Sim Sang-jung
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Sim Sang-jung, née le à Paju (Corée du Sud), est une femme politique sud-coréenne, députée entre 2004 et 2008 et depuis 2012.
| Sim Sang-jung 심상정 | ||
 Sim Sang-jung en 2020. | ||
| Fonctions | ||
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| Présidente du Parti de la justice | ||
| – (1 an, 2 mois et 29 jours) |
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| Prédécesseur | Lee Jeong-mi | |
| Successeur | Kim Jong-cheol | |
| – (1 an, 11 mois et 23 jours) |
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| Prédécesseur | Cheon Ho-sun | |
| Successeur | Lee Jeong-mi | |
| Députée coréenne | ||
| En fonction depuis le (12 ans, 7 mois et 4 jours) |
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| Élection | 11 avril 2012 | |
| Réélection | 13 avril 2016 15 avril 2020 |
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| Circonscription | Gyeonggi A | |
| Législature | XIXe, XXe et XXIe | |
| Prédécesseur | Son Beom Gyu | |
| Biographie | ||
| Date de naissance | ||
| Lieu de naissance | Paju (Corée du Sud) | |
| Nationalité | sud-coréenne | |
| Parti politique | Parti démocratique du travail (2000-2008) Nouveau Parti progressiste (2008-2011) Parti progressiste unifié (2011-2012) Parti de la justice (depuis 2012) |
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| Diplômée de | Université nationale de Séoul | |
| Religion | Catholicisme | |
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Elle est présidente du Parti de la justice de 2015 à 2017 et de 2019 à 2020.
Biographie
modifierA l'âge de 21 ans, elle est renvoyée de l'usine de vidéocassettes où elle travaillait pour avoir organisé un mouvement des travailleurs demandant une augmentation des salaires et une amélioration des repas. Elle est à l'origine de plusieurs grèves et finit recherchée par la junte militaire[1].
Elle révèle en 2013 des documents détaillant la gestion des ressources humaines de Samsung (baisse de rémunération des salariés syndiqués, enquêtes sur leur vie privée, intimidation, etc). Ces documents aboutissent en 2019 à la condamnation d'une trentaine de cadres de l'entreprise[2].
Candidate à l’élection présidentielle de 2017, elle entend défendre les revendications des travailleurs, plaide pour une péninsule coréenne dénucléarisée et s'oppose au déploiement du dispositif militaire THAAD en Corée du Sud. Sur les questions de société, elle défend les droits des personnes LGBT[1].
Références
modifier- « Présidentielle sud-coréenne : présentation des candidats », Association d'amitié franco-coréenne, (lire en ligne)
- « Le président de Samsung Electronics derrière les barreaux pour activités antisyndicales », Le Monde, (lire en ligne)
