Société nationale des chemins de fer belges

entreprise belge des chemins de fer belges
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La Société nationale des chemins de fer belges (SNCB), en néerlandais : Nationale Maatschappij der Belgische Spoorwegen (NMBS), est l’entreprise ferroviaire publique belge créée en 1926.

Société nationale
des chemins de fer belges
Logo de Société nationale des chemins de fer belges
illustration de Société nationale des chemins de fer belges
Une rame à deux niveaux de type M7 de la SNCB.

Création 1926 (Ville de BruxellesVoir et modifier les données sur Wikidata)
Dates-clés 1er janvier 2005 : création du Groupe SNCB
Prédécesseur Chemins de fer de l'État belge

Forme juridique Entreprise publique
Sigle SNCB / NMBS
Slogan(s) « En route. Vers mieux. » (2021)

Anciennement :
« Nous vous souhaitons un agréable voyage ! » (2020)
« Destination mieux ! »
« Le train et déjà si loin ! »
« Le train, je respire enfin ! »
Siège social Bruxelles
Drapeau de la Belgique Belgique
Actionnaires État belge
Direction Sophie Dutordoir (CD&V)[1]
Effectifs ~17 000 travailleurs (statutaires et contractuels) sans compter ~10 000 chez Infrabel (infrastructures) et ~900 chez HR Rail (employeur officiel des travailleurs de la SNCB et Infrabel)
Filiales Transurb Technirail
Société(s) sœur(s) Infrabel
HR Rail
Site web belgiantrain.be

Chiffre d’affaires 2,4 milliards d’euros ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Résultat net en augmentation 58,6 millions (2017)[2]

Localisation Belgique
Longueur 3 602 km (réseau Infrabel)[3]
Dont électrifiés 3 064 km (réseau Infrabel)
Écartement des rails Standard UIC (1 435 mm)
Trafic voyageurs 227 millions en 2022[4]

Image illustrative de l’article Société nationale des chemins de fer belges
Réseau ferroviaire d'Infrabel exploité par la SNCB

La SNCB est présente dans le transport intérieur de voyageurs en Belgique — effectué dans le cadre du service public — et le transport international de voyageurs par trains classiques ou par trains à grande vitesse, en partenariat avec la SNCF (Eurostar et TGV inOui), la DB (ICE) et les NS. Son activité de transport de marchandises a été privatisée en 2015.

Histoire

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Origines et création

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La Belgique a été le premier pays du continent européen à se doter d'un réseau de chemin de fer, décidé par la loi du . En effet, le fut mise en service la première ligne ferroviaire entre Bruxelles (gare de l'Allée Verte) et Malines. La compagnie exploitante s'appelait « Chemins de fer de l’État belge ».

La Société nationale des chemins de fer belges (SNCB) fut créée en 1926. La nationalisation des chemins de fer est alors justifiée par le fait que l'État belge, dès 1870, a dû à maintes reprises combler les pertes financières des compagnies ferroviaires privées.[pas clair]

Le monogramme de la SNCB, représentant un B dans un ovale est l’œuvre d'Henry Van de Velde et apparaît en 1930[5]. Ce monogramme, intentionnellement neutre au point de vue linguistique[réf. nécessaire], explique pourquoi le sigle UIC désignant la SNCB à côté du numéro UIC des voitures, wagons et locomotives est simplement B (parfois représenté par le B dans un ovale) plutôt qu'un sigle bilingue tel que SNCB-NMBS qui serait analogue au SBB-CFF des chemins de fer fédéraux suisses.

De 1942 à 1944, au cours de l'occupation allemande de la Belgique pendant la Seconde Guerre mondiale, l'entreprise fut payée à hauteur de 51 millions de francs belges pour envoyer 28 trains transportant plus de 25 000 Juifs et Roms dans le camp de concentration d'Auschwitz[6] parmi les convois de la déportation des Juifs de Belgique.

Période moderne

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Les critères de convergence européens (traité de Maastricht), adoptés en 1992, imposèrent un cheminement inverse et lancèrent des réformes structurelles entraînant la transformation de la SNCB en entreprise publique autonome.

Le , l'État belge met en place une nouvelle organisation des chemins de fer belges avec la création du Groupe SNCB organisé avec une société mère dénommée SNCB-Holding chapeautant deux filiales : la nouvelle SNCB, qui a pour objet de transporter les personnes et les marchandises, et Infrabel, le gestionnaire de l'infrastructure. Il s'agit d'une « nouvelle SNCB », l'héritière juridique de l'ancienne SNCB étant la société mère SNCB-Holding. Société anonyme de droit public, la nouvelle SNCB conserve son nom et son logo pour ne pas désorienter ses clients, son objet étant l'exploitation des trains qu'ils soient de voyageurs ou de marchandises[7].

Le , la SNCB-Holding fait une fusion avec sa filiale SNCB, qui disparait et change de nom en reprenant la dénomination SNCB. Elle devient une entreprise ferroviaire au statut d'entreprise publique autonome détenue par l'État Belge, en parallèle Infrabel conserve sa qualité de gestionnaire du réseau mais devient également une entreprise publique autonome détenue par l'État Belge. Une troisième entreprise SA de droit public, dénommée HR Rail, est créée. C'est une filiale à parts égales de la nouvelle SNCB et d'Infrabel, dont au moins 2 % des actions et 60 % des droits de vote sont détenus par l'État Belge. Elle est l'employeur unique de l'ensemble du personnel de la SNCB et d'Infrabel[8].

La filiale fret, SNCB Logistics, est privatisée en mars 2015 puis change de nom pour devenir Lineas en 2017.

Le réseau belge

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Le réseau belge compte 3 602 km[9] de lignes, dont 3 064 électrifiées. L'électrification est faite principalement en courant continu 3 000 V, à l'exception des lignes nouvelles à grande vitesse (LGV 1 LilleBruxelles, LGV 2 LouvainLiège, LGV 3 Liège – frontière allemande et LGV 4 AnversBréda), mais aussi des lignes à destination du Grand-Duché de Luxembourg (ligne 42 RivageGouvy-frontière vers Troisvierges-frontière (L), Athus-Meuse (lignes 165 LibramontBertrixAthus, 166 Anseremme – Bertrix et 167 Y Autelbas – Athus-frontière vers Rodange-frontière (L)) ainsi que la partie sud de la ligne 162, actuellement (2023) d'Hatrival à la frontière luxembourgeoise vers Kleinbettingen-frontière (L))[10], qui sont électrifiées en courant alternatif 25 000 V 50 Hz. Sur certaines lignes transfrontalières (p.ex. la ligne 24 vers Aix-la-Chapelle-Ouest ou la ligne 94 vers Lille), il arrive que le changement de tension ne coïncide pas avec le passage de la frontière.

391 865 voyageurs ont été contrôlés sans billet en 2017, contre 266 500 en 2016[11]. Cette augmentation serait liée à un renforcement des contrôles, qui atteignaient un taux de 68 % en 2016[11].

À la suite du remboursement prévu pour les voyageurs ayant subi des retards, certains abonnés envoient des demandes de compensation frauduleuses pour obtenir des réductions sur leurs abonnements futurs[12],[13]. En effet, malgré le fait que la SNCB utilise la même carte MOBIB que la STIB, De Lijn et le TEC, contrairement à ces derniers elle n'impose pas la validation lors de l'entrée dans un train[14],[15],[16],[17]. Cela permet aux fraudeurs d'indiquer de faux trajets dans leur demandes de compensation[12],[13].

Fréquentation

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La SNCB réalise des comptages durant le mois d'Octobre pour déterminer la fréquentation annuelle du réseau et de ses gares

Année Usagers Évolution
2019 253,4 millions [18]
2020 184,1 millions [18]   -27 %
2021 172 millions [4]   -6 %
2022 227 millions [4]   +32 %
2023 244 millions[19]   +7 %

Organisation et filiales

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En 2014, les entreprises ferroviaires belges ont été restructurées en trois entreprises publiques autonomes.

  • La SNCB, exploitant ferroviaire, est organisée de la façon suivante[20] :
    • B-Transport (offre « voyageurs nationaux », personnel des gares, de conduite et d'accompagnement des trains) ;
    • B-Stations (gestion et entretien des gares et points d'arrêt) ;
    • B-Technics (entretien et rotation du matériel, personnel d'entretien) ;
    • B-Marketing & Sales (vente et publicité) ;
    • B-Finance ;
    • filiales[21] :
      • B-Parking (gestion des parking payants autour des grandes gares),
      • Publifer (communication publicitaire dans les gares),
      • Eurostation (bureau d'études, (ré)aménagement des (abords des) gares, région flamande et Bruxelles),
      • Eurogare (bureau d'études, (ré)aménagement des (abords des) gares, région wallonne, filiale conjointe avec la SRIW),
      • Blue-bike, vélos en libre-service ;
    • filiale à participation minoritaire :
      • Transurb Technirail (ingénierie des transports, transfert de technologie à l'export, filiale conjointe avec la STIB et CMI).
  • Infrabel : gestionnaire de l'Infrastructure :
    • Dir. Asset Management, anciennement Dir. Infrastructure (entretien du réseau) ;
    • Dir. Traffic Management & Services, regroupant les anciennes Dir. Réseau (gestion du trafic) et Dir. Accès au Réseau (attribution des sillons, normes de sécurité) ;
    • Dir. Build (travaux de signalisation, grands projets d'extension) ;
    • filiale Tuc Rail (ingénierie).
  • HR Rail : employeur unique de l'ensemble du personnel de la SNCB et d'Infrabel.

En 2005, l'organigramme de la SNCB avait déjà été profondément revu afin de satisfaire aux exigences de la Commission européenne en matière de libéralisation du rail en Europe (indépendance du gestionnaire d'infrastructure vis-à-vis de nouveaux opérateurs)[22] :

  • une structure faîtière nommée SNCB-Holding, propriétaire du patrimoine immobilier, employeur de l'ensemble du personnel et hôte des structures de coordination entre les trois entités ;
  • SNCB : exploitant ferroviaire (transport de voyageurs et de marchandises) ;
  • Infrabel : gestionnaire de l'Infrastructure ;
  • en outre, un Fonds de l'Infrastructure Ferroviaire fut créé pour isoler la dette historique de l'entreprise, conjointement avec un ensemble de biens immobiliers (essentiellement des voies et des terrains à réaffecter) pour couvrir cette dette. Ce fonds sera dissous en 2008 par réabsorption de la dette historique par l'État et transfert de l'infrastructure vers Infrabel[23].

Entre 1835 et 1926, les chemins de fer de l'État belge constituent une administration du royaume de Belgique.

Entre 1926 et 2005, la SNCB était une société anonyme de droit public unifiée, contrôlée intégralement par l'État Belge.

Directeurs

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Depuis sa création, la SNCB a été dirigée par[24] :

  • 1926-1932 : Foulon ;
  • 1933-1941 : N. Rulot ;
  • 1945 : R. Henning ;
  • 1946-1951 : F. Delory ;
  • 1952-1965 : M. de Vos ;
  • 1966-1973 : L. Lataire ;
  • 1974-1978 : G. Vanhee ;
  • 1979-1986 : Edouard Flachet (directeur général).

Depuis 1986, la fonction prend le nom d'administrateur délégué.

Administrateurs délégués :

Patrimoine foncier et développement immobilier

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La SNCB est l'un des plus grands propriétaires fonciers de Belgique et le plus grand propriétaire de réserves foncières en zones urbaines. Les effets de la dette historique qu'elle a contractée auprès de l'État belge, cumulés aux critères de convergence européens, amenèrent la SNCB à se lancer dès la fin des années 1980 dans une politique de valorisation de son patrimoine foncier et de développement immobilier. Une politique jugée parfois agressive et mettant en péril d'autres politiques urbaines menées par des pouvoirs publics régionaux ou communaux[26], comme dans le cas du quartier de la gare de Bruxelles-Midi, de la gare de Liège-Guillemins, ou encore du sort des grandes réserves foncières bruxelloises comme les sites de Tour & Taxis, Schaerbeek-formation ou la gare de l'Ouest. La SNCB créa ainsi de nouvelles filiales de développement et de promotion immobiliers, telles EuroStation[27] et Euro Immo Star[28] dont le leitmotiv est : Les quartiers de gare sont le moteur d'un nouvel aménagement urbain.

Leasing

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D'après une enquête du Vif/L'Express, la SNCB aurait vendu certains de ses actifs à des trusts appartenant à Wilmington Trust (en) pour les lui louer par la suite[29]. Cela comprend du matériel roulant, du matériel de télécommunication, de l’infrastructure ferroviaire (gares de triage et lignes à grande vitesse) et des bâtiments administratifs[29].

La SNCB a conservé au fil du temps un important fonds documentaire et une collection de matériel roulant, d'équipements de voie et d'outillages variés.

Jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, cette collection fut fort peu valorisée, si ce n'est lors des expositions universelles ou autres événements ponctuels, plus orientés sur le progrès technique que sur la mémoire.

Lors de la création de la jonction Nord-Midi, le nouveau bâtiment de la gare du Nord prévoit un espace pour y aménager un musée. Entretemps, une partie de la collection est exposée dans des salles inutilisés de l'ancienne gare du nord, place Rogier. Après destruction de cette gare en impasse, les collections sont entassées en attente de l'aménagement des nouveaux locaux qui sont inaugurés en 1958. Un seul véhicule ferroviaire peut y trouver place : la locomotive Pays de Waes qui fut acquise par une compagnie privée au début de l'aventure ferroviaire. La didactique se fera donc sur de nombreux modèles réduits qui illustrent également l'évolution du matériel. Une salle de projection diffuse des vidéogrammes alors que des posters détaillent divers aspects du monde du train (architecture, génie civil, communications, sécurité, métiers et organisation sociale)[30].

Début 2007, le musée de la gare du Nord est fermé. La remise-musée de Louvain est promise à la destruction et des discussions ont lieu entre mandataires politiques et associations ferroviphiles sur l'avenir du patrimoine de la SNCB, dans la perspective du 175e anniversaire du rail en Belgique (on se souviendra que pour le 150e anniversaire, un nombre important de véhicules historiques avaient été remis en état de marche).

La discussion aboutit à un projet de musée nommé Train World à proximité de la gare de Schaerbeek, avec deux antennes : une à Ostende (projet qui a été abandonné depuis) et Treignes (musée du CFV3V qui est en cours d'extension). L'architecte et dessinateur de bandes dessinées François Schuiten est chargé du projet scénographique mais il apparait que le musée ne sera pas prêt pour la célébration des 175 ans des chemins de fer en Belgique. Le contrat de gestion 2008-2012 de la SNCB prévoit qu'à tout le moins, la première pierre soit posée dans le cadre de ces festivités. L'ouverture a eu lieu le .

Le musée est plus didactique qu'exhaustif, aussi, une partie non négligeable de la collection n'est pas exposée au public (et est en attente d'une restauration complète ou cosmétiquement). D'ici 2023, la locomotive à vapeur 29.013 (seule et dernière locomotive à vapeur en état de marche appartenant à la SNCB) sera de-nouveaux opérationnelle afin d'effectuer des parcours touristiques sur le réseau d'Infrabel au départ du musée national (à Schaerbeek).

Une charte est signée entre la SNCB et les associations privées de préservation afin de leur confier la gestion et la restauration de certains véhicules. Ce qui est en trop mauvais état et n'intéresse aucune association sera envoyé à la casse.

Galerie

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Notes et références

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  1. Sophie Dutordoir nommée à la tête de la SNCB
  2. « Rapports et comptes annuels 2017 »
  3. « Les lignes ferroviaires »
  4. a b et c Belga -, « La SNCB franchit à nouveau la barre des 200 millions de passagers en 2022 », sur La Libre.be (consulté le )
  5. « Van de Velde, le père du monogramme - Rixke Rail's Archives », sur rixke.tassignon.be (consulté le )
  6. (en-US) Nina Siegal, « Belgian Railway Earned Millions for Holocaust Trains, Report Finds », The New York Times,‎ (ISSN 0362-4331, lire en ligne)
  7. Mémento des institutions, Kluwer, 2007 (ISBN 9789086703296), p. 533 lire (consulté le 19 mars 2012).
  8. Site b-holding.be : SNCB-Holding suit de près les évolutions relatives à la nouvelle structure du groupe SNCB devant être mise en œuvre le 1er janvier 2014, communiqué de presse du vendredi 25 octobre 2013 (consulté le 2 janvier 2014).
  9. Site infrabel.be (consulté le 19 janvier 2018).
  10. Infrabel, Carte technique du réseau, Document de référence du réseau, Annexe C (Cartes) [zip], document DRR_C-03_Carte techn_9700_20230101.pdf [PDF], édition .
  11. a et b « Fraudeurs dans les trains: c’est l’explosion à la SNCB! », sur sudinfo.be, (consulté le )
  12. a et b « Fraudes à la SNCB: "Pour une période de 6 mois j'ai reçu une centaine d'euros" », sur RTBF Info, (consulté le )
  13. a et b La Libre.be, « A la SNCB, c'est (trop) facile de frauder les compensations », sur www.lalibre.be, (consulté le )
  14. « Valider avec MOBIB », sur STIB-MIVB (consulté le )
  15. « Comment utiliser ma carte MOBIB ? - De Lijn », sur www.delijn.be (consulté le )
  16. « MOBIB - InfoTEC », sur www.infotec.be (consulté le )
  17. « Voyager en train avec un abonnement : Carte MoBIB | SNCB », sur www.belgiantrain.be (consulté le )
  18. a et b SNCB -, « rapport d'activités SNCB 2020 », sur Belgian train (consulté le )
  19. SNCB -, « 244 millions de voyageurs ont opté pour le train en 2023 », sur press.sncb.be (consulté le ).
  20. SNCB, (consulté le 19 janvier 2018).
  21. SNCB (consulté le 19 janvier 2018).
  22. « Les chroniques ferroviaires de Mediarail.be: Historique de la scission : acte I »
  23. « Restructuration du fonds de l'infrastructure ferroviaire »
  24. Werkgroep Spoorweggeschiedenis; documentatiedienst v/d NMBS, nu NMBS Train World Heritage)
  25. « 'Sophie Dutordoir begint op 7 maart bij de NMBS' », sur De Standaard
  26. Quand la SNCB fait de la spéculation, un article de Gwenaël Breës et François Schreuer sur le site de la revue "Politique".
  27. « Eurostation - homepage #ilovemystation », sur www.eurostation.be
  28. « Eurostation s.a. : architectural and structural studies and property development », sur euroimmostar.be via Wikiwix (consulté le ).
  29. a et b « SNCB: de nombreux trains belges sont détenus par des trusts du Delaware », sur Le Soir, (consulté le )
  30. « Le musée des chemins de fer belges à Bruxelles Nord - Rixke Rail's Archives », sur rixke.tassignon.be

Bibliographie

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  • Gwenaël Breës, Bruxelles-Midi, l'urbanisme du sacrifice et des bouts de ficelle, 2009.

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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