Seranville

commune française du département de Meurthe-et-Moselle

Seranville est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.

Seranville
Seranville
La mairie-école.
Blason de Seranville
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Lunéville
Intercommunalité CC Meurthe, Mortagne, Moselle
Maire
Mandat
Bertrand Simonin
2022-2026
Code postal 54830
Code commune 54501
Démographie
Population
municipale
100 hab. (2021 en évolution de +4,17 % par rapport à 2015)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 27′ 30″ nord, 6° 31′ 03″ est
Altitude Min. 270 m
Max. 338 m
Superficie 5,37 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lunéville-2
Législatives 4e circonscription de Meurthe-et-Moselle
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Seranville
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Seranville
Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
Voir sur la carte topographique de Meurthe-et-Moselle
Seranville
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Voir sur la carte administrative du Grand Est
Seranville

Géographie

modifier

Description

modifier

Le village est traversé par la route départementale 147 qui le relie au nord à Gerbéviller et à Mattexey au sud. Les trois autres communes riveraines sont reliées par des routes communales.

Selon la carte IGN, le bâtiment de la mairie est à 300 mètres d'altitude. Le territoire culmine à 330 mètres, à son extrémité sud-ouest, en direction de Giriviller. Il existe deux point les plus bas. L'un est sur le ruisseau de Boiret à la limite du territoire de Vallois. L'autre est sur le ruisseau du Trou d'Avedeuy, à la limite du territoire de Gerbéviller. Les deux point sont à 275 mètres d'altitude.

Communes limitrophes

modifier
Communes limitrophes de Seranville
Gerbéviller
Remenoville   Vallois
Giriviller Mattexey

Hydrographie

modifier

La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau d'Avedeuy et le ruisseau de Boiret[1],[Carte 1].

Le ruisseau du Trou d'Avedeuy prend sa source à l'angle des territoires de Giriviller et de Remenoville et se jette dans la Mortagne en amont de Gerbéviller. Le ruisseau de Boiret prend aussi sa source à Giriviller et qui se jette dans la Mortagne à Vallois.

 
Réseau hydrographique de Seranville[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 864 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 10 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Roville », sur la commune de Roville-aux-Chênes à 10 km à vol d'oiseau[4], est de 10,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 833,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −24,5 °C, atteinte le [Note 2],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme

modifier

Typologie

modifier

Au , Seranville est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (76,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (59,1 %), forêts (23,5 %), zones agricoles hétérogènes (14,6 %), prairies (2,8 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement

modifier

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 48, alors qu'il était de 46 en 2013 et de 45 en 2008[I 2].

Parmi ces logements, 77,1 % étaient des résidences principales, 4,2 % des résidences secondaires et 18,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Seranville en 2018 en comparaison avec celle de Meurthe-et-Moselle et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,2 %) supérieure à celle du département (2 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 94,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (97 % en 2013), contre 57,3 % pour la Meurthe-et-Moselle et 57,5 % pour la France entière[I 3].

Le logement à Seranville en 2018.
Typologie Seranville[I 2] Meurthe-et-Moselle[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 77,1 88,7 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 4,2 2 9,7
Logements vacants (en %) 18,8 9,3 8,2

Toponymie

modifier

Le nom du village se serait formé de manière hybride entre les noms de personnes de l'ancien gaulois et le nom de personne germanique SESA[13] ou SISA[14].

Anciens noms : Alodium de Sesanivilla en 1156 ; Seseravilla en 1164 ; Sesaraivilla en 1171 ; Ceranvilla et Ceronvilla en 1402[15] ; Seserawillae en 1164[16].

Le nom du village se prononce localement « S'ranville ».

Micro-toponymie

modifier

Le nom du ruisseau d'Avedeuy est lorrain et se prononçe « Avedeuille ». ave ou awe signifie eau tandis que deuy ou deuille signifie trou d'eau ou source. Deuille est un nom courant en Lorraine puisqu'on trouve à proximité immédiate, une rue de la Deuille à Gerbéviller ainsi qu'un lieu-dit à Haillainville. Selon Nicolas Haillant, deuille a la même étymologie que le vieux français duit et doit[17],[18].

Histoire

modifier

Antiquité

modifier

Dans son étude des voies antiques en Lorraine, Jean Godfrin mentionne une « viae vicinale au moins d'époque romaine », reliant Giriviller à Moyen[19]. Cette voie traverse forcément le territoire de Seranville.

Des sondages archéologiques réalisés en 1986 ont permis de localiser une villa gallo-romaine au lieu-dit Mazura. Elle aurait été occupée entre le 1er et le 4e siècle de notre ère[20]. Le même document fait état d'une voie antique reliant Clayeures à Baccarat. L'orientation donnée oblige à considérer cette voie comme différente de celle du paragraphe précédent.

Moyen Âge

modifier

Une charte d'Henri de Lorraine évêque de Toul en 1156 confirme la donation qui avait été faite à l'abbaye de Beaupré par Ferry de Saint-Germain et ses enfants de leur « alleu de Sesanivilla ».

Au mois de , en reconnaissance des services rendus à leur père et à eux-mêmes, René Ier et Isabelle son épouse donnent à Gérard d'Haraucourt, sénéchal de Lorraine et de Bar, les villages et bans de Landécourt, de Seranville et de Franconville. André, fils aîné de Gérard d'Haraucourt hérite de ces biens mais ayant pris le parti de la Bourgogne contre René II, cet héritage lui est confisqué[21].

En 1477, le duc de Lorraine cède les trois villages cités au paragraphe précédent, à Jean Wisse de Gerbéviller, son conseiller, chambellan et bailli d'Allemagne[21].

Temps modernes

modifier

En 1588, on signale une épidémie de peste comme conséquence indirecte des ravages de l'armée du duc de Bouillon[22].

Dans le procès-verbal d'accusation de sortilège de Nicolle Grillat en date du , il est indiqué que plusieurs sorcières furent exécutées à Seranville le mardi précédant[23].

Il est écrit dans l'État du temporel des paroisses de 1710 : « Seranville est une seigneurie de haute, moyenne et basse justice appartenant à M le Marquis de Gerbéviller et à M le comte d'Haussonville, chacun pour moitié. Ils ont leurs officiers pour l'exercice de la justice. Les appellations ressortissent au bailliage de Nancy »[24]. Cette dernière phrase signifie que les appels des décisions de justice locale sont portés devant la cour du bailliage.

En 1734, deux lits sont réservés à l'hospice Saint-Jacques de Lunéville au profit de deux malades de Seranville ou à défaut, de Gerbéviller aux frais de Monsieur Gaillard, curé de Seranville[25].

En 1782, il y a 68 ménages et 217 communiants[24].

Époque contemporaine

modifier

Au début de la Première Guerre mondiale, le village a été occupé pendant deux jours. Il n'y a pas eu de victime civile. Il y a eu 8 maisons incendiées ou détruites et de nombreuses autres immeubles endommagés[26].

Cinquante-et-un de soldats français sont recensés comme tués sur le territoire communal en 1914[27].

Le , le ministre de la guerre a cité la commune de Seranville à l'ordre de l'armée[28].

Religion

modifier

En 1226, le chapitre de Saint-Dié reçoit en don de Pierre de Maladarrata de Gerbéviller deux parts dans le droit de patronage de l'église de Seranville[29].

En 1281, les chanoines du chapitre de Saint-Dié ont quelques possessions à Seranville[29].

En 1315, le curé de Seranville reconnaît le droit du chapitre de Saint-Dié[29].

Dans l'État du temporel des paroisses de 1710, il est indiqué que le patronage de la cure de Seranville appartient au chapitre de Saint-Dié. La communauté est composé d'environ 20 ménages[24].

Par testament du , Dominique Mougel curé de Seranville lègue à la communauté de Seranville, une maison ainsi qu'une somme de 500 livres à distribuer aux pauvres de la paroisse. Cet argent servit à fonder un bureau de charité[24].

En date du , le journal ecclésiastique de l'abbé Chatrian mentionne un curieux paragraphe : « on assure que dorénavant Monseigneur » (l'évêque de Nancy) « veut donner les cures au mérite et à la science, sans égard pour l'ancienneté. Il prétend que tant de concours sur un seul prêtre sont une preuve de la médiocrité de ses talents et de ses connaissances ». Il indique ensuite que l'abbé Charée est nommé à Seranville à la suite de son 15e concours[30]. N'ayant pu prendre possession de la cure de Seranville, il est finalement nommé à Haraucourt[31].

Selon Henri Lepage, En 1853 Seranville est une annexe de la paroisse de Mattexey mais le même auteur dit l'inverse en page 25 du même document[24].

Le en gare d'Avricourt, partie annexée, Alphonse Fresée curé de Seranville est arrêté par la police allemande en compagnie d'une femme originaire de Dieuze. Il est reproché au couple d'avoir «eu une conversation criminelle dans un compartiment de seconde classe »[32]. Fresée est condamné le à un mois de prison pour outrage à la pudeur par la chambre civile du tribunal de Saverne. Sa compagne est condamnée à huit jours de prison[33]. Alphonse Fresée démissionne et quitte le diocèse de Nancy. On le trouve ensuite en poste à Châlons en Champagne ? à partir d'[34].

Politique et administration

modifier

Rattachements administratifs et électoraux

modifier

Rattachements administratifs

modifier

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Lunéville du département de Meurthe-et-Moselle.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Gerbéviller[35]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

modifier

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Lunéville-2

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de Meurthe-et-Moselle.

Intercommunalité

modifier

Serainville était membre de la petite communauté de communes de la Mortagne, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2004 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité est dissoute le , et Seranville intègre la communauté de communes Meurthe, Mortagne, Moselle formée par la fusion de deux autres intercommunalités.

Liste des maires

modifier
Liste des maires successifs[réf. nécessaire]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1852   Jean-Baptiste Villaume[36]    
Les données manquantes sont à compléter.
1896 après 1901 Edmond Deroux    
avant 1906 février 1933 Jules George   Mort en fonction
mars 1933 avant mai 1941 Maurice Simonin    
Les données manquantes sont à compléter.
vers 1965 vers 1989 Claude Simonin    
vers 1989 juin 1995 Jean Contois DVD  
1995 2002 Claude Simonin    
2002 2014 Hubert Hagniel    
2014 novembre 2015 Anne Rolley-Briolat   démissionnaire
novembre 2015 2022[37] Pascale Malglaive   démissionnaire
novembre 2022[38] En cours
(au 16 décembre 2022)
Bertrand Simonin   Agriculteur

Population et société

modifier

Démographie

modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[40].

En 2021, la commune comptait 100 habitants[Note 4], en évolution de +4,17 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
199220243259270281269283274
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
238242209213204186190188169
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1601611211251151081049695
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
79747775919810095102
2021 - - - - - - - -
100--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

modifier

Lieux et monuments

modifier
  • Église Saint-Epvre fin XVIIIe.
  • Chapelle Notre-Dame, Grand-Rue.

Personnalités liées à la commune

modifier

Éloi Dupays, peintre né à Seranville en 1841, mort le . Est mentionné dans le dictionnaire général des artistes de 1885[42].

Héraldique

modifier
  Blason
Mi-parti de gueules semé de croix pommetées au pied fiché d’argent à deux bars adossés de même, et d’or à la croix frettée d’argent.
Détails
Ce blason est composé avec la moitié droite de celui d'Haussonville et la moitié gauche de celui de Gerbéviller. Les seigneurs de ces communes étaient également seigneurs de Seranville
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Les habitants de Seranville étaient surnommés les cochons[43].

Pour approfondir

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier
  • « Seranville », Monographies communales de Meurthe-et-Moselle réalisées pour l'exposition universelle de 1889 et conservées par les Bibliothèques de Nancy, sur galeries.limedia.fr

Notes et références

modifier
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Seranville » sur Géoportail (consulté le 4 juin 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

modifier

Site de l'Insee

modifier

Autres sources

modifier
  1. « Fiche communale de Seranville », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Seranville et Roville-aux-Chênes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Roville », sur la commune de Roville-aux-Chênes - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Roville », sur la commune de Roville-aux-Chênes - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nancy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Nègre, Ernest., Toponymie générale de la France / 2. Formations non-romanes, formations dialectales., Droz, (ISBN 2-600-00133-6 et 978-2-600-00133-5, OCLC 174640771, lire en ligne).
  14. Marie-Thérèse MORLET, Noms de personnes sur le territoire de l’ancienne Gaule du 6e au 12e siècle, Éditions du CNRS, , 240 p. (ISBN 9782222010432, lire en ligne)
  15. Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, Paris, Imprimerie impériale, 1862
  16. Henri Lepage, Les communes de la Meurthe, premier volume, Nancy, A. Lepage Imprimeur-libraire-éditeur, , 741 p. (lire en ligne), p. 476.
  17. Nicolas Haillant, Origine des noms de lieux dans les Vosges, Épinal, , p. 272.
  18. D. Godefroy, Dictionnaire de l'ancienne langue française et de ses dialectes (lire en ligne), p. 736.
  19. Jean Godfrin, Bulletin archéologique du comité des travaux historiques et scientifiques, Paris, Imprimerie nationale, , 764 p. (lire en ligne), p. 274.
  20. Jean-Luc Massy, « Lorraine », Gallia, vol. 44, no 2,‎ , p. 287–307 (lire en ligne, consulté le ).
  21. a et b Henri Lepage, Les communes de la Meurthe, volume premier, Nancy, A. Lepage Imprimeur-Libraire-Éditeur, , 741 p. (lire en ligne), p. 376-377.
  22. Le pays lorrain, Nancy, , 826 p. (lire en ligne), p. 71.
  23. L. Duhamel, Documents rares ou inédits de l'histoire des Vosges, tome 1, Épinal, Veuve Gley, imprimeur, , 388 p. (lire en ligne), p. 128.
  24. a b c d et e Henri Lepage, Les communes de la Meurthe, 2e volume, Nancy, A. Lepage Imprimeur-libraire-éditeur, , 799 p. (lire en ligne), p. 526.
  25. Henri Lepage, Archives communales et hospitalières de la Meurthe, Nancy, Wiener, ainé et fils, libraires-éditeurs, , 279 p. (lire en ligne), p. 156.
  26. JO du 14/04/1931
  27. « Votre recherche : Lieu de décès : Seranville & Date de décès : 1914 », Résultat de la recherche (Base des Morts pour la France de la Première Guerre mondiale), sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
  28. l'Expresse de l'Est, Épinal, , 6 p. (lire en ligne), p. 2.
  29. a b et c Annales de la Société d'émulation du département des Vosges, Épinal, C. Pernot, imprimeur de la société, , 95 p. (lire en ligne), p. 167.
  30. Annales catholiques : revue religieuse hebdomadaire de la France et de l'Église, Paris, Imp. G. Picquoin, , 837 p. (lire en ligne), p. 512.
  31. Christian Herbé, « Le curé Charrée, prêtre non-conformiste pendant la révolution », sur mairie.haraucourt.free.fr, (consulté le ).
  32. (de) Gazette de la Lorraine, Metz, , 4 p. (lire en ligne), p. 3.
  33. Le progrès de la Côte d'Or, Dijon, , 4 p. (lire en ligne), p. 3.
  34. Sylvie Straehli, Dictionnaire biographique des prêtres du diocèse de Nancy et de Toul, Nancy, 387 p. (lire en ligne), p. 134.
  35. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Nommé par le préfet ; loi du 7 juillet 1852 et décret du prince-président du même jour
  37. « Démissions au conseil municipal: bientôt une nouvelle élection », L'Est républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  38. « Bertrand Simonin, nouveau maire élu au premier tour », L'Est républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  42. Explication des ouvrages de peinture et dessins, sculpture, architecture et gravures des artistes vivants, Ministère de l'instruction publique, , 696 p. (lire en ligne), p. 445.
  43. Robert Creusat, Quand Gerbéviller parlait patois, 1979, 72 p.