Rue Villiers-de-L'Isle-Adam
La rue Villiers-de-L'Isle-Adam est une voie du 20e arrondissement de Paris.
20e arrt Rue
Villiers-de-l'Isle-Adam | |||
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Situation | |||
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Arrondissement | 20e | ||
Quartier | Père-Lachaise | ||
Début | 21, rue Sorbier | ||
Fin | 81, rue Pelleport | ||
Morphologie | |||
Longueur | 690 m | ||
Largeur | Entre les rues Sorbier et des Pyrénées : 13 m Au-delà : 8 m |
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Historique | |||
Création | Décret du 23 mai 1863 | ||
Dénomination | Arrêté du 24 juin 1907 | ||
Ancien nom | Sentier de la Cloche-à-l'Eau Rue des Partants |
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Géocodification | |||
Ville de Paris | 9821 | ||
DGI | 9844 | ||
Géolocalisation sur la carte : Paris
Géolocalisation sur la carte : 20e arrondissement de Paris
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Situation et accès
modifierElle est située entre la rue Sorbier et la rue Pelleport.
Origine du nom
modifierElle porte le nom de l'écrivain français Auguste de Villiers de L'Isle-Adam (1838-1889).
Historique
modifierC'est à l'état de sentier qu'elle est indiquée sur le plan cadastral de 1812 sous le nom de « sentier de la Cloche-à-l'Eau ».
Cette voie qui délimitait en partie les communes de Belleville et de Charonne en 1839 faisait alors partie de la rue des Partants[1].
Par décret du , elle intègre la voirie parisienne avant de prendre sa dénomination actuelle par arrêté du .
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
modifierIl y a un escalier au niveau de la rue des Pyrénées, ce qui forme une impasse depuis la rue de la Chine.
La rue est piétonne entre la rue de la Bidassoa et la rue Sorbier.
Au no 54 se tient l'imprimerie de monsieur Juvenel, qui tira clandestinement pour la Résistance le journal France d’abord et de nombreux faux papiers entre 1942 et 1944, dont 36 000 fausses cartes d’identité[2].
L'homme politique Marcel Déat y vécut[3].
Notes et références
modifier- Séance plénière de la Commission du Vieux Paris du 24 juin 2016, p. 18, api-site.paris.fr.
- « Quand la colère monte… à Ménilmontant », sur www.parisrevolutionnaire.com, (consulté le ).
- Marcel Déat, Mémoires politiques, Denoël, 1989, p. 259