Saints-en-Puisaye

commune française du département de l'Yonne
(Redirigé depuis Saints (Yonne))

Saints-en-Puisaye, anciennement Saints[1], est une commune française située en Puisaye dans le département de l'Yonne en région Bourgogne-Franche-Comté.

Saints-en-Puisaye
Saints-en-Puisaye
Vue de la mairie ; en arrière-plan, le clocher de l'église.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Yonne
Arrondissement Auxerre
Intercommunalité Communauté de communes de Puisaye-Forterre
Maire
Mandat
Jean Massé
2020-2026
Code postal 89520
Code commune 89367
Démographie
Gentilé Saintons
Population
municipale
544 hab. (2021 en évolution de −6,53 % par rapport à 2015)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 37′ 18″ nord, 3° 15′ 44″ est
Altitude Min. 216 m
Max. 325 m
Superficie 27,71 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Vincelles
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saints-en-Puisaye
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Saints-en-Puisaye
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Saints-en-Puisaye

Géographie

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Situation

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Saints est situé au cœur de la Puisaye, dans la partie sud-ouest du département de l'Yonne, avec sa préfecture Auxerre à 38 km au nord-est, Saint-Fargeau à 17 km à l'ouest et Bonny-sur-Loire à 37 km ouest/sud-ouest. Saint-Amand-en-Puisaye est à 22 km au sud-ouest, Toucy à 16 km au nord[2].

Transports

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La commune n'est traversée que par de petites routes de campagne. La plus importante de celle-ci est la D85, qui traverse le village d'est en ouest en reliant Ouanne et Saint-Fargeau[3].

Le village est placé entre deux routes d'importance régionale : la départementale D965 d'Auxerre (autoroute A6) à Bonny (autoroute A77) passe au nord-ouest, et la nationale 151 d'Auxerre à La Charité-sur-Loire, Bourges et Châteauroux[2].

La gare de trains la plus proche est celle d'Auxerre.

Hydrographie

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Source de Saint Prix

Le Branlin prend naissance dans le sud-ouest de la commune, vers le hameau des Robineaux de la Malrue. Il coule droit vers le nord, marquant sur environ 6,8 km toute la limite de commune côté ouest avec Saint-Sauveur. Ce faisant, il reçoit en rive droite son affluent le ru d'Ingeron, lui aussi né sur la commune de Saints à 1,5 km au nord-est de la source du Branlin.
Un petit ru saisonnier commence au hameau des Cueillis (nord de la commune), se dirige vers le nord-ouest et rejoint le Branlin aux Dupuits Bas en limite de commune[3].

Typique de la Puisaye, le terroir de la commune inclut de nombreux petits plans d'eau et zones humides, généralement de moins de 1 ha, y compris sur le cours du Branlin[3].

Hameaux

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La commune compte de nombreux hameaux et lieux-dits[3].

Sur la carte de Cassini[4], le hameau de la Chapelle est en deux parties : la Grande Chapelle et la Petite Chapelle.

Communes limitrophes

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Dans la figure qui suit, les distances indiquées sont celles à vol d'oiseau. Les noms en gras sont ceux des communes limitrophes ; Saints-en-Puisaye en a sept :

 
Distances et positions relatives des communes voisines
 Saints-
en-Puisaye
 Levis (6km)
 Fontenoy (4,6km)
 
Sementron (6,7km)
 Lain
(6,2km)
 Thury (4,6km)
 Fontaines (7,9km)

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 835 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Moutiers_sapc », sur la commune de Moutiers-en-Puisaye à 7 km à vol d'oiseau[7], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 870,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,3 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −20,2 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Saints-en-Puisaye est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13] et hors attraction des villes[14],[15].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60,5 %), prairies (22,3 %), forêts (11,5 %), zones agricoles hétérogènes (4 %), zones urbanisées (1,7 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire

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Vers l’an 274 du temps de l’empereur romain Aurélien, un groupe de chrétiens sous la conduite de leur chef Priscus est massacré à Saints, qui se nommait alors Cociacus. Quelques chrétiens échappés reviennent ensuite et cachent secrètement les corps sanglants de leurs frères. Ces restes demeurent enfouis pendant deux siècles[17].
Au Ve siècle (vers l’an 444), saint Germain, évêque d'Auxerre, découvre le puits mortuaire contenant le corps sans tête de saint Prix et les corps de ses compagnons. Il élève là un monastère qu'il appelle Cociaco (Cociacense ad Sanctos, du nom du bourg existant) ; Cociaco devient alors Coucy-les-Saints, puis Saints. Le pays de Saints a gardé la mémoire de ces événements lointains : fin XIXe siècle, le chemin où saint Prix a été capturé et maltraité est toujours le « chemin de la Male rue » ; il relie le hameau de la Malerue à Saints (ce chemin est de nos jours devenu la départementale D1[3]). Le champ où saint Prix a été décapité s'appelait « le champ de saint Prix » jusqu'à la fin du XIXe siècle[18].

 
Diocèse d'Auxerre en l'an 580 sous l'épiscopat d'Aunaire (carte établie en 1741)
Cotiacense ad Sanctos est sous le cartouche supérieur.

Le monastère de Coucy-les-Saints (Cotiacense ad Sanctos) est mentionné dans les règlements liturgiques[N 1] de l'évêque Aunaire[19] vers 580/585.

Vers l'an 800 un certain Ermenold, que la Geste des évêques d'Auxerre nomme comme premier comte de l'Auxerrois, remplace l'ermitage de Saint-Sauveur dit "cella Salvii", par un grand monastère qu'il met sous la protection de l'église cathédrale d'Auxerre. L'évêque du moment donne Cociacus à ce monastère de Saint-Sauveur[20].

Au cours de la Révolution française, la commune, qui portait le nom de Saints, fut provisoirement renommée Cousay-en-Puisaye[21]. C'est en 2012 que fut adopté le nom de Saints-en-Puisaye[1].

Économie

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Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
  1974 (décès) André Noël PCF  
1975 1979 (démission) Henry Julian PCF Maire MdC de Restinclières de 1994 à 2001.
1979 mars 2008 Guy Fromentin PCF  
mars 2008 En cours Jean Massé[22] DVG Conseiller général du canton de Saint-Sauveur-en-Puisaye (2008-2015)

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].

En 2021, la commune comptait 544 habitants[Note 2], en évolution de −6,53 % par rapport à 2015 (Yonne : −2,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1021 0411 0951 3091 2051 3201 3381 3381 364
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3471 3201 3301 2881 2921 3681 3011 1861 176
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1211 1151 015841842834789840827
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
807805632585549570589592587
2017 2021 - - - - - - -
561544-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Tombe de Alfred Saison.

Pour approfondir

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Bibliographie

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  • Jean Lebeuf, Mémoires concernant l’histoire ecclésiastique et civile d’Auxerre, vol. 1, Auxerre, Perriquet, , 886 p. (lire en ligne).  .

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les règles liturgiques instituées par Aunaire concernent toutes les paroisses et tous les établissements religieux du diocèse d'Auxerre de l'époque. Pour la célébration des litanies, Aunaire donne cet ordre parmi les établissements religieux : église Saint-Germain pour les calendes de janvier ; église Saint-Amâtre pour celles de février ; monastère Saint-Marien pour mars ; église Saint-Père pour avril ; église Saint-Valérien et monastère de Wulfin pour mai ; église Saint-Martin pour juin ; monastère Saint-Julien pour juillet ; monastère de Decimiacense ad Sanctum Ciricum(1) pour août ; monastère de Fontenoy pour septembre ; monastère de Coucy-les-Saints (Saints-en-Puisaye) pour octobre ; monastère de Saissy pour novembre ; monastère de Mannay pour décembre.
    (1) Decimiacense ad Sanctum Ciricum : probablement Saint-Cyr-les-Colons près de Chitry et d'Irancy.
  2. La Malerue citée dans l'article d'Ambroise Challe se trouve au croisement de la D73 et de la D1, le chemin de la Malerue étant celui qui mène de ce hameau à Saints-en-Puisaye.
Notes sur la population
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b « Décret no 2012-938 du 1er août 2012 portant changement du nom de communes », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  2. a et b « Saints-en-Puisaye », sur google.fr/maps.
    Les distances par route entre deux points donnés sont calculées dans le panneau latéral (voir l'onglet en haut à gauche de l'écran) - cliquer sur "itinéraires".
  3. a b c d e et f « Saints-en-Puisaye, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
  4. « Saints-en-Puisaye, carte de Cassini interactive » sur Géoportail..
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Saints-en-Puisaye et Moutiers-en-Puisaye », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Moutiers_sapc », sur la commune de Moutiers-en-Puisaye - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Moutiers_sapc », sur la commune de Moutiers-en-Puisaye - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. Insee, « Métadonnées de la commune de Saints-en-Puisaye ».
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Communauté de communes de Saint-Sauveur, « Saints en Puisaye »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur cc-stsauveur.fr (consulté le ).
  18. a et b Ambroise Challe, « Le bois des Grands Noms - Souvenir du martyre de saint Prix et des vieilles superstitions de la Puisaye », Bulletin de la Société des Sciences historiques et naturelles de l'Yonne,‎ , p. 115-124 (lire en ligne, consulté le ).
  19. Lebeuf 1743, vol. 1, p. 117-118.
  20. Ambroise Challe, « La Puisaye et le Gâtinais », Bulletin de la Société des Sciences historiques et naturelles de l'Yonne, vol. 26,‎ (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saints-en-Puisaye », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  22. Conseil général de l’Yonne, « Ma Commune », sur cg89.fr (consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. « Église Saint-Prix », notice no PA00113840, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. « Cyclorail de Puisaye », sur cyclorail.com (consulté le ).
  29. Saint Prix et Saint Cot.