une apparence de soldat de plomb, ce qui augmente le côté enfantin et féerique de cet univers.
- Peter Ling dira que le caractère des enfants lui fut inspiré par le roman d’Edith Nesbit, The Story of the Treasure Seekers (1898) et que le personnage du Maître est inspiré de Charles Hamilton, un écrivain pour enfants célèbre et créateur du personnage de Billy Bunter. De même, des références au livre de Louisa May Alcott, Les Quatre Filles du docteur March, apparaissent sans être créditées explicitement.
- De même, si le personnage de Karkus ne renvoie à aucun personnage connu (celui-ci venant d’un imaginaire situé dans le futur), Peter Ling dit s’être inspiré de Batman. Un fanzine de Doctor Who, The Hourly Telepress, se mit à publier les aventures de Karkus, début 2000.
- Sur le livre géant dans lequel sont enfermés Jamie et Zoe, on peut lire ironiquement l'inscription française : « Un renard pris au piège ».
Production
modifierScénarisation
modifierIl s’agit du seul épisode de la série écrit par Peter Ling, un auteur de la BBC assez célèbre pour avoir scénarisé de nombreux épisodes de Chapeau melon et bottes de cuir et pour avoir cocréé le soap opera Compact ainsi qu'un autre soap, Crossroads. Cette série l’a amené à travailler avec Derrick Sherwin, à l’époque où celui-ci n’était pas encore script-editor (superviseur des scripts) pour Doctor Who, et les deux hommes se fréquentaient assez souvent. C’est lors d'une discussion en 1967 dans le train entre Ling, Sherwin et son assistant, Terrance Dicks, que l'ébauche de cet épisode est créée. Ling racontait que de nombreux téléspectateurs traitaient les personnages de séries comme des êtres humains à part entière et l’idée d’un épisode nommé provisoirement The Fact of Fiction (Le Fait de la Fiction) racontant les aventures du Docteur au pays de la fiction fut évoquée.
Le , Peter Ling est engagé par la production pour écrire un épisode en 6 parties sous le nom provisoire de "ManPower" (l'homme de pouvoir). Au fur et à mesure de son écriture, le script connaîtra de nombreux changements : il sera réduit à quatre parties et le personnage de Victoria Waterfield est changé. Ne connaissant pas l'identité de sa remplaçante, il appelle le personnage par défaut « Zoe », une idée qui plait à Derrick Sherwin et au producteur Peter Bryant qui décident de garder ce prénom pour le futur compagnon du Docteur. À l'origine, le TARDIS devait exploser à la suite d'une tempête magnétique et les soldats du Maître devaient être des monstres sans visages posant des énigmes. Sherwin préférera des soldats de plombs géants et laisser des enfants poser les devinettes. C'est aussi Sherwin qui décidera que Gulliver ne parlera qu'avec les mots écrits dans le roman de Jonathan Swift et soumettra l'idée d'un contrôle mental poussant les occupants du TARDIS à sortir dehors.
Lors de l'écriture, il fut décidé que cet épisode serait le dernier à être tourné lors du tournage de la 5e saison et reçu le code de production UU. Dans le foisonnement de références que Peter Ling comptait réutiliser, certaines furent supprimées pour des raisons de copyright, comme Zorro ou la mention à un poème de Walter de la Mare. De plus, Mervyn Haisman et Henry Lincoln, les scénaristes de l'épisode précédent, « The Dominators » se fâchèrent avec la production et leur épisode fut réduit à 5 parties. Pour combler ce manque, Derrick Sherwin eu l'accord de la BBC le pour écrire un épisode introductif à "The Mind Robber." Cet épisode fut une sorte de "bottle épisode" écrit dans l'urgence avec le moins de dispositif possible : le TARDIS et un grand espace blanc considéré comme le vide. Pouvant faire le lien entre l'épisode précédent et le nouveau, Sherwin supprima la mention à la tempête magnétique qui aurait détruit le TARDIS et l'intégra dans un ensemble plus grand.
Le , l'épisode acquit son titre définitif de "The Mind Robber." Un mois plus tard, il fut décidé que la durée des différentes parties serait réduite de 25 minutes à 20 minutes ce qui engendrera de nombreuses coupures dans le scénario. La dernière partie de l'épisode et ses 18 minutes compte d'ailleurs comme étant l'un des épisodes "officiels" les plus courts de toute la série.
Plus tard, Peter Ling soumettra à Terrance Dicks l'idée d'un épisode de Doctor Who se situant sur un territoire où les événements vont à rebours dans le temps. Malheureusement, l'idée fut trop complexe à scénariser et Ling ne scénarisera pas d'autres épisodes de la série.
Casting
modifier- Bernard Horsfall jouerait plus tard un rôle de Seigneur du Temps dans « The War Games », celui de Taron dans « Planet of the Daleks » et celui du Chancelier Goth dans « The Deadly Assassin »
- Christopher Robbie apparaîtrait dans le rôle du Cyberleader dans l'épisode « Revenge of the Cybermen. »
- Hamish Wilson était un fan de la série avant d'être appelé pour remplacer Frazer Hines, ce qui facilita la transition entre les deux acteurs.
Tournage
modifierLe réalisateur engagé pour cet épisode fut David Maloney, un ancien assistant de production ayant travaillé sur les épisodes « The Rescue » et « The Ark »
Le tournage débuta le près d'Harrison's Rocks à Groombridge, dans le Sussex de l'est, pour des plans figurant la falaise sous la citadelle de Raiponce, et un cousin de Frazer Hines, Ian, est engagé pour jouer l'un des soldats de plomb. Cette nuit là, à l'aéroport de Kenley près de Croydon dans le Surrey, fut tournée la scène d'affrontement contre la licorne, mais le cheval amené ayant une robe brune, l'équipe de production dû le repeindre en blanc. Les maquettes furent filmées les 10 et au "Television Center Puppet Theater" de la BBC, suivies de trois jours de tournage du 12 au dans les studios d'Ealing pour les scènes se passant dans le vide blanc, le vide noir, et la bataille finale entre les différents personnages fictifs.
Comme souvent, les épisodes furent répétés toute la semaine avant d'être enregistrés d'un seul tenant dans la journée du vendredi au studio 3 du Centre Télévisuel de la BBC (sauf la troisième partie qui fut tournée dans les studios D de Limegrove). Le tournage débuta le et durant la semaine suivante, Frazer Hines attrapa la varicelle. Sherwin réécrivit assez vite le scénario pour inclure un passage où le Docteur, en résolvant une mauvaise énigme, changeait sans le vouloir le visage de Jamie, permettant qu'il soit joué durant un épisode par l'acteur Hamish Wilson.
Cet épisode marque la fin du 5e bloc de tournage de la série.
Diffusion et Réception
modifierDiffusion
modifierÉpisode | Date de diffusion | Durée | Téléspectateurs en millions |
Archives |
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Épisode 1 | 21:27 | 6,6 | Film 16 mm | |
Épisode 2 | 21:39 | 6,5 | Film 16 mm | |
Épisode 3 | 19:29 | 7,2 | Film 16 mm | |
Épisode 4 | 19:14 | 7,3 | Film 16 mm | |
Épisode 5 | 18:00 | 6,7 | Film 16 mm et 35 mm | |
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À la fin de l'épisode 5, il est fait mention que l'épisode prochain « The Invasion » sera diffusé la semaine prochaine, ce qui n'arriva pas, l'épisode ayant été décalé pour cause de retransmission des Jeux olympiques d'été de 1968.
Cette histoire fera partie des épisodes retenus pour le BSB Doctor Who's Week end en .
Critiques
modifierLe rapport d'audience de la BBC concernant cet épisode fut largement négatif, avec à peine un tiers des téléspectateurs satisfaits. La plupart des plaintes portèrent sur le côté fantastique de l'épisode au lieu de la science fiction habituelle, que les spectateurs trouvèrent "idiot". Certains autres aimèrent bien le concept mais le jugèrent trop compliqué pour les enfants[3],[4].
Néanmoins, la critique contemporaine aurait tendance à réhabiliter cet épisode. Paul Cornell, Martin Day et Keith Topping écrivirent en 1995 de nombreux avis positifs dans le Discontinuity Guide. "Le mélange d'images troublantes (Jamie ayant son visage disparu), de figures littéraires superbes ("Quand une porte n'est pas une porte ?") et d'accessoires (la bataille mentale pour le retour de Jamie et Zoe) font de cet épisode l'une des histoires les plus mémorables de la période Troughton."[5]
Dans le livre The Television Companion (1998), David J. Howe et Stephen James Walker louent l'inventivité du scénario, jugeant qu'il s'agit d'une "histoire enthousiasmante et mémorable, qui garde son charme après de nombreux visionnages." Néanmoins, ils trouvent que la grande variété des personnages empêche l'épisode de bien se structurer et il est assez visible que l'épisode a été prolongé d'une partie d'introduction qui retarde l'échéance. Howe et Walker trouvent que l'histoire a tendance à se niveler vers le bas après la merveilleuse première partie[3].
En 2009, Mark Braxton du programme télévisé "Radio Times" loua les prémices de l'histoire et son humour délicieux et subtil. Il écrit aussi que le casting des habitants du Pays de la Fiction fut bien choisi[6]. Le critique du site "The A.V. Club", Christopher Bah, décrit cet épisode comme l'un de ceux qui mélangent le plus les genres tout en ayant un rythme trépidant, alignant les éléments "bizarres et effrayants", sans jamais tomber dans la "base envahie". Il note tout de même que la fin est ambiguë et ne permet pas de déterminer si le Docteur et ses compagnons sont retournés dans le monde réel ou s'ils sont toujours dans le Pays de la Fiction[7]. En 2010, Charlie Anders du site io9 mettait cet épisode dans la liste des "meilleurs cliffhangers de l'histoire de Doctor Who" pour la fin de la première partie où le TARDIS explose[8].
L'épisode est souvent comparé à « The Celestial Toymaker » où le Docteur et ses compagnons sont amenés dans une autre dimension pour y jouer à des jeux.
Novélisation
modifierL'épisode fut novélisé sous le titre de "The Mind Robber" par Peter Ling lui-même, et sortit en avril 1987 sous le numéro 115 de la collection Doctor Who des éditions Target Book. Aucune traduction n'en a été faite à ce jour[9].
Éditions commerciales
modifierL'épisode n'a jamais été édité en français, mais a connu plusieurs éditions au Royaume-Uni, États-Unis et au Canada.
- L'épisode est sorti sur VHS en .
- L'épisode a connu une édition DVD sortie le (Angleterre) et le (Canada, États-Unis). Elle contient des commentaires de Wendy Padbury, Frazer Hines, David Maloney et Hamish Wilson, une interview de Frazer Hines et de ses années sur Doctor Who et des galeries photos.
Liens externes
modifier- (en) The Mind Robber sur l’Internet Movie Database
- « The Mind Robber », BBC (consulté le )
- « Episode 45 - The Mind Robber - Forum de discussion sur Doctor Who », Beans on Toast (consulté le )
- « The Mind Robber (TV Story) », TARDIS Index Files (consulté le )
- « The Mind Robber », Shannon Sullivan "A Brief History Of Time (Travel) (consulté le )
Références
modifier- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « The Mind Robber » (voir la liste des auteurs).
- Shaun Lyon et al., « The Mind Robber » [archive du ], Outpost Gallifrey, (consulté le )
- « The Mind Robber », Doctor Who Reference Guide (consulté le )
- Howe, David J & Walker, Stephen James, Doctor Who : The Television Companion, Londres, BBC Books, , 1re éd., 557 p. (ISBN 978-0-563-40588-7, lire en ligne)
- « The Mind Robber », BBC (consulté le )
- Paul Cornell, Martin Day et Keith Topping, The Discontinuity Guide, Londres, Virgin Books, , 357 p. (ISBN 0-426-20442-5, lire en ligne), « The Mind Robber »
- Mark Braxton, « Doctor Who: The Mind Robber », Radio Times, (consulté le )
- Christopher Bahn, « The Mind Robber », The A.V. Club, (consulté le )
- Charlie Jane Anders, « Greatest Doctor Who cliffhangers of all time! », io9, (consulté le )
- (en) « The Mind Robber », On Target (consulté le )