Sainte-Eulalie (Lozère)

commune française du département de la Lozère

Sainte-Eulalie est une commune française, située dans le nord du département de la Lozère en région Occitanie.

Sainte-Eulalie
Sainte-Eulalie (Lozère)
Bison d'Europe dans la réserve de Sainte-Eulalie.
Blason de Sainte-Eulalie
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Lozère
Arrondissement Mende
Intercommunalité Communauté de communes des Terres d'Apcher-Margeride-Aubrac
Maire
Mandat
Christian Meyrand.
2020-2026
Code postal 48120
Code commune 48149
Démographie
Gentilé Sainte-Eulalais, Sainte-Eulalaises
Population
municipale
36 hab. (2021 en évolution de −5,26 % par rapport à 2015)
Densité 1,7 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 47′ 30″ nord, 3° 28′ 03″ est
Altitude Min. 1 153 m
Max. 1 454 m
Superficie 21,31 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Alban-sur-Limagnole
Législatives Circonscription de la Lozère
Localisation
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Sainte-Eulalie
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Sainte-Eulalie
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Sainte-Eulalie
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Sainte-Eulalie

Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le ruisseau de Guitard, les Barrières et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (la « montagne de la Margeride ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Sainte-Eulalie est une commune rurale qui compte 36 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 301 habitants en 1886. Ses habitants sont appelés les Sainte-Eulalais ou Sainte-Eulalaises.

Géographie

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Localisation

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Commune située dans le nord du département de la Lozère, limitrophe avec celui de la Haute-Loire. Depuis la fusion de La Villedieu, Sainte-Eulalie est devenue la commune la moins peuplée du département le moins peuplé de métropole.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Chanaleilles, Saint-Paul-le-Froid, Saint-Denis-en-Margeride, Saint-Alban-sur-Limagnole et Lajo.

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 6,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 954 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de La Panouse à 12 km à vol d'oiseau[4], est de 7,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 015,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « montagne de la Margeride »[9], d'une superficie de 9 400 ha, une longue colonne granitique au climat montagnard ayant permis le maintien de tourbières remarquables[10].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[11] : « le Sauvage, Narce de l'Hospitalet, chapelet de madrières et trou de Louve » (864 ha), couvrant 5 communes dont deux dans la Haute-Loire et trois dans la Lozère[12], et les « tourbières du bois long et de la Barthe » (136 ha), couvrant 2 communes du département[13] et deux ZNIEFF de type 2[Note 3],[11] :

  • la « Margeride » (37 011 ha), couvrant 35 communes dont 13 dans le Cantal, 16 dans la Haute-Loire et six dans la Lozère[14] ;
  • la « montagne de la Margeride et massif du plateau du Palais du Roi » (29 590 ha), couvrant 20 communes du département[15].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Sainte-Eulalie est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2] et hors attraction des villes[I 3],[I 4].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (83 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (86,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (32,1 %), prairies (17 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Sainte-Eulalie est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels

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Sainte-Eulalie est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en décembre 2014 pour la période 2014-2023[19]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du , complété par un arrêté de 2020, réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du , abrogeant un arrêté de 2002, rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 4],[19],[20].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sainte-Eulalie.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 5,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (15,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 59 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 sont en aléa moyen ou fort, soit 2 %, à comparer aux 14 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982.

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Sainte-Eulalie est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[23].

Toponymie

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Histoire

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Politique et administration

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Liste des maires de Sainte-Eulalie
Période Identité Étiquette Qualité
1983 2001 Jean-Claude Roux    
2001 2014 Marie-Renée Meyrand    
2014 2020 Nathalie Robert    
2020 En cours Christian Meyrand    

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].

En 2021, la commune comptait 36 habitants[Note 5], en évolution de −5,26 % par rapport à 2015 (Lozère : +0,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
200215222154246251248241237
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
239233238248223276301291289
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
268252283265244234245220153
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
112105104806064595846
2015 2020 2021 - - - - - -
383536------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

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Sports et loisirs

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Vie associative

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Médias

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Économie

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Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 5] 0 % 0 % 0 %
Département[I 6] 5 % 6,4 % 7,1 %
France entière[I 7] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 22 personnes, parmi lesquelles on compte 81 % d'actifs (81 % ayant un emploi et 0 % de chômeurs) et 19 % d'inactifs[Note 6],[I 5]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 8]. Elle compte 16 emplois en 2018, contre 19 en 2013 et 18 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 17, soit un indicateur de concentration d'emploi de 93,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 54,8 %[I 9].

Sur ces 17 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 8 travaillent dans la commune, soit 47 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 58,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 35,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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L'église paroissiale Sainte-Eulalie a été construite au XIIe ou XIIIe siècle. Délaissée au XVIIe siècle et abandonnée au XVIIIe siècle, elle est restaurée au début du XIXe siècle, et agrandie au début du XXe siècle. Elle est construite en pierre de taille et moellons de granite, avec une couverture en ardoise et schiste, dans le style roman. Elle est dotée d'une nef unique de quatre travées, et de cinq chapelles, voûtées en berceau, d'une abside semi-circulaire, voûtée en cul-de-four, et surmontée d'un clocher-mur. Propriété de la commune, elle est recensée dans l'Inventaire culturel de la région Occitanie[28].

Cinq éléments du mobilier de l'église sont inscrits aux monuments historiques. D'une part, trois statues en bois datant du XVIIIe siècle ont fait l'objet d'un arrêté de protection du 18 novembre 1974 : elles représentent respectivement le Christ en croix[29], la Sainte Vierge[30], et Saint-Jean-Baptiste[31]. En 2013, les trois statues sont portées disparues. D'autre part, deux ciboires en argent, datant respectivement de 1798[32] et de la deuxième moitié du XIXe siècle[33], ont été inscrits par arrêté du 13 juin 2003.

Patrimoine environnemental

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La commune de Sainte-Eulalie possède la seule réserve de bisons d'Europe de France.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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  Blason
D’argent, à un mont de sinople, baignant dans une mer d’azur, et sur lequel s’élève une marmite de sable, trouée du champ.
Détails
Le mont symbolise la Margeride qui enserre la commune.

La marmite trouée est la représentation du panorama du “Trau-de-L’Ougo” (Le trou de la marmite en occitan). Il s’agit là d’un point haut qui permet d’embrasser la quasi-totalité de la Lozère ainsi que les départements limitrophes.

La mer représente le ruisseau de la Cigale qui prend naissance sur le territoire communal ainsi que celui du Guitard.

Les ornements sont deux branches de sapin de sinople, fruitées d'or, mises en sautoir par la pointe et liées d'argent pour symboliser les forêts du territoire communal.

Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable.

La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien à voir avec des fortifications.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[8].
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  2. Insee, « Métadonnées de la commune de Sainte-Eulalie ».
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  5. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Sainte-Eulalie » (consulté le ).
  6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Lozère » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  8. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  9. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Sainte-Eulalie » (consulté le ).
  10. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  11. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources

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  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Sainte-Eulalie et La Panouse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « La Panouse_sapc » (commune de La Panouse) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « La Panouse_sapc » (commune de La Panouse) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  9. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Sainte-Eulalie », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « site Natura 2000 FR9101355 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Sainte-Eulalie », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « ZNIEFF « le Sauvage, Narce de l'Hospitalet, chapelet de madrières et trou de Louve » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « ZNIEFF les « tourbières du bois long et de la Barthe » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF la « Margeride » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « ZNIEFF la « montagne de la Margeride et massif du plateau du Palais du Roi » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. « Les risques près de chez moi - commune de Sainte-Eulalie », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. a et b « Défense des forêts contre l'incendie (DFCI) », sur lozere.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Les risques majeurs dans la Lozère », sur lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Sainte-Eulalie », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Notice no IA48001000, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  29. Notice no PM48001109, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  30. Notice no PM48001111, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  31. Notice no PM48001110, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  32. Notice no PM48000384, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  33. Notice no PM48000385, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture