Saint-Gérand-le-Puy

commune française du département de l'Allier

Saint-Gérand-le-Puy est une commune française, située dans le département de l'Allier en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Saint-Gérand-le-Puy
Saint-Gérand-le-Puy
Le bourg et l'église.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Allier
Arrondissement Vichy
Intercommunalité Communauté de communes Entr'Allier Besbre et Loire
Maire
Mandat
Xavier Cadoret
2020-2026
Code postal 03150
Code commune 03235
Démographie
Gentilé Saint-Gérandais
Population
municipale
950 hab. (2021 en évolution de −7,5 % par rapport à 2015)
Densité 49 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 15′ 31″ nord, 3° 30′ 46″ est
Altitude Min. 268 m
Max. 359 m
Superficie 19,55 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Vichy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Pourçain-sur-Sioule
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Gérand-le-Puy
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Saint-Gérand-le-Puy
Liens
Site web st-gerand-le-puy.interco-abl.fr

Géographie

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Localisation

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La commune de Saint-Gérand-le-Puy se situe dans le sud-est du département de l'Allier, dans la Forterre, à une quinzaine de kilomètres au nord-est de Vichy. La commune est administrativement située dans l'arrondissement de Vichy et dans le canton de Saint-Pourçain-sur-Sioule depuis les élections départementales de 2015, à la suite du redécoupage des cantons du département[1]. Jusqu'en mars 2015, elle dépendait du canton de Varennes-sur-Allier.

Neuf communes sont limitrophes de Saint-Gérand-le-Puy[2].

Communes limitrophes de Saint-Gérand-le-Puy
Langy Montaigu-le-Blin,
Boucé
Cindré,
Servilly
Sanssat   Périgny
Saint-Félix Magnet

Géologie et relief

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L'altitude de la commune varie entre 268 et 359 mètres[3].

Hydrographie

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Le Redan, affluent rive droite de l'Allier, traverse la partie occidentale de la commune, d'est en ouest. Long de 15,9 km, il prend sa source à Périgny et se jette à Paray-sous-Briailles[4].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 802 mm, avec 9,9 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Paray-sous-Briailles à 12 km à vol d'oiseau[7], est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 744,7 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Saint-Gérand-le-Puy est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vichy, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[12]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (93,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,7 %), prairies (43,4 %), zones urbanisées (5,1 %), forêts (1,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,9 %), zones agricoles hétérogènes (0,5 %)[15].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports

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Entrée du village par l'ancienne route départementale 906 (devenue D 906e), en .

Le village est traversé par la route nationale 7 (en attendant l'avancée de son futur contournement en cours) à 11 km de Varennes-sur-Allier au nord, et à 10,5 km de Lapalisse à l'est.

Le territoire communal est traversé par les routes départementales 60 (vers Trézelles), 125 (vers Sanssat), 172 (vers Montaigu-le-Blin), 430 (vers Saint-Félix) et 906e (ex-906, vers Magnet)[2].

Toponymie

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Les cartes d'avant 1790 ne mentionnent pas Saint-Gérand-le-Puy mais Saint-Germain-le-Puy[16],[17]

Il est donc possible qu'il y ait un lien avec Saint-Germain-des-Fossés situé non loin (l'actuel Saint-Germain prendrait alors le distinctif « des Fossés » car situé en bas près de l'Allier et l'actuel Saint-Gérand prenant « le Puy » car situé en hauteur).

Pendant la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), la commune prit le nom de Puy-Redan[3].

Le village est nommé Saint-Géran en bourbonnais (langue d'oïl). La commune fait, en effet, partie de l'aire linguistique du bourbonnais d'oïl[18].

Histoire

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En 1832, les anciennes communes de Saint-Étienne-du-Bas et de Saint-Étienne-de-Ciernat furent réunies à Saint-Gérand-le-Puy. En 1833, il en est de même de Saint-Allyre-de-Valence.

Asile temporaire d'une célèbre collection d'art moderne

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Au printemps 1940, Maria Jolas, qui avait déménagé l'école bilingue pour les expatriés américains qu'elle avait créée à Neuilly vers 1925 dans un château situé « près de cette commune » (Chalmet, op. cit.), proposa à son amie Peggy Guggenheim d'y héberger tout ou partie de son importante collection de tableaux (Kandinsky, Klee, Picabia, Juan Gris, Léger, Gleizes, Marcoussis, Delaunay, Severini, Mondrian, Miró, Ernst, Chirico, Tanguy, Dalí, Magritte, Brauner) que sur la recommandation de Fernand Léger celle-ci avait demandé — sans succès, du fait de leur « avant-gardisme » ? — aux conservateurs du Musée du Louvre d'évacuer de Paris vers la province, comme nombre d'œuvres et objets d'art ancien afin d'échapper à la rapacité des dignitaires du régime nazi.

Au début de l'automne Peggy Guggenheim chargea Giorgio Joyce, fils de l'écrivain, réfugié avec ses parents à Saint-Gérand-le-Puy de déménager ces œuvres à la consigne de la gare ferroviaire d'Annecy, qui furent ensuite entreposées au Musée de Grenoble puis d'être transportées à New York sous l'appellation « d'articles mobiliers »… suivant la suggestion du transporteur René Lefevre-Foinet.

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Aux élections municipales de 2014, Xavier Cadoret était le seul candidat à se représenter. 58,23 % des électeurs ont voté, soit 407 votants sur 699 inscrits[19]. Il est réélu le [20].

Administration municipale

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1969 1989 Louis Bardet    
1989 1991 Lucien Lavaure    
1991[Note 2] En cours
(au 24 mai 2020)
Xavier Cadoret[Note 3] PS Professeur
Député suppléant de Guy Chambefort (2012-2017)
Président de la communauté de communes Varennes-Forterre (2002-2014)

Population et société

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Démographie

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Les habitants de la commune sont appelés les Saint-Gérandais et les Saint-Gérandaises[23].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].

En 2021, la commune comptait 950 habitants[Note 4], en évolution de −7,5 % par rapport à 2015 (Allier : −1,97 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0141 1391 0701 2231 3001 6821 7211 7331 762
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 7721 7171 7361 7501 7771 7771 7971 8161 791
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 7641 7081 6421 3511 3431 3451 3021 2751 191
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 1861 1431 1211 0181 0641 0291 0019931 023
2018 2021 - - - - - - -
976950-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[3] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2008, Saint-Gérand-le-Puy passe sous la barre du millier d'habitants.

Enseignement

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Saint-Gérand-le-Puy dépend de l'académie de Clermont-Ferrand. Elle gère une école maternelle (37 élèves)[27] et une école élémentaire (74 élèves)[28] publiques.

Hors dérogations à la carte scolaire, les collégiens se rendent à Varennes-sur-Allier[29] et les lycéens à Saint-Pourçain-sur-Sioule[30].

Manifestations culturelles et festivités

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Chaque année, l'Association des amis de James Joyce[31] rend hommage à l'écrivain irlandais qui a vécu à Saint-Gérand quelque temps avant sa mort. C'est le Jour d'Ulysse qui se tient au mois de juin avec plusieurs manifestations telles que table ronde, conférence, débat, repas.

  • La maison de retraite Roger-Besson est un EHPAD public à spécialité Alzheimer (Cantou)[réf. souhaitée] qui dispose d'une capacité de cent dix lits[SGP 1].

Économie

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Le lavoir d'hiver : La forme circulaire et pentue du toit (douze pans) de ce lavoir d'hiver du XIXe siècle permettait de recueillir les eaux de pluie pour le lavage, tout en abritant l'espace situé autour du bassin. Il reste trois cheminées sur quatre qui chauffaient le lavoir et fournissaient des cendres utilisées comme détergent pour laver le linge. Il est animé par des personnages en action et de nombreux objets tels que battoirs, planches à laver, brouette à linge, lessiveuses et bien sûr du linge blanc.

Équipements culturels

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Statue de James Joyce.
  • La salle socio-culturelle James-Joyce peut accueillir jusqu'à 320 personnes[SGP 2].
  • Statue de James Joyce devant l'espace culturel.

Personnalités liées à la commune

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Voir aussi

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Véronique Chalmet, Peggy Guggenheim : Un fantasme d'éternité, Payot et Rivages,
    Réédition : Petite bibliothèque Payot, 2013, p. 219-223.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Réélu en 2014[21] et en 2020[20].
  3. Xavier Cadoret, né Karim Kadouri au Maroc, a francisé son nom à sa naturalisation[22].
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Une plaque a été posée le sur la maison de la rue du Maréchal-Foch où il a habité. En 1987, a été inauguré le square James-Joyce, puis en 1994 l'espace culturel James-Joyce. En 2009 est créée l'Association James Joyce à Saint-Gérand[34],[35].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

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  • Site de la mairie :
  1. « Vie sociale » (consulté le ).
  2. « Salle socio-culturelle "JAMES JOYCE" » (consulté le ).
  • Autres sources :
  1. Décret no 2014-265 du 27 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de l'Allier.
  2. a et b Carte de Saint-Gérand-le-Puy sur le site Géoportail de l'IGN.
  3. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - le Redan (K3135000) » (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  7. « Orthodromie entre Saint-Gérand-le-Puy et Paray-sous-Briailles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Paray-sous-Briailles », sur la commune de Paray-sous-Briailles - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Paray-sous-Briailles », sur la commune de Paray-sous-Briailles - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Vichy », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  16. (la) Gerard (1650-1726; graveur) Valk et Leonard (16-17 ; graveur) Valk, « Praefectura Lugdunensis generalis, in qua specialis ejus ager ut et Forensis, Alvernieusis et Marchianensis Borboniusque ducatus (Gouvernement général du Lyonnais où sont les pays du Forez, de l'Auvergne, de La Marche et du Bourbonnais) », sur bibliotheques-clermontmetropole.eu, (consulté le ).
  17. Joan (1596-1673 ) (Cartographe) Blaeu, « Gouvernement général du Lyonnois », sur bibliotheques-clermontmetropole.eu (consulté le ).
  18. « Atlas sonore des langues régionales de France - Zone du Croissant », sur atlas.limsi.fr, Paris, CNRS, .
  19. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  20. a et b « Xavier Cadoret a été réélu maire de Saint-Gérand-le-Puy (Allier) », La Montagne, (consulté le ).
  21. « Xavier Cadoret débute son 5e mandat », La Montagne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. Ghislaine Buffard, « Ils voient en moi un maire, pas un étranger », Le Parisien / Aujourd'hui en France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. « Saint-Gérand-le-Puy (03150) », sur habitants.fr, SARL Patagos (consulté le ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. « École maternelle publique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  28. « École élémentaire publique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  29. Direction des services départementaux de l'Éducation nationale de l'Allier, « Sectorisation des collèges du département de l'Allier » [PDF], (consulté le ).
  30. Service académique d'information et d'orientation, « Arrêté rectoral en date du relatif à la répartition des districts scolaires des lycées des départements de l'Allier, du Cantal, de la Haute-Loire et du Puy-de-Dôme » [PDF], Académie de Clermont-Ferrand (consulté le ), p. 8.
  31. Association des amis de James Joyce.
  32. Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 52 (cf. Saint-Gérand-le-Puy).
  33. Julien Lespinasse (Abbé.), Chroniques du Brivadois : un peu d'histoire locale, Édition « Almanach de Brioude », (lire en ligne), p. 129.
  34. Gérard Colonna d'Istria, « Joyce à Saint-Gérand-le-Puy, 1939-1940 : chronologie d'une présence », Cahiers bourbonnais, no 204,‎ , p. 61-68.
  35. Maurice Sarazin, « James Joyce (1882-1941), ami de Valery Larbaud, vécut sa dernière année à Saint-Gérand-le-Puy, en 1940 », Cahiers bourbonnais, no 215,‎ s.d., p. 58 et suiv. et no 216, p. 53-57.