Terdeghem

commune française du département du Nord

Terdeghem [tɛʁdəɡɛm] est une commune française relevant du département du Nord et de la région Hauts-de-France, située dans le Houtland au sein du Westhoek français.

Terdeghem
Terdeghem
La Mairie de Terdeghem.
Blason de Terdeghem
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Dunkerque
Intercommunalité Communauté d'agglomération Cœur de Flandre
Maire
Mandat
Virginie Delestré
2021-2026
Code postal 59114
Code commune 59587
Démographie
Gentilé Terdeghemois
Population
municipale
518 hab. (2021 en évolution de −8,32 % par rapport à 2015)
Densité 59 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 47′ 56″ nord, 2° 32′ 27″ est
Altitude Min. 19 m
Max. 80 m
Superficie 8,82 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Wormhout
Législatives Quinzième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Terdeghem
Géolocalisation sur la carte : France
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Terdeghem
Géolocalisation sur la carte : Nord
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Terdeghem
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Terdeghem

La commune fait partie de la communauté de communes de Flandre intérieure, CCFI.

Géographie

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Entrée de Terdeghem
 
Terdeghem dans son canton et son arrondissement

Situation

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Situé au pied du mont des Récollets, sur la rivière de l'Ey Becque, à 8,6 km d'Hazebrouck, 10,5 km de Wormhout, 24 km de Nieppe et 30 km de Bray-Dunes.

Communes limitrophes

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Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par l'Ey Becque, la moè Becque[1], la Steenmeulen[2], la Terdeghem[3], la Wagen Brugge[4] et le Château Balloy[5],[6],[Carte 1].

L'Ey Becque, d'une longueur de 19 km, prend sa source dans la commune de Saint-Sylvestre-Cappel et se jette dans l'Yser en limite d'Houtkerque et de la frontière belge, après avoir traversé cinq communes[7]. Les caractéristiques hydrologiques de l'Ey Becque sont données par la station hydrologique située sur la commune. Le débit moyen mensuel est de 0,277 m3/s[Note 1]. Le débit moyen journalier maximum est de 6,170 6 novembre 20 238,9 m3/s, atteint le même jour[8].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Yser ». Ce document de planification concerne un territoire de 381 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de l'Yser en France. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'Union syndicale d'aménagement hydraulique du Nord (USAN)[9].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 767 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Steenvoorde à 3 km à vol d'oiseau[12], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 727,8 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Statistiques 1991-2020 et records STEENVOORDE (59) - alt : 42m, lat : 50°49'47"N, lon : 2°34'07"E
Records établis sur la période du 01-10-2004 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,2 2 3,5 5,7 8,8 11,6 13,5 13,5 11,6 9,2 5,5 2,9 7,5
Température moyenne (°C) 4,5 4,7 7 10,4 13,3 16,2 18,5 18,2 16 12,5 8,1 5,2 11,2
Température maximale moyenne (°C) 6,8 7,3 10,5 15 17,8 20,8 23,5 22,9 20,4 15,7 10,6 7,5 14,9
Record de froid (°C)
date du record
−10,9
16.01.13
−13,4
04.02.12
−6,8
04.03.05
−2,6
07.04.13
1
01.05.21
4,9
01.06.06
7,4
31.07.15
7,8
29.08.07
3,2
30.09.18
−0,1
23.10.07
−4,4
29.11.10
−9,6
03.12.10
−13,4
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
15,3
01.01.22
18,3
24.02.21
24,1
31.03.21
26,3
19.04.18
31,8
27.05.05
33,5
27.06.11
40,8
25.07.19
34,9
07.08.18
34,2
09.09.23
28,8
01.10.11
19,9
07.11.15
16,2
31.12.22
40,8
2019
Précipitations (mm) 51 54 49 32,6 51 52,5 67,8 81,6 55 70 86,5 76,8 727,8
Source : « Fiche 59580003 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme

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Typologie

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Au , Terdeghem est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle est située hors unité urbaine[17] et hors attraction des villes[18],[19].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (99,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (97,7 %), zones urbanisées (2,2 %)[20]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Héraldique

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Les armes de Terdeghem se blasonnent ainsi : D'azur à trois jumelles d'or.[21]

Toponymie

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Le nom du village a été retrouvé sous différentes formes au fil du temps : Terdengim (1002), Tertingehem (1038), Terdingehem (1115), Terdengem (1167), Terdighem (1187), Therdeghem (1793), Terdeghem (1802).

Il viendrait d'un anthroponyme germanique, Terdo : Terdinga haim, « habitation des gens de Terdo »[22].

Histoire

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Elle s'appelle Terdegem en néerlandais, prononcé Tergem en flamand occidental.

La première mention de la cité date de 965[23], elle groupait plusieurs seigneuries.

Il semble que l'église de Terdeghem, orthographiée Terdinghin, ait été donnée en 1002 à l'abbaye Saint-Pierre de Gand[24]. Mais en 1218, sous le nom de Terdinghem, le patronat de l'église est débattu entre deux abbayes le revendiquant toutes les deux : l'abbaye Saint-Médard d'Andres, et l'abbaye de Beaulieu (Hampshire); il a fallu désigner des arbitres (évêque, abbés d'autres monastères) pour les départager[25].

Du point de vue religieux, la commune était située dans le diocèse de Thérouanne puis dans le diocèse d'Ypres, doyenné de Cassel[26].

Révolution française

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Au moment de la Révolution française, le curé de Terdeghem Van Den Bavière, licencié en théologie, est un deux représentants du clergé pour le bailliage de Bailleul à participer aux États généraux de 1789[27].Il ne reste que quelques mois aux États Généraux et rentre dans sa paroisse le 6 janvier 1790. Il est remplacé par le curé de Mardyck Palmaert[27].

Il refuse la constitution civile du clergé. Son « fanatisme » anti-révolutionnaire proviendrait des 18 ans passés comme chapelain en terre autrichienne. En décembre 1790, il refuse de lire les décrets du pouvoir pendant son prêche. Il menace tout acquéreur de bien national (bien appartenant à l'église ou à la noblesse vendu au profit du nouveau pouvoir révolutionnaire). Il refuse de fournir au district d'Hazebrouck les documents relatifs aux propriétés de sa cure[28].

Il émigre en juin 1791 (Émigration française (1789-1815) et meurt à Bruges le 7 avril 1815[27].

Après la Révolution française

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En 1895, avant le développement de l'automobile, et à l'époque des petits trains dans les campagnes, une voie ferrée relie Hondschoote à Hazebrouck, via Rexpoëde, Bambecque, Herzeele, Winnezeele, Steenvoorde, Terdeghem, Saint-Sylvestre-Cappel, Hondeghem, Weke-Meulen. Le trajet dure 1h35, trois trains circulent par jour dans les deux sens[29]. De Rexpoëde, une autre ligne mène à Bergues.

Politique et administration

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Maire de 1802 à 1807 : Bruneel[30],[31].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1854 1854[32] A. Deschodt    
avant 1861 François Augustin Alexandre Deschodt   Propriétaire, mort en cours de mandat
1870 1870 Frédéric Fidèle Colpaert    
1870   Fidèle Joseph Boone    
1883 1883[33] Joseph Boone    
1887 1889[34] Joseph Boone    
1900 1901[35] Frédéric Colpaert    
1902 1914[36] L. Dequidt    
1922 1939[37] Louis Balloy    
1951 1959[38] A. Seysen    
1959 1983[39] Roger Rœls    
1983 2020 Irène Wypelier-Visticot    
juin 2021 2026 Virginie Delestré    remplace Bernard BEUN (juin 2020-juin 2021)
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[41].

En 2021, la commune comptait 518 habitants[Note 2], en évolution de −8,32 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
778709718623575624591592604
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
593592588615652608632652636
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
640642557557552540510499454
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
399402393455503540524522580
2017 2021 - - - - - - -
532518-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,6 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 264 hommes pour 263 femmes, soit un taux de 50,09 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,23 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[44]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
0,8 
7,3 
75-89 ans
5,8 
19,4 
60-74 ans
19,6 
21,8 
45-59 ans
21,3 
17,1 
30-44 ans
19,0 
15,6 
15-29 ans
12,7 
18,4 
0-14 ans
20,8 
Pyramide des âges du département du Nord en 2021 en pourcentage[45]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,3 
75-89 ans
8,1 
14,8 
60-74 ans
16,2 
19,1 
45-59 ans
18,4 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,7 
15-29 ans
19,1 
20,2 
0-14 ans
18 

Enseignement

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Lieux et monuments

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  • Pierre tombale du sergent-major Jean Basile Attuyt, né à Zuytpeene (dép. Nord) le , et décédé à Terdeghem (dép. Nord) le  :
Entré comme conscrit au 14e de Ligne, le .
Caporal le , dans le même régiment.
Fourrier le , toujours au même régiment.
Sergent-major le .
Rentré dans ses foyers le .
Rappelé le .
Passé au 8e Régiment de Voltigeur de la Garde, 1er Bataillon, 4e Compagnie, le .
Licencié le .
  • Pierres tombales médiévales (Jean HANNERON +1596 et Antoinette LOTTIN +1595)

Édifices religieux

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Église Saint Martin du XIIe, XVIe et XVIIIe siècles.

Les moulins

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Terdeghem possède plusieurs moulins :

 
Steenmeulen (Terdeghem)
  • Moulin "Saint Arnoult" ou "Steenmeulen", ( MH)[46] ce moulin en briques produit encore de la farine à des fins pédagogiques[47]. Celui-ci est complété par le musée rural du Steenmeulen de Terdeghem qui regroupe des machines anciennes toutes en parfait état de fonctionnement. Elles utilisent diverses formes d'énergie: cheval, vapeur, gaz pauvre, pétrole... témoignant de l'ingéniosité de l'homme. Une houblonnière reconstituée représente la vie et l'artisanat en Flandres au XIXe siècle
  • le Moulin de la "Roome"[48] (du XVIIe siècle) reconstruit en 1995 est de nouveau en activité pour le tourisme, il produit de la farine à l'ancienne (comme son prédécesseur tombé en 1928 lors d'une tempête qui fit chuter un autre moulin quelques kilomètres plus loin),il possède une bluterie pour tamiser la farine, en parfaite fonction il est érigé le long de la voie romaine (d'où son nom) départemental 948 qui va de Cassel à Steenvoorde. Le pivot et l'arbre moteur du moulin furent taillés dans un chêne de la forêt de Nieppe. Il se visite régulièrement le Dimanche sur RDV, voir site internet[49]
 
Emplacements des moulins du meulen veld

D'autres moulins aujourd'hui disparus composaient jadis le paysage de Terdeghem. En témoignent par exemple le lieu-dit et le chemin du Meulen Veld (le champ du moulin). Il y avait à cet endroit deux moulins que l'on retrouve encore sur les cartes officielles du XIXe siècle.

 
coupure de presse du XIXe siècle

L'un de ces moulins a été foudroyé au XIXe siècle.

Les châteaux de Terdeghem

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Les cartes des Flandres de Mercator et d'Orthélius recensaient déjà au XVIe siècle le château de Terdeghem.

Au XVIIIe siècle (vers 1725) deux seigneurs avaient autorité sur Terdeghem :

  • le seigneur de Montigny qui avait sa demeure dite du « grand » Château du XVIe siècle, château « Balloy » remanié au XVIIIe siècle. (1556 sur les fers d'ancrage) et démoli par ses propriétaires en 2015.
  • le seigneur (de Beauffort) de Terdeghem avait sa demeure au « petit » Château, dit aussi le manoir, datant du XVIIe siècle (1622 sur une poutre et 1625 sur le pignon). Le blason actuel de Terdeghem provient des armoiries de la famille de Beauffort.
  • le château Breda datant du XVIIIe siècle est situé dans la partie ouest de la commune de Terdeghem, en haut de la rue Carnot, dans l'agglomération de Steenvoorde.

Autres lieux

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De 2009 à 2022, Terdeghem a fait partie du réseau Village Patrimoine, coordonné par les Pays de Flandre[50]. Ce label n'est désormais plus actif en flandre intérieure.

Fête communale

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Personnalités liées à la commune

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Depuis peu, Terdeghem compte parmi ses habitants 'Pierre Snaet', auteur, compositeur, interprète. Mais aussi animateur du Bal des Marmots - un orchestre qui fait danser les petiots. Il est notamment l'auteur du Ska des playmobils, qui fait sauter les enfants "bras tendus et jambes immobiles".

Aujourd'hui, il est retraité et il aime modifier les pages wikipédia.

Pour approfondir

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Bibliographie

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  • Stéphane Bern, Le village préféré des français, 44 trésors incontournables, Paris, Albin Michel, , 256 p. (ISBN 978-2-226-25920-2)
    Ce livre est tiré de l'émission Le village préféré des français, diffusée par France Télévisions, conçue et produite par Morgane Production : Terdeghem, pages 72 à 75** I - De la baie de Somme au littoral charentais en passant par la Bretagne,** II – Des Flandres au Jura en passant par l'Alsace,** III – De l' Île-de-France aux monts d'Auvergne en passant par la Bourgogne,** IV – Du littoral atlantique aux Alpes en passant par la Méditerranée.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 28/07/2024 à 02:05 TU à partir des 271 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/10/1999 au 01/06/2024.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Terdeghem » sur Géoportail (consulté le 21 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Sandre, « la moè Becque »
  2. Sandre, « la Steenmeulen »
  3. Sandre, « la Terdeghem »
  4. Sandre, « la Wagen Brugge »
  5. Sandre, « le Château Balloy »
  6. « Fiche communale de Terdeghem », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
  7. Sandre, « l'Ey Becque »
  8. « Station hydrométrique L'Ey Becque à Steenvoorde », sur l'Hydroportail, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, (consulté le )
  9. « SAGE Yser », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. « Orthodromie entre Terdeghem et Steenvoorde », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Steenvoorde » (commune de Steenvoorde) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Steenvoorde » (commune de Steenvoorde) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  16. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. Insee, « Métadonnées de la commune de Terdeghem ».
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. « labanquedublason2.com/lecture_… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  22. « Maurits Gysseling: Toponymisch Woordenboek (1960) p. 955 », sur bouwstoffen.kantl.be (consulté le )
  23. A Beyedt, « Terdeghem », le beffroi, no 23,‎ , p. 19.
  24. Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome I Année 1002
  25. Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome III, Année 1218
  26. Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1862-1864, neuvième volume, p. 65, lire en ligne.
  27. a b et c Abbé L. Harrau, Edmond-Louis Blomme, « Le manuscrit de M. P.-C. Blanckaert, curé-doyen de Wormhoudt », dans Bulletin Union Faulconnier, tome V, Dunkerque, 1902, p. 191-198, lire en ligne.
  28. Joseph Deschuytter, L'esprit public et son évolution dans le Nord, de 1791 au lendemain de Thermidor an II (1), FeniXX réédition numérique, (ISBN 978-2-307-02260-2, lire en ligne).
  29. Le Journal de Bourbourg et du canton de Gravelines, n° 744 du 2 janvier 1895
  30. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 273, lire en ligne.
  31. « Annuaire statistique du département du Nord. Année 1807 », sur lillonum.univ-lille.fr, p. 152-153. Images 182-183.
  32. Almanach du commerce du Nord Année 1854
  33. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Année 1883
  34. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1887 à 1899
  35. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1900 à 1901
  36. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1903 à 1914
  37. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1922 à 1939
  38. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1952 à 1959
  39. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1960 à 1979
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