Saint-Avit (Charente)
Saint-Avit est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Saint-Avit | |||||
Le bourg blotti au pied de la colline. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Angoulême | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Lavalette Tude Dronne | ||||
Maire Mandat |
Patrick Florent 2020-2026 |
||||
Code postal | 16210 | ||||
Code commune | 16302 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Stavistois | ||||
Population municipale |
218 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 60 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 14′ 51″ nord, 0° 03′ 20″ est | ||||
Altitude | Min. 33 m Max. 128 m |
||||
Superficie | 3,66 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Tude-et-Lavalette | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
modifier |
Géographie
modifierLocalisation et accès
modifierSaint-Avit est une petite commune du Sud Charente (3,7 km2). Elle est située à 3 km au sud-est de Chalais et à 45 km au sud d'Angoulême.
Le bourg de Saint-Avit est aussi situé 2 km au nord de la Dronne qui est la limite avec le département de la Dordogne et 5 km de la Charente-Maritime, 8 km au nord-ouest de Saint-Aulaye, 10 km à l'ouest d'Aubeterre, 11 km au nord de La Roche-Chalais, 53 km de Périgueux et 67 km de Bordeaux[1].
La route d'Angoulême à Libourne (D 674) traverse l'ouest de la commune, ainsi que la voie ferrée Paris-Bordeaux[2].
La gare la plus proche est celle de Chalais, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Bordeaux.
Lieux-dits et hameaux
modifierLa commune compte quelques gros hameaux, comme le Bertaud à l'ouest, le Grélis au sud, ou Godichaud au nord-ouest.
Elle est assez boisée, surtout sur les collines qui sont localisées à l'est (bois de Puygoyon) et au sud du bourg (la Malaizie), collines séparées par les prés de la Fontaine, jolie petite vallée descendant vers le Grélis et qui passe au pied du château de Bellevue avec un étang.
Le bourg, situé à l'est du territoire communal au pied d'une colline, n'est qu'à 100 m de la limite avec Saint-Quentin-de-Chalais.
Communes limitrophes
modifierGéologie et relief
modifierLa commune est occupée par le Campanien (Crétacé supérieur), calcaire crayeux, qui occupe une grande partie du Sud Charente. Les sommets boisés de la commune sont couverts de dépôts du Tertiaire (sable, argile, galets) et altérites ou colluvions du Quaternaire. La vallée de la Tude est occupée par des alluvions récentes et anciennes accumulées en terrasses (au Bertaud)[3],[4],[5].
La commune occupe le versant oriental de la vallée de la Tude, avec une ligne de crête sur la partie orientale, et un massif de collines au centre (la Malaizie). Le point culminant de la commune est à une altitude de 128 m, situé dans le bois de la Barde au nord du bourg. Le point le plus bas est à 33 m, situé le long de la Tude à l'extrémité sud-ouest, non loin du bourg de Médillac. Le bourg de Saint-Avit, lové au pied de la côte, est à 100 m d'altitude[2].
Hydrographie
modifierRéseau hydrographique
modifierLa commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par la Tude et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 3 km de longueur totale[7],[Carte 1].
La Tude, affluent de la Dronne qui passe à moins d'un kilomètre au sud de la commune, fait la limite ouest de la commune.
Au pied du bourg, une source donne naissance à un ruisseau à sec en été qui passe au pied du château de Bellevue avec un étang et se jette dans la Tude au Grélis[2].
Gestion des eaux
modifierLe territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[8]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [9].
Climat
modifierComme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.
Milieux naturels et biodiversité
modifierNatura 2000
modifierBordé à l'ouest par la Tude, le territoire communal est concerné par le site Vallée de la Tude, identifié dans le réseau Natura 2000 comme important pour la conservation d'espèces animales européennes menacées[10],[11].
Seize espèces animales inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[10].
- un amphibien : le Sonneur à ventre jaune (Bombina variegata) ;
- un crustacé, l'Écrevisse à pattes blanches (Austropotamobius pallipes) ;
- six insectes : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale), le Cerf-volant (mâle) ou la Grande biche (femelle) (Lucanus cervus), la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii), le Cuivré des marais (Lycaena dispar), le Damier de la succise (Euphydryas aurinia) et le Gomphe de Graslin (Gomphus graslinii) ;
- cinq mammifères : la Loutre d'Europe (Lutra lutra) et le Vison d'Europe (Mustela lutreola), et trois chauves-souris : la Barbastelle d'Europe (Barbastella barbastellus), le Murin à oreilles échancrées (Myotis emarginatus) et le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros) ;
- deux poissons : le Chabot fluviatile (Cottus perifretum) et la Lamproie de Planer (Lampetra planeri) ;
- un reptile : la Cistude (Emys orbicularis).
Vingt-six autres espèces animales importantes y ont été recensées dont quatorze sont concernées par l'annexe IV de la directive habitats.
ZNIEFF
modifierÀ Saint-Avit, sur un périmètre quasi identique à celui du site Natura 2000 ci-dessus, la vallée de la Tude fait partie de la ZNIEFF de type II nommée « Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes »[12],[13].
Vingt-deux espèces déterminantes d'animaux y ont été répertoriées[12] :
- un amphibien : la Rainette verte (Hyla arborea) ;
- un crustacé, l'Écrevisse à pattes blanches (Austropotamobius pallipes) ;
- cinq insectes dont trois lépidoptères : l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), le Cuivré des marais (Lycaena dispar) et le Fadet des laîches (Coenonympha oedippus) et deux odonates : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale) et la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii) ;
- sept mammifères : la Loutre d'Europe (Lutra lutra) et le Vison d'Europe (Mustela lutreola), ainsi que cinq chauves-souris : le Murin à moustaches (Myotis mystacinus), l'Oreillard roux (Plecotus auritus), la Pipistrelle de Kuhl (Pipistrellus kuhlii), le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros) et la Sérotine commune (Eptesicus serotinus) ;
- quatre oiseaux : l'Alouette lulu (Lullula arborea), le Martin-pêcheur d'Europe (Alcedo atthis), le Milan noir (Milvus migrans) et le Tarier des prés (Saxicola rubetra) ;
- trois poissons : le Chabot commun (Cottus gobio), la Lamproie de Planer (Lampetra planeri) et le Toxostome (Parachondrostoma toxostoma) ;
- un reptile : la Cistude (Emys orbicularis).
Vingt-neuf autres espèces animales (quatre mammifères et vingt-cinq oiseaux) y ont été recensées[12].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Saint-Avit est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[15] et hors attraction des villes[16],[17].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (67,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (34,9 %), forêts (28,4 %), zones agricoles hétérogènes (25,8 %), prairies (7 %), zones urbanisées (3,9 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
modifierLe territoire de la commune de Saint-Avit est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].
Risques naturels
modifierLe retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 98,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 122 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 122 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[19].
Risques technologiques
modifierLe risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[23].
Toponymie
modifierLe nom est attesté par la forme ancienne latine Sanctus Avitus (non datée)[24].
Avit était le nom d'un saint chrétien du VIe siècle. D'après Talbert, il s'agirait d'Avit de Micy, ermite en Orléanais, mort en 530. D'après Dauzat, il pourrait aussi s'agir d'Avit de Vienne, évêque, mort en 525, à moins qu'il ne s'agisse d'Avit du Périgord, plus proche géographiquement et célébré dans le diocèse de Périgueux dont Saint-Avit faisait partie. Mort en ermite en 570, il s'était d'abord battu contre les Francs avec les Aquitains avant de se convertir au catholicisme[25],[26].
Le nom de la paroisse a aussi été orthographié Saint-Avi[27] ou Saint-Avy[28], nom qu'on retrouve dans le nom de la commune de Charente-Maritime Avy.
Pendant la Révolution, la commune s'est appelée provisoirement Les Monts[29].
Histoire
modifierDes substructions romaines (murs, tegulae et fragments de céramiques) ont été dégagées en 1882 par un cultivateur, à l'Ombrière et à 300 m de la route d'Angoulême à Libourne[30].
Le château de Bellevue, au sud de la commune, peut dater du tout début du XVIIe siècle. Sous l'Ancien Régime, il était la propriété de la famille de Poncharral, dont deux membres, Daniel-Louis de Poncharral, marquis de Pouillac (ou Pouliac[31]), et son fils, Jean-Baptiste de Poncharral, furent lieutenants des maréchaux de France, en Saintonge. Le fils de ce dernier, Eutrope-Louis-Alexandre de Poncharral, marquis de Pouillac, ne put divorcer de sa femme, mena une vie dissolue et fut bientôt ruiné. Ses héritiers durent vendre le château en 1861 à M. Paulin de Lamballerie. Il fut ensuite la propriété de M. Auger, négociant à Montmoreau, qui l'a fait restaurer en le reconstruisant quasiment entièrement.
La Maure (ou Lamaud, aujourd'hui Lameau, près du Grélis) était un autre fief de la paroisse, créé en 1623 en faveur de Champlong, seigneur de la Boisse (à Montboyer). Il passa ensuite à la famille de Morel et fut aliéné à la Révolution[32].
Administration
modifierIntercommunalité
modifierSaint-Avit fait partie du canton de Tude-et-Lavalette (canton de Chalais avant 2014) et de la communauté de communes de Chalais.
Démographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].
En 2021, la commune comptait 218 habitants[Note 1], en évolution de +6,34 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 34,2 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 111 hommes pour 97 femmes, soit un taux de 53,37 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
modifierAgriculture
modifierLa commune fait partie de l'aire d'origine contrôlée du Cognac « Bons Bois »[39] et de l'AOC/AOP Noix du Périgord[40].
Commerces
modifierIl y a une boulangerie, un marchand de voitures et un marchand de pneus, une épicerie.
Équipements, services et vie locale
modifierLieux et monuments
modifierPatrimoine religieux
modifierL'église paroissiale Saint-Avit date du XIe siècle[41]. La cloche en bronze de 30 kg, datant de 1624, est classée monument historique depuis 1944[42].
Patrimoine civil
modifierLe château de Bellevue, du XVIIe siècle, est dans la commune de Saint-Avit, mais la châtellenie englobait aussi une partie de Bazac[31]. Il a appartenu aux Poncharral de Pouillac. Il a été reconstruit en 1905[43] et accueille des chambres d'hôtes[44].
Patrimoine environnemental
modifierLa Malaizie (la forêt de Saint-Avit).
Personnalités liées à la commune
modifier- Poncharal ou Poncharail de Pouillac, comtes et marquis ; famille propriétaire du château de Bellevue dès la fin du XVIIe siècle. Le dernier des Poncharal a disparu en 1885, son titre de noblesse avec, car il n'a eu qu'une fille comme héritière[31].
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Saint-Avit » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
modifier- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Carte du BRGM sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Ribérac », sur Infoterre, (ISBN 2-7159-1757-0, consulté le ).
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
- « Fiche communale de Saint-Avit », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
- « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- [PDF] - FR5400419 - Vallée de la Tude, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte du site « Vallée de la Tude », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- [PDF] - Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes, Jean Terrisse (LPO), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte de la ZNIEFF 540120099, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Avit », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Avit », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 392
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 582.
- Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
- Carte de Cassini (XVIIIe siècle) sous Géoportail
- Jean-Paul Gaillard, Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p. (OCLC 908251975, présentation en ligne), p. 637
- Jacques Baudet et Jacques Chauveaud, « Toponymie révolutionnaire en Charente », Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, 4e trimestre 1986, p. 272-278 (lire en ligne [PDF] sur andre.j.balout.free.fr, consulté en )
- Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 104
- Jean-Marie Ouvrard, « Poncharal », Blasons de la Charente, (consulté le ).
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 318
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Avit (16302) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
- « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
- Bulletin officiel du Ministère de l'Agriculture, « Cahier des charges de l'appellation d'origine « Noix du Périgord » » [PDF], (consulté le )
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 317-318
- « Cloche de l'église », notice no PM16000258, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
- Jean-Paul Gaillard, Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p. (OCLC 908251975, présentation en ligne), p. 637-638
- « Château de Bellevue », (consulté le ).
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier- Catillus Carol, « Saint-Avit », (consulté le )