Saint-Julien-d'Asse

commune française du département des Alpes-de-Haute-Provence

Saint-Julien-d'Asse est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Saint-Julien-d'Asse
Saint-Julien-d'Asse
Vue du village de Saint-Julien-d'Asse.
Blason de Saint-Julien-d'Asse
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Digne-les-Bains
Intercommunalité Provence-Alpes Agglomération
Maire
Mandat
Jean-Pierre Aillaud
2020-2026
Code postal 04270
Code commune 04182
Démographie
Population
municipale
221 hab. (2021 en évolution de +12,76 % par rapport à 2015)
Densité 8,6 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 55′ 06″ nord, 6° 05′ 41″ est
Altitude Min. 407 m
Max. 886 m
Superficie 25,6 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Manosque
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Riez
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Julien-d'Asse
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Saint-Julien-d'Asse

Le nom de ses habitants est Saint-Juliennais[1].

Géographie

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Saint-Julien-d’Asse et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

La commune est traversée par l’Asse. Le village est situé à 480 m d’altitude[1], tout en étant étagé sur la pente.

Environnement

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La commune compte 1 090 ha de bois et forêts, soit 42 % de sa superficie[1].

Risques majeurs

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Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Mézel auquel appartient Saint-Julien-d’Asse est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[2], et en zone 3 (risque modéré) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[3]. La commune de Saint-Julien-d’Asse est également exposée à trois autres risques naturels[3] :

  • feu de forêt,
  • inondation (dans la vallée de la Asse),
  • mouvement de terrain : la commune est presque entièrement concernée par un aléa moyen à fort[4].

La commune de Saint-Julien-d’Asse n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[5] ; aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[5] et le Dicrim n’existe pas non plus[6].

La commune a été l’objet de deux arrêtés de catastrophe naturelle pour les inondations, coulées de boue et glissements de terrain de 1994[3].

Toponymie

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Le nom du village apparaît pour la première fois en 1096 (ecclesia Sant Juliani), est nommé d’après saint Julianus, sous une de ses formes occitanes (Julia ou Jolia), qui a été francisée par la suite en Julien[7].

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 798 mm, avec 6,2 jours de précipitations en janvier et 4 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « St Jurs », sur la commune de Saint-Jurs à 9 km à vol d'oiseau[10], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 828,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −16,5 °C, atteinte le [Note 1],[11],[12].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[13]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Saint-Julien-d'Asse est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle est située hors unité urbaine[16]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Manosque, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[16]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (70,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (70,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,9 %), terres arables (21,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (16,8 %), zones agricoles hétérogènes (6,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2 %), zones urbanisées (1,2 %)[19].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Économie

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Agriculture

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La culture de l’olivier est pratiquée dans la commune depuis des siècles, tout en étant limitée à des surfaces restreintes. Le terroir de la commune se situe en effet à la limite altitudinale de l’arbre, qui ne peut que difficilement être exploité au-delà des 650 mètres. Après une période de régression, l’oliveraie communale compte moins de 1000 pieds[20].

Histoire

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La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 1096 (ecclesia sancti Juliani)[21], lorsque Augier, évêque de Riez, donne l’église paroissiale de Saint-Julien à l’abbaye de Montmajour, qui possédait déjà le prieuré de Saint-Pierre-de-Viletta. C’est elle qui fournit le prieur chargé du culte dans la paroisse, et qui perçoit les revenus attachés à l’église[22]. La communauté relevait de la baillie de Digne[22]. Les comtes de Provence étaient seigneurs du lieu jusqu’en 1241, puis font don du fief à l’évêque de Riez (qui perçoit entre autres redevances l’albergue)[22].

Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[23]. Pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Julien-sur-Asse[24].

Le coup d'État du 2 décembre 1851 commis par Louis-Napoléon Bonaparte contre la Deuxième République provoque un soulèvement armé dans les Basses-Alpes, en défense de la Constitution. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression poursuit ceux qui se sont levés pour défendre la République : 3 habitants de Saint-Julien-d’Asse sont traduits devant la commission mixte[25].

Jusqu’au milieu du XXe siècle, la vigne était cultivée à Saint-Julien-d’Asse. Le vin produit était destiné à l’autoconsommation. Cette culture est aujourd’hui abandonnée[26].

Héraldique

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  Blason
D'azur à un bourg d'argent essoré de sable bâti sur le bord d'une rivière d'argent et surmonté des deux lettres S et J rangées en chef et séparées par un pont, tous d'or[27].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mai 1945   Jules Roux[28]    
         
1977 (?) En cours
(au 21 octobre 2014)
Danièle Aillaud[29],[30],[31] RPR[32] puis DVD[33]  
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité

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Saint-Julien-d'Asse a fait partie, de 2005 à 2012, de la communauté de communes de l'Asse et de ses Affluents, puis de 2013 à 2016 de la communauté de communes Asse Bléone Verdon. Cette dernière a fusionné avec d'autres communautés de communes pour constituer la communauté d'agglomération Provence-Alpes Agglomération, existant depuis le .

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35].

En 2021, la commune comptait 221 habitants[Note 3], en évolution de +12,76 % par rapport à 2015 (Alpes-de-Haute-Provence : +2,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846
290264266243321280354333356
1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
330327297300271267248229219
1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
226213213180158136114126127
1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007
11886696876114124149153
2012 2017 2021 - - - - - -
186212221------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution démographique avant 1765
1315 1471
64 feux44 feux

L’histoire démographique de Saint-Julien-d’Asse, après la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXe siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1836 à 1866. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée. En 1921, la commune a perdu plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1846[38]. Le mouvement de baisse se poursuit jusqu’aux années 1970. Depuis, la population a doublé, mais en restant en dessous du seuil de 50 % du maximum historique.

Lieux et monuments

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Chapelle à clocheton couvert de tuiles vernissées.

L’église paroissiale Saint-Julien date des XIVe et XVe siècles. Les deux travées de la nef, dont une est sous croisée d'ogives, datent du XVIe siècle ; le chœur à chevet plat est lui aussi sous croisée d’ogives, dont la clef est orné d’un agneau pascal sculpté[39]. Très importants remaniements au XXe siècle.

Le mobilier de l’église contient une croix de procession en argent, datant des environs de 1500, et classée monument historique au titre objet[40].

Personnalités liées à la commune

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Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b et c Roger Brunet, « Canton de Mézel », Le Trésor des régions, consultée le 10 juin 2013
  2. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
  3. a b et c Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 15 août 2012
  4. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37
  5. a et b Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 97
  6. Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 15 août 2012
  7. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne)., § 28444, p 1623
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre Saint-Julien-d'Asse et Saint-Jurs », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « St Jurs », sur la commune de Saint-Jurs - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « St Jurs », sur la commune de Saint-Jurs - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  14. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  15. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  16. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Manosque », sur insee.fr (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. Réparaz, « Terroirs perdus, terroirs constants, terroirs conquis : vigne et olivier en Haute-Provence XIXe – XXIe siècles », Méditerranée, 109 | 2007, p. 58
  21. Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 195
  22. a b et c Daniel Thiery, « Saint-Julien-d’Asse », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2011, mis à jour le 23 décembre 2011, consulté le 15 août 2012
  23. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 296-298
  24. Jean-Bernard Lacroix, « Naissance du département », in La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 113
  25. Henri Joannet, Jean-Pierre Pinatel, « Arrestations-condamnations », 1851-Pour mémoire, Les Mées : Les Amis des Mées, 2001, p. 72.
  26. André de Réparaz, op. cit., p. 56 et 59
  27. « Banque du Blason »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  28. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
  29. Danièle Aillaud est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Jacques Chirac (RPR) à l’élection présidentielle de 1981, cf Conseil constitutionnel, liste des élus ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 15 avril 1981, page 1067, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010
  30. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Puimoisson à Saint-Julien-du Verdon (liste 6), consulté le 6 mars 2013
  31. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
  32. Alpes-de-Haute-Provence (16), Le Monde, 24 mars 1998.
  33. [1]
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 288.
  39. Raymond Collier, op. cit., p. 176.
  40. Arrêté du 30 janvier 1995, notice de la Base Palissy, consultée le 11 décembre 2008.