Sère-Rustaing

commune française du département des Hautes-Pyrénées

Sère-Rustaing est une commune française située dans le nord du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.

Sère-Rustaing
Sère-Rustaing
Paysage dans les environs du village de Sère-Rustaing
Blason de Sère-Rustaing
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Tarbes
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Trie et du Magnoac
Maire
Mandat
Régine Fourcaud
2020-2026
Code postal 65220
Code commune 65423
Démographie
Gentilé Sérais
Population
municipale
130 hab. (2021 en évolution de −0,76 % par rapport à 2015)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 15′ 47″ nord, 0° 17′ 42″ est
Altitude Min. 330 m
Max. 456 m
Superficie 5,29 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Coteaux
Législatives Première circonscription
Localisation
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Sère-Rustaing
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Sère-Rustaing
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Sère-Rustaing
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Sère-Rustaing

Sur le plan historique et culturel, la commune est dans l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne. Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le Bouès, la Chella et par deux autres cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Sère-Rustaing est une commune rurale qui compte 130 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 357 habitants en 1866. Ses habitants sont appelés les Sérais ou Séraises.

Géographie

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Localisation

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La commune de Sère-Rustaing se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 18 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, et à 9 km de Trie-sur-Baïse[2], bureau centralisateur du canton des Coteaux dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Trie-sur-Baïse[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Bugard (1,7 km), Lamarque-Rustaing (1,9 km), Villembits (2,6 km), Peyriguère (2,8 km), Mun (3,1 km), Orieux (3,3 km), Lustar (3,4 km), Luby-Betmont (3,7 km).

Sur le plan historique et culturel, Sère-Rustaing fait partie de l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne créé au IXe siècle puis rattaché au domaine royal en 1302, inclus ensuite au comté de Foix en 1425 puis une nouvelle fois rattaché au royaume de France en 1607. La commune est dans le pays de Tarbes et de la Haute Bigorre[4].

 
Carte de la commune de Sère-Rustaing et des proches communes.
Communes limitrophes de Sère-Rustaing[5]
Mun Lamarque-Rustaing
Peyriguère   Bugard
Orieux

Hydrographie

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La commune est dans le bassin de l'Adour, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par le Bouès, la Chella, la Chelotte et par un petit cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 5 km de longueur totale[7],[Carte 1].

Le Bouès, d'une longueur totale de 62,5 km, prend sa source dans la commune de Burg et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Arros à Beaumarchés, après avoir traversé 32 communes[8].

La Chella, d'une longueur totale de 11,5 km, prend sa source dans la commune d'Orieux et s'écoule vers le nord puis se réoriente vers l'ouest. Elle traverse la commune et se jette dans l'Arros à Chelle-Debat, après avoir traversé 7 communes[9].

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[11].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]

  • Moyenne annuelle de température : 12,3 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,6 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,7 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,3 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 986 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,1 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,3 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Castelvieilh », sur la commune de Castelvieilh, mise en service en 1988[15] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[16],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,6 °C et la hauteur de précipitations de 931,6 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 27 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[19], à 12,6 °C pour 1981-2010[20], puis à 12,9 °C pour 1991-2020[21].

Milieux naturels et biodiversité

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[22] : le « cours amont du Bouès » (162 ha), couvrant 9 communes du département[23] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[22] : les « coteaux de Capvern à Betplan » (10 246 ha), couvrant 46 communes dont huit dans le Gers et 38 dans les Hautes-Pyrénées[24].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Sère-Rustaing est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[I 3],[I 4].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (72,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (46,9 %), forêts (27,2 %), terres arables (15,1 %), prairies (6,6 %), eaux continentales[Note 7] (4,3 %)[25].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Logement

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En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 54[I 5].
Parmi ces logements, 80,8 % sont des résidences principales, 19,2 % des résidences secondaires et 0,0 % des logements vacants.

Voies de communication et transports

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Cette commune est desservie par les routes départementales D 11 et D 21.

Risques majeurs

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L’ oratoire.

Le territoire de la commune de Sère-Rustaing est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée)[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Bouès et la Chella. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[28]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[29],[26].

Sère-Rustaing est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2020-2029. Le précédent couvrait la période 2007-2017. L’emploi du feu est régi par deux types de réglementations. D’abord le code forestier et l’arrêté préfectoral du , qui réglementent l’emploi du feu à moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du département. Ensuite celle établie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brûlage des déchets verts des particuliers. L’écobuage est quant à lui réglementé dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[30]

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sère-Rustaing.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[31].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (44,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 56 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 56 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 75 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[32],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[33].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et par des mouvements de terrain en 1999[26].

Toponymie

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Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Sère-Rustaing à l'est de Pouyastruc.

Le toponyme est attesté sous les formes anciennes :

Étymologie :

Sère transcrit le gascon cèra, qui vient du latin cella 'cellier' avec le sens d'ermitage, petit monastère[34].

Rustaing réfère à la région naturelle d'Arroustang. Noter l'élision du Ar- initial analysé à tort comme prothétique.

Nom occitan : Cèra d'Arrostanh.

Histoire

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Monographie

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Cadastre napoléonien de Sère-Rustaing

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Le plan cadastral napoléonien de Sère-Rustaing est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[36].

Politique et administration

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La mairie en 2021.
 
Le foyer rural en 2021.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1985 1988 Pierre Forgues PS député
mars 2001 mars 2020 Jean Baptiste Chuburu    
mars 2020 en cours Régine Fourcaud    

Rattachements administratifs et électoraux

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Historique administratif

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Pays et sénéchaussée de Bigorre, quarteron de Rabastens, canton de Tournay, d'Aubarède (1790), de Trie (depuis 1801)[37].

Intercommunalité

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Sère-Rustaing appartient à la communauté de communes du Pays de Trie et du Magnoac créée en et qui réunit 50 communes.

Services publics

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Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[40]. En 2021, la commune comptait 130 habitants[Note 8], en évolution de −0,76 % par rapport à 2015 (Hautes-Pyrénées : +1,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
192203241321327349320348323
1856 1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901
334334357338327317294311304
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
263235202195183167148133135
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
103107106112111124124132131
2020 2021 - - - - - - -
133130-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique
 
Une croix.

Enseignement

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La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle dispose d’une école en 2017[43].

Économie

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Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 6 % 3,5 % 3,5 %
Département[I 7] 7,7 % 9,4 % 9,8 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 83 personnes, parmi lesquelles on compte 74,6 % d'actifs (71,1 % ayant un emploi et 3,5 % de chômeurs) et 25,4 % d'inactifs[Note 9],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 9]. Elle compte 28 emplois en 2018, contre 37 en 2013 et 25 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 60, soit un indicateur de concentration d'emploi de 47,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 57,1 %[I 10].

Sur ces 60 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 18 travaillent dans la commune, soit 31 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 74,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 8,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 17,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Le lavoir en 2016.
 
Le pigeonnier.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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  Blasonnement :
D'azur à la croix latine d'argent posée sur un mont cousu de sinople et surmonté d'un soleil d'or[44].
Commentaires : Ce blason est officiel (vérifié auprès de la mairie).

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
  3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Sère-Rustaing » sur Géoportail (consulté le 4 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune de Sère-Rustaing ».
  2. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  5. Insee : Rapport statistique communal pour la commune de Sère-Rustaing
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Sère-Rustaing » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Sère-Rustaing » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources

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  1. Stephan Georg, « Distance entre Sère-Rustaing et Tarbes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Sère-Rustaing et Trie-sur-Baïse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. « Communes les plus proches de Sère-Rustaing », sur villorama.com (consulté le ).
  4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 287-289.
  5. Carte IGN sous Géoportail
  6. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Fiche communale de Sère-Rustaing », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  8. Sandre, « le Bouès »
  9. Sandre, « la Chella »
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  13. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le ).
  15. « Station Météo-France Castelvieilh - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Orthodromie entre Sère-Rustaing et Castelvieilh », sur fr.distance.to (consulté le ).
  17. « Station Météo-France Castelvieilh - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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  20. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
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  27. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  28. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  29. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  30. « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie (PDPFCI) 2020 – 2029 », sur hautes-pyrenees.gouv.fr (consulté le ).
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  32. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  33. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Sère-Rustaing », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  34. Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, BNF 37213307), p. 314..
  35. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Monographie de Sère-Rustaing en 1887
  36. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Sère-Rustaing en 1828
  37. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
  38. « Liste des juridictions compétentes pour Sère-Rustaing », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
  39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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