Saint-Léger-de-Balson

commune française du département de la Gironde

Saint-Léger-de-Balson (Sent Lugèir de Balion en gascon) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine).

Saint-Léger-de-Balson
Saint-Léger-de-Balson
La mairie (juin 2009)
Blason de Saint-Léger-de-Balson
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes du Sud Gironde
Maire
Mandat
Laëtitia Rodriguez
2020-2026
Code postal 33113
Code commune 33429
Démographie
Gentilé Léodegariens ou Lugariens
Population
municipale
319 hab. (2021 en évolution de −6,18 % par rapport à 2015)
Densité 8,4 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 25′ 58″ nord, 0° 27′ 53″ ouest
Altitude Min. 27 m
Max. 71 m
Superficie 38,04 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Landes des Graves
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Saint-Léger-de-Balson

Ses habitants sont appelés les Léodegariens ou Lugariens[1].

Géographie

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Localisation

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La commune est située dans la forêt des Landes au cœur du parc naturel régional des Landes de Gascogne, dans le sud-sud-ouest du département de la Gironde, à 53 km au sud de Bordeaux, chef-lieu du département, à 25 km au sud-ouest de Langon, chef-lieu d'arrondissement, et à 2 km à l'est de Saint-Symphorien, ancien chef-lieu de canton[2].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes en sont Villandraut au nord-est, Préchac à l'est, Bourideys au sud, Saint-Symphorien à l'ouest et Balizac au nord.

Communes limitrophes de Saint-Léger-de-Balson
Balizac Villandraut
Saint-Symphorien   Préchac
Bourideys
Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte avec les communes environnantes

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 958 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Sauternes à 15 km à vol d'oiseau[6], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 859,6 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Saint-Léger-de-Balson est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[11]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12],[13].

Occupation des sols

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Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (97,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (87 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,9 %), zones agricoles hétérogènes (2,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports

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La principale voie de communication routière qui traverse la commune est la route départementale D3 qui mène, vers l'est, à Villandraut puis Bazas et, vers l'ouest, à Saint-Symphorien et au-delà au bassin d'Arcachon. Vers le sud, la route départementale D222 permet d'aller à Bourideys ou à Préchac vers le sud-est.

L'accès à l'autoroute A62 peut se faire soit à la « sortie »   3 Langon soit à la « sortie »   2 Podensac qui sont, l'une comme l'autre, distantes de 25 km.
L'accès à l'autoroute A63 se fait à la « sortie »   21 Salles distante de 38 km vers l'ouest.
L'accès   Bazas à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 20 km vers l'est.

La gare SNCF la plus proche est celle, distante de 26 km, de Langon sur la Bordeaux-Sète du TER Nouvelle-Aquitaine.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Saint-Léger-de-Balson est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité très faible)[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Saint-Léger-de-Balson est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt[17]. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[18],[19].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Léger-de-Balson.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 5,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 160 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 3 sont en aléa moyen ou fort, soit 2 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 2].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2009 et 2020.

Histoire

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La commune a été créée en 1793 à partir de la partie est de la paroisse de Saint-Symphorien sous le nom de Saint Léger et Bourideys. Elle apparaît sous son nom actuel dans le bulletin des Lois de 1801[21]. La commune de Bourideys en fut rapidement détachée (entre 1793 et 1801)[22].

Pour plus d'information sur la situation de la commune au XVIIIe siècle, voir l'ouvrage de Jacques Baurein[23].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1927 1935 Pierre Castets    
1935 1959 Gaston Dubernet    
1959 2008 André Larrouquis    
mars 2008 En cours Laëtitia Rodriguez[24]   Cadre
Les données manquantes sont à compléter.

Communauté de communes

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Le , la communauté de communes du Pays paroupian ayant été supprimée, la commune de Saint-Léger-de-Balson s'est retrouvée intégrée à la communauté de communes du Sud Gironde siégeant à Mazères.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26].

En 2021, la commune comptait 319 habitants[Note 2], en évolution de −6,18 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
805409355374374468470504474
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
466463478468467456438408392
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
426418386353328328279249226
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
223217214227239243256272317
2014 2019 2021 - - - - - -
339326319------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Des clichés des objets et de l'intérieur de l'église sont disponibles sur la base Mémoire[30].
  • La source Saint-Clair, censée guérir les maux atteignant les yeux et les problèmes de lactation, est une source « double » ; l'une des résurgences est captée et aménagée au profit des pèlerins (c'est bien sûr celle-ci qui est la « véritable » source dédiée à saint Clair !), l'autre est réservée aux cagots[31].
  • La piste cyclable de Villandraut à Mios qui traverse le village a été construite sur l'emplacement de l'ancienne ligne de chemin de fer Le Nizan - Saint-Symphorien - Sore en usage pour l'exploitation forestière.
  • Ruines de la forteresse de Castelnau de Cernès (XIIIe siècle) : elles se dressent, avec ses dépendances et son moulin entouré par les eaux de la Hure et par un étang. Malgré son état de ruine avancé, ce château unique en Gironde est remarquable par sa triple enceinte concentrique et sa forme elliptique. Les murailles s'élèvent plus on avance au cœur de la place, dominée par le donjon[32].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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  Blason
Écartelé, le trait du coupé ondé : au 1er d'azur au clocher d'or, ajouré du champ et campané de deux pièces d'argent, au 2e d'argent à la volute de crosse de gueules, au 3e d'argent à la tour ruinée de gueules, ouverte du champ et maçonnée de sable, au 4e de sinople à la pomme de pin renversée d'or[33].
Détails
Le clocher pour l'église locale, la couleur bleue et les ondes pour la source Saint-Clair, la volute de crosse comme attribut de saint Léger, la tour ruinée pour le château de Castelnau de Cernès, la couleur rouge pour la famille d'Albret, la pomme de pin et la couleur verte pour la sylviculture et la forêt des landes girondines.

Armoiries composées par Jean-François Binon, adoptées par la municipalité en .

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 26 juin 2011.
  2. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 45,6 km pour Bordeaux, 21,6 km pour Langon et 2 km pour Saint-Symphorien. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 26 juin 2011.
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Saint-Léger-de-Balson et Sauternes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Sauternes » (commune de Sauternes) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Sauternes » (commune de Sauternes) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Léger-de-Balson ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bordeaux », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Léger-de-Balson », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Le risque feux de forêts. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Bourideys », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  23. Jacques Baurein, Variétés Bordeloises, t. 3, Bordeaux, , 2e éd. (1re éd. 1786) (lire en ligne), article 6.IX, pages 262-265
  24. Commune de Saint-Léger-de-Balson sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 26 juin 2011.
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. « Classement de l'église », notice no PA00083758, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 17 février 2010.
  29. « Objets classés de l'église », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consulté le 17 février 2010.
  30. « Images de l'église et des œuvres d'art », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture, consulté le 17 février 2010.
  31. [PDF] L'archiprêtré de Cernès sur le site du Pays de Cernès, consulté le 25 février 2010.
  32. « Le château de Castelnau de Cernès », (dont une série de photos), sur stleger.info, (consulté le ).
  33. « 33429 Saint-Léger-de-Balson (Gironde) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).