Rosis
Rosis ['ʁo.zis] est une commune française située dans l'ouest du département de l'Hérault en région Occitanie.
Rosis | |||||
Mairie de Rosis, située à Andabre | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Hérault | ||||
Arrondissement | Béziers | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Monts de Lacaune et de la Montagne du Haut Languedoc | ||||
Maire Mandat |
Anne-Lise Sauterel 2020-2026 |
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Code postal | 34610 | ||||
Code commune | 34235 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Rosisois | ||||
Population municipale |
264 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 5 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 37′ 20″ nord, 3° 00′ 16″ est | ||||
Altitude | Min. 272 m Max. 1 123 m |
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Superficie | 52,91 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Bédarieux (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Pons-de-Thomières | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par la Mare, le Bouissou, l'Héric, le Bitoulet, le Casselouvre, le ruisseau d'Arles, le ruisseau de Madale et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional du Haut-Languedoc, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (« le Caroux et l'Espinouse » et la « montagne de l'Espinouse et du Caroux »), deux espaces protégés (l'« Espinouse » et Le Caroux-Espinouse) et cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Rosis est une commune rurale qui compte 264 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 1 783 habitants en 1821. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Bédarieux.
Géographie
modifierLa commune est située sur les Monts de l'Espinouse, dans le territoire du parc naturel régional du Haut-Languedoc.
Communes limitrophes
modifierHameaux
modifier
- Andabre ;
- les Avels ;
- le Bosc ;
- le Cabaret ;
- Caissenols (inhabité) ;
- Les Cambaults ;
- le Carrousel ;
- les Combes ;
- Compeyre ;
- Cours ;
- le Cros ;
- Douch ;
- la Fage ;
- le Fageas ;
- la Gineste ;
- Héric ;
- Madale ;
- la Matte ;
- Nostre Seigné (inhabité) ;
- la Palisse ;
- Perpignan de la Grave ;
- Rosis ;
- Rogainard ;
- Sénas ;
- les Taillades ;
- le Tourel ;
- le Vialais (inhabité).
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 306 mm, avec 9,4 jours de précipitations en janvier et 3,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Castanet-le-Haut à 3 km à vol d'oiseau[3], est de 12,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 687,9 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Milieux naturels et biodiversité
modifierEspaces protégés
modifierLa protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[7],[8].
Trois espaces protégés sont présents sur la commune :
- le parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184 ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[9]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[10],[11] ;
- l'« Espinouse », une réserve biologique dirigée, d'une superficie de 185,8 ha[12] ;
- Le Caroux-Espinouse, une réserve nationale de chasse et de faune sauvage d'une superficie de 1 693,9 ha[13].
Réseau Natura 2000
modifierLe réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[15] :
- « le Caroux et l'Espinouse », d'une superficie de 2 316 ha, un site remarquable par sa position intermédiaire entre les domaines atlantique, continental et méditerranéen. Il accueille les tourbières les plus méridionales du Massif central[16]
et un au titre de la directive oiseaux[15] :
- la « montagne de l'Espinouse et du Caroux », d'une superficie de 3 392 ha, connue pour la diversité des formations végétales et pour sa grande faune, en particulier le mouflon introduit avec succès il y a plusieurs décennies, son intérêt ornithologique est moins connu[17].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
modifierL’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[18] :
- les « gorges d'Albine » (150 ha), couvrant 3 communes du département[19] ;
- les « gorges de Colombières » (318 ha), couvrant 2 communes du département[20] ;
- les « gorges d'Héric » (1 587 ha), couvrant 3 communes du département[21] ;
- le « plateau du Caroux » (387 ha), couvrant 4 communes du département[22] ;
et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[18] : le « massif de l'Espinouse » (20 035 ha), couvrant 19 communes du département[23].
-
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
-
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Rosis est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bédarieux, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[I 2]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (99 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (98,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (23,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (18,7 %), zones urbanisées (0,6 %), zones agricoles hétérogènes (0,4 %)[24]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
modifierLe territoire de la commune de Rosis est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].
Risques naturels
modifierRosis est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 5],[27].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 23,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 287 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 243 sont en aléa moyen ou fort, soit 85 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1986, 1987, 1995, 1997 et 2014.
Risque particulier
modifierDans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Rosis est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[30].
Toponymie
modifierAttestée sous les formes masage de Rosis (1650), Rozis (1680), Rosis (1770)...
Il s'agit d'un terme hydronymique tiré d'un thème prélatin *rhod- à valeur inconnue[31].
Histoire
modifierL'actuel territoire de Rosis est le résultat de plusieurs remaniements des limites. Sous l'ancien régime, l'essentiel de la commune dépendait du diocèse de Castres et de la sénéchaussée de Béziers. La paroisse de Notre-Dame-de Douch dépendait de la communauté de Taussac, mais servait de paroisse à une importante partie de la population de Rosis. Cette paroisse dépendait au religieux du diocèse de Béziers, au civil du diocèse civil de Castres. La commune de Rosis a été constituée en 1830 à partir de la commune disparue de Saint-Gervais-Terre (ou Saint-Gervais-Terre-Foraine), qui avait été elle-même constituée à partir de l'ancienne communauté de Saint-Gervais-Terre. Une partie des terres ont été rattachées aux communes de Castanet-le-Haut, Saint-Gervais-sur-Mare, Saint-Geniès-de-Varensal. Enfin Douch et quelques hameaux comme Madale, Héric, etc. ont été détachés de Taussac-la-Billière pour être rattachés à Rosis.
En raison de sa géographie montagneuse, la commune possédait une mairie à Andabre et une mairie annexe à Rosis. Des registres d'état-civil étaient tenus dans chacune de ces mairies, malgré le petit nombre des actes enregistrés.
Dans le hameau de Douch eut lieu, le , un des premiers combats importants de la Résistance (mentionné par le général de Gaulle). Il opposa un groupe de 47 maquisards dirigés par Christian de Roquemaurel à une colonne allemande forte de 200 hommes. Les maquisards se replièrent non sans avoir imposé de fortes pertes à l'ennemi.
Politique et administration
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].
En 2021, la commune comptait 264 habitants[Note 6], en évolution de −12,58 % par rapport à 2015 (Hérault : +7,29 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
modifierRevenus
modifierEn 2018, la commune compte 151 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 279 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 250 €[I 5] (20 330 € dans le département[I 6]).
Emploi
modifier2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 7] | 5,9 % | 12,8 % | 13,5 % |
Département[I 8] | 10,1 % | 11,9 % | 12 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 155 personnes, parmi lesquelles on compte 72,3 % d'actifs (58,7 % ayant un emploi et 13,5 % de chômeurs) et 27,7 % d'inactifs[Note 8],[I 7]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Bédarieux, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 10]. Elle compte 24 emplois en 2018, contre 19 en 2013 et 24 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 91, soit un indicateur de concentration d'emploi de 26,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 44,1 %[I 11].
Sur ces 91 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 15 travaillent dans la commune, soit 17 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 87,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 9,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Activités
modifier15 établissements[Note 9] sont implantés à Rosis au [I 14]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,3 % du nombre total d'établissements de la commune (5 sur les 15 entreprises implantées à Rosis), contre 28 % au niveau départemental[I 15]. Aucune exploitation agricole ayant son siège dans la commune n'est recensée lors du recensement agricole de 2020[Note 10] (17 en 1988)[38],[Carte 4].
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier-
Église Notre-Dame-en-son-Assomption de Douch
-
Église Saint-Charles d'Andabre
-
Chapelle Notre-Dame-du-Rosaire de Douch
- Église Notre-Dame-en-son-Assomption de Douch ;
- Église Saint-Charles d'Andabre ;
- Chapelle Notre-Dame-du-Rosaire de Douch ;
- Château de Rosis, appartenant à la famille Portalon de Rosis ;
- Le moulin à eau de Lafage ;
- Le pont vieux d'Andabre ;
- Le portail de Rocandouïre ;
- Le Vialais ;
- Les gorges de Colombières ;
- Les gorges d'Héric ;
- La réserve nationale de chasse et de faune sauvage (mouflons) ;
- La tourbière de la Lande sur le plateau du Caroux ;
- La forêt des écrivains combattants
- À Douch :
- Stèle à la mémoire du Maquis Bir-Hakeim ;
- La « Maison du Mouflon et du Caroux » ;
-
Ruisseau du Vialais.
-
Pont du Vialais.
-
Ruisseau du Vialais. Mars 2021.
Héraldique
modifierLes armoiries de Rosis se blasonnent ainsi : |
Personnalités liées à la commune
modifierVoir aussi
modifierBibliographie
modifier- Rémi Azemar, « Un menhir en réemploi ? : commune de Rosis (Hérault) », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 15, , p. 3-5
- Gilbert Massol, « Quelques éléments du petit patrimoine architectural rural de la haute vallée de Douch (commune de Rosis, Hérault) », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 23, , p. 225-240
- Gilbert Massol, « La restauration du moulin à eau de la Fage (commune de Rosis) : première partie », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 34, , p. 187-190
- Gilbert Massol, « La restauration du moulin à eau de la Fage (commune de Rosis) : seconde partie », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 35, , p. 171-173
Fonds d'archives
modifier- Fonds : Archives communales de Rosis (XVIIIe-1826) [0,15 ml]. Cote : 235 EDT. Montpellier : Archives départementales de l'Hérault (présentation en ligne).
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[14].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[37]
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Rosis ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bédarieux », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Rosis » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Rosis » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Rosis » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Rosis » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).
Autres sources
modifier- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Rosis et Castanet-le-Haut », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Castanet Le Haut_sapc » (commune de Castanet-le-Haut) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Castanet Le Haut_sapc » (commune de Castanet-le-Haut) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Le parc naturel régional du Haut-Languedoc en chiffres », sur parc-haut-languedoc.fr (consulté le ).
- [PDF]« Le parc naturel régional du Haut-Languedoc – charte 2011-2023 »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur parc-haut-languedoc.fr (consulté le ).
- « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Rosis », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9101424 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9112019 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Rosis », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « gorges d'Albine » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « gorges de Colombières » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « gorges d'Héric » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Rosis », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur herault.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Rosis », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
- Frank R. Hamlin et abbé André Cabrol, Les noms de lieux du département de l'Hérault : Dictionnaire Topographique et Étymologique, , 415 p. (ISBN 2-904624-00-7, lire en ligne), p. 329
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[36].
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Rosis - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).