Saint-Sulpice-sur-Risle

commune française du département de l'Orne

Saint-Sulpice-sur-Risle est une commune française, située dans le département de l'Orne en région Normandie,

Saint-Sulpice-sur-Risle
Saint-Sulpice-sur-Risle
La mairie, l'église et l'ancien prieuré.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Orne
Arrondissement Mortagne-au-Perche
Intercommunalité CC des Pays de L'Aigle
Maire
Mandat
Jean Sellier
2020-2026
Code postal 61300
Code commune 61456
Démographie
Gentilé Saint-Sulpiciens
Population
municipale
1 615 hab. (2021 en évolution de −4,1 % par rapport à 2015)
Densité 57 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 46′ 53″ nord, 0° 39′ 27″ est
Altitude Min. 187 m
Max. 258 m
Superficie 28,45 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine L'Aigle
(banlieue)
Aire d'attraction L'Aigle
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de L'Aigle
Législatives 2e circonscription de l'Orne
Localisation
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Liens
Site web https://www.saintsulpicesurrisle.fr/

Géographie

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Localisation

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Couvrant 2 845 hectares, le territoire de Saint-Sulpice-sur-Risle est le plus étendu de l'ancien canton de L'Aigle-Est

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Saint-Martin-d'Écublei, Chaise-Dieu-du-Theil, Chéronvilliers, Chandai, L'Aigle, Saint-Michel-Tubœuf, Saint-Nicolas-de-Sommaire et Saint-Symphorien-des-Bruyères.

Hydrographie

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Carte hydrographique de la commune.

La commune est drainée par les bras de la Risle ainsi que par le Finard, qui s(y jette, le Rouloir et le Rouloir, qui tangente la limite sud du territoire communal.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d'Ouche et au Perche et bénéficiant d’un caractère continental affirmé avec des précipitations atténuées et des amplitudes thermiques fortes[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 748 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de L'Aigle à 3 km à vol d'oiseau[5], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 729,7 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Saint-Sulpice-sur-Risle est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de L'Aigle[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[10],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de L'Aigle, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 32 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (55,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (42,3 %), terres arables (28,3 %), prairies (21,3 %), zones urbanisées (5,1 %), zones agricoles hétérogènes (3 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement

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En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 833, alors qu'il était de 821 en 2015 et de 773 en 2010[I 2].

Parmi ces logements, 83,9 % étaient des résidences principales, 7,1 % des résidences secondaires et 9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,6 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Sulpice-sur-Risle en 2020 en comparaison avec celle de l'Orne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (7,1 %) inférieure à celle du département (10,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 77,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (76,7 % en 2015), contre 64,3 % pour l'Orne et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Saint-Sulpice-sur-Risle en 2020.
Typologie Saint-Sulpice-sur-Risle[I 2] Orne[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 83,9 78,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 7,1 10,6 9,7
Logements vacants (en %) 9 11,1 8,2

Voies de communication et transports

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Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formes Saint Sulpice en 1793, Saint-Sulpice-sur-Tille en 1801[14].

Saint-Sulpice se réfère à Sulpice le Pieux.

La Risle est une rivière de Normandie, qui s'écoule dans les départements de l'Orne et de l'Eure.

Au cours de la période révolutionnaire, la commune a porté les noms de Sulpice-la-Montagne et de Vendémiaire en 1789[14].

Histoire

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Époque contemporaine

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L'affaire criminelle Guillon a lieu en 1908 dans une ferme de la localité, jugée par les assises de l'Orne[15].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouve depuis 1942 dans l'arrondissement de Mortagne-au-Perche du département de l'Orne.

Elle faisait partie de 1793 à 1982 du canton de l'Aigle, année où celui-ci est scindé et la commune intégrée au canton de L'Aigle-Est[14]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de l'Aigle

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité

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Saint-Sulpice-sur-Risle était membre de la communauté de communes du Pays de L'Aigle, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1994 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Conformément aux prescriptions de la loi de réforme des collectivités territoriales du , qui a prévu le renforcement et la simplification des intercommunalités et la constitution de structures intercommunales de grande taille, une première fusion intervient avec la communauté de communes du Pays de la Marche pour former le la communauté de communes des Pays de L'Aigle et de la Marche.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, une nouvelle fusion intervient avec la communauté de communes du canton de La Ferté-Frênel le , formant l'actuelle communauté de communes des Pays de L'Aigle, dont est désormais membre la commune.

Administration municipale

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Compte tenu de la population de la commune, son conseil municipal est composé de dix-neuf membres dont le maire et quatre adjoints[16].

Liste des maires

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Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
18… 18… M. Fleury[réf. nécessaire]    
         
juin 1995 En cours
(au 12 janvier 2024[17])
Jean Sellier MoDem[18] Vétérinaire
Président de l'ex-CC du Pays de l'Aigle ( ? → 2012)
Président de l'ex-CC des Pays de L'Aigle et de la Marche (2013 → 2016)
Président de la CC Communauté de communes des Pays de L'Aigle (2017 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[19]

Équipements et services publics

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Éducation

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Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Saint-Martin-d'Écublei et de Saint-Symphorien-des-Bruyères dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI)[20]

La compétence scolaire est assumée par l'intercommunalité.

Population et société

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Les habitants sont les Saint-Sulpiciens[21]).

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[23].

En 2021, la commune comptait 1 615 habitants[Note 4], en évolution de −4,1 % par rapport à 2015 (Orne : −3,37 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
1 0649631 1861 2161 3341 3881 2111 2301 164
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 0541 1501 1231 0901 0691 0761 1051 1901 235
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 2571 3351 4251 4481 4311 4371 3321 3761 375
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
1 3931 2801 2871 4831 5221 6381 6681 6771 615
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Le prieuré et l'église.
  • Église de l'ancien prieuré de Saint-Sulpice[25] inscrite au titre des Monuments historiques[26]. Elle abrite quelques œuvres classées à titre d'objets[27].
  • Le prieuré Saint-Sulpice.
  • Monument aux morts place André-Blanchard.
  • Dolmen du Jarrier classé Monument historique[28].
  • Le château du Fontenil (XVe siècle) dont la chapelle et le pressoir sont inscrits[29].
    Château Renaissance, construit en 1544 par la famille Du Buc, alias Du Buc-Richard, blasonnant « d'or à la bande d'azur », sur les fondations d'un château féodal qui aurait appartenu au baron de Semblançay, ministre des Finances de François Ier. Les constructeurs de cette bâtisse imposante (Jehan - ou Jean - du Buc du Fontenil et son épouse Antoinette de Bouquetot) reposent en leur caveau seigneurial du beffroi de l'église de Saint-Symphorien-des-Bruyères. En 1681, les Du Buc, dont une branche (voir Louis-François Dubuc) s'était installée à la Martinique, vendirent le château à la famille D'Érard de Rai. Site de la météorite de L'Aigle en 1803.
  • La forêt de L'Aigle occupe la quasi-totalité de la moitié est du territoire.
  • Sauvé de la ruine par M. J. Suet en 1939, après des années d'abandon, le manoir de La Brunetière (XVIe-XVIIe siècles) est un brillant exemple d'architecture Louis XIII, avec son décor de briques rouges à croisillons bleus et son haut toit pentu, caractéristique des demeures aristocratiques du XVIIe siècle. Agrémenté d'un jardin à la française, le manoir appartient toujours à la famille Deramoudt-Suet.
 
L'entrée de la manufacture.
  • Château du Souchey.

On peut également signaler :

  • Base nature de VTT et de kayak proposée par l'association Ris'l Adventure[33].

Personnalités liées à la commune

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  • Benjamin Bohin, créateur de la manufacture d'épingles et d'aiguilles qui porte son nom[34].

Pour approfondir

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de L'Aigle comprend une ville-centre et deux communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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Altitudes, coordonnées, superficie : IGN[35].
  1. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  5. « Orthodromie entre Saint-Sulpice-sur-Risle et L'Aigle », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « L Aigle » (commune de L'Aigle) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « L Aigle » (commune de L'Aigle) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de L'Aigle », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de L'Aigle », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  15. Jean-François Miniac (préf. Alain Lambert), Les Grandes Affaires criminelles de l'Orne, Paris, Éditions de Borée, coll. « Les Grandes Affaires criminelles », , 336 p. (ISBN 978-2-84494-814-4).
  16. Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  17. « Les vœux du bien vivre ensemble à Saint-Sulpice-sur-Risle », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  18. Thierry Roussin, « Président de la Cdc du Pays de L'Aigle, Jean Sellier apporte son soutien à Emmanuel Macron : Président de la Cdc du Pays de L'Aigle (Orne), Jean Sellier a décidé de parrainer à Emmanuel Macron. Le président sortant qui ce jeudi 3 mars annonce sa candidature aux Français », Le Réveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Selon le responsable ornais du Mouvement démocrate, «Emmanuel Macron a fait la démonstration qu’il sait gouverner dans la tempête mais aussi qu’il a une dimension internationale. Pour moi, le soutenir est une évidence car c’est le seul à avoir cette envergure ».
  19. « Municipales. Un cinquième mandat de maire de Saint-Sulpice-sur-Risle pour Jean Sellier : Municipales. Un cinquième mandat de maire de Saint-Sulpice-sur-Risle pour Jean Sellier », Le Réveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Jean Sellier a été réélu maire de Saint-Sulpice-sur-Risle, obtenant 16 voix (trois blancs) ».
  20. « À Saint-Martin-d’Écublei, une mobilisation contre la fermeture de l’école », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. « Ouest-france.fr - Mairie de Saint-Sulpice-sur-Risle » (consulté le ).
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Frédéric Épaud, De la charpente romane à la charpente gothique en Normandie, CRAHM, 2007 (ISBN 978-2-902685-39-4) p. 283-289
  26. « Église », notice no PA00110937, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. « Œuvres mobilières à Saint-Sulpice-sur-Risle », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  28. « Dolmen », notice no PA00110936, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. « Domaine du Fontenil », notice no PA00110979, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. Le musée ouvre ses portes : reportage sur France 3
  31. Musée de la manufacture Bohin
  32. Remy Chabot, « Saint-Sulpice-sur-Risle. La Manufacture Bohin fait son retour : Lundi 21 mars, le public pourra (re)découvrir l'entreprise d'épingles et d'aiguilles à coudre située à Saint-Sulpice-sur-Risle. Tour d'horizon de ce qui vous attend », Le Réveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. « CLUB risl'adventure », sur risl'adventure.
  34. « Dans l'Orne, la Manufacture Bohin fête les 200 ans de son fondateur Benjamin Bohin : L'entreprise Bohin de Saint-Sulpice-sur-Risle (Orne) prépare des festivités dans le cadre du bicentenaire de la naissance du fondateur de l'entreprise ce lundi 20 juin 2022 », Le Réveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. « Saint-Sulpice-sur-Risle sur le site de l'Institut géographique national » [archive du ] (archive Wikiwix)