Saint-Denis-de-Vaux

commune française du département de Saône-et-Loire

Saint-Denis-de-Vaux est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Saint-Denis-de-Vaux
Saint-Denis-de-Vaux
Vue du village.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Chalon-sur-Saône
Intercommunalité Le Grand Chalon
Maire
Mandat
Fabienne Saint-Arroman
2020-2026
Code postal 71640
Code commune 71403
Démographie
Gentilé Dionysiens
Population
municipale
270 hab. (2021 en évolution de −0,37 % par rapport à 2015)
Densité 73 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 47′ 47″ nord, 4° 41′ 54″ est
Altitude Min. 230 m
Max. 431 m
Superficie 3,71 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Chalon-sur-Saône
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Givry
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Denis-de-Vaux
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Saint-Denis-de-Vaux

Géographie

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La commune est située en Bourgogne, dans le département de Saône-et-Loire, à environ 13 kilomètres de Chalon-sur-Saône. C'est un village viticole de la côte chalonnaise, faisant partie de la vallée des Vaux.

Communes limitrophes

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  Saint-Jean-de-Vaux Saint-Martin-sous-Montaigu  
Barizey N Mellecey
O    Saint-Denis-de-Vaux    E
S
Jambles Givry

Accès et transports

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Le village est situé à proximité des grands axes de circulation, à 16 kilomètres de l'autoroute A6 (Chalon-sur-Saône), à 10 kilomètres des voies ferrées ligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles et 18 kilomètres de LGV Sud-Est (TGV) (Le Creusot) et à 6 kilomètres de la route nationale 80 Chalon-Moulins. Le village est aussi desservi par la ligne D du réseau Zoom des transports en commun du Grand Chalon.

Géologie et relief

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Le territoire de la commune, essentiellement viticole, s'étend dans un paysage vallonné. Le vignoble a été implanté sur des sols où se sont déposés les sédiments marno-argilo-calcaires des mers jurassiques (230 à 135 millions d'années). L'altitude du village varie entre 230 et 431 mètres.

Hydrographie

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Il y a une rivière, l'Orbise qui borde le village sur 75 mètres de sa rive droite.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 838 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chalon-Champforgueil », sur la commune de Champforgeuil à 11 km à vol d'oiseau[3], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 736,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,7 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −17,6 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Saint-Denis-de-Vaux est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chalon-sur-Saône, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 109 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (47 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (47 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (34,6 %), forêts (27,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (19,1 %), cultures permanentes (8,9 %), zones urbanisées (7,6 %), prairies (2 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Histoire

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Antiquité

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Il a été retrouvé lors des fouilles au début du XXe siècle dans la grotte des Teux Blancs un biface de type acheuléen prouvant que l'homme a séjourné dans cette caverne, du moins temporairement[MATB 1]. Il a été également découvert des sépultures d'un cimetière mérovingien dans ce village[MATB 1].

Moyen Âge et Renaissance

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Au XIIIe siècle, l'évêque Girard de La Roche de Beauvoir acquiert presque tous les fonds de la seigneurie de Saint-Denis de Vaux[RP 1]. Sanctus Dyonisius in Vallibus est mentionné au XIIe siècle dans le cartulaire de l'évêché d'Autun ; le village est alors le siège d'un prieuré bénédictins qui a droit de justice[MATB 1].

Époque moderne

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Pendant les dernières années du XVe siècle, aux XVIe et XVIIe siècles, les catastrophes comme la famine, la peste, les gelées tardives, la sécheresse, les inondations et les passages de gens d'armes se sont abattues sur le village[MATB 2].

Époque contemporaine

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XIXe siècle

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En 1812, le vignoble représentait 206 hectares, plantés en gamay blanc et noir, mais en 1879, le phylloxera a presque entièrement détruit le vignoble implanté sur la commune[MATB 3]. À la fin du XIXe siècle, le village comptait deux exploitants de carrière, deux maçons, un forgeron, un sabotier, deux cordonniers, deux épiciers-merciers, un loueur d'alambics, un bouilleur d'eaux-de-vie, trois aubergistes, deux voituriers et une société musicale[MATB 4].

XXe siècle

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Dans les années 1920-1930, il est recensé deux aubergistes, un bouilleur d'eaux-de-vie, un receveur-buraliste-tabac, un tonnelier, un maçon, un voiturier-messager et un garde champêtre[MATB 4]. Le , lors de la Deuxième Guerre mondiale, les Allemands perquisitionnent une ferme du village où ont séjourné des maquisards, puis incendient cette ferme et arrêtent deux personnes qui seront déportées par la suite[MATB 5].

XXIe siècle

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Depuis 2002, par l'intermédiaire du regroupement pédagogique intercommunal, la commune voit ses enfants scolarisés dans une des quatre communes, le village lui-même, Saint-Mard-de-Vaux, Saint-Jean-de-Vaux et Barizey[MATB 5]. En , la commune a rejoint la communauté d'agglomération de Chalon Val de Bourgogne.

Politique et administration

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Tendances politiques

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Saint-Denis-de-Vaux est une commune qui vote majoritairement à droite. Depuis 1997, la droite est arrivée en tête dans 14 élections, la gauche dans 9 élections, le centre dans une et l'extrême-droite dans une aussi[Jsl 1],[Jsl 2],[Jsl 3],[Jsl 4],[Jsl 5],[Jsl 6],[Jsl 7],[Jsl 8],[Jsl 9],[Jsl 10],[Jsl 11],[Jsl 12],[Jsl 13],[Jsl 14],[Jsl 15],[Jsl 16],[Jsl 17],[Jsl 18],[Jsl 19].

Administration municipale

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Saint-Denis-de-Vaux dépend de la sous-préfecture de Saône-et-Loire à Chalon-sur-Saône. Le conseil municipal est composé de 11 membres conformément à l’article L2121-2 du Code général des collectivités territoriales[13]. À l'issue des élections municipales de 2014, Fabienne Saint-Arroman a été réélue maire de la commune[Jsl 20].

Listes des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1981 ? Jacqueline Desprey    
juin 1995 en cours Fabienne Saint-Arroman UMP-LR Viticultrice
Les données manquantes sont à compléter.

Canton et intercommunalité

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Cette commune fait partie du canton de Givry, comptant 12 057 habitants en 2007. En intercommunalité, ce village fait partie du Grand Chalon. Pierre Voarick est conseiller général de ce canton depuis 1998.

Instance judiciaire et administrative

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Dans le domaine judiciaire, la commune dépend aussi[Quoi ?] de la commune de Chalon-sur-Saône qui possède un tribunal d'instance et un tribunal de grande instance, d'un tribunal de commerce et d'un conseil des prud'hommes. Pour le deuxième degré de juridiction, elle dépend de la cour d'appel et de la cour administrative d'appel de Dijon[14].

Jumelages

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Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[16].

En 2021, la commune comptait 270 habitants[Note 3], en évolution de −0,37 % par rapport à 2015 (Saône-et-Loire : −1,1 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
324406396350259360343337346
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
344369362359359402423400375
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
364343290236215203222184215
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
178175190194204245261285264
2021 - - - - - - - -
270--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[18].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramides des âges

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École.

Enseignement

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La commune de Saint-Denis-de-Vaux est située dans l'académie de Dijon. Il existe une école primaire en regroupement pédagogique intercommunal avec les communes de Saint-Mard-de-Vaux, Saint-Jean-de-Vaux et Barizey. Le collège le plus proche est situé à Givry et les lycées les plus proches à Chalon-sur-Saône.

Sports, loisirs

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La randonnée, la chasse.

Il n'y a pas de docteur, pas de pharmacie, pas de kinésithérapeute, pas de dentiste dans ce village. Les plus proches se trouvent à Givry, Mercurey ou Mellecey. Le centre hospitalier se trouve à Chalon-sur-Saône.

Culte catholique en alternance avec d'autres paroisses.

Écologie et recyclage

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Le Grand Chalon gère la collecte de la commune. Il y a une collecte hebdomadaire des ordures ménagères.

 
Vignes.
 
Les vignobles de la côte chalonnaise.

Économie

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La viticulture avec la présence de cinq domaines viticoles (domaine Laugerotte-Gunia, GAEC Duchesne, Domaine de l'Évêché, domaine Landré et domaine Le Meix de la Croix)[RP 2]. Il y a de nombreux gîtes dans le village, une maison d'hôtes et de table d'hôtes, et aussi une entreprise de travaux publics[RP 3].

Vignoble

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Ce village viticole produit les appellations Bourgogne Côte Chalonnaise (vin rouge et vin blanc), Bourgogne (vin rouge, vin blanc, vin rosé), Bourgogne Passetougrain (vin rouge), Bourgogne Aligoté, crémant de Bourgogne (vin effervescent) ainsi que l'AOC Coteaux Bourguignons.

 
Église.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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  Blason
Parti : au 1er d'azur semé de fleurs de lys d'or chargé en chef d'un lambel à l'antique de trois pendants de gueules, au 2e bandé d'or et d'azur et à la bordure de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

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Bibliographie

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  • Marie-Anne Trémeau-Böhm, Givry et ses environs, éditions JPM, 2005, 400 p. (ISBN 2-84786-036-3)
  • La Saône-et-Loire. Les 573 communes, éditions Delattre, Granvilliers, 2006, 255 pages, (ISBN 2-915907-23-4)
  • Eugène Leclerc, Une promenade en vallée des Vaux, revue « Images de Saône-et-Loire » n° 48 (hiver 1981), pp. 3–6.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 28 mars 2011, Canton de Givry, p. 9.
  2. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 21 mars 2011, Canton de Givry, p. 10.
  3. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 22 mars 2010, Canton de Givry, p. 8.
  4. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 15 mars 2010, Canton de Givry, p. 7.
  5. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 8 juin 2009, Canton de Givry, p. 7.
  6. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 11 juin 2007, Canton de Givry, p. 18.
  7. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 18 juin 2007, Canton de Givry, p. 20.
  8. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 7 mai 2007, Canton de Givry, p. 18.
  9. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 23 avril 2007, Canton de Givry, p. 19.
  10. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 14 juin 2004, Canton de Givry, p. 4.
  11. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 29 mars 2004, Canton de Givry, p. 10.
  12. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 22 mars 2004, Canton de Givry, p. 10
  13. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du mardi 23 mars 2004, Canton de Givry, p. 8.
  14. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 10 juin 2002, Canton de Givry, p. 16.
  15. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 17 juin 2002, Canton de Givry, p. 14.
  16. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 22 avril 2002, Canton de Givry, p. 14.
  17. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 14 juin 1999, Canton de Givry, p. 4.
  18. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 23 mars 1998, Canton de Givry, p. 6.
  19. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 26 mai 1997, Canton de Givry, p. 24.
  20. Le Journal de Saône-et-Loire, édition Chalon du 2 avril 2014, p. 11

Marie-Anne Trémeau-Böhm, Givry et ses environs

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  1. a b et c Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs, Saint-Denis-de-Vaux, p.  313.
  2. Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs, Saint-Denis-de-Vaux, p.  314.
  3. Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs, Saint-Denis-de-Vaux, p.  316.
  4. a et b Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs, Saint-Denis-de-Vaux, p.  317.
  5. a et b Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs, Saint-Denis-de-Vaux, p.  318.

Livres, ouvrages, sources papier

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  1. a b c d e et f La Saône-et-Loire : Les 573 communes (page sur Saint-Denis-de-Vaux), p.  179.
  2. Annuaire Pages jaunes de Saône-et-Loire, 2010, Vins, p.  608.
  3. Annuaire Pages blanches de Saône-et-Loire, 2010, Saint-Denis-de-Vaux, p.  734.

Autres sources

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Saint-Denis-de-Vaux et Champforgeuil », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Chalon-Champforgueil », sur la commune de Champforgeuil - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Chalon-Champforgueil », sur la commune de Champforgeuil - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Denis-de-Vaux ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chalon-sur-Saône », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « nombre des membres du conseil municipal des communes », sur Legifrance (consulté le ).
  14. « Annuaire des juridictions », sur le site du ministère de la justice (consulté le ).
  15. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  16. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  19. Les reproductions de la grotte de Lourdes dans notre diocèse : la fin de l'enquête, revue « Église d'Autun » n° 20 du 6 décembre 2019, pages 668-669.