Saint-Côme (Gironde)

commune française du département de la Gironde

Saint-Côme est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Côme
Saint-Côme (Gironde)
La mairie (sept. 2011)
Blason de Saint-Côme
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes du Bazadais
Maire
Mandat
Serge Mourlanne
2020-2026
Code postal 33430
Code commune 33391
Démographie
Gentilé Saint-Cômais
Population
municipale
332 hab. (2021 en évolution de +4,4 % par rapport à 2015)
Densité 56 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 25′ 37″ nord, 0° 10′ 47″ ouest
Altitude Min. 42 m
Max. 124 m
Superficie 5,96 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Bazas
(banlieue)
Aire d'attraction Bazas
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Sud-Gironde
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Saint-Côme
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Saint-Côme
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Saint-Côme
Liens
Site web cc-bazadais.fr/mairie_saint-come

Géographie

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Localisation

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Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune est située dans le Bazadais à l'est de Bazas, le Beuve et ses affluents, qui dessinent les contours de la commune de Saint-Côme, lui donnent la forme approximative d'un cœur.

Les rives parfois basses, sont bordées de zones humides, occupées par des herbages comme en témoigne le nom du lieu-dit Labarthe.

Au milieu de paysages pleins de charme, vallonnés, parcourus de ruisseau entourés de versants boisés et de prairies le village s'élève au sommet d'un coteau, à 90 m d'altitude.

La commune se situe à 62 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 18 km au sud-est de Langon, chef-lieu d'arrondissement et à 3 km à l'est de Bazas (avec laquelle elle forme une unité urbaine[1]), chef-lieu de canton[2].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes en sont Gajac au nord-est, Birac au sud-est, Sauviac au sud-ouest, et Bazas au nord-ouest.

Communes limitrophes de Saint-Côme[3]
Bazas Gajac
 
Sauviac Birac
Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte avec les communes environnantes

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 884 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cazats à 5 km à vol d'oiseau[7], est de 13,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 825,5 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Saint-Côme est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bazas[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bazas, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[13]. Cette aire, qui regroupe 18 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols

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Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (72,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (45,2 %), prairies (24,5 %), forêts (22 %), eaux continentales[Note 4] (4,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2 %), terres arables (1,3 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports

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La principale voie de communication routière qui traverse la commune est la route départementale D655, qui relie Bazas à l'ouest-nord-ouest à Lavazan et Grignols à l'est-sud-est.

L'accès à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) le plus proche est le no 4, dit de La Réole, distant de 19 km vers le nord-est.
L'accès no 1, dit de Bazas, à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 6,5 km vers l'ouest-nord-ouest.

La gare SNCF la plus proche est celle de Langon, distante de 19 km vers le nord-ouest, sur la ligne Bordeaux-Sète du TER Nouvelle-Aquitaine.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Saint-Côme est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible)[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Côme.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 144 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 144 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 2].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999, 2009, 2013 et 2020, par la sécheresse en 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[17].

Toponymie

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En gascon, le nom de la commune est Sent Còrme.

Histoire

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L'édifice le plus ancien est l'église dédiée à saints Côme et Damien. Plusieurs fois, elle a été abîmée ou détruite au cours des siècles, d'abord par les normands au Xe siècle, ensuite, durant de la guerre de Cent Ans, puis par les calvinistes, enfin, pendant la période révolutionnaire.

À la Révolution, la paroisse Saint-Côme forme la commune de Saint-Côme[20].

Au cours de la période de la Convention nationale (1792-1795), la commune a adopté le nom révolutionnaire de La Montagne[21].

Politique et administration

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Liste des maires[22]
Période Identité Étiquette Qualité
  1814 M. Duchamps    
1815 1815 M. Benquet    
1815 1831 M. Duchamps    
1831 1835 Jacques Darquey    
1835 1883 Pierre Couthure    
1883 1903 Michel Béguerie †    
1903 1907 Paul Benquet    
1907 1912 Jean Lartigue    
1912   Léon Baluteau    
1919 ? Hervé Benquet    
Les données manquantes sont à compléter.
1958 2001 Georges de Freyne   Avocat
mars 2001 En cours Serge Mourlanne[23]   Fonctionnaire
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

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Démographie

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Ses habitants sont appelés les Saint-Cômais[24].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[26].

En 2021, la commune comptait 332 habitants[Note 5], en évolution de +4,4 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
490477563406411446502501455
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
481453454431442427452425397
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
368351364300288283283274284
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
288249271278256249286297310
2018 2021 - - - - - - -
321332-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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possède une école primaire

Vie associative

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La commune dispose d'une vie associative riche avec un club de théâtre, la société de chasse, un club de gymnastique, et un comité des fêtes dynamique.

Économie

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Dans la commune se trouvent un restaurant et deux artisans.

Agriculture

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La commune compte environ une demi douzaine d'agriculteurs : élevage bovin, notamment de race bazadaise, céréales, fraises et tabac. Une ferme biologique a fait son apparition depuis 2011 (plantes aromatiques et médicinales, vergers, maraîchages, cueillette de fleurs sauvages).

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Saint-Côme-et-Saint-Damien, souvent reconstruite et remaniée, ne présente aucune unité architecturale ; en 1838, de grands travaux de rénovation furent entrepris par l'abbé O'Reilly, curé de la paroisse.
Jusqu'au début du XXe siècle, la vénération portée à saint Côme, saint patron de la paroisse était grande et donnait lieu à un pèlerinage annuel. À cette dévotion, on avait attaché les vertus curatives de l'eau de la fontaine près de l'église, qui selon la légende guérissait les affections cardiaques.
À l'intérieur de l'église on peut voir une clé de voûte portant en chiffres romains la date de 1653. L'autel en bois du XVIIIe siècle est répertorié à l'inventaire des bâtiments de France. On peut remarquer, dans l'église, la statue de saint Côme tenant dans sa main droite un cœur, alors que sa main gauche est posée sur une épée, instrument de son martyre sous Dioclétien, au IVe siècle.
  • Le domaine de Beaulieu, ensemble de bâtiments classiques du XVIIIe siècle se cache dans la vallée du ruisseau de Sauviac.
  • La Maison Noble La Vialle (label de la Fondation du Patrimoine) construite en 1568, possède un corps de logis rectangulaire à deux niveaux contre lequel s'appuie une tour ronde avec une toiture dite « en poivrière » couverte d'ardoise, les fenêtres sont à meneaux. Elle a été brulée en 1568 et reconstruite en 1597. Elle possède un perron et un cadran solaire est intégré à l'angle sud du corps du logis.
    Les premiers propriétaires ont été la famille de Roux (Jean) prévôt royal à Bazas dès 1579.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Les armes de Saint-Côme se blasonnent ainsi :

Parti, au premier d'azur à la fontaine jaillissante d'argent, au deuxième de gueules à l'épée versée d'argent, le tout sommé d'un chef d'or chargé d'un cœur de gueules[28]

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Bazas, il y a une ville-centre et une commune de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Insee, Unité urbaine 2020 de Bazas
  2. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 55,8 km pour Bordeaux, 14,9 km pour Langon et 2,6 km pour Bazas. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 25 octobre 2011.
  3. Saint-Côme sur Géoportail, consulté le 20 mai 2015.
  4. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Orthodromie entre Saint-Côme et Cazats », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Cazats » (commune de Cazats) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Cazats » (commune de Cazats) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Bazas », sur insee.fr (consulté le ).
  13. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Côme ».
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bazas », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Côme », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. Historique des communes, p. 48, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 5 avril 2013.
  21. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Noms des maires de 1814 à 1912 : [PDF] « La Petite Histoire de Saint-Côme et des Saint-Cômais »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) par Jean Barran, page 11 & seq., consulté le 25 octobre 2011.
  23. Commune de Saint-Côme sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 25 octobre 2011.
  24. Nom des habitants de la commune sur Habitants.fr, consulté le 25 octobre 2011.
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Blason dessiné d'après celui du site officiel de la commune, le 31 octobre 2011.