San-Lorenzo (Haute-Corse)

commune française du département de la Haute-Corse

San-Lorenzo est une commune française située dans la circonscription départementale de la Haute-Corse et le territoire de la collectivité de Corse. Le village appartient à la piève de Vallerustie dont il est historiquement le chef-lieu, en Castagniccia.

San-Lorenzo
San-Lorenzo (Haute-Corse)
Vue de San-Lorenzo.
Blason de San-Lorenzo
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Collectivité territoriale unique Corse
Circonscription départementale Haute-Corse
Arrondissement Corte
Intercommunalité Communauté de communes Pasquale Paoli
Maire
Mandat
Jérome Negroni
2020-2026
Code postal 20244
Code commune 2B304
Démographie
Population
municipale
140 hab. (2021 en évolution de −0,71 % par rapport à 2015)
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 23′ 06″ nord, 9° 17′ 28″ est
Altitude 700 m
Min. 359 m
Max. 1 766 m
Superficie 10,15 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Corte
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Golo-Morosaglia
Localisation
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San-Lorenzo
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San-Lorenzo
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San-Lorenzo

Géographie

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Situation

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San-Lorenzo se situe dans l'ancienne pieve de Vallerustie, située sur le versant ouest du mont San Petrone, en Castagniccia. Elle est aujourd'hui rattachée administrativement au canton de Bustanico qui compte 24 communes. La commune est limitrophe, à la fois à l'ouest (Érone] et à l'est (Campana et Pie-d'Orezza), du parc naturel régional de Corse auquel elle n'a pas adhéré.

La commune de San-Lorenzo se situe dans le « Deça des monts » ou « Corse schisteuse » au nord-est de l'île, dans le prolongement de l'arête schisteuse du Cap Corse qui se poursuit avec le massif du San Petrone et se termine au sud de la Castagniccia. Ce massif est un bloc de schistes lustrés édifié au tertiaire lors de la surrection des Alpes sur un socle hercynien, de la fin de l'ère primaire.

San-Lurenzo est adossé sur les flancs occidentaux du massif du San Petrone. Elle possède un relief relativement accidenté. L'altitude la plus basse du territoire communal, qui se situe au Pianu di Bagni (359 mètres), et le point culminant qui est Monte San Petrone à 1 767 mètres, témoignent d'un relief de moyenne montagne, où seules quelques petites plaines sont présentes : Pianu di a Battaglia, Pianu di Bagni, E Piane.

Limites territoriales
  • Au nord, en partant du lit de la Casaluna à l'ouest, la commune est délimitée par une ligne orientée vers le San Petrone à l'est. Cette ligne, droite au départ, rejoint un point situé à 720 mètres au nord de la Punta Mozza (814 mètres), puis suit la ligne de crête d'un chaînon secondaire du massif du Monte San Petrone, à l'ouest duquel il s'articule. Ce chaînon comporte les principaux sommets et col suivants : Punta Mazzoncello, Monte Trepidi (1 003 mètres), Bocca di Sant' Antonio où se trouvent les ruines d'une chapelle éponyme (905 mètres), Punta Castellare (1 060 mètres), distant d'environ 2,3 km du San Petrone.
  • À l'est, ses limites sont représentées par une partie de la chaîne principale du massif, soit la section du Monte San Petrone (1 767 mètres) jusqu'à la Punta Ventosa (1 421 mètres), via une partie de la Serra di Favalta puis la Punta di Favalta (1 404 mètres).
  • Au sud, la démarcation partant de la Punta Ventosa, s'oriente à l'ouest jusqu'au lit de la Casaluna, un peu au sud du Pont de Lano en un point « à cheval » sur Lano, San-Lorenzo et Érone. Passant par un point à 1 353 mètres peu à l'ouest de Punta Ventosa, elle rejoint rapidement le ravin de Cognolo dans lequel s'écoule le ruisseau de Ponticello, qui alimente le ruisseau de l'Ombriato affluent de la Casaluna.
  • À l'ouest, le lit de la Casaluna délimite la commune sur près de 2,4 km.

Hydrographie

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Pont de Lano sur la Casaluna.

La Casaluna est le principal cours d'eau ; son cours sépare le territoire communal de ceux d'Aiti et de Lano à l'ouest, et de celui d'Érone au sud-ouest.

Elle reçoit les eaux de plusieurs ruisseaux naissant au nord et à l'est de la commune, les principaux étant :

  • le ruisseau de l'Ombriato (ou ruisseau de Mandriolo en amont)[1], alimenté par le ruisseau de Ponticello[2], alimenté lui-même par les eaux du ruisseau de Forci (ou de Persico en amont)[3] ;
  • le ruisseau de Mufrage[4] ;
  • les ruisseaux de Noce et de Piana Ginepra, non répertoriés dans la base SANDRE.

La Casaluna est enjambée par le pont routier de Lano (route D139). Le passage de ce pont, « à cheval » sur San-Lorenzo et Lano, marque l'entrée dans le parc naturel régional de Corse auquel Lano a adhéré.

Climat et végétation

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Monte San Petrone vu depuis Aiti.

La Castagniccia est une microrégion verdoyante, dotée d'une couverture forestière importante. De climat moins humide que le versant oriental de la chaîne, le versant occidental du San Petrone présente une couverture forestière moins homogène et morcelée en différentes unités.

La hêtraie est un élément important dans le paysage de Castagniccia. Elle succède directement en altitude aux châtaigneraies et aux bois de chênes verts et constitue un vaste manteau forestier qui recouvre les hauts sommets de la région. On peut l'apercevoir sur l'image ci-contre, tout autour du sommet du Monte San Petrone.

Voies de communication et transports

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Accès routiers

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La commune est traversée par la route D15 qui dessert la plupart des villages de Vallerustie et du Bozio, et qui relie la RN 193 depuis Ponte-Leccia aux routes D14 et D39, la jonction se faisant sur la commune de Favalello.

La D39 permet également d'accéder à San-Lorenzo. Il faut l'emprunter à sa jonction avec la RN 193 au lieu-dit « Ponte à Golu » et franchir le Golo.

Depuis le lieu-dit Olivella, la route D139 par le pont de Lano, permet l'accès au village éponyme ; de celle-ci, part la D239 qui dessert les villages d'Érone et de Rusio.

Transports

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Village de l'intérieur, au cœur de l'île, San-Lorenzo est distant, par route, de :

Communes limitrophes

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  Aiti Saliceto Nocario  
Aiti,
Lano
N Campana,
Pie-d'Orezza
O    San-Lorenzo    E
S
Érone Cambia Pie-d'Orezza

Urbanisme

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Typologie

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Au , San-Lorenzo est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[5]. Elle est située hors unité urbaine[6]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Corte, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[6]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[7],[8].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (95,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (43,7 %), zones agricoles hétérogènes (4,7 %)[9]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire

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Moyen Âge

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Temps modernes

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Époque contemporaine

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Politique et administration

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Liste des maires successifs[10]
Période Identité Étiquette Qualité
1770 ? Joseph-Marie Moracchini   Podestat major de la Pieve
1789 ? Placide Morrachini    
1800 1801 Quilico Luciani    
1802 1803 Placide Moracchini    
1803 1808 Jean-Pierre Peretti    
1808 1815 Anton-Baptiste Agostini    
1816 1822 Sauveur Vicensini    
1822 1825 Quilico Luciani    
1825 1826 Pierre-François Negroni    
1826 1830 Sauveur Vincensini    
1830 1838 Ange-Marie Peretti    
1838 1847 François-Marie Moracchini    
1847 1855 Antoine-Ignace Moracchini    
1855 1860 Paul-Baptiste Moracchini    
1860 1865 Joseph-Marie    
1865 1870 Charles-Félix Negroni    
1871 1877 Antoine-Baptiste Agostini    
1877 1878 Dominique Ciccoli   Conseiller d'arrondissement
1878 1885 Antoine-François    
1885 1886 Bastien Rinaldi    
1886 1889 Antoine-Jules Luciani    
1889 1893 Antoine-Martin Sambroni    
1893 1894 Antoine-François Agostini    
1894 1896 Antoine-César Moracchini    
1896 ? Antoine-François Oliva    
? ? Don-Philippe Moracchini    
1927 ? Pierre-Félix Moracchini    
1927 1941 Marien Leschi    
1941 1945 Christophe Luciani    
1945 1993 Étienne Moracchini MRG Médecin et Conseiller-Général
1993 mars 2001 Ange-Olivier Moracchini RPR  
mars 2001 juillet 2009 Pierre-François Negroni PRG  
août 2009 ? Jérome Negroni DVG Employé

13e vice-président du Syvadec[11]
Plus jeune maire de France en 2009[12]

Les données manquantes sont à compléter.

San-Lorenzo est le siège du syndicat intercommunal Vallée de Casaluna regroupant des communes des anciennes pièces de Rostino et de Vallerustie.

Élu en août 2009 lors d'une élection partielle qui fait suite au décès de son grand-père Pierre-François, Jérôme Negroni est devenu le plus jeune maire de France à tout juste 20 ans[13]. Malgré son jeune âge, il a battu le docteur Sylvain-Pierre Boschi par 71 voix contre 62 à son adversaire.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[15].

En 2021, la commune comptait 140 habitants[Note 2], en évolution de −0,71 % par rapport à 2015 (Haute-Corse : +5,79 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
539531451523560592519557514
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
526545542520515511508506514
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
510513531518550578589512236
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
21515315991106139142142140
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[17].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • U Castellà site préhistorique que l'on peut repérer sur les cartes par l'appellation (déformée) : Punta Castellare. Le site U Castella est situé en limite des communes de Salgetu et de Sa' Lurenzu. Cf. détails sur Saliceto, et note "Autres sites pré et protohistoriques" sur Vallerustie.

Patrimoine naturel

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La commune est concernée par trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique de 2e génération :

Châtaigneraies et bois des versants sud et ouest du massif du San Petrone

La zone d'une superficie de base de 5 550 ha, concerne les formations boisées de 23 communes de la Castagniccia occidentale et du Bozio. Elle s'étend sur les bassins versants des affluents du Golo, de la Casaluna, de la Bravone et du Corsiglièse qui se jette dans le Tavignano.
Son intérêt porte sur deux espèces déterminantes présentes : l'Autour des palombes (Accipiter gentilis (Linnaeus, 1758)) et la Gymnadénie moucheron, Orchis moucheron, Orchis moustique (Gymnadenia conopsea (L.) R.Br., 1813)[18], une orchidée terrestre européenne protégée sur l'île.

Hêtraies du massif du San Petrone

La zone représentée par la forêt de San Pietro d'Accia, a une superficie de base de 1 888 ha et concerne 19 communes de la Castagniccia. La hêtraie est divisée en deux massifs, l'un au nord qui s'étend du col de Prato (Quercitello jusqu'au sommet du San Petrone, et l'autre, au sud, qui comprend les crêtes et les versants boisés entre le Monte Calleruccio (1 484 mètres) et la Punta di Caldane.
Son intérêt porte sur deux espèces déterminantes présentes : l'Autour des palombes (Accipiter gentilis (Linnaeus, 1758)) et la Doradille rue des murailles, ou Rue des murailles (Asplenium ruta-muraria L., 1753)[19],[20].

Landes et pelouses sommitales du massif du San Petrone

D'une superficie de base de 1 381 ha, la zone concerne 19 communes de la Castagniccia. Elle est composée de trois unités distinctes, distribuées sur les crêtes du massif de San Petrone.
L'intérêt qu'elle présente porte sur deux espèces déterminantes d'oiseaux : l'Aigle royal (Aquila chrysaetos (Linnaeus, 1758)) et l'Alouette lulu (Lullula arborea (Linnaeus, 1758)[21].

Patrimoine civil

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  • Monument aux morts.

Patrimoine religieux

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Église paroissiale.
  • L'église paroissiale San Lorenzo est d'origine médiévale. Elle a été remaniée au XVIIIe siècle par l'ajout d'un tympan (pièce de remplissage de la voûte) et de piédroits (murs verticaux supportant la naissance de la voûte) monolithes, ainsi que d'un campanile isolé. Des travaux de restauration ont été effectués ; ils ont consisté en la réfection du toit en lauzes, le crépissage extérieur, la refonte et l'électrification des cloches, le dallage en marbre de l'intérieur de l'église, l'assainissement extérieur et la réfection des peintures de l'intérieur. En , le clocher a été refait avec pose d'un paratonnerre.
  • Chapelle Saint-Antoine au hameau d'I Forci (794 mètres d'altitude). C'est une minuscule chapelle privée. Elle comporte des objets remarquables, notamment le tableau du maître-autel représentant la Vierge et l'Enfant recevant l'hommage de Saint-Antoine datant de 1637, toile qui a été restaurée à Paris en 1986 grâce à des dons. Ses toiture et clocher ont été restaurés en 1985.
  • Chapelle Saint-Michel édifiée au XIIIe siècle à 822 mètres d'altitude sur un éperon rocheux, au nord-ouest d'Oliva. Cette chapelle a été refaite au XIXe siècle. Elle n'est accessible qu'à pied.
  • Chapelle de Sainte Lucie au hameau de A Casanova
  • Ruines de l'ermitage Sant'Antone di u Porcu, situées sur le col entre A Casanova et U Salgetu
  • Oratoire de la Vierge Marie, dans la vallée de la Casaluna, en bordure de la D 39.

Fêtes et loisirs

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  • La fête patronale à lieu le .

Personnalités

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  • L'Abbé Venturini, pacificateur nommé par Pasquale Paoli.
  • Delphino Moracchini (1846-1903), gouverneur au sein des colonies française.

Héraldique

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  Blason
D'argent à un gril, la poignée en bas, croisetée, aiguisée et anglée de liens, le tout de sable[22].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de l'Ombriato (Y7021760) » (consulté le ).
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de Ponticello (Y7021740) » (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de Forci (Y7021700) » (consulté le ).
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de Mufrage (Y7021880) » (consulté le ).
  5. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  6. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de San-Lorenzo ».
  7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Corte », sur insee.fr (consulté le ).
  8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  10. https://www.san-lurenzu.com/lhistoire-de-la-commue/
  11. https://www.syvadec.fr/le-syvadec/qui-sommes-nous/
  12. Municipales 2014: A 24 ans, le plus jeune maire de France «a vite fait oublier son âge», 20 minutes, 7 février 2014
  13. « À 21 ans, Jérôme Negroni devient le plus jeune maire de France », Corse Matin, 2 septembre 2009
  14. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  15. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  18. ZNIEFF 940004202 - Châtaigneraies et bois des versants sud et ouest du massif du San Petrone sur le site de l’INPN..
  19. ZNIEFF 940004200 - Hêtraies du massif du San Petrone sur le site de l’INPN..
  20. Doradille rue des murailles sur le site de l'INPN
  21. ZNIEFF 940004201 - Landes et pelouses sommitales du massif du San Petrone sur le site de l’INPN..
  22. « 20304 San-Lorenzo (Haute-Corse) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).