Saint-Romain (Charente)

commune française du département de la Charente

Saint-Romain (Sent Roman en occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Saint-Romain
Saint-Romain (Charente)
Mairie de Saint-Romain.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité Communauté de communes Lavalette Tude Dronne
Maire
Mandat
Gilles Dupuy
2020-2026
Code postal 16210
Code commune 16347
Démographie
Gentilé Rominois
Population
municipale
511 hab. (2021 en évolution de −9,72 % par rapport à 2015)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 16′ 37″ nord, 0° 08′ 56″ est
Altitude Min. 54 m
Max. 168 m
Superficie 22,69 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Tude-et-Lavalette
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Romain
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Romain
Géolocalisation sur la carte : Charente
Voir sur la carte topographique de la Charente
Saint-Romain
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Saint-Romain

Ses habitants sont les Rominois et les Rominoises[1].

Géographie

modifier

Localisation et accès

modifier

Saint-Romain est une commune du Sud Charente située à 2 km au nord-ouest d'Aubeterre-sur-Dronne et 41 km au sud d'Angoulême.

Le bourg de Saint-Romain est aussi à 8 km au nord de Saint-Aulaye, à 9 km à l'est de Chalais, à 14 km au sud de Montmoreau, à 15 km à l'ouest de Ribérac[2].

Saint-Romain est bien desservie par les routes qui rayonnent depuis Aubeterre. La D 2 qui va à Chalais passe à 100 m du bourg. Les autres départementales importantes passent en limite de commune : la D 10 qui va au nord vers Montmoreau, Villebois-Lavalette et Angoulême, et la D 17 qui va au sud à Bonnes et Saint-Aulaye. Il y a aussi la D 21 qui va vers Blanzac, la D 137, et la D 198, routes moins importantes, et des routes communales[3].

La gare la plus proche est celle de Chalais, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Bordeaux.

Hameaux et lieux-dits

modifier

L'habitat est dispersé et la commune compte de très nombreux hameaux et fermes.

Communes limitrophes

modifier
Communes limitrophes de Saint-Romain
Courlac Bellon Pillac
Rouffiac   Laprade
Les Essards Bonnes Aubeterre-sur-Dronne

Géologie et relief

modifier
 
Vue aux environs du lieu-dit Chariaud.

La commune est dans les coteaux du Campanien (Crétacé supérieur), calcaire crayeux qui occupe une grande partie du Sud Charente. Le quart nord-est de la commune est occupé par des dépôts du Tertiaire (argile, sable, galets)[4],[5],[6].

En surface, la commune est la plus vaste de son canton, et elle arrive jusqu'à 200 m du centre-ville d'Aubeterre. Elle est située sur un bas plateau, à l'ouest de la vallée de la Dronne, rivière du bassin de la Dordogne qui fait limite avec le département de la Dordogne.

Le terrain est assez accidenté. Les sommets au nord-est de la commune, peu fertiles, sont boisés, principalement en châtaigniers. Le point culminant de la commune (168 m, borne IGN) est situé en limite ouest avec la commune de Rouffiac. Le point le plus bas est à 54 m, situé en limite sud près de Thiollet. Le bourg est à 90 m d'altitude[3].

Sur le reste de la commune, on cultive principalement des céréales, et il y avait de la vigne avant la crise du phylloxera.

Hydrographie

modifier

Réseau hydrographique

modifier
 
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Romain.

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Beuronne, la fontaine du poirier, l'Ecrevansou, le Guinelier, le ruisseau des Grands Prés et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 16 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Aucun cours d'eau ne traverse le bourg de Saint-Romain. Toutefois la Beuronne, petit affluent de la Dronne aux Essards, y prend sa source (à Trie) et coule vers le sud-ouest, ainsi qu'un petit affluent de la Tude au nord, la Grande FontaineSac), et aussi l'Écrevansou et la Fontaine du Poirier, minuscules ruisseaux qui font la limite communale à l'est[3].

Gestion des eaux

modifier

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Urbanisme

modifier

Typologie

modifier

Au , Saint-Romain est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12] et hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols

modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (72,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,7 %), forêts (26,3 %), zones agricoles hétérogènes (12,7 %), zones urbanisées (1,8 %), prairies (0,4 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

modifier

Le territoire de la commune de Saint-Romain est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible)[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Saint-Romain est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire du massif de Bors – Pillac – Saint-Romain. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été élaboré pour la période 2017-2026, faisant suite à un plan 2007-2016[18]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du règlemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 1],[18],[19],[20].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Romain.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 75,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 332 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 295 sont en aléa moyen ou fort, soit 89 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[16].

Toponymie

modifier

Le nom est attesté sous la forme latine Sanctus Romanus prope Albam Terram[23], signifiant « Saint Romain près d'Aubeterre ».

Romain était un prêtre confesseur à Blaye, mort en 385[24],[25],[Note 2].

Pendant la Révolution, la commune s'est appelée provisoirement Les Romains[26].

Limite dialectale

modifier

La commune marque la limite entre la langue d'oïl (domaine du saintongeais) à l'ouest, et le domaine occitan (dialecte limousin) à l'est[27]. Elle se nomme Sent Roman en occitan[28].

Histoire

modifier

Les plus anciens registres paroissiaux remontent à 1660.

D'après un inventaire de 1747, une autre église aurait existé sur la commune, au hameau de Villedieu, perdue au milieu des bois au nord-est. Il n'y en avait plus aucune trace en 1910[29].

Sur la colline dénommée les Justices, on a noté la présence de nombreux squelettes sans sépultures[30].

En 1789, à la veille de la Révolution, Saint-Romain émet un cahier de doléances, comme de nombreuses paroisses[31].

Administration

modifier
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1995 2014 Pierre Ribéreau SE Retraité
2014 En cours Lucette Terracol    

Démographie

modifier

Évolution démographique

modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].

En 2021, la commune comptait 511 habitants[Note 3], en évolution de −9,72 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
1 2351 1901 1631 2581 2791 1291 1141 1381 050
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
990986942920899816821721712
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
742714610612581626539511522
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
506506460437512535541557512
2021 - - - - - - - -
511--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

modifier

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 27,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 36,9 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 256 hommes pour 256 femmes, soit un taux de 50 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
0,8 
10,9 
75-89 ans
13,7 
25,4 
60-74 ans
22,7 
22,7 
45-59 ans
23,4 
13,7 
30-44 ans
12,1 
13,3 
15-29 ans
15,2 
13,7 
0-14 ans
12,1 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2021 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,7 
9,2 
75-89 ans
12 
20,6 
60-74 ans
21,3 
20,7 
45-59 ans
20,3 
16,8 
30-44 ans
16 
15,6 
15-29 ans
13,4 
16,1 
0-14 ans
14,3 

Remarques

modifier

La population de la commune est en hausse depuis les années 1980 de par la proximité d'Aubeterre, et il y a de nombreux résidents britanniques.

Économie

modifier

Agriculture

modifier

La commune fait partie de l'aire d'origine contrôlée du Cognac « Bons Bois »[38] et de l'AOC/AOP Noix du Périgord[39].

Commerces

modifier
  • Trois restaurants dont un hôtel.
  • Supérette.

Équipements, services et vie locale

modifier

Enseignement

modifier

Saint-Romain possède une école élémentaire publique, Camille-Desvergnes. Elle est située près de la mairie et comprend deux classes.

Le secteur du collège est Chalais[40].

Lieux et monuments

modifier
 
L'église paroissiale.
 
Le cimetière de Saint-Romain.
  • L'église paroissiale Saint-Romain.
  • Château de Puycheni, privé, au sud-ouest de la commune.

Personnalités liées à la commune

modifier
  • Pierre Véry, né à Bellon, écrivain et auteur des Disparus de Saint-Agil, venait passer régulièrement quelques semaines de ses vacances à Saint-Romain où son père habitait une partie de l'année, vers 1936.

Notes et références

modifier

Notes et cartes

modifier
  • Notes
  1. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 7 mètres minimum de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  2. D'après Dauzat, parmi les saint Romain, seuls Romain de Blaye et Romain de Rouen ont donné leurs noms aux différentes communes françaises Saint-Romain   ou Saint-Rome  .
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Saint-Romain » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

modifier
  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b et c Carte IGN sous Géoportail
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Ribérac », sur Infoterre, (ISBN 2-7159-1757-0, consulté le ).
  7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Saint-Romain », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  9. « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  10. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  12. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Romain », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. a et b « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie 2017 – 2026 », sur draaf.nouvelle-aquitaine.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Arrêté portant classement de massifs forestiers et obligation de débroussaillement. », sur charente.gouv.fr, (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Romain », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  23. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 131
  24. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  25. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 627.
  26. Jacques Baudet et Jacques Chauveaud, « Toponymie révolutionnaire en Charente », Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente,‎ 4e trimestre 1986, p. 272-278 (lire en ligne [PDF] sur andre.j.balout.free.fr, consulté en )
  27. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
  28. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le ).
  29. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 347
  30. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 57
  31. « Cahier de doléances de la paroisse », Histoire - Passion, (consulté le ).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Romain (16347) », (consulté le ).
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  38. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
  39. Bulletin officiel du Ministère de l'Agriculture, « Cahier des charges de l'appellation d'origine « Noix du Périgord » » [PDF], (consulté le )
  40. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).

Voir aussi

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier
  • Catillus Carol, « Saint-Romain », (consulté le )