Saint-Félix-de-Sorgues
Saint-Félix-de-Sorgues est une commune française située dans le département de l'Aveyron, en région Occitanie.
Saint-Félix-de-Sorgues | |||||
Grand Rue de Saint-Félix-de-Sorgues. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Aveyron | ||||
Arrondissement | Millau | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Saint Affricain, Roquefort, Sept Vallons | ||||
Maire Mandat |
Bertrand Schmitt 2020-2026 |
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Code postal | 12400 | ||||
Code commune | 12222 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Félicien(ne) | ||||
Population municipale |
182 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 6,3 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 53′ 03″ nord, 2° 59′ 05″ est | ||||
Altitude | Min. 375 m Max. 745 m |
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Superficie | 29 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Saint-Affrique (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Affrique | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Aveyron
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le pont sur la Sorgues, inscrit en 1944.
Géographie
modifierLocalisation
modifierSaint-Félix-de-Sorgues fait partie du canton de Saint-Affrique et compte environ 200 habitants répartis en dix fermes et un village situés à 416 mètres d'altitude dans la vallée de la Sorgues, entre Roquefort et Sylvanès.
Communes limitrophes
modifierSaint-Félix-de-Sorgues est limitrophe de six autres communes. Les communes limitrophes sont Gissac, Marnhagues-et-Latour, Montagnol, Saint-Jean-et-Saint-Paul, Sylvanès et Versols-et-Lapeyre.
Hydrographie
modifierLa commune est drainée par la Sorgues, le Cabot, le ravin de Sauvecave, le ravin du Mas de Laussel, le ruisseau de Barbayrou, le ruisseau de Cantillergues, le ruisseau de Raouffenc, le ruisseau de Rauffenc, le ruisseau des Vernhasses, le ruisseau des Vernhes, le ruisseau de Vialache, le ruisseau du Bruel, le ruisseau du Mas Nau et par divers petits cours d'eau[1].
La Sorgues, d'une longueur totale de 46,4 km, prend sa source dans la commune de Cornus et se jette dans le Dourdou de Camarès à Vabres-l'Abbaye, après avoir arrosé 7 communes[2]. Elle traverse la commune d'est en ouest sur cinq kilomètres.
Le Cabot, d'une longueur totale de 10,3 km, prend sa source dans la commune de Montagnol et se jette dans la Nuéjouls à Sylvanès, après avoir arrosé 3 communes[3].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 085 mm, avec 10,1 jours de précipitations en janvier et 4,3 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Montlaur à 12 km à vol d'oiseau[6], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 705,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Milieux naturels et biodiversité
modifierEspaces protégés
modifierLa protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[10]. Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional des Grands Causses, créé en 1995 et d'une superficie de 327 937 ha, qui s'étend sur 97 communes. Ce territoire rural habité, reconnu au niveau national pour sa forte valeur patrimoniale et paysagère, s’organise autour d’un projet concerté de développement durable, fondé sur la protection et la valorisation de son patrimoine[11],[12],[13].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
modifierL’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Saint-Félix-de-Sorgues comprend une ZNIEFF de type 1[Note 1],[14], « La Sorgue à Lapeyre » (319 ha), couvrant 2 communes du département[15] , et une ZNIEFF de type 2[Note 2],[14], le « Rougier de Camarès » (56 714 ha), qui s'étend sur 33 communes dont 32 dans l'Aveyron et 1 dans l'Hérault[16].
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Carte de la ZNIEFF de type 1 de la commune.
-
Carte de la ZNIEFF de type 2 de la commune.
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Saint-Félix-de-Sorgues est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[17]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Affrique, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 16 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (52,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (39,2 %), zones agricoles hétérogènes (37 %), prairies (10,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,8 %), terres arables (4,3 %)[20].
Planification
modifierLa loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT du Parc naturel régional des Grands Causses, approuvé le vendredi par le comité syndical et mis à l’enquête publique en décembre 2019. La structure porteuse est le Pôle d'équilibre territorial et rural du PNR des Grands Causses, qui associe huit communautés de communes, notamment la communauté de communes Saint Affricain, Roquefort, Sept Vallons, dont la commune est membre[21].
La commune disposait en 2017 d'une carte communale approuvée et un plan local d'urbanisme était en élaboration[22].
Risques majeurs
modifierLe territoire de la commune de Saint-Félix-de-Sorgues est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier, le risque radon[23],[24].
Risques naturels
modifierCertaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de la Sorgues. Les dernières grandes crues historiques, ayant touché plusieurs parties du département, remontent aux 3 et (dans les bassins du Lot, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn) et au (bassins de la Sorgues et du Dourdou)[25]. Ce risque est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) du bassin du bassin de la « Sorgues et du Dourdou de Camarès aval »[26], approuvé le 23 mai 2017[27].
Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité très forte[28].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés à la présence de cavités souterraines localisées sur la commune[29],[30].
Risque particulier
modifierDans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Saint-Félix-de-Sorgues est classée à risque moyen à élevé[31]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[32] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[33].
Toponymie
modifierDurant la Révolution, la commune porte le nom de Félix-de-Sorgues[34].
Histoire
modifierMoyen Âge
modifierLe village étant établi à proximité d'une source abondante, on y trouve des moulins drapiers dès 1426, ainsi que des tanneries. On y recense également une scierie en 1426. En 1459, le commandeur autorise la tenue de deux foires franches et s'engage à ne prélever que quatre deniers par pièce de drap de 11 cannes tissée à Saint-Félix[35].
La commune aurait eu des consuls dès 1320. Elle fut entourée de remparts en 1438, construits par Dorde Dalaus[35].
Les Hospitaliers
modifierSaint-Félix fut le chef-lieu d'une importante commanderie des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[36], qui fut fondée vers 1150 par donation de Pierre de Caylus et dont le premier commandeur connu est Gaubert de Saint Caprazy en 1159. La commanderie avait des dépendances dans le Saint-Affricain: Druille et Mascourbe, Saint-Caprazy, Prugnes, Carnus, Martrin, Moussac, La Bastide-Pradines (donation de 1221)[35].
Époque moderne
modifierÉpoque contemporaine
modifierLa commune est retirée du canton de Camarès le 2 août 1973 pour être intégrée au canton de Saint-Affrique[35].
Politique et administration
modifierDécoupage territorial
modifierLa commune de Saint-Félix-de-Sorgues est membre de la communauté de communes Saint Affricain, Roquefort, Sept Vallons[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Vabres-l'Abbaye. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[37].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Millau, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[I 1]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Saint-Affrique pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la troisième circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[38].
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Saint-Félix-de-Sorgues dans l'intercommunalité en 2020.
-
Saint-Félix-de-Sorgues dans le canton de Saint-Affrique en 2020.
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Saint-Félix-de-Sorgues dans l'arrondissement de Millau en 2020.
Élections municipales et communautaires
modifierÉlections de 2020
modifierLe conseil municipal de Saint-Félix-de-Sorgues, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[39] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[40]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. La totalité des onze candidats en lice[41] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 69,9 %[42]. Bertrand Schmitt, maire sortant, est réélu pour un nouveau mandat le [43].
Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[44]. Un siège est attribué à la commune au sein de la communauté de communes Saint Affricain, Roquefort, Sept Vallons[45].
Liste des maires
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[50].
En 2021, la commune comptait 182 habitants[Note 5], en évolution de −23,21 % par rapport à 2015 (Aveyron : +0,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
modifierRevenus
modifierEn 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 99 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 179 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 740 €[I 2] (20 640 € dans le département[I 3]).
Emploi
modifierDivision | 2008 | 2013 | 2018 |
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Commune[I 4] | 7,7 % | 7,9 % | 9 % |
Département[I 5] | 5,4 % | 7,1 % | 7,1 % |
France entière[I 6] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 111 personnes, parmi lesquelles on compte 82,9 % d'actifs (73,9 % ayant un emploi et 9 % de chômeurs) et 17,1 % d'inactifs[Note 7],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Saint-Affrique, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 1],[I 7]. Elle compte 41 emplois en 2018, contre 41 en 2013 et 37 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 89, soit un indicateur de concentration d'emploi de 46,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 55 %[I 8].
Sur ces 89 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 28 travaillent dans la commune, soit 32 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 75,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,1 % les transports en commun, 4,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 19,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].
Activités hors agriculture
modifier23 établissements[Note 8] sont implantés à Saint-Félix-de-Sorgues au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 9],[I 11]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 30,4 % du nombre total d'établissements de la commune (7 sur les 23 entreprises implantées à Saint-Félix-de-Sorgues), contre 27,5 % au niveau départemental[I 12].
Agriculture
modifierLa commune est dans les Monts de Lacaune, une petite région agricole occupant le sud du département de l'Aveyron[52]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 2].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est de 10 lors du recensement agricole de 2020[Note 11] et la surface agricole utilisée de 931 ha[Carte 3],[Carte 4].
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifierParmi les monuments historiques on peut trouver le pont Inscrit MH (1944)[54] des XIVe et XVe siècles qui enjambe la Sorgues en contrebas du village. Le pont de Saint-Félix-de-Sorgues est composé de trois arches et construit notamment à partir du tuf calcaire de la région. Les contreforts d’une tour du château, qui fut détruit en 1627, restent visibles dans le parapet au sud de l’église[55]. Certaines parties de l’enceinte de fortification demeurent présentes, dont la porte d’entrée (porte "Saint-Jean")[55].
- Saint-Caprazy, lieu-dit au sud-ouest du village sur l'autre rive de la Sorgues. Ancienne seigneurie et paroisse devenue ensuite une annexe de la commanderie de Saint-Félix-de-Sorgues[56].
Personnalités liées à la commune
modifier- Patrick Guallino a vécu à Saint-Félix-de-Sorgues.
Héraldique
modifierLes armes de la commune de Saint-Félix-de-Sorgues se blasonnent ainsi : |
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- André Soutou, « Documents sur quelques églises du Rouergue (XIe et XIIIe siècles) », Annales du Midi, t. 81, no 94, , p. 349-378 (lire en ligne)
- (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. Jean-Luc Malet), Sent-Africa : La Bastida, Caumèls-e-Lo Vialar, Ròcafòrt, Sant-Faliç, Sent-Esèri, Sent-Jan, D'Aucàpias, Sent-Roma de Sarnon, Tornamira, Vabre, Verzòls-e-La Pèira / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Sent-Africa, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 429 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-54-8, ISSN 1151-8375, BNF 38977452)
- Erwann Ramondenc, Rédiger un terrier et un compoix à Saint-Félix-de-Sorgues (Aveyron) dans la première moitié du XVe siècle, mémoire de master 2, université de Toulouse (UTM), 2012
- Guilhem Ferrand, « Les pulsions de la guerre et la mise en défense (Rouergue, XIVe – XVe siècles) », Annales du Midi, t. 126, no 286, , p. 181-193 (lire en ligne)
- Erwann Ramondenc, « Trois documents concernant la réparation des fortifications à Saint-Félix-de-Sorgues (Aveyron, 1398-1410) », Annales du Midi, t. 126, no 286, , p. 217-226 (lire en ligne)
Articles connexes
modifierLiens externes
modifierNotes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Démissionnaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[53].
- Cartes
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Félix-de-Sorgues » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans l'Aveyron » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Félix-de-Sorgues » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aveyron » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Félix-de-Sorgues » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Félix-de-Sorgues » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aveyron » (consulté le ).
Autres sources
modifier- « Fiche communale de Saint-Félix-de-Sorgues », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
- Sandre, « la Sorgues »
- Sandre, « le Cabot »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Félix-de-Sorgues et Montlaur », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Montlaur » (commune de Montlaur) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Montlaur » (commune de Montlaur) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
- « Qu'est-ce qu'un parc naturel régional ? », sur parc-grands-causses.fr (consulté le ).
- « PNR des Grandes Causses - découverte du patrimoine », sur parc-grands-causses.fr (consulté le ).
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- « ZNIEFF « La Sorgue à Lapeyre » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « Rougier de Camarès » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Affrique », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
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- [PDF]« Le Dossier Départemental des Risques Majeurs (DDRM) de l'Aveyron - Liste des risques par commune », sur aveyron.gouv.fr (consulté le ).
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- [PDF]« Dossier départemental des risques majeurs de l’Aveyron – risque d’inondation », sur le site de la préfecture de l’Aveyron (consulté le ).
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- « Dossier départemental des risques majeurs de l’Aveyron - Le risque feu de forêt », sur le site de la préfecture départementale (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Félix-de-Sorgues », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- [PDF]« Le Dossier Départemental des Risques Majeurs (DDRM) de l'Aveyron - Risque mouvement de terrain », sur aveyron.gouv.fr (consulté le ).
- [PDF]« Dossier départemental des risques majeurs de l'Aveyron - le risque radon », sur le site de la préfecture de l’Aveyron (consulté le ).
- « Article R1333-29 du code de la Santé publique », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
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- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Christian-Pierre Bedel, Sent-Africa: La Bastida, Caumèls-e-Lo Vialar, Ròcafòrt, Sant-Faliç, Sent-Esèri, Sent-Jan, D'Aucàpias, Sent-Roma de Sarnon, Tornamira, Vabre, Verzòls-e-La Pèira, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », (ISBN 978-2-907279-54-3)
- Abbé C. Nicolas, « Histoire des grands prieurs et du prieuré de Saint-Gilles faisant suite au manuscrit de Jean Raybaud 1751-1806 : tome III », Mémoires de l'Académie de Nîmes, t. XXIX, , p. 120-21, lire en ligne sur Gallica
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- Article L. 252 du Code électoral
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- Historique de Saint-Félix-de-Sorgues
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