Samia Ghali
Samia Ghali, née le à Marseille (Bouches-du-Rhône), est une femme politique française.
Samia Ghali | |
Samia Ghali en 2015. | |
Fonctions | |
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Conseillère départementale des Bouches-du-Rhône | |
En fonction depuis le (3 ans, 5 mois et 23 jours) |
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Avec | Azad Kazandjian |
Élection | 27 juin 2021 |
Circonscription | Canton de Marseille-4 |
Groupe politique | UGEC |
Prédécesseur | Anne Di Marino |
Adjointe au maire de Marseille | |
En fonction depuis le (4 ans, 5 mois et 20 jours) |
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Élection | |
Réélection | |
Maire | Michèle Rubirola Benoît Payan |
Sénatrice française | |
– (11 ans, 10 mois et 2 jours) |
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Élection | 21 septembre 2008 |
Réélection | 28 septembre 2014 |
Circonscription | Bouches-du-Rhône |
Groupe politique | SOC |
Successeur | Michèle Einaudi |
Maire du 8e secteur de Marseille | |
– (9 ans, 5 mois et 29 jours) |
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Élection | |
Réélection | |
Prédécesseur | Frédéric Dutoit |
Successeur | Roger Ruzé |
Vice-présidente du conseil régional de Provence-Alpes-Côte-d'Azur | |
– (4 ans, 7 mois et 28 jours) |
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Élection | |
Président | Michel Vauzelle |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Marseille (France) |
Nationalité | Française |
Parti politique | PS (1984-2018) SE (depuis 2018) |
Profession | Agent territorial |
modifier |
Membre du Parti socialiste jusqu’en 2018, elle est successivement élue conseillère de secteur en 1995, conseillère municipale de Marseille en 2001, vice-présidente du conseil régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur en 2004 et maire du 8e secteur de Marseille en 2008. Elle est également sénatrice des Bouches-du-Rhône de 2008 à 2020.
Candidate malheureuse à la primaire citoyenne en vue des élections municipales de 2014 à Marseille, elle se présente à celles de 2020 et est élue adjointe au maire de Marseille, à la suite d’un accord avec Michèle Rubirola pour l’élection du maire. Elle est élue conseillère départementale des Bouches-du-Rhône l’année suivante.
Biographie
modifierOrigines et formation
modifierSes parents sont algériens d'origine chaouie, natifs de l'Aurès[1]. Son père rentre en Algérie quand elle a six mois[2] ; elle ne le connaîtra jamais[3]. Séparée de sa mère, elle est élevée par ses grands-parents[4].
Habitante du quartier populaire de Bassens à Marseille, elle fait un CAP de comptabilité[3] et devient salariée dans une mutuelle, puis permanente de la fédération socialiste des Bouches-du-Rhône et enfin agent territorial au conseil régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur (déléguée aux sports, à la jeunesse et à la vie associative).
Parcours politique
modifierSamia Ghali adhère en 1984 à la section socialiste du 15e arrondissement de Marseille, introduite par un de ses professeurs de lycée[2]. Elle milite avec Patrick Mennucci dans ces anciens fiefs du PCF, où le Front national fait des scores grandissants[5].
Élue conseillère du 8e secteur, au côté du maire Guy Hermier (PCF), en 1995, conseillère municipale en 2001, vice-présidente du conseil régional en 2004, elle emporte la mairie du 8e secteur dès le premier tour en 2008[5]. Jean-Noël Guérini, tête de liste PS à Marseille, battu par l'UMP Jean-Claude Gaudin, avait annoncé son intention d'en faire sa première adjointe en cas de victoire. En tant que maire du 8e secteur, elle réduit les frais de fonctionnement et développe des actions pour les enfants et les adolescents ainsi que leurs mères[2].
Placée en quatrième position sur la liste menée par Jean-Noël Guérini aux élections sénatoriales 2008, elle est élue sénatrice[5],[6]. Au Sénat, elle est la seule sénatrice PS à voter contre la loi Hadopi, qu'elle juge « inégalitaire », alors que les autres membres du groupe socialiste s'abstiennent[7]. Elle se prononce pour le maintien des juges de proximité et des commissariats de proximité en zone de sécurité prioritaire et dans les zones rurales, pour la création de « zones franches de santé » dans les déserts médicaux (son amendement[8] n'est pas retenu dans le cadre de la loi Santé) ou encore pour la mise en place d'une métropole d'Aix-Marseille-Provence efficace et juste qui préserve l'identité des communes et leur autonomie.
Le , elle prône le recours à l'armée et le retour du service militaire pour les délinquants, à la suite de règlements de compte sur fond de trafic de drogue à Marseille[9], ce qui lui donne une grande visibilité médiatique[2],[3].
Le , elle se déclare candidate à la mairie de Marseille en vue des élections municipales de 2014[10]. Elle arrive en tête du premier tour de la primaire PS, avec 25,3 % des suffrages, devant Patrick Mennucci (20,7 %), qui emporte le second tour, le , avec 57,2 % des voix. Elle déclare avoir perdu contre les cinq candidats à la primaire, qui ont tous, à l'exception de Christophe Masse, rallié son adversaire, et affirme publiquement que Matignon est intervenu pour favoriser la candidature de Patrick Mennucci. Au soir de sa défaite, elle laisse ses partisans huer le président de la République, François Hollande, et le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault[11].
Candidate à sa réélection dans le huitième secteur de Marseille, elle est la seule maire de secteur socialiste à Marseille à être réélue après le second tour des élections municipales de 2014 en obtenant 45,5 % des voix[12]. Elle est critique envers les lois votées par le gouvernement de Jean-Marc Ayrault, reprochant à celui-ci d'avoir pris « trop de mesures sociétales et pas assez de mesures sociales »[13].
En , elle alerte le procureur de la République après qu'une de ses adjointes a refusé de célébrer un mariage homosexuel[14]. Elle retire la délégation de l'élue peu après[15].
Le , lors des élections sénatoriales, elle déclare que « certains candidats, comme Jean-Noël Guérini, ont profité de leur situation pour distribuer de l'argent public en échange de voix »[16]. Réélue de justesse lors de ces élections[17], elle participe en à l'émission télévisée Politiques Undercover, diffusée sur D8[18].
Lors de l'élection présidentielle de 2017, elle annonce ne pas souhaiter parrainer Benoît Hamon et « se sentir franchement proche » de La France insoumise et de Jean-Luc Mélenchon[19].
Le , en application de la loi limitant le cumul des mandats, elle privilégie son mandat de sénatrice et cède son écharpe et son fauteuil de maire du 8e secteur de Marseille à son premier adjoint Roger Ruzé. Elle annonce, d'ores et déjà, sa candidature comme tête de liste aux élections municipales de 2020 dans ce secteur[20].
Elle ne renouvelle pas son adhésion au Parti socialiste en 2019 et créé un micro-parti, « Marseille avant tout »[21], en préparation de sa candidature aux élections municipales de 2020 à Marseille[22]. Elle officialise sa candidature le [23].
Lors du premier tour, les listes qu’elle conduit obtiennent 6,4 % des suffrages au niveau de Marseille. Samia Ghali dénonce dans la foulée des « fraudes massives » dans l’organisation du scrutin[24]. Avec de bons scores dans les quartiers nord, elle arrive en tête dans les 15e et 16e arrondissements de Marseille, où elle est tête de liste, devant la liste du Rassemblement national (RN)[25], puis l’emporte au second tour avec 38,2 % des voix, après avoir fait alliance avec la liste d’Europe Écologie Les Verts (EÉLV) entre les deux tours[26],[27].
Alors que la candidate victorieuse, Michèle Rubirola, ne dispose que d'une majorité relative au conseil municipal de Marseille, le rôle de Samia Ghali dans l'élection du maire de la ville est largement commenté dans les médias, les huit élus municipaux issus de sa liste dans le 8e secteur étant susceptibles d'apporter des voix décisives dans la procédure de désignation[28],[29]. Elle émet notamment la possibilité de devenir la première adjointe de Michèle Rubirola, mais cette dernière oppose une fin de non-recevoir à sa proposition[30],[31]. Lors du scrutin, le , Samia Ghali se présente à la mairie de Marseille et obtient 8 voix lors du premier tour[32]. Après de longues négociations, elle retire sa candidature en vue du second tour, soutient Michèle Rubirola et est élue deuxième adjointe de la nouvelle municipalité[33], chargée de l’égalité des territoires, des relations euro-méditerranéennes, de l’attractivité et des grands événements marseillais[34]. Alors que des soupçons de fraudes pèsent sur la campagne, plusieurs figures de son secteur sont placées en garde à vue, dont deux colistiers de Samia Ghali, qui se voient retirer leur délégation d’adjoints[35],[36].
En , à la suite de la démission de Michèle Rubirola, elle devient troisième adjointe de Benoît Payan, élu maire, chargée de la stratégie municipale sur les projets structurants de la ville, pour lʼégalité et lʼéquité des territoires, de la relation avec lʼAgence nationale pour la rénovation urbaine, des grands équipements, de la stratégie événementielle, des grands événements, de la promotion de Marseille et des relations méditerranéennes[37],[38].
Lors des élections départementales de 2021, Samia Ghali est candidate dans le canton de Marseille-4 avec Azad Kazandjian, sous l'étiquette de l'Union de gauche, écologiste et citoyenne (UGEC). Ils l'emportent au second tour avec 60,8 % des voix, face au binôme du Rassemblement national (39,2 %)[39].
Vie privée
modifierSamia Ghali est mariée à Franck Dumontel[40], ancien footballeur professionnel à l'US Créteil Lusitanos. Ce sportif de haut niveau s'est reconverti comme collaborateur politique, d'abord auprès d'Élisabeth Guigou. Il a ensuite été successivement directeur de cabinet du président du conseil régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur, Michel Vauzelle, puis du président de la communauté urbaine Marseille Provence Métropole, Eugène Caselli. Selon Alexandre Guérini, c'est Franck Dumontel, qu'il décrit comme son « ami intime », qui est le « vrai président de la communauté urbaine » durant cette période[41]. Franck Dumontel est actuellement directeur de cabinet de la maire socialiste d'Avignon, Cécile Helle[42].
Samia Ghali est mère de quatre enfants[43],[44],[45]. Elle vit sur les hauteurs du quartier du Roucas-Blanc[46], dans le 7e arrondissement de Marseille.
En , l'élue socialiste est visée par une enquête préliminaire du Parquet national financier sur son patrimoine et les conditions d'achat de sa villa sur les hauteurs de la cité phocéenne[47]. Le , son domicile est perquisitionné[47]. L'affaire, qui avait commencé par une lettre anonyme, est classée sans suite en [48],[49] pour cause de prescription des faits[50].
Détail des mandats et fonctions
modifierAu Sénat
modifier- – : sénatrice des Bouches-du-Rhône.
Au niveau local
modifier- Depuis le : conseillère municipale de Marseille.
- – : conseillère communautaire à la communauté urbaine Marseille Provence Métropole.
- – : vice-présidente du conseil régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur.
- – : maire du huitième secteur de Marseille.
- – : vice-présidente de la communauté urbaine Marseille Provence Métropole.
- Depuis le : conseillère métropolitaine à la métropole d'Aix-Marseille-Provence.
- Depuis le : deuxième puis troisième adjointe au maire de Marseille.
- Depuis le : conseillère départementale des Bouches-du-Rhône (élue dans le canton de Marseille-4).
Résultats électoraux
modifierÉlections sénatoriales
modifierLes résultats ci-dessous concernent uniquement les élections où elle est tête de liste.
Année | Parti | Circonscription | Voix | % | Rang | Sièges | |
---|---|---|---|---|---|---|---|
2014[51] | PS | Bouches-du-Rhône | 339 | 9,7 | 4e | 1 |
Élections départementales
modifierAnnée | Parti | Canton | Colistier | 1er tour | 2d tour | Issue | |||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Rang | Voix | % | Rang | ||||||
2021[52] | UGE | Marseille-4 | Azad Kazandjian | 1 778 | 27,7 | 2e | 4 580 | 60,8 | 1re | Élue |
Élections municipales
modifierLes résultats ci-dessous concernent uniquement les élections où elle est tête de liste.
Année | Parti | Circonscription | 1er tour | 2d tour | Sièges | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Rang | Voix | % | Rang | CS | CM | ||||
2008[53] | PS | 8e secteur de Marseille | 11 643 | 52,3 | 1re | 30 | 10 | ||||
2014[54] | PS | 8e secteur de Marseille | 6 634 | 31,7 | 1re | 10 716 | 45,5 | 1re | 17 | 6 | |
2020[55] | DVG | Ville de Marseille | 10 381 | 6,4 | 7e | 5 025 | 2,9 | 5e | 17 | 8 | |
8e secteur de Marseille | 3 275 | 25,8 | 1re | 38,2 | 1re |
Primaire citoyenne à Marseille
modifierAnnée | Parti | 1er tour | 2d tour | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Rang | Voix | % | Issue | Adversaire | |||
2013[56] | PS | 5 151 | 25,3 | 1re | 10 044 | 42,8 | Battue | Patrick Mennucci |
Distinctions
modifierElle est promue chevalier dans l'ordre national de la Légion d'honneur en 2022[57].
Publications
modifier- La Marseillaise, Le Cherche midi, 2013 (ISBN 9782749132631)[58].
Notes et références
modifier- « Une sénatrice dans le tourbillon d’une candidature », sur Liberté Algérie presse.
- Serge Raffy, « Primaire PS à Marseille : Samia Ghali, pasionaria tendance pitbull », sur Le Nouvel observateur, .
- Gilles Rof, « Samia Ghali ne perd pas le Nord », sur M, le magazine du Monde, semaine du 15 février 2014, p. 48-53.
- « Samia Ghali, la fille de Marseille », sur madame.lefigaro.fr, Madame Figaro, (consulté le ).
- « Des quartiers nord de Marseille au Sénat, les combats de la “petite Samia Ghali” », sur Le Monde, (consulté le ).
- « Sénat, démocratie très indirecte », sur Le Ravi, .
- « Hadopi : Samia Ghali, seule sénatrice PS à voter contre "une loi inégalitaire" », sur laprovence.com, (consulté le ).
- Sénat français, « Aperçu de l'amendement », sur senat.fr (consulté le ).
- « Marseille : une élue en appelle à l'armée », sur Le Figaro, .
- « Samia Ghali, une candidate de plus à la mairie de Marseille pour le PS », sur L'Express, .
- « Samia Ghali fait siffler François Hollande et Jean-Marc Ayrault », sur Europe 1, (consulté le ).
- « Municipales: majorité absolue pour Gaudin à Marseille », sur lemonde.fr, Le Monde, (ISSN 1950-6244, consulté le ).
- « Patrick Mennucci : “Le mariage pour tous nous a coûté des voix” », sur Le Monde, .
- « Le mariage pour tous dont Samia Ghali se serait bien passée », sur gomet.net, (consulté le ).
- « Samia Ghali sanctionne son élue qui avait refusé un mariage homosexuel », sur france3-regions.francetvinfo.fr, (consulté le ).
- « Les élections sénatoriales 2014 en direct », sur Le Figaro, .
- Hervé Vaudoit, « Sénatoriales : Samia Ghali (PS) sauve son siège de justesse », sur laprovence.com, (consulté le ).
- « “Politiques Undercover”, la télé-réalité des politiques sera diffusée en décembre », sur BFM TV (consulté le ).
- « Samia Ghali ne parrainera pas Hamon et ne soutient personne », sur France 3 Provence-Alpes-Côte d'Azur, (consulté le ).
- « Marseille : Samia Ghali passe le témoin à Roger Ruzé dans les 15-16 », sur La Marseillaise, (consulté le ).
- « Marseille : Samia Ghali lance son micro-parti “pour les municipales” », sur Public Sénat, (consulté le ).
- « La guerre du trône à Marseille, épisode 8 : Samia Ghali vent debout », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
- « Municipales à Marseille : la sénatrice PS Samia Ghali annonce sa candidature », sur Europe 1, (consulté le ).
- « Municipales à Marseille : Samia Ghali dénonce des «fraudes massives» et en appelle au préfet », sur Le Figaro, (consulté le ).
- « Municipales à Marseille (15e-16e) : Samia Ghali (DVG) en tête devant Sophie Grech (RN) », sur laprovence.com, (consulté le ).
- « VIDEO. Samia Ghali (DVG) obtient le ralliement des Verts », sur 20minutes.fr, (consulté le ).
- « Municipales à Marseille 8e secteur : la sénatrice DVG Samia Ghali réelue avec 38,2 % », sur france3-regions.francetvinfo.fr, (consulté le ).
- « Samia Ghali, sénatrice atypique au cœur du troisième tour à Marseille », sur lepoint.fr, Le Point, (consulté le ).
- « Municipales à Marseille : Samia Ghali, électron libre et arbitre du "troisième tour" », sur lexpress.fr, L'Express, (consulté le )
- « Municipales à Marseille : Samia Ghali demande à Michèle Rubirola « d'être sa première adjointe » », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
- « Municipales à Marseille : rapprochement de la gauche, Michèle Rubirola refuse le chantage », sur france3-regions.francetvinfo.fr (consulté le ).
- « Marseille: au premier tour, Michèle Rubirola obtient 42 voix, Guy Tessier 41 voix et Samia Ghali 8 voix », sur BFMTV (consulté le ).
- « Municipales à Marseille : les adjoints de la nouvelle maire Michèle Rubirola », sur france3-regions.francetvinfo.fr, (consulté le ).
- « Les délégations des adjoints à la mairie de Marseille dévoilées », sur francebleu.fr, (consulté le ).
- « Deux élus privés de délégation d’adjoints à Marseille après une garde à vue », sur 20minutes.fr, (consulté le ).
- « A Marseille, quatre personnes en garde à vue dans l’enquête des procurations dans le secteur de Samia Ghali », sur nouvelobs.com, (consulté le ).
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- « Départementales dans les Bouches-du-Rhône : Samia Ghali et Azad Kazandjian élus dans le canton Marseille 4 », sur laprovence.com, (consulté le ).
- « Régionales : Vauzelle donne le ton de sa campagne », sur laprovence.com, (consulté le ).
- « Le Parti socialiste phocéen éclaboussé par l'affaire Guérini », sur lemonde.fr, (consulté le ).
- C.M., « Vaucluse : Franck Dumontel, nouveau directeur de cabinet du maire d'Avignon », sur laprovence.com, (consulté le ).
- Bastien Bonnefous, « Samia Ghali, le style direct », sur Le Monde, .
- (it) Guido Caldiron, « La gendarme socialista di Marsiglia », sur Europa Quotidiano, .
- Pauline Pellissier, « Qui est Samia Ghali, la “Marianne des quartiers nord de Marseille” ? », sur Grazia, .
- « Samia Ghali révolutionnaire », sur Bakchich, .
- « Soupçons de détournement de fonds : le domicile de la sénatrice Samia Ghali perquisitionné à Marseille », sur France Info, (consulté le ).
- Aziz Zemouri, « Détournement de fonds publics : l’enquête visant Samia Ghali classée sans suite », sur lepoint.fr, (consulté le ).
- « L'enquête du Parquet national financier visant Samia Ghali classée sans suite », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
- « Samia Ghali, élue à Marseille, échappe à un procès grâce à une prescription des faits », sur France 3 Provence-Alpes-Côte d'Azur (consulté le ).
- Ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections sénatoriales 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
- Ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections départementales 2021 », sur elections.interieur.gouv.fr (consulté le ).
- Ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections municipales 2008 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
- Ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
- Ministère de l'Intérieur, « Élections municipales et communautaires 2020 », sur elections.interieur.gouv.fr (consulté le ).
- « Résultats : Marseille », sur resultats.lesprimairescitoyennes.fr, (version du sur Internet Archive).
- « 547 personnes dans la nouvelle promotion civile de l’ordre de la Légion d’honneur | La grande chancellerie », sur legiondhonneur.fr (consulté le ).
- Arthur Nazaret, « Samia Ghali, l’orpheline au Sénat », sur lejdd.fr, Le Journal du dimanche, (consulté le ).
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifier- Liste des sénateurs des Bouches-du-Rhône
- Liste des maires de secteur de Marseille
- Femmes au Sénat en France
Liens externes
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- Ressource relative à la vie publique :