Rouy-le-Petit

commune française du département de la Somme

Rouy-le-Petit est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Rouy-le-Petit
Rouy-le-Petit
L'église Saint-Éloi.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité Communauté de communes de l'Est de la Somme
Maire
Mandat
André Salomé
2020-2026
Code postal 80190
Code commune 80684
Démographie
Gentilé Rouissiens
Population
municipale
106 hab. (2021 en évolution de −9,4 % par rapport à 2015)
Densité 32 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 46′ 26″ nord, 2° 56′ 59″ est
Altitude Min. 52 m
Max. 77 m
Superficie 3,27 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Ham
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Rouy-le-Petit
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Rouy-le-Petit

Géographie

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Localisation

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Communes limitrophes

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La commune est un village rural picard, situé à 1 km au nord-est de Nesle. La ville la plus importante aux alentours est Saint-Quentin, à 26 km.

Géologie, relief

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Un sol argilo-siliceux recouvre un sous-sol perméable sur la majeure partie du territoire[1].

La plaine est inclinée au nord-ouest et au nord. À la fin du XIXe siècle, prairies, herbages ou oseraie couvrent la vallée[1].

Hameaux et écarts

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En 1899, il existait le hameau de Bis-Pont, qui comptait 14 habitants[1]. Il n'était plus mentionné en 1920[2] ou sur les cartographies actuelles.

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par le canal du Nord et l'Ingon[Carte 1].

L'Ingon, d'une longueur de 12 km, prend sa source dans la commune de Fonches-Fonchette et se jette dans le canal du Nord à Rouy-le-Grand, après avoir traversé sept communes[3].

Une nappe alimentant les puits se situait en 1899 à 10 mètres de profondeur, et, à la même époque, la fontaine publique était alimentée par une source[1].

 
Réseau hydrographique de Rouy-le-Petit[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Haute Somme ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 798 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Haute Somme est constitué d'un réseau hydrographique complexe de cours d'eau, de marais, d'étangs et de canaux. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[4].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 703 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Estrées-Mons à 12 km à vol d'oiseau[7], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,5 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Rouy-le-Petit est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12] et hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (69 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (69 %), forêts (22,1 %), zones urbanisées (7,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,5 %), eaux continentales[Note 2] (0,5 %)[15]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formes Roy le Petit (1215) ; Roi le Petit (1230) ; Parvus Royus (1265) ; Petit Roy (1500) ; Petit Roui (1648) ; Petit Rouy (1757) ; Rouy-le-Petit (1836)[16].

Ruit, Rouher, Roïacum, le nom du village serait d'origine gauloise, lié à la présence de l'Ingon et signifierait « rouissage »[1].

Petit est un adjectif qui signifie entre autres, de taille réduite.

Histoire

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Dès le XIIIe siècle, on relève mention de la première église.

Antoine de La Fons, seigneur du lieu, est chambellan et bouteiller[Quoi ?] du Vermandois en 1567[1].

Antoine Bourdin est clerc séculier[C'est-à-dire ?] en 1685.

L'école est bâtie en 1764. Elle a coûté 191 livres et 11 sols. La commune prend en charge 95 livres et 11 sols[Passage problématique], la fabrique règle les 96 livres restantes.

En 1788-1789, les impositions sont arrivées au double de ce qu'elles étaient auparavant : la misère est grande[1].

À la Révolution française, les marais et les terres qui avaient été enlevées par le seigneur, sont rendus aux habitants[1].

À la suite de l'incendie du moulin à eau, le village ne dispose plus de la force hydraulique en 1899[1].

Le village disposait d'une gare sur l'une des lignes des chemins de fer départementaux de la Somme, un réseau de chemin de fer secondaire à voie métrique, l'embranchement d'Offoy à Ercheu, qui permettant de relier Ham à Noyon par Nesle de 1889 à 1949[17].

Première Gerre mondiale

Le village est largement détruit pendant la Première Guerre mondiale[17], [2]. Il a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [18].
Bataille de Rouy-le-Petit en 1918

.

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la cinquième circonscription de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Nesle[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune intègre le canton de Ham, dont elle est désormais membre.

Intercommunalité

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La commune faisait partie de la communauté de communes du Pays Neslois (CCPN), créée fin 2001, et qui succédait au district de Nesle, créé par arrêté préfectoral du .

La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , prévoyant que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[20], le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) arrêté par le préfet de la Somme le prévoit notamment la fusion des communautés de communes du Pays Hamois et celle du Pays Neslois, afin de constituer une intercommunalité de 42 communes groupant 20 822 habitants, et précise qu'il « s'agit d'un bassin de vie cohérent dans lequel existent déjà des migrations pendulaires entre Ham et Nesle. Ainsi Ham offre des équipements culturels, scolaires et sportifs (médiathèque et auditorium de musique de grande capacité, lycée professionnel, complexe nautique), tandis que Nesle est la commune d'accueil de grandes entreprises de l'agroalimentaire ainsi que de leurs sous-traitants »[21].

La fusion intervient le et la nouvelle structure, dont la commune fait désormais partie, prend le nom de communauté de communes de l'Est de la Somme[22],[23].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1981   Gérard Parain    
Les données manquantes sont à compléter.
juin 1995 En cours
(au 8 octobre 2020)
André Salomé UMPLR[24] Agriculteur
Président de la CC du Pays Neslois (2001 → 2016)
Président de la CC de l'Est de la Somme (2017 → 2020)
Réélu pour le mandat 2020-2026[25],[26]

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].

En 2021, la commune comptait 106 habitants[Note 3], en évolution de −9,4 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
176153188208192194221224219
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
204202235202195180179170182
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
174196196132159151141110141
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
139117126107104125127127122
2017 2021 - - - - - - -
112106-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Vie associative

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En 2019 et depuis quatre ans, des séances d'initiation à la taille des arbres fruitiers sont planifiées chaque année dans le verger conservatoire du village[30].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Stèle commémorative, faisant office de monument aux morts.
  • Une stèle commémorant la disparition du soldat Alexis Soudry, pendant la Première Guerre mondiale, est installée à l'entrée du village. Son corps n'a jamais été retrouvé[32].
  • Un verger-conservatoire ou arboretum a été aménagé en 2001 dans la commune et préserve plus de 100 variétés d'arbres. Il constitue une étape de promenade, derrière l'église[33],[17].

Personnalités liées à la commune

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  • François-Louis Bourdon dit Bourdon de l'Oise, du nom de son département, né au Rouy-le-Petit le et mort en déportation à Sinnamary en Guyane, le , un homme politique de la Révolution française.
  • Sergent Soudry, mort le dans les batailles de la Somme. Une stèle commémore son sacrifice[17].
  • Benjamin Hodges, sous-lieutenant de l'US Air Force, pilote de chasse abattu le aux commandes de son Mustang, lors des combats de la Libération de la France[17].

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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  • Carte spéciale des régions dévastées : 22 NO, Laon [Nord-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.

Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Rouy-le-Petit » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c d e f g h et i Notice historique et géographique réalisée par l'instituteur, M. Cagnard et l'élève Maurice Patté, 1899, Archives départementales, Amiens
  2. a et b Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  3. Sandre, « l'Ingon »
  4. « SAGE Haute Somme », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Rouy-le-Petit et Estrées-Mons », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. Insee, « Métadonnées de la commune de Rouy-le-Petit ».
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 239 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  17. a b c d et e Panneau d'informations communales.
  18. Journal officiel du 30 octobre 1920, p. 16879.
  19. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  21. Projet de SDCI du 13 octobre 2015, p. 20.
  22. V.F.; C.La., « Les fusions ne vont pas toutes se faire en douceur », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne) « Imposée par l'État, la fusion des communautés de communes se fait parfois naturellement. Mais elle engendre aussi des difficultés, comme entre celles de Ham et Nesle ».
  23. « Dernière réunion pour les élus du pays hamois », Le Journal de Ham, no 50,‎ , p. 5 « Éric Legrand peut conclure : « Dans quelques jours, le Pays Hamois cédera définitivement la place à la communauté de communes de l'Est de la Somme : une nouvelle appellation pour un territoire nouveau mais aussi, et surtout, pour une ambition nouvelle ».
  24. « Les élus Républicains, prêts pour la primaire », Le Journal de Ham, no 46,‎ , p. 4 « André Salomé, président de la communauté de communes : « À ce jour mon cœur balance entre François Fillon et Nicolas Sarkozy, Fillon pour son programme et Sarkozy pour sa volonté ».
  25. Hugues Chaigneau, « Municipales 2020 : André Salomé prêt à lâcher la Communauté de communes de l'Est de la Somme, mais pas son poste de maire : En place depuis près de 20 ans aux destinés de l'intercommunalité du Pays neslois puis de celle fusionnée de l'Est de la Somme, le maire de Rouy-le-Petit envisage de passer la main après les Municipales », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Si André Salomé est prêt à prendre du recul à la communauté de communes, il n'envisage pas de tout quitter. Surtout pas au moment où le canal devient une réalité. « Le canal c'est bien ; les plateformes, c'est mieux », lance-t-il. Dans sa tête, il se verrait bien garder des attributions à la communauté de communes, sur le canal justement et le développement de la plateforme nesloise « qui sera la première trimodale du tracé », milite Salomé. Pour garder des responsabilités à l'intercommunalité, l'ancien agriculteur devra être réélu pour un sixième mandat dans sa commune de Rouy-le-Petit (120 habitants) ».
  26. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. « tailler les arbres à la bonne date », Courrier picard,‎ , p. 17.
  31. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de Rouy-le-Petit, d'après nature, 17 octobre 1876 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  32. Eva Jeonak, « Une cérémonie aux airs de réunion de famille », Courrier picard, 26 août 2018, p. 2.
  33. Arnaud Brasseur, « Canton de Ham : Un week-end pour (re)découvrir notre patrimoine », Le Journal de Ham,‎ (lire en ligne, consulté le ).