Saint-Denis-de-Vaux
Saint-Denis-de-Vaux est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté.
Saint-Denis-de-Vaux | |||||
Vue du village. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Saône-et-Loire | ||||
Arrondissement | Chalon-sur-Saône | ||||
Intercommunalité | Le Grand Chalon | ||||
Maire Mandat |
Fabienne Saint-Arroman 2020-2026 |
||||
Code postal | 71640 | ||||
Code commune | 71403 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Dionysiens | ||||
Population municipale |
270 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 73 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 47′ 47″ nord, 4° 41′ 54″ est | ||||
Altitude | Min. 230 m Max. 431 m |
||||
Superficie | 3,71 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Chalon-sur-Saône (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Givry | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Saône-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
| |||||
modifier |
Géographie
modifierLa commune est située en Bourgogne, dans le département de Saône-et-Loire, à environ 13 kilomètres de Chalon-sur-Saône. C'est un village viticole de la côte chalonnaise, faisant partie de la vallée des Vaux.
Communes limitrophes
modifierSaint-Jean-de-Vaux | Saint-Martin-sous-Montaigu | |||
Barizey | N | Mellecey | ||
O Saint-Denis-de-Vaux E | ||||
S | ||||
Jambles | Givry |
Accès et transports
modifierLe village est situé à proximité des grands axes de circulation, à 16 kilomètres de l'autoroute A6 (Chalon-sur-Saône), à 10 kilomètres des voies ferrées ligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles et 18 kilomètres de LGV Sud-Est (TGV) (Le Creusot) et à 6 kilomètres de la route nationale 80 Chalon-Moulins. Le village est aussi desservi par la ligne D du réseau Zoom des transports en commun du Grand Chalon.
Géologie et relief
modifierLe territoire de la commune, essentiellement viticole, s'étend dans un paysage vallonné. Le vignoble a été implanté sur des sols où se sont déposés les sédiments marno-argilo-calcaires des mers jurassiques (230 à 135 millions d'années). L'altitude du village varie entre 230 et 431 mètres.
Hydrographie
modifierIl y a une rivière, l'Orbise qui borde le village sur 75 mètres de sa rive droite.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 838 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chalon-Champforgueil », sur la commune de Champforgeuil à 11 km à vol d'oiseau[3], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 736,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17,6 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Saint-Denis-de-Vaux est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chalon-sur-Saône, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 109 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (47 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (47 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (34,6 %), forêts (27,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (19,1 %), cultures permanentes (8,9 %), zones urbanisées (7,6 %), prairies (2 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
modifierHistoire
modifierAntiquité
modifierIl a été retrouvé lors des fouilles au début du XXe siècle dans la grotte des Teux Blancs un biface de type acheuléen prouvant que l'homme a séjourné dans cette caverne, du moins temporairement[MATB 1]. Il a été également découvert des sépultures d'un cimetière mérovingien dans ce village[MATB 1].
Moyen Âge et Renaissance
modifierAu XIIIe siècle, l'évêque Girard de La Roche de Beauvoir acquiert presque tous les fonds de la seigneurie de Saint-Denis de Vaux[RP 1]. Sanctus Dyonisius in Vallibus est mentionné au XIIe siècle dans le cartulaire de l'évêché d'Autun ; le village est alors le siège d'un prieuré bénédictins qui a droit de justice[MATB 1].
Époque moderne
modifierPendant les dernières années du XVe siècle, aux XVIe et XVIIe siècles, les catastrophes comme la famine, la peste, les gelées tardives, la sécheresse, les inondations et les passages de gens d'armes se sont abattues sur le village[MATB 2].
Époque contemporaine
modifierXIXe siècle
modifierEn 1812, le vignoble représentait 206 hectares, plantés en gamay blanc et noir, mais en 1879, le phylloxera a presque entièrement détruit le vignoble implanté sur la commune[MATB 3]. À la fin du XIXe siècle, le village comptait deux exploitants de carrière, deux maçons, un forgeron, un sabotier, deux cordonniers, deux épiciers-merciers, un loueur d'alambics, un bouilleur d'eaux-de-vie, trois aubergistes, deux voituriers et une société musicale[MATB 4].
XXe siècle
modifierDans les années 1920-1930, il est recensé deux aubergistes, un bouilleur d'eaux-de-vie, un receveur-buraliste-tabac, un tonnelier, un maçon, un voiturier-messager et un garde champêtre[MATB 4]. Le , lors de la Deuxième Guerre mondiale, les Allemands perquisitionnent une ferme du village où ont séjourné des maquisards, puis incendient cette ferme et arrêtent deux personnes qui seront déportées par la suite[MATB 5].
XXIe siècle
modifierDepuis 2002, par l'intermédiaire du regroupement pédagogique intercommunal, la commune voit ses enfants scolarisés dans une des quatre communes, le village lui-même, Saint-Mard-de-Vaux, Saint-Jean-de-Vaux et Barizey[MATB 5]. En , la commune a rejoint la communauté d'agglomération de Chalon Val de Bourgogne.
Politique et administration
modifierTendances politiques
modifierSaint-Denis-de-Vaux est une commune qui vote majoritairement à droite. Depuis 1997, la droite est arrivée en tête dans 14 élections, la gauche dans 9 élections, le centre dans une et l'extrême-droite dans une aussi[Jsl 1],[Jsl 2],[Jsl 3],[Jsl 4],[Jsl 5],[Jsl 6],[Jsl 7],[Jsl 8],[Jsl 9],[Jsl 10],[Jsl 11],[Jsl 12],[Jsl 13],[Jsl 14],[Jsl 15],[Jsl 16],[Jsl 17],[Jsl 18],[Jsl 19].
Administration municipale
modifierSaint-Denis-de-Vaux dépend de la sous-préfecture de Saône-et-Loire à Chalon-sur-Saône. Le conseil municipal est composé de 11 membres conformément à l’article L2121-2 du Code général des collectivités territoriales[13]. À l'issue des élections municipales de 2014, Fabienne Saint-Arroman a été réélue maire de la commune[Jsl 20].
Listes des maires
modifierCanton et intercommunalité
modifierCette commune fait partie du canton de Givry, comptant 12 057 habitants en 2007. En intercommunalité, ce village fait partie du Grand Chalon. Pierre Voarick est conseiller général de ce canton depuis 1998.
Instance judiciaire et administrative
modifierDans le domaine judiciaire, la commune dépend aussi[Quoi ?] de la commune de Chalon-sur-Saône qui possède un tribunal d'instance et un tribunal de grande instance, d'un tribunal de commerce et d'un conseil des prud'hommes. Pour le deuxième degré de juridiction, elle dépend de la cour d'appel et de la cour administrative d'appel de Dijon[14].
Jumelages
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[16].
En 2021, la commune comptait 270 habitants[Note 3], en évolution de −0,37 % par rapport à 2015 (Saône-et-Loire : −1,1 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramides des âges
modifierEnseignement
modifierLa commune de Saint-Denis-de-Vaux est située dans l'académie de Dijon. Il existe une école primaire en regroupement pédagogique intercommunal avec les communes de Saint-Mard-de-Vaux, Saint-Jean-de-Vaux et Barizey. Le collège le plus proche est situé à Givry et les lycées les plus proches à Chalon-sur-Saône.
Sports, loisirs
modifierLa randonnée, la chasse.
Santé
modifierIl n'y a pas de docteur, pas de pharmacie, pas de kinésithérapeute, pas de dentiste dans ce village. Les plus proches se trouvent à Givry, Mercurey ou Mellecey. Le centre hospitalier se trouve à Chalon-sur-Saône.
Cultes
modifierCulte catholique en alternance avec d'autres paroisses.
Écologie et recyclage
modifierLe Grand Chalon gère la collecte de la commune. Il y a une collecte hebdomadaire des ordures ménagères.
Économie
modifierLa viticulture avec la présence de cinq domaines viticoles (domaine Laugerotte-Gunia, GAEC Duchesne, Domaine de l'Évêché, domaine Landré et domaine Le Meix de la Croix)[RP 2]. Il y a de nombreux gîtes dans le village, une maison d'hôtes et de table d'hôtes, et aussi une entreprise de travaux publics[RP 3].
Vignoble
modifierCe village viticole produit les appellations Bourgogne Côte Chalonnaise (vin rouge et vin blanc), Bourgogne (vin rouge, vin blanc, vin rosé), Bourgogne Passetougrain (vin rouge), Bourgogne Aligoté, crémant de Bourgogne (vin effervescent) ainsi que l'AOC Coteaux Bourguignons.
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Église Saint-Denis du XIXe siècle[RP 1].
- Une Vierge de Pitié du XVIe siècle[RP 1].
- Une reproduction de la grotte de Lourdes, qui fut inaugurée au milieu des années trente[19].
- Maisons anciennes[RP 1].
- Ruines d'un monastère[RP 1].
- Une croix de carrefour sculptée, située chemin de Jambles, de 1662[RP 1] classée MH.
- Cimetière, monuments aux morts.
- Mairie, salle des fêtes, école.
-
Mairie.
-
Salle des fêtes.
-
Cimetière.
-
Monuments aux morts.
Personnalités liées à la commune
modifierHéraldique
modifierPour approfondir
modifierBibliographie
modifier- Marie-Anne Trémeau-Böhm, Givry et ses environs, éditions JPM, 2005, 400 p. (ISBN 2-84786-036-3)
- La Saône-et-Loire. Les 573 communes, éditions Delattre, Granvilliers, 2006, 255 pages, (ISBN 2-915907-23-4)
- Eugène Leclerc, Une promenade en vallée des Vaux, revue « Images de Saône-et-Loire » n° 48 (hiver 1981), pp. 3–6.
Articles connexes
modifierLiens externes
modifierNotes et références
modifierNotes
modifier- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 28 mars 2011, Canton de Givry, p. 9.
- Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 21 mars 2011, Canton de Givry, p. 10.
- Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 22 mars 2010, Canton de Givry, p. 8.
- Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 15 mars 2010, Canton de Givry, p. 7.
- Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 8 juin 2009, Canton de Givry, p. 7.
- Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 11 juin 2007, Canton de Givry, p. 18.
- Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 18 juin 2007, Canton de Givry, p. 20.
- Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 7 mai 2007, Canton de Givry, p. 18.
- Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 23 avril 2007, Canton de Givry, p. 19.
- Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 14 juin 2004, Canton de Givry, p. 4.
- Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 29 mars 2004, Canton de Givry, p. 10.
- Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 22 mars 2004, Canton de Givry, p. 10
- Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du mardi 23 mars 2004, Canton de Givry, p. 8.
- Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 10 juin 2002, Canton de Givry, p. 16.
- Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 17 juin 2002, Canton de Givry, p. 14.
- Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 22 avril 2002, Canton de Givry, p. 14.
- Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 14 juin 1999, Canton de Givry, p. 4.
- Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 23 mars 1998, Canton de Givry, p. 6.
- Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 26 mai 1997, Canton de Givry, p. 24.
- Le Journal de Saône-et-Loire, édition Chalon du 2 avril 2014, p. 11
Marie-Anne Trémeau-Böhm, Givry et ses environs
modifier- Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs, Saint-Denis-de-Vaux, p. 313.
- Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs, Saint-Denis-de-Vaux, p. 314.
- Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs, Saint-Denis-de-Vaux, p. 316.
- Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs, Saint-Denis-de-Vaux, p. 317.
- Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs, Saint-Denis-de-Vaux, p. 318.
Livres, ouvrages, sources papier
modifier- La Saône-et-Loire : Les 573 communes (page sur Saint-Denis-de-Vaux), p. 179.
- Annuaire Pages jaunes de Saône-et-Loire, 2010, Vins, p. 608.
- Annuaire Pages blanches de Saône-et-Loire, 2010, Saint-Denis-de-Vaux, p. 734.
Autres sources
modifier- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Denis-de-Vaux et Champforgeuil », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Chalon-Champforgueil », sur la commune de Champforgeuil - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Chalon-Champforgueil », sur la commune de Champforgeuil - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Denis-de-Vaux ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chalon-sur-Saône », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « nombre des membres du conseil municipal des communes », sur Legifrance (consulté le ).
- « Annuaire des juridictions », sur le site du ministère de la justice (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Les reproductions de la grotte de Lourdes dans notre diocèse : la fin de l'enquête, revue « Église d'Autun » n° 20 du 6 décembre 2019, pages 668-669.