Saint-Hubert (Moselle)

commune française du département de la Moselle

Saint-Hubert est une commune française située dans le département de la Moselle, en région Grand Est[2].

Saint-Hubert
Befey, Rabas, Villers-Bettnach
Saint-Hubert (Moselle)
Chapelle Notre-Dame-de-la-Salette de Rabas.
Blason de Saint-Hubert Befey, Rabas, Villers-Bettnach
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Moselle
Arrondissement Metz
Intercommunalité Communauté de communes Haut Chemin-Pays de Pange
Maire
Mandat
Sylvie Richard
2020-2026
Code postal 57640
Code commune 57612
Démographie
Gentilé Saint-Hubergeois[1]
Population
municipale
234 hab. (2021 en évolution de +4,46 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 13′ 29″ nord, 6° 20′ 01″ est
Altitude Min. 204 m
Max. 353 m
Superficie 16,04 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Metz
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pays messin
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Géolocalisation sur la carte : Moselle
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Géolocalisation sur la carte : Grand Est
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Liens
Site web http://www.mairiesthubert57.fr

Géographie

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La commune de Saint-Hubert est nichée au fond de la vallée de la Canner. Cette petite rivière est encore proche de sa source et s’en va vers le nord pour se jeter dans la Moselle à une trentaine de kilomètres.

La commune est très rurale et les entreprises y sont rares.

On compte en réalité le village de Saint-Hubert mais également deux annexes, Beféy (prononcer "béfé-i") et Villers-Bettnach dont l'abbaye a connu une histoire grandiose, ainsi qu’un lieu-dit, Rabas.

On pourra préciser que cette commune est un « village fleuri » dans un superbe cadre forestier qui gagne à être visité en période estivale !

La commune se situe dans le site inscrit de la vallée de la Canner[3].

Il y a plusieurs fermes : Rabas, Godehure, La Forge.

 
Carte de la commune.

Communes limitrophes

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Hydrographie

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La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau le Canner, le ruisseau de St-Hubert, le ruisseau de Villers-Bettnach et le ruisseau du Pâquis[Carte 1].

Le Canner, d'une longueur totale de 29,4 km, prend sa source dans la commune de Vry et se jette dans la Moselle à Kœnigsmacker, après avoir traversé onze communes[4].

 
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Hubert.

La qualité des eaux des principaux cours d’eau de la commune, notamment du ruisseau le Canner, peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 806 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Malancourt », sur la commune d'Amnéville à 14 km à vol d'oiseau[7], est de 10,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 884,1 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,3 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −17,9 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Saint-Hubert est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Metz, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[13]. Cette aire, qui regroupe 245 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (84,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (85 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (83 %), prairies (11,2 %), terres arables (4,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,7 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire

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L’histoire de cette commune est fortement liée à celle de l’abbaye de Villers-Bettnach.

Saint-Hubert

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A dépendu de la prévôté de Sierck et des Trois-Évêchés.
Les moines de l’abbaye de Villers-Bettnach fondèrent Saint-Hubert en 1493 sous le nom de « Saint-Humbert » qui devint, en raison de la prononciation, Saint-Hubert.

Le village fut détruit en 1682. Il ne restait qu’une maison de ferme, puis le village se reconstruisit lentement.

En 1720, Saint-Hubert fut rattachée à la paroisse d'Altroff (commune de Bettelainville) qui venait d’être créée.

Un peu à l’écart se trouve la ferme de Godchure, qui s'appelait Gaderscheuern en 1599[17], puis Gaudechure (1641), Gadthschures (1762), Gadtscheuren (1756), Godtcheuren (1779)[18].

C’est à Saint-Hubert et dans son annexe, Befey, que fut fondé, en 1762, l'Institut de la Providence pour l'instruction des petites filles. En effet, dans l'autre annexe de la commune, Villers-Bettnach, l'abbaye était réservée aux hommes.

Epange, Belle Fontaine, Haute Frêne et Rabas sont réunis à Saint-Hubert entre 1790 et 1794.

En 1811, le chef-lieu communal est transféré de Saint-Hubert à Villers-Bettenach en absorbant Besey. Saint-Hubert redevient chef-lieu en 1919.

Toponymie : Saint-Humbert (1493), Sanctus Humbertus (1606) ; en lorrain : Saint-Himbé[18].

Cette annexe de la commune est en fait un cul-de-sac et son histoire reste peu connue.

Le village tire son nom de fagus (le hêtre), devenu « fou » ou « fau ». Fagitum désignait une hêtraie.

On relève, en 1345, le nom de « Belfey », la belle hêtraie. Ce même nom se retrouve en 1756.

Cette ancienne possession de l'abbaye Saint-Arnould de Metz fut détruite en 1552 et reconstruite en 1572.

Befey est une commune de Moselle de 1793 à 1811. En 1801, le bulletin des Lois écrit Besey.

 
Notre Dame de Rabas
 
Vierge à l'Enfant en pierre à l'intérieur de la chapelle.

Rabas n’est ni un village ni un hameau proprement dit mais un lieu-dit symbolique de la commune, entre Befey et Saint-Hubert. En effet, c’est à Rabas que l’on trouve une chapelle du même nom et la source dite de « Charlemagne ».

L’historique de cette chapelle a été fait par l’abbé Cazin, alors curé de Vigy[19]. L'abbé Cazin avait déjà publié en 1883 une première notice dans le but de réunir des fonds pour la restauration de la chapelle.

On sait qu’en 1423 vivait à Rabas un ermite du nom d'André, originaire de Flévy. On note également, en 1630, un autre ermite, le franciscain Colezius, docteur en théologie.

Tout proche de la chapelle, on trouve la « source de Charlemagne ». Cette dernière serait due au cheval de Charlemagne qui, en chassant dans cette forêt au début du IXe siècle (lors de ses séjours à Thionville)[20] aurait mis au jour cette source. Quelle que soit la véracité de cette légende, le lieu est resté fréquenté depuis, d’une part car l’eau est potable aujourd’hui encore et parce que la chapelle de Rabas fut implantée dans la foulée.

Toponymie : Rabay (1410), Raba (1607), Ribba (1610), Roba (1756). En Lorrain : Raibay[18], En allemand : Rebach[18].

Villers-Bettnach

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Villers-Bettnach est un petit village niché au fond de sa vallée connu par l’histoire de son abbaye. Il a donné naissance à Saint-Hubert. Autrefois hameau Lorrain dans le bailliage de Bouzonville (1751-1789). Au début du XVIIe siècle, ce hameau était situé sur la frontière linguistique.
Il fut le chef-lieu communal de 1811 à 1919.

Toponymie[18] : Vilers (1271), Viliers (1281), Villiers (1283), Vilarium (1283), Villeir (1323), Vrillerus in Bettenach (1583), Viller-Bettenach (1585), Villers-Betnacqz (1618), Villers-Bettenach (1801). En francique lorrain : Weller.

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1995 mars 2001 Joël Goubaux    
mars 2001 2005 Denis George    
2005 ? Roland Sallerin    
mai 2020 En cours Sylvie Richard    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[22].

En 2021, la commune comptait 234 habitants[Note 3], en évolution de +4,46 % par rapport à 2015 (Moselle : +0,52 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1921 1926 1931 1936 1946 1954
133156155171178142153138126
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
150146164187173197233210232
2021 - - - - - - - -
234--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24]. |recens-.)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Ancienne gare de Bettelainville-Saint-Hubert (où passe le train touristique de Vigy).
  • Ancienne gare de Villers-Bettnach.
  • Ruines du viaduc de la Canner (bombardé durant la Seconde Guerre mondiale) entre Saint-Hubert et Villers-Bettnach.
  • Chêne des Moines (planté en 1682) dans la forêt de Villers-Bettnach.
  • Maisons forestières de Villers-Bettnach dont une est au sein de l'abbaye et l'autre, en dehors, datant d'une centaine d'années.
  • Source de Charlemagne entre Saint-Hubert et Befey à proximité de Notre-Dame-de-Rabas.
  • Fontaine du Loup.
  • Ferme de Rabas ayant appartenu aux bénédictins de Saint-Arnoul.
  • Distillerie (eau-de-vie)[25].
  • Hébergement : chambre d'hôtes, résidences secondaires, chalet de Rabas.

Édifices religieux

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  • Abbaye de Villers-Bettnach et sa porte Coislin datant du XVIIIe siècle à Villers-Bettnach[26].
  • Chapelle des Humbles à Villers-Bettnach XVIIIe siècle.
  • Chapelle Sainte-Catherine à Villers-Bettnach, XIIe siècle.
  • Chapelle Notre-Dame-de-la-Salette de Rabas, construite de 1884 à 1886 en intégrant l'ancienne, vétuste et délabrée.
  • Chapelle à Saint-Hubert, inaugurée le .

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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  Blason
D'argent à la croix de gueules, cantonnée de quatre serres d'aigle de sable.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Bibliographie

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  • Claude Chaillet, La vallée de Saint-Hubert en poésies…[27]
  • Charles Dosse, La Haute Vallée de la Canner - L'abbaye de Villers-Bettnach, Éditions Serpenoise, 1980.
  • Gérard Kilbertus, Villers-Bettnach - L’Abbaye, chez l’auteur, Talange, 2002.
  • Jean-Paul Philips, Patrimoine rural en Pays messin, Éditions Serpenoise, 2007.

Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Saint-Hubert » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Saint-Hubert », sur genealogie-metz-moselle.fr via Internet Archive (consulté le ).
  2. http://www.calameo.com/books/000016608ed6402d5fa31 rando page 68-69
  3. http://www.lorraine.ecologie.gouv.fr/Liens_CARMEN/Paysage/SITEI/SI57331A.PDF
  4. Sandre, « le ruisseau le Canner »
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Saint-Hubert et Amnéville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Malancourt », sur la commune d'Amnéville - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Malancourt », sur la commune d'Amnéville - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Hubert ».
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Metz », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Die Fränkischen und Alemannischen Siedlungen in Gallien Par Adolf Schiber
  18. a b c d et e Bouteiller - Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle, rédigé en 1868
  19. Abbé Cazin, La chapelle du pèlerinage de Notre-Dame-de-Rabas, 1924 »
  20. Localisation de Charlemagne
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. http://www.tourismus-moselland.com/PDF/guide-decouverte/pays-messin.pdf
  26. http://frank-wiroth.lu/documents/Villers-Bettnach.pdf
  27. Mille Poètes - Un éditeur libre pour des auteurs libres !