Saint-Malo-de-Guersac

commune française du département de la Loire-Atlantique, en France

Saint-Malo-de-Guersac est une commune de la Loire-Atlantique située à 15 km de Saint-Nazaire en pleine Brière.

Saint-Malo-de-Guersac
Saint-Malo-de-Guersac
Maison de l'éclusier
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Saint-Nazaire
Intercommunalité Communauté d'agglomération de la Région Nazairienne et de l'Estuaire
Maire
Mandat
Jean-Michel Crand
2020-2026
Code postal 44550
Code commune 44176
Démographie
Gentilé Malouins
Population
municipale
3 188 hab. (2021 en évolution de +0,22 % par rapport à 2015)
Densité 218 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 21′ 06″ nord, 2° 10′ 42″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 13 m
Superficie 14,62 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Saint-Nazaire
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Nazaire
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Nazaire-2
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Malo-de-Guersac
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Malo-de-Guersac
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Voir sur la carte topographique de la Loire-Atlantique
Saint-Malo-de-Guersac
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Voir sur la carte administrative des Pays de la Loire
Saint-Malo-de-Guersac
Liens
Site web saintmalodeguersac.fr
Le bourg et l'église

Géographie

modifier

Situation

modifier

Selon le découpage de la Bretagne fait par Erwan Vallerie, Saint-Malo-de-Guersac fait partie du pays traditionnel de la Brière et du pays historique du Pays Nantais.

Communes limitrophes

modifier
  Saint-Joachim Crossac  
N Donges
O    Saint-Malo-de-Guersac    E
S
Trignac Montoir-de-Bretagne

Quartiers

modifier
  • le Bourg
  • Le Pin
  • La Ganache
  • L'Isle
  • Rozé
  • Île d'Errand
  • la Grée
  • La Paquelais
  • La Petite Brière
  • Crosmain
  • La Gravelle
  • La Bosse

Ressources et productions

modifier
 
Situation de la commune de Saint-Malo-de-Guersac dans le département de la Loire-Atlantique

Il s'agit essentiellement de cultures fourragères.

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 695 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 5,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Nazaire-Montoir », sur la commune de Montoir-de-Bretagne à 3 km à vol d'oiseau[3], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 792,0 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Statistiques 1991-2020 et records ST NAZAIRE-MONTOIR (44) - alt : 3m, lat : 47°18'49"N, lon : 2°09'16"O
Records établis sur la période du 01-07-1957 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 3,7 3,4 5,1 6,6 9,8 12,5 14,1 13,9 11,4 9,5 6,1 4 8,3
Température moyenne (°C) 6,6 6,9 9,1 11,2 14,5 17,5 19,3 19,2 16,7 13,5 9,6 7,1 12,6
Température maximale moyenne (°C) 9,5 10,4 13,2 15,8 19,2 22,5 24,4 24,5 21,9 17,4 13,1 10,2 16,8
Record de froid (°C)
date du record
−13,8
16.01.1985
−13,7
10.02.1986
−9,4
01.03.05
−3
11.04.1973
−0,9
14.05.1995
2
02.06.1962
6,5
03.07.1968
4,7
31.08.1986
1,1
11.09.1972
−5,9
30.10.1997
−7,9
23.11.1988
−10,6
28.12.1962
−13,8
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
16,8
27.01.03
20,7
27.02.19
24
30.03.21
27,5
22.04.1984
31,2
26.05.17
37,7
27.06.19
41
18.07.22
38,4
09.08.03
33,4
12.09.22
29,4
08.10.23
20,9
01.11.15
16,9
07.12.00
41
2022
Ensoleillement (h) 728 102 1 487 1 745 2 068 2 329 2 331 2 339 1 977 1 279 898 724 18 926
Précipitations (mm) 87,7 68,3 58,6 56,6 54,9 40 38,6 44,1 63,4 87,7 95,4 96,7 792
Source : « Fiche 44103001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme

modifier

Typologie

modifier

Au , Saint-Malo-de-Guersac est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Nazaire[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant 17 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[8],[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Nazaire, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[9]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

modifier

Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu 17,1 % 263
Prairies et autres surfaces toujours en herbe 68,8 % 1057
Marais intérieurs 14,1 % 216
Source : Corine Land Cover[12]

Toponymie

modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Guersac en 1401, Sant-Malo vers 1850[13].

Il s'agit d'une formation toponymique romane en Saint-, dont le second élément -Malo se réfère à un saint connu autrement sous le nom de Maclovius[14]. Guersac est le nom de la principale île qui constitue le territoire communal de Saint-Malo-de-Guersac.
La référence à saint Malo dans le nom de la commune viendrait de l'événement mythique suivant : Malo, évêque d'Aleth, retournait à Aleth après un premier séjour à Saintes. Selon la légende, lorsque Malo traversa l’île de Guersac, son cheval trébucha sur un rocher qui a conservé la trace de son sabot. Ce rocher est dénommé depuis le Pas de Saint Malo[réf. nécessaire].

.Guersac se compose de la forme réduite du breton Gwern (ce mot désigne une zone marécageuse et son association à Sac'h est naturelle) qui est extrêmement fréquent en toponymie bretonne et la chute du "n" à la césure devant un second composant commençant par une consonne est assez fréquente et de Sac'h (sac) au sens d'un « endroit où il y a des eaux stagnantes ». Le mot se retrouve régulièrement en toponymie bretonne, comme dans le Sac'h de Quéven dans le Morbihan (Sac'h Kewenn en breton).[réf. nécessaire]

Le nom de la commune en gallo est Saint-Malo[15].

La forme bretonne actuelle proposée par l'Office public de la langue bretonne est Sant-Maloù-Gwersac'h[13].

Histoire

modifier

La présence humaine est attestée dès la Préhistoire par la découverte de nombreux objets datant de l'époque moustérienne, et l'érection du menhir de la Pierre Blanche, situé dans la partie orientale de la commune.

Au ve siècle un village est fondé par des émigrants bretons (venus de la Bretagne insulaire) ; puis Saint-Malo-de-Guersac (Sant Maloù Gwersac'h en breton, de gwern (marais) et sac’h (stagnant)) s'étendra principalement sur les deux îles : l'île de Guersac qui est l'île la plus grande et la plus haute des îles de Brière, et l'île d'Errand.

Au Moyen Âge, Saint-Malo-de-Guersac dépend de la vicomté de Donges assujettie au duché de Bretagne et partageait les droits collectifs du territoire indivis du marais avec les habitants des 14 paroisses de la « Brière » conformément au privilège donné aux briérons par François II duc de Bretagne, le 8 août 1461, par lettre patente (voir Saint-Joachim). La duchesse Anne ratifie la lettre patente de son père François II. Ce privilège a été confirmé plusieurs fois au cours des siècles suivants.

Avant la Révolution française, le territoire de la commune actuelle faisait partie de la paroisse de Montoir-de-Bretagne. Son histoire est donc étroitement liée à cette dernière. La paroisse Saint-Malo-de-Guersac est fondée en 1845. En 1848, le bourg n'est constitué que de quelques maisons groupées autour d'une vieille chapelle.

La construction d'une nouvelle église commence en 1858 avec la pose de la première pierre le 22 juin. L’église est inaugurée en avril 1862. Le clocher est érigé en 1878 et les cloches sont installées en 1889. Édifiée sur le point le plus haut de l'île de Guersac (13 m), et de par ses formes, ses dimensions et son clocher qui culmine à 37 m au-dessus du marais, cette église a été surnommée "le petit Mont Saint-Michel de Brière".

La commune, distraite de Montoir-de-Bretagne, est créée par la loi du 14 novembre 1925.

Politique et administration

modifier
Liste des maires successifs[16]
Période Identité Étiquette Qualité
Eugène Jallais   Premier maire de la commune
François Lebert    
Jules Guitton DVD  
Geneviève Grattier[Note 4],[17] PS  
Pierre Rambaud PS Ouvrier
Marcelle Baucher-Guérant PS Formatrice pour adultes
Adjointe au maire (1983 → 1989)
Roger David[Note 5] PCF Monteur spécialisé retraité
Conseiller général de Montoir-de-Bretagne (2008 → 2015)
Alain Bentaha PS Directeur territorial
Conseiller régional des Pays de la Loire (2004 → 2010)
Vice-président de la CARENE (2008 → 2014)
Démissionnaire
[18] Alain Michelot[Note 6] PS Retraité de la construction navale
Premier adjoint au maire (2008 → 2011)
Vice-président de la CARENE (2014 → 2020)
[19] En cours
(au 1er mars 2022)
Jean-Michel Crand DVG Retraité MAN Diesel
Adjoint au maire (2014 → 2020)
Vice-président de la CARENE (2020 → )

Population et société

modifier

Démographie

modifier

Selon le classement établi par l'Insee, Saint-Malo-de-Guersac fait partie de l'aire urbaine, de la zone d'emploi et du bassin de vie de Saint-Nazaire et de l'unité urbaine de Saint-Joachim - Saint-Malo-de-Guersac[9]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « intermédiaire » : 85 % des habitants résidaient dans des zones « intermédiaires », 9 % dans des zones « peu denses » et 6 % dans des zones « très peu denses »[20].

Évolution démographique

modifier

La commune est créée en 1925 après démembrement partiel de Montoir-de-Bretagne.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1926. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[22].

En 2021, la commune comptait 3 188 habitants[Note 7], en évolution de +0,22 % par rapport à 2015 (Loire-Atlantique : +6,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
2 0492 0001 9602 0462 1022 2072 2472 4613 286
1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020 2021 -
3 2943 1263 0853 1123 2123 1813 2063 188-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

modifier

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,8 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 565 hommes pour 1 616 femmes, soit un taux de 50,8 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,42 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[25]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,1 
90 ou +
0,4 
6,9 
75-89 ans
8,6 
18,7 
60-74 ans
20,8 
21,4 
45-59 ans
20,7 
19,9 
30-44 ans
19,1 
12,3 
15-29 ans
12,5 
20,6 
0-14 ans
17,9 
Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2021 en pourcentage[26]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,8 
75-89 ans
8,6 
15,1 
60-74 ans
16,4 
19,4 
45-59 ans
18,8 
20,1 
30-44 ans
19,3 
19,2 
15-29 ans
17,4 
19,5 
0-14 ans
17,6 

Consanguinité

modifier

L'isolement géographique de la commune a longtemps été une source de consanguinité (ce qui est vrai pour toute la Brière, mais encore plus pour Saint-Malo de Guersac et Saint-Joachim). Ce problème tend à disparaître depuis le premier quart du XXe siècle, et le désenclavement de la Brière. Ceci a également entraîné une faible diversité des patronymes : les Halgand, Aoustin, Moyon, Mahé, Chedotal, Guihéneuf et Legof constituant toujours la majorité des noms de famille, principalement dans les îles, où les habitants sont surnommés les « canards » (les habitants de la bordure du marais étant eux surnommés les « naquets »). D'ailleurs, le roman de Alphonse de Châteaubriant, La Brière, traite de ce problème, où un père de famille « canard » refuse que sa fille épouse un « naquet » de Crossac. L'exogamie, même avec des communautés géographiquement et culturellement proches, était peu pratiquée.[réf. nécessaire]

Vie locale

modifier
  • Pêche, chasse, promenades en chaland.
  • Vitrine du marais (faune et flore).
  • Sentier de découverte du marais.
  • Parc animalier de Rozé (faune de Brière).
  • Orchestre de Batterie fanfare de Saint Malo de Guersac : classée en supérieur, la batterie fanfare se produit dans la commune mais aussi un peu partout en France. Elle possède désormais une fanfare de rue : la bande d'Eolas.

Monuments et lieux remarquables

modifier
  • le belvédère de 128 marches, haut de 24 m, situé au port de Rozé et ouvert depuis octobre 2020, il permet de découvrir l’étendue de la richesse paysagère de la Brière sur 360°.
  • l'église (1858-1878) dont la première pierre est posée le . Elle est inaugurée en avril 1862. Le clocher est édifié en 1878 et les cloches sont installées en 1889
  • la croix de la Ganache, située rue de la Ganache
  • le calvaire, situé au carrefour des rues de l'Isle et Aristide Briand
  • le château (1908), situé rue Émile Zola
  • les haras nationaux (1980), situés au no 40 route de la Ganache. Les haras dépendaient jadis et jusqu'en 1980 de la commune de Montoir-de-Bretagne
  • l'école Saint-Joseph (XIXe – XXe siècle), située rue Aristide Briand. L'école est construite en 1863 sur l'initiative du curé, Julien Malary
  • l'ancienne cure (1866), située rue Aristide Briand et édifiée par l'abbé Lanoë
  • la maison de l'éclusier
     
    Maison de l'éclusier en hiver
    , située sur la route de Saint-Joachim et restaurée en 1975. Elle héberge aujourd'hui un musée
  • les écluses et la maison de l'éclusier (début du XIXe siècle), située au Port de Rozé (une seule écluse a gardé ses portes)
  • le site de la réserve Pierre Constant (Réserve Naturelle Régionale Marais de Brière), près de la maison de l'éclusier
  • la statue de la Vierge à l'Enfant (1947)
  • le blockhaus (1939-1945), situé sur la butte du Pin. Cet édifice hébergeait jadis une batterie de défense aérienne chargée de protéger Saint-Nazaire où la Kriegsmarine avait placé une base de sous-marins
  • le rocher dit « Pas de Saint-Malo » qui est visible à proximité du centre ville, près de l'allée de la Garenne sur le circuit de randonnées no 1.

Voir aussi

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier

Notes et références

modifier
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Saint-Nazaire comprend une ville-centre et 16 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Réélue en 1977.
  5. Réélu en 2001.
  6. Réélu en 2014.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

modifier
  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Saint-Malo-de-Guersac et Montoir-de-Bretagne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Saint-Nazaire-Montoir », sur la commune de Montoir-de-Bretagne - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Saint-Nazaire-Montoir », sur la commune de Montoir-de-Bretagne - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  8. « Unité urbaine 2020 de Saint-Nazaire », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  9. a b et c Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Malo-de-Guersac ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Nazaire », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « Données statistiques sur les communes de métropole commune : répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur Corine Land Cover, (consulté le ).
  13. a et b Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
  14. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, p. 1558
  15. « Liste des communes de Haute-Bretagne », Institut du Galo
  16. Historique des maires de Saint-Malo-de-Guersac, sur saintmalodeguersac.fr
  17. « Saint-Malo-de-Guersac. Décès de l’ancienne maire Geneviève Grattier », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  18. « Alain Michelot, nouveau maire de Saint-Malo-de-Guersac », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  19. « Saint-Malo-de-Guersac. Jean-Michel Crand est le 10e maire de la commune », Presse-Océan,‎ (lire en ligne).
  20. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Malo-de-Guersac (44176) », (consulté le ).
  26. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).