Saint-Hilaire-la-Treille

commune française du département de la Haute-Vienne

Saint-Hilaire-la-Treille est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne, dans la région historique de la Basse Marche, dans la région Nouvelle-Aquitaine. Ses habitants sont les Treilhilairois.

Saint-Hilaire-la-Treille
Saint-Hilaire-la-Treille
L'église au centre du bourg.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Bellac
Intercommunalité Communauté de communes Haut-Limousin en Marche
Maire
Mandat
Odile Berger
2020-2026
Code postal 87190
Code commune 87149
Démographie
Gentilé Treilhilairois
Population
municipale
362 hab. (2021 en évolution de −6,22 % par rapport à 2015)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 15′ 07″ nord, 1° 19′ 10″ est
Altitude Min. 256 m
Max. 348 m
Superficie 29,14 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Châteauponsac
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Hilaire-la-Treille

Géographie

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Localisation

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Situation de la commune de Saint-Hilaire-la-Treille en Haute-Vienne.

Hameaux et lieux-dits

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  • Beauvais
  • Bord (et son Moulin)
  • Champagnac (dit parfois « le grand »)
  • La Chapelle
  • Chez Pré
  • Chez Travais
  • Débaillade
  • l'Étang
  • Foulventour[Note 1]
  • Laffait
  • la Gane
  • Gouaineix
  • Grassevaud
  • Moulin Siquet[Note 2]
  • Masbonnaud
  • Mazat (chez)
  • Peu du Coudert[Note 3]
  • le Peu Villairoux
  • Peutru
  • Plonnaud
  • Ruthier
  • Maisonsauzy
  • la Terrade
  • Treillard (Moulin de chez)
  • Chez Travais

Géologie et relief

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Amas de rochers granitiques à l'entrée du bourg de Saint-Hilaire-la-Treille, en arrivant de Dompierre les églises (en ).

Un gros amas de rochers granitiques est situé dans le bourg et incorporé à lui, à proximité de l'école.

Hydrographie

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La commune est traversée par les rivières la Brame et l'Asse.

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique limousin[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 931 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Magnac-Laval à 12,32 km à vol d'oiseau[7], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 880,4 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Saint-Hilaire-la-Treille est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12] et hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (90,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (60,5 %), zones agricoles hétérogènes (22 %), forêts (9,4 %), terres arables (8,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Saint-Hilaire-la-Treille est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels

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Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Hilaire-la-Treille.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[18]. 20,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[19].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[16].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Hilaire-la-Treille est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[20].

Toponymie

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  • Saint-Hilaire-la-Treille sur un bail de 1738[21].
  • Saint-Hilaire-Magnazeix en 1755[22].
  • Saint Hilaire en 1793[3].
  • Saint Hillaire et Foulventour en 1800[3].

Histoire

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Les Templiers et les Hospitaliers

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La commanderie de Foulventour est l'une des cinq commanderies templières dépendantes de la commanderie de Paulhac (Creuse), commanderie principale, ou "maison" de Paulhac qui apparaît dans les textes en 1248[23].

Son moulin banal était situé sur la Brame à Dompierre-les-Églises, sur la rive gauche[24].

La chapelle de la commanderie est citée dans un compromis entre l'évêque de Limoges et le maître de la province templière du Limousin daté de 1282[25]

Un sergent du Temple poitevin « Frater Aymericus de Primi serviens », dit avoir été reçu, en 1290, en la chapelle de la maison du Temple de « Font Lezentort », au diocèse de Limoges, par le sergent précepteur de Paulhac Jean de la Chaussade, en présence de frère Aymeri de Malvaleix.

Ne serait-ce pas Foulventour, localité peu éloignée de la maison du Temple de la Bussière-Rapy[26] ?

À la suite de la dévolution des biens de l'ordre du Temple, Foulventour devient un membre de la commanderie de Morterolles au sein du grand prieuré d'Auvergne. Ce membre comprenait une église paroissiale sous le vocable de saint Georges avec métairie, grange, une chênaie dite de Morterolles, des dîmes et rentes féodales ainsi que les moulins de « Serran et de Grassavau »[27].

Temps modernes

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En 1738, les villages de la paroisse devant diverses redevances (rentes, dîmes et autres droits) au prieuré des Bronzeaux[21] sont les suivants : la Terrade, Ruthier, Plonneaud, le Grand Champagnac, l’Ecluse, la Rebière.

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1981 ? Roger Poussif PS  
mars 2001 En cours Odile Berger[28] app. PS  
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].

En 2021, la commune comptait 362 habitants[Note 5], en évolution de −6,22 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8547368891 0871 0891 1371 1301 2001 158
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1001 0611 0731 1071 1411 1201 0621 0771 092
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1121 1661 175991934858834853761
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
733681606513453396428398383
2021 - - - - - - - -
362--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[3] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

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Les moulins sur la Brame[24]

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Moulin Treillard ou de Chez Trillard

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Situé sur la rive droite, il existait en 1750. C'était un moulin à grains 6,5 qui donnait quintaux/jour, 6300 qx, jusqu’en 1962. Le dernier meunier connu est M. Pailler.

Moulin Liquet devenu ensuite le Moulin Siquet

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Chute : 4,27 m, 283 l/s, 11 cv.

Moulin à grains transformé en moulin à huile en 1921, dernier meunier : M. Leblanc.

À nouveau transformé en cidrerie et scierie de grumes, jusqu’en 1972, appartenant à M. Alamôme, dit Chopine.

Personnalités liées à la commune

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Jacques Bertrand

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Jacques Bertrand, personnalité locale du siècle dernier ou de celui d'avant (fin XIXe), inhumé dans le cimetière de Saint-Hilaire-la-Treille.(en ).

Sur une tombe du cimetière communal figure l’inscription suivante : "Terrain à perpétuité de Jacques BERTRAND, de son vivant propriétaire à la ROUSSELLERIE, commune de SAINT-LEGER-MAGNAZEIX. Il fut le plus grand destructeur de loups : en 5 années, il en a pris 27, tous présentés à la mairie de sa commune."

Albert Bouzat

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Très brillant chimiste, né à Saint Hilaire la Treille le , décédé à Rennes le . Il était arrivé à Rennes en 1903 comme maître de conférence à la faculté des sciences. Titulaire de la chaire de chimie à partir de 1909, il deviendra doyen de la faculté en 1935, jusqu'à sa retraite en 1940.

Sortant de l'École normale supérieure, il obtient l'agrégation en 1895. En 1899, il est préparateur de Marcelin Berthelot, professeur au Collège de France, qui guide ses premiers travaux[32].

Ses travaux portent d'abord sur les composés cuproamnoniques et la comparaison des systèmes invariants qui sont les sujets de ses deux thèses. En 1924, il précise le point d'ébullition du Brome (58,8 °C) qui demeurait vague depuis sa découverte. En 1930, il étudie les hydrates de gaz. Il met aussi au point une méthode de dessalement de l'eau de mer[33].

En 1921 il devient le premier directeur de « l’Institut de chimie » ancêtre de l’actuelle école de chimie de Rennes (ENSCR). Auteur de deux ouvrages de chimie : Chimie générale (1936) et L'Énergie atomique (1940) ils sont traduits en plusieurs langues et toujours disponibles dans la collection Que sais-je[32] ?

Contes et Légendes[34]

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Le seigneur de Grassevaud

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– Mon petit, sais-tu pourquoi Pierre Bléraud, propriétaire du château de Grassevaud signait «Les hirondelles portent malheur » ?

– Non, grand-père. Raconte !

– C’est une bien triste histoire. En ce temps-là, les seigneurs étaient les maîtres. Pierre Bléraud, seigneur de Grassevaud, tuait les hirondelles.

- Un jour, en tirant, il a tué son fils. Fou de douleur, il prit l’habitude de signer «Les hirondelles portent malheur ».

Les Périments

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Aux limites des communes d’Arnac-la-Poste et de Saint-Hilaire-la -reille, les hommes ont toujours redouté les Périments. Les marécages et les tourbières humides constituent les Périments. La crainte est apparue à la suite de la disparition en ces lieux d’un paysan avec sa charrette et ses bœufs. Lors des veillées, ce récit était toujours rappelé aux enfants afin de les appeler à la prudence et d’éviter d’autres catastrophes.

À propos de Jacques Bertrand

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Jacques BERTRAND ! Oh la la.. quel grand tueur de loups ! Sais-tu comment il faisait ? Eh bien, quand le loup arrivait la gueule grande ouverte, il se mettait bien en face et il lui enfonçait son bras dans la gueule si profond, qu’il lui attrapait la queue et le retournait comme une chaussette !

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Ancienne paroisse puis commune réunie à celle de Dompierre en 1794[2] sur la limite de laquelle il se situe puis rattachée à Saint-Hilaire-la-Treille en 1800[3]. Ce fut d'abord une commanderie de l'ordre du Temple puis une paroisse de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem sous le vocable de Saint-Georges qui dépendait de la commanderie de Morterolles.
  2. Devenu depuis Moulin Siquet.
  3. Disparu depuis selon le recensement de l'Insee de 1965.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Carte IGN sur Géoportail
  2. « Ancienne commune de FOLVENTOUR », sur agl87.org (consulté le ).
  3. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  4. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Orthodromie entre Saint-Hilaire-la-Treille et Magnac-Laval », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Magnac-Laval » (commune de Magnac-Laval) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Magnac-Laval » (commune de Magnac-Laval) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Hilaire-la-Treille ».
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Hilaire-la-Treille », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  21. a et b « Bronzeaux.html »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur pagesperso-orange.fr (consulté le ).
  22. « Bulletin de la Société archéologique et historique du Limousin », sur Gallica, (consulté le ).
  23. « Connaître les sites templiers du Sud-Ouest », sur calameo.com (consulté le ).
  24. a et b http://gartempe.fauvet.pagesperso-orange.fr/Brame/La_Brame_fichiers/frame.htm
  25. Jean-Marie Allard, « L'accord de 1282 entre l'évêque de Limoges et le précepteur du Temple en Limousin », Bulletin de la Société archéologique et historique du Limousin, vol. 129,‎ , p. 24 (présentation en ligne)
    « Cappella de Foulaventor »
    .
  26. « Maisons et Commanderies de l'Ordre du Temple en France », sur templiers.net (consulté le ).
  27. Georges Guigue, Inventaire-Sommaire des archives départementales antérieures à 1790 : Rhône - Archives Ecclésiastiques - Série H - H1 à H 702 - Ordre de Malte -Langue d'Auvergne , t. I, (lire en ligne), p. 117 (H. 137).
  28. Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. a et b « Rue des sciences à Rennes », sur espace-sciences.org (consulté le ).
  33. http://partages.univ-rennes1.fr/files/partages/Services/Centraux/SPC/InfogluePublic/Histoire-chimie-UR1.pdf
  34. « Contes et légendes. - Monographie du canton de Saint-Sulpice-les-Feuilles », sur monographie-st-sulpice-les-feuilles.fr (consulté le ).

Pour approfondir

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Bibliographie

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http://monographie-st-sulpice-les-feuilles.fr/contes-legendes/#loups

Articles connexes

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Liens externes

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