Saint-Lions
Saint-Lions est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Saint-Lions | |||||
Mairie de Saint-Lions. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Alpes-de-Haute-Provence | ||||
Arrondissement | Castellane | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière | ||||
Maire Mandat |
Madeleine Isnard 2020-2026 |
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Code postal | 04330 | ||||
Code commune | 04187 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
39 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 3,4 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 59′ 10″ nord, 6° 24′ 01″ est | ||||
Altitude | Min. 739 m Max. 1 589 m |
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Superficie | 11,55 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Riez | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Le nom de ses habitants est Saint-Lionnais[1].
Géographie
modifierLocalisation
modifierLe village est situé à 800 m d’altitude[2].
Les communes limitrophes de Saint-Lions sont Clumanc, Moriez, Barrême et Saint-Jacques.
Environnement, géologie et relief
modifierLa commune compte 475 ha de bois et forêts, soit 41 % de sa superficie[1].
La commune est couverte par deux ZNIEFF (Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique)[3].
Le périmètre de protection de la Réserve naturelle géologique de Haute-Provence couvre également la commune de Saint-Lions.
Voies de communications et transports
modifierVoies routières
modifierL'accès au village s'effectue par la route départementale 319.
Transports en commun
modifierLa gare la plus proche est celle de Barrême, desservie par le chemin de fer de la ligne de Nice à Digne. Cette ligne est aussi connue sous le nom de « train des Pignes » qui a deux arrêts sur la commune, à l’arrêt facultatif de Gévaudan et à la gare de Barrême. Elle est au carrefour des RN 202, RN 85 et RD 4085, qui est l’ancienne RN 85 départementalisée. RN 85 et RD 4085 font partie de la route Napoléon.
Risques majeurs
modifierLa commune de Saint-Lions est exposée à trois risques naturels[4] :
- feu de forêt,
- inondation,
- mouvement de terrain.
La commune de Saint-Lions n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[5] ; aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[5] mais le Dicrim existe depuis 2011[6].
Sismicité
modifierAucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Barrême auquel appartient Saint-Lions est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[7], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[4].
Hydrographie et les eaux souterraines
modifierCours d'eau sur la commune ou à son aval[8] :
- rivière l'asse de clumanc.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[10].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 941 mm, avec 6,7 jours de précipitations en janvier et 5,1 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Mure-Argens », sur la commune de La Mure-Argens à 10 km à vol d'oiseau[11], est de 9,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 891,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 37,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −21,9 °C, atteinte le [Note 1],[12],[13].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[14]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].
Toponymie
modifierLe nom actuel du village apparaît pour la première fois en 1141 (sancti Leontio)[16],[17] ; il est nommé d’après le nom de saint Léonce ou Léon, évêque de Fréjus au IVe siècle[17] sous sa forme occitane, qui a été francisée par la suite[16].
Histoire
modifierLe village s’appelait autrefois Dauphin, et faisait partie de la communauté voisine de Barrême. Son église est donnée à l’abbaye Saint-Victor de Marseille au XIIIe siècle, ou selon les interprétations, à l’église Notre-Dame de Thorame[18]. Il devient un fief des Villeneuve au siècle suivant jusqu’à la Révolution[2].
En , le hameau de Saint-Lyons demande son détachement de Barrême, et devient une commune à part entière en [19]. La société patriotique de la commune y est créée pendant l’été 1792[20]. Toujours durant la Révolution, pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Lions-d’Asse[21].
La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du précise ses modalités, mais sa réalisation est longue à mettre en œuvre, les fonctionnaires du cadastre traitant les communes par groupes géographiques successifs. Ce n’est qu’en 1837 que le cadastre dit napoléonien de Saint-Lions est achevé[22].
Économie
modifierEntreprises et commerces
modifierAgriculture
modifierTourisme
modifierCommerces
modifierLe principal employeur de la commune est Terre et traditions, dont l’activité est la transformation de produits organiques en amendements. Elle emploie 7 salariés[23],[24].
Politique et administration
modifierListe des maires
modifierBudget et fiscalité 2016
modifierEn 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[29] :
- total des produits de fonctionnement : 58 000 €, soit 1 321 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 55 000 €, soit 1 245 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 19 000 €, soit 432 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 16 000 €, soit 367 € par habitant.
- endettement : 36 000 €, soit 809 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 20,60 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 8,45 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 32,95 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 58,73 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 20,25 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014[30].
Intercommunalité
modifierSaint-Lions était membre, jusqu'en 2016, de la communauté de communes du Moyen Verdon ; depuis le , elle fait partie de la communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière.
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Saint-Lions est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[31]. Elle est située hors unité urbaine[32] et hors attraction des villes[33],[34].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (84,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (28,1 %), zones agricoles hétérogènes (13,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (10,6 %), terres arables (2,7 %)[35].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Population et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierEn 2021, Saint-Lions comptait 39 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2004, 2009, 2014, etc. pour Saint-Lions). Depuis 2004, les autres chiffres sont des estimations.
L’histoire démographique de Saint-Lions est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure toute la première moitié du XIXe siècle. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de baisse de la population de longue durée. Dès 1901, la commune enregistre la perte de plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1821[38]. Le mouvement de baisse arrive à un plancher dans les années 1970. Depuis, la population oscille entre trente et cinquante habitants.
Enseignement
modifierComme de nombreuses communes du département, Saint-Lions se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, il possède déjà une école qui dispense une instruction primaire aux garçons, au chef-lieu[39]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[40], ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent Saint-Lions[41] ; ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles de Saint-Lions sont régulièrement scolarisées.
Santé
modifierLes professionnels de santé (médecin, Kinésitherapeute, infirmiers...) sont à Barrême, Senez.
Cultes
modifierCulte catholique, Paroisse du Verdon : église Saint-Laurent[42].
Lieux et monuments
modifier-
Le Mouchon, à Clumanc (et Saint-Lions). -
Église Saint-Laurent, avec cadran solaire peint. -
Fontaine-lavoir, avec trois bassins rond, rectangulaire et ovale. -
Monument aux morts de 1939-1945.
- L’église paroissiale est sous le vocable de Saint-Laurent[43], qu’elle a repris après la période d’occupation par les chanoines qui l’avait placée sous la titulature de Saint-Léonce[18] date du XVIIe siècle, avec des travaux au XIXe siècle. La nef, qui ne compte que deux travées, est voûtée d’arêtes[43].
- Fontaine-lavoir, avec trois bassins rond, rectangulaire et ovale.
- Monument aux morts.
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p.
- Saint-Lions sur le site Dignois
- Saint-Lions sur Archéoprovence
- Saint-Lions par Daniel Thiéry
- Cadrans solaires
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
modifier- Liste des anciennes communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Liste des communes des Alpes-de-Haute-Provence
Liens externes
modifier- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Saint-Lions sur le site de l'Institut géographique national (archive)
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les records sont établis sur la période du au .
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Roger Brunet, « Canton de Barrême », Le Trésor des régions, consultée le 9 juin 2013
- Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
- ZNIEFF terrestres de type II
- Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 15 août 2012
- Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 97.
- Document, base Dicrim, consultée le 15 août 2012
- Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence, Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, (lire en ligne), p.39.
- L'eau dans la commune
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Lions et La Mure-Argens », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « La Mure-Argens », sur la commune de La Mure-Argens - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « La Mure-Argens », sur la commune de La Mure-Argens - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne)., § 28459, p 1626
- Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest, coll. « Sud Ouest Université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-442-5), p. 61.
- Daniel Thiery, « Saint-Lions - Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence », sur archeoprovence, (consulté le ).
- J.-F. Cruvellier, Histoire de Barrême, Société scientifique et littéraire des Basses-Alpes, p.95.
- Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 296-297.
- Jean-Bernard Lacroix, « Naissance du département », in La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 113.
- Alexeï Laurent, « Paysages ruraux de la première moitié du XIXe siècle dans le sud-est des Basses-Alpes », in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, XVIIIe – XXIe siècle, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains : Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013. (ISBN 978-2-86004-016-7), p. 10.
- Chambre de commerce et d'industrie des Alpes-de-Haute-Provence, [1], consultée le 20 septembre 2012
- Site officiel de Terre et traditions, consulté le 20 septembre 2012
- [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
- verdon-info, « Saint Lions : nouveau mandat pour Madeleine ISNARD », sur verdon-info.net, Actualites locales Moyen et Haut Verdon..., (consulté le ).
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Saint-Jurs à Soleihas (sic) (liste 7), consulté le 10 mars 2013
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
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- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Christiane Vidal, Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes de Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle, t. 21, (lire en ligne), chap. 85, p. 287.
- Jean-Christophe Labadie (dir.), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p.9.
- Labadie 2013, p. 16.
- Labadie 2013, p. 18.
- Saint Lions (Église paroissIale) - 04 Saint Lions Barrême
- Françoise Reynier, « Église paroissiale Saint-Laurent », notice no IA04000483, base Mérimée, sur pop.culture.gouv.fr (Plate-forme ouverte du patrimoine), Ministère de la Culture, (consulté le ).
- Françoise Reynier, « Cloche », notice no IM04000797, base Palissy, sur pop.culture.gouv.fr (Plate-forme ouverte du patrimoine), Ministère de la Culture, (consulté le ).