Rue de Caumont

rue de Toulouse, en France

La rue de Caumont est une voie de Toulouse, chef-lieu de la région Occitanie, dans le Midi de la France.

Rue de Caumont
Image illustrative de l’article Rue de Caumont
La rue de Caumont vue de la rue Louis-Plana.
Situation
Coordonnées 43° 37′ 13″ nord, 1° 28′ 18″ est
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Métropole Toulouse Métropole
Ville Toulouse
Secteur(s) 4 - Est
Quartier(s) Juncasse-Argoulets
Début no 166 rue Louis-Plana
Fin no 75 chemin des Argoulets
Morphologie
Longueur 381 m
Largeur entre 10 et 12 m
Transports
Métro de Toulouse Métro Ligne A du métro de Toulouse (à proximité)
Liste des lignes de bus de Toulouse​​​​​​​​​​​​​​​ Bus 1936 (à proximité)
Odonymie
Anciens noms Rue du Château-de-Caumont (1934-1947)
Nom actuel 12 avril 1947
Nom occitan Carrièra de Caumont
Histoire et patrimoine
Création 1934
Notice
Archives 315551526418
Géolocalisation sur la carte : Toulouse
(Voir situation sur carte : Toulouse)
Rue de Caumont
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Rue de Caumont

Situation et accès

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Description

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La rue de Caumont est une voie publique. Elle se trouve dans le quartier de la Juncasse-Argoulets, dans le secteur 4 - Est.

Longue de 381 mètres, elle naît au carrefour des rues Arthur-Legoust et Louis-Plana, perpendiculairement à cette dernière. Elle suit un parcours relativement rectiligne, orienté au nord-est. Elle reçoit après 173 mètres la rue Émile-Paul-Heuillet et se termine 208 mètres plus loin en rencontrant le chemin des Argoulets.

La chaussée compte une voie de circulation à double-sens. Elle est définie comme une zone 30 et la vitesse y est limitée à 30 km/h. Il n'existe pas de piste, ni de bande cyclable.

Voies rencontrées

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La rue de Caumont rencontre les voies suivantes, dans l'ordre des numéros croissants (« g » indique que la rue se situe à gauche, « d » à droite) :

  1. Rue Louis-Plana
  2. Rue Arthur-Legoust (d)
  3. Rue Émile-Paul-Heuillet (d)
  4. Chemin des Argoulets

Transports

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La rue de Caumont n'est pas directement desservie par les transports en commun Tisséo. Elle débouche cependant au sud sur la rue Louis-Plana et la place de la Roseraie, où se trouve la station du même nom, sur la ligne de métro  , ainsi que les arrêts des lignes de bus 1936.

Les stations de vélos en libre-service VélôToulouse les plus proches de la rue de Caumont sont les stations no 178 (face 100 avenue Yves-Brunaud) et no 216 (3 rue Jean-Houdon).

Odonymie

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La rue portait le nom, en 1934, de rue du Château-de-Caumont : en effet, elle longeait à l'est l'ancien domaine du château de Caumont, édifié pour la famille de ce nom (emplacement de l'actuel no 10 route d'Agde). Il fut partagé et loti à partir de 1934[1]. En 1947, par décision du conseil municipal, le nom a été réduit au seul nom de Caumont[2].

Histoire

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Patrimoine et lieux d'intérêt

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Immeubles et maisons

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  • no  1 : immeuble (deuxième quart du XXe siècle)[3].
  • no  2 : maison (deuxième quart du XXe siècle).
  • no  8 : maison.
    La maison, de style moderne, est construite vers 1957.
  • no  29 : maison.
    La maison, de style Art déco néo-landais, est construite en 1950, dans le cadre de l'aménagement du lotissement de la Société immobilière toulousaine pour l'extension et l'embellissement de la ville (S.I.T.E.E.V.)[4]. Elle est bâtie en béton, les façades sont couvertes d'un enduit clair. L'entrée, au rez-de-chaussée, se fait par un large porche en-œuvre. Au rez-de-chaussée et à l'étage, la façade est animée par les tailles différentes des fenêtres. Le niveau de comble est simplement percé d'une ouverture triangulaire. Le bâtiment, à pignon simple, est couvert par un toit à deux pans dissymétriques[5].

Boulodrome René-Cannizzo

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Le boulodrome de La Roseraie est construit en 1986. Il compte huit terrains et héberge le Club bouliste toulousain (CBT)[6]. Depuis 2007, il porte le nom de René Cannizzo (1932-2014), joueur de boules lyonnaises et sociétaire du CBT, 17 fois champion de France[7]. Proche du maire de Toulouse, Dominique Baudis, il fut aussi conseiller municipal entre 1983 et 2001[8].

Notes et références

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Références

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Voir aussi

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Bibliographie

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Article connexe

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Liens externes

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