Saint-Pey-de-Castets

commune française du département de la Gironde

Saint-Pey-de-Castets est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Pey-de-Castets
Saint-Pey-de-Castets
L'église Saint-Pierre.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Libourne
Intercommunalité Communauté de communes Castillon-Pujols
Maire
Mandat
Liliane Poivert
2020-2026
Code postal 33350
Code commune 33460
Démographie
Gentilé Saint-Peyais
Population
municipale
596 hab. (2021 en évolution de −4,94 % par rapport à 2015)
Densité 54 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 48′ 42″ nord, 0° 04′ 02″ ouest
Altitude Min. 1 m
Max. 96 m
Superficie 11,07 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Coteaux de Dordogne
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Géographie

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Localisation

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Communes limitrophes

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Les communes limitrophes en sont Saint-Magne-de-Castillon au nord, sur la rive droite (nord) de la Dordogne, Mouliets-et-Villemartin au nord-est, Pujols au sud-est, Bossugan au sud, Mérignas au sud-ouest, Sainte-Florence à l'ouest et Civrac-sur-Dordogne au nord-ouest.

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 814 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Émilion à 11,42 km à vol d'oiseau[5], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 798,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Milieux naturels et biodiversité

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Natura 2000

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La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Saint-Pey-de-Castets[9],[10]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[11].

Saint-Pey-de-Castets fait partie des 102 communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[12],[13], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[14].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Saint-Pey-de-Castets est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle est située hors unité urbaine[16] et hors attraction des villes[17],[18].

Occupation des sols

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Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (87,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (41,4 %), terres arables (24,4 %), zones agricoles hétérogènes (11,6 %), forêts (10,3 %), eaux continentales[Note 1] (6,4 %), prairies (3,1 %), zones urbanisées (2,9 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports

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Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Saint-Pey-de-Castets est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dordogne, l'Escouach et la Gamage. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1999, 2005, 2008 et 2009[22],[20].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des éboulements, chutes de pierres et de blocs et des tassements différentiels[23]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[24].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Pey-de-Castets.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 315 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 315 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1993 et 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[20].

Risques technologiques

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La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage sur la Dordogne de classe A[Note 2] soumis à PPI, disposant d'une retenue de 477 millions de mètres cubes[27]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[28].

Toponymie

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La commune tient son nom du saint patron de la paroisse, l'apôtre Pierre qui se dit Pey en gascon.
Castets vient du mot latin castellum qui définit un « lieu fortifié »[29].

En gascon, le nom de la commune est Sent Pèir de Castèths.

Histoire

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Protohistoire

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Le lieu-dit « Les Grandes Vignes »[30] a livré un site du premier âge du fer. Probablement sis sur un éperon barré, la variété de la céramique et la présence d'ossements d'animaux consommés, mélangés aux cendres, indique qu'il s'agit d'un habitat, plus rare que les sépultures[31].

XVIIIe siècle

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À la Révolution, la paroisse de Saint-Pey-de-Castets forme la commune de Saint-Pey-de-Castets[32].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
maire en 1840 ? M. Ducarpe-Bonnetan   Notaire, conseiller d'arrondissement[33]
1949 mars 1971 Jacques Boyer-Andrivet RI, UDF, PR Maire de Castillon-la-Bataille (1971-1977), conseiller général (1970-1990),
député (1966-1968), sénateur (1971-1980 et 1987-1989)
       
mars 2001 mars 2008 Michel Bordier PS  
mars 2008 En cours Liliane Poivert UMP Conseillère départementale (2015-)
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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Ses habitants sont appelés les Saint-Peyais[34].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36]. En 2021, la commune comptait 596 habitants[Note 3], en évolution de −4,94 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 005920985882913922837845876
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
852848835144744699704701751
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
764724712606637598587584603
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
519484457520597617607608634
2015 2020 2021 - - - - - -
627603596------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

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L'église Saint-Pierre, d'origine romane (XIe siècle) a été en grande partie rebâtie au XIVe siècle en style gothique puis aménagée vers la fin du XVe siècle ou le début du XVIe ; elle est surmontée d'un faux clocher-mur, celui-ci étant en réalité une tour où sont abritées les cloches ; l'édifice est inscrit, avec les vestiges d'un ancien prieuré attenant, au titre des monuments historiques depuis 1999[39].

Personnalités liées à la commune

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Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  2. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[26].
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Saint-Pey-de-Castets sur Géoportail, consulté le 4 mai 2015.
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Saint-Pey-de-Castets et Saint-Émilion », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Émilion » (commune de Saint-Émilion) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Saint-Émilion » (commune de Saint-Émilion) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. - FR7200660 - La Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  10. Carte du site « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  11. Espèces, INPN, consulté le .
  12. [PDF] - La Dordogne (Identifiant national 720020014), GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  13. Carte de la ZNIEFF « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  14. Espèces, INPN, consulté le .
  15. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  16. Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Pey-de-Castets ».
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Pey-de-Castets », sur Géorisques (consulté le ).
  21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Pey-de-Castets », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  26. Article R214-112 du code de l’environnement
  27. « barrage de Bort-les-Orgues », sur barrages-cfbr.eu (consulté le ).
  28. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  29. Saint-Pey-de-Castets sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 4 mai 2015.
  30. Sireix & Mohen 1971, p. 451, fig. 1.
  31. [Sireix & Mohen 1971] M. Sireix et Jean-P. Mohen, « Le site du premier âge du Fer de Saint-Pey-de-Castets (Gironde) », Bulletin de la Société préhistorique française Année, vol. 68, no 1 « Études & Travaux »,‎ , p. 451-458 (lire en ligne [sur persee], consulté en ), p. 451.
  32. Historique des communes, p. 57, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 4 mai 2015.
  33. « Almanach royal et national... : présenté à Sa Majesté et aux princes et princesses de la famille royale », sur Gallica, (consulté le ).
  34. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 8 juillet 2014.
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. « Notice MH de l'église Saint-Pierre », notice no PA33000022, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 4 mai 2015.