Elle est à l'origine de la fondation partenariale Fondaterra (Institut européen pour le développement durable)[9]. Elle préside l’European association for ecological economics de 1994 à 1998 avant de devenir membre du bureau de l’International society for ecological economics. De 1994 à 2001, elle est membre du forum consultatif européen sur l’environnement et le développement durable auprès de la présidence européenne. Elle prend ensuite la responsabilité du groupe de travail sur le changement climatique.
En décembre 2002, elle est élue présidente de l’université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines. Elle est réélue[11] en 2008 pour un mandat de quatre ans jusqu'au 12 avril 2012, date à laquelle lui a succédé Jean-Luc Vayssière[12]. En complément de son activité principale, elle est membre du conseil supérieur de la recherche et de l’enseignement supérieur en France depuis 2002 et responsable, au sein de celui-ci, du groupe de travail sur le développement durable. Elle fait également partie du conseil scientifique de l'IRSTEA (anciennement CEMAGREF) depuis 2001.
Sa gestion de l'université de Versailles a été questionnée a posteriori par la Cour des comptes[13], à l'occasion de la cessation de paiement partielle de l'université de Versailles-Saint Quentin en 2014[14].