Rivaldo

footballeur brésilien
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Rivaldo Vítor Borba Ferreira dit Rivaldo, né le à Recife, est un footballeur international brésilien évoluant comme ailier du début des années 1990 au milieu des années 2010.

Rivaldo
Image illustrative de l’article Rivaldo
Rivaldo avec le FK Bunyodkor en 2010.
Biographie
Nom Rivaldo Vítor Borba Ferreira
Nationalité Brésilien
Naissance (52 ans)
Recife (Brésil)
Taille 1,86 m (6 1)
Poste Milieu offensif
Pied fort Gauche
Parcours junior
Années Club
1989-1990 Paulistano FC
1990 Santa Cruz FC
Parcours senior1
AnnéesClub 0M.0(B.)
1990-1992 Santa Cruz FC 026 0(16)
1992-1994 Mogi Mirim EC 031 0(13)
1993-1994 SC Corinthians 029 0(12)
1994-1996 SE Palmeiras 105 0(63)
1996-1997 RCD La Corogne 042 0(22)
1997-2002 FC Barcelone 235 (130)
2002-2003 AC Milan 040 00(8)
2004 Cruzeiro EC 010 00(2)
2004-2007 Olympiakos 101 0(43)
2007-2008 AEK Athènes 044 0(15)
2008-2011 FK Bunyodkor 0770(42)
2011-2012 São Paulo FC 046 00(7)
2012 Kabuscorp SC 021 0(11)
2013 AD São Caetano 019 00(2)
2014-2015 Mogi Mirim EC 011 00(1)
1990-2015 Total 837 (387)
Sélections en équipe nationale2
AnnéesÉquipe 0M.0(B.)
1992-1993 Brésil -20 ans 009 0(10)
1996 Brésil olympique 005 00(4)
1993-2003 Brésil 074 0(35)
1 Compétitions officielles nationales et internationales senior, incluant le parcours amateur et en équipe réserve.
2 Matchs officiels.
Dernière mise à jour : 17 janvier 2019

Rivaldo évolue dans de nombreux clubs dont le FC Barcelone et l'AC Milan et reçoit le Ballon d'or 1999. C'est au Barça que Rivaldo s'épanouit pour devenir un des meilleurs joueurs du monde. À Barcelone, il prend une envergure mondiale et remporte de nombreux succès, dont deux titres de champion d'Espagne en 1997-98 puis 1998-99 auxquels s'ajoutent des distinctions individuelles prestigieuses comme le Ballon d'or et le titre de Meilleur footballeur de l'année FIFA. Après un échec à Milan, Rivaldo retourne au Brésil puis découvre la Grèce durant quatre saisons, l’Ouzbékistan puis l'Angola. Rivaldo est, avec Kazuyoshi Miura et Keisuke Honda, l'un des rares joueurs ayant évolué sur quatre continents différents. En effet, il joue dans quatre confédérations différentes que sont l'UEFA, la CONMEBOL, la CAF et l'AFC[1]. Il met un terme définitif à sa carrière en 2015, à 43 ans.

Avec l'équipe du Brésil, Rivaldo est tout d'abord médaillé de bronze aux JO 1996, puis participe aux victoires lors de la Coupe des confédérations 1997, la Copa América 1999 puis la Coupe du monde 2002, après la défaite en finale du Mondial 1998.

Ballon d'or et le Meilleur footballeur de l'année FIFA en 1999, Rivaldo est choisi par Pelé pour faire partie du FIFA 100, liste des 125 plus grands joueurs vivants du monde en 2004.

Biographie

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Enfance et formation

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Rivaldo naît dans un quartier pauvre de Recife, dans l'État de Pernambouc[2], le à Jardin Paulista au Nord-Est du Brésil. Deuxième des cinq enfants de la famille, Rivaldo Vitor Borba Ferreira grandit dans la banlieue de Recife, dans une favela[3]. Il possède deux frères Ricardo et Rinaldo et deux sœurs Cristiana et Soraya, enfants de Romildo et Marlucia[réf. nécessaire].

Rivaldo possède des jambes courbées vers l'extérieur au niveau du genou, signe d'une carence en vitamine D[3]. À cause d'une malnutrition chronique au début de son adolescence, il perd la plupart de ses dents[3]. Aujourd'hui, elles sont remplacées par des artificielles. Rivaldo n'aime pas parler de tout cela, non pas qu'il ait honte de sa dentition ou de ses origines, mais plutôt en raison des souvenirs trop cruels : "Si tu n'as pas vécu là-bas, et n'a pas vécu ce que j'y ai vécu, alors jamais tu ne comprendras"[réf. nécessaire].

Enfant, Rivaldo aide ses parents le week-end en désherbant les jardins et en parcourant les plages les plus populaires de la ville, en vendant du chewing-gum et des sucettes glacées[3]. Il marche déchaussé ou avec le pied entouré dans les morceaux d'une pantoufle. Les jours de match, il s'installe devant l'Estadio do Arruda, stade de son club de cœur, le Santa Cruz FC[3] Jouant au football pieds nus, il idolâtre Zico et Diego Maradona[3]. Mais plutôt que de jouer, il se contente d'entraîner des coqs au combat[3].

Rivaldo aime le football et frappe comme un sourd contre un mur qui finira par s'écrouler sur lui. On lui posera seize points de suture. Le père de Rivaldo croit beaucoup en les capacités de son fils, pour la majorité, le seul moyen d'échapper à la pauvreté. Lui et son père sont très proches : "Il n'arrêtait pas de nous dire que l'un des trois frères serait un jour professionnel"[réf. nécessaire].

À seize ans, Rivaldo est invité à effectuer un essai au Santa Cruz FC, après s'être entraîné par intermittence avec les équipes de jeunes du club[3]. Mais, deux semaines avant le test, son père Romildo est mortellement heurté par un bus[3], un vendredi de sur la ligne 37 dans les rues de Recife Le jeune Rivaldo a attendu son père toute la nuit. Le matin suivant, la radio de la ville a communiqué le malheur à la famille[réf. nécessaire]. Désemparé, Rivaldo pense à abandonner mais sa mère Marlucia le convainc de continuer[3]. « Quand j'étais enfant, jamais il ne se séparait de moi, dans la rue, à la plage. Et aujourd’hui, je joue en sa mémoire »[réf. nécessaire].

Une fois l'essai réussi, Rivaldo doit parcourir les 15 kilomètres pour aller s'entraîner et autant pour revenir à pieds, faute de moyens pour prendre le bus[3].

Débuts au Brésil (1991-1996)

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Rivaldo commence sa carrière avec le Santa Cruz FC début 1991[3] en tant que joueur amateur[2]. Des performances irrégulières marquent ses débuts avec Santa Cruz[3].

Il est finalement utilisé lors d'un échange de joueurs avec l'équipe de deuxième division de Sao Paulo, Mogi Mirim EC[3], où il signe son premier contrat professionnel et reste pendant un an et quatre mois[2].

En 1993, il reste à São Paulo mais est prêté au club mythique des Corinthians en première division[3], sous les couleurs duquel il marque onze buts en 19 rencontres. Il inscrit 22 buts en 58 titularisations, est nommé joueur de la saison et fait ses débuts en équipe nationale[3].

Toujours dans la même ville, il rejoint le SE Palmeiras en 1994, est à nouveau nommé joueur de la saison et remporte le titre de champion du Brésil[3], en finale contre les Corinthians[2]. Avant de partir pour les JO 1996, le club brésilien s'entend avec son homologue italien du Parme AC pour un transfert[3]. Ce dernier échoue finalement faute d'accord avec le joueur sur les termes du contrat[3].

Cinq ans au FC Barcelone (1996-2001)

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Après les Jeux olympiques d'Atlanta, Rivaldo traverse l'Atlantique pour finalement intégrer le Deportivo La Corogne[3]. Il marque à 21 reprises en 41 matchs lors de sa première saison en Europe, aide son équipe à passer du milieu de table à la troisième place de la Liga[3] et est considéré comme le deuxième meilleur joueur étranger d'Espagne, derrière Ronaldo, auteur de 34 buts avec le FC Barcelone[2].

Après une seule saison passée en Galice, le FC Barcelone recrute Rivaldo en payant sa clause libératoire de quatre milliards de pesetas[3] (20 à 24 millions d'euros[4]) en remplacement de son compatriote Ronaldo parti à l'Inter Milan[2]. Mal à l’aise dans la rigidité du nouvel entraîneur barcelonais Louis Van Gaal, Rivaldo a d’abord des difficultés à s’adapter et critique publiquement son entraîneur[4]. Le technicien hollandais cède ensuite au public du Camp Nou et à son joueur en offrant davantage de liberté à Rivaldo sur le côté gauche de l'attaque barcelonaise[4]. Le Brésilien participe aux deux titres de champion d'Espagne remportés en 1997-98 puis 1998-99[4], auxquels s'ajoutent des distinctions individuelles prestigieuses comme le Ballon d'or[5] et le Meilleur footballeur de l'année FIFA[3].

En 2000-2001, en Ligue des champions, Rivaldo réussit un triplé contre l'AC Milan, à San Siro[6], et permet au Barça d'obtenir le match nul 3-3[2]. Lors de la dernière journée du championnat, Rivaldo marque les trois buts de son équipe face à Valence CF (3-1) dont un à la dernière minute d'un retourné acrobatique [2]en dehors de la surface de réparation. Il donne à Barcelone la victoire et surtout la qualification pour le tour préliminaire de la Ligue des champions.

Rivaldo évolue à Barcelone de 1997 à 2002 et signe 130 buts[3] en 234 rencontres pour les Catalans[7]. Il est le sixième meilleur buteur de l'histoire du club derrière Samuel Eto'o qui a marqué quelque 152 buts durant son passage au FCB.

En équipe nationale (1992-2003)

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Rivaldo dispute son premier match international avec l'équipe du Brésil de football en décembre 1993 contre le Mexique[3]. Ses performances en club sont récompensées par d'autres convocations en équipe nationale[3]. Mais l'entraîneur Carlos Alberto Parreira juge le joueur de 22 ans trop égoïste, peu fiable et ne le sélectionne ni pour la Coupe du monde remportée aux États-Unis en 1994[3], ni pour la Copa América un an après.

Rivaldo est retenu par Mário Zagallo à l'occasion des Jeux olympiques d'Atlanta[3]. Le Brésil est éliminé en demi-finale face au Nigeria, futur champion olympique. Rivaldo est désigné avec d'autres comme bouc-émissaire[4], perdant la balle lors de la réduction du score sud-africaine à 3-2 puis ratant une occasion de 4-2 (défaite 3-4 ap)[3].

Il connaît alors une longue traversée du désert en équipe nationale et n'est rappelé dans la Seleção qu'en , toujours par Mario Zagallo, pour la Coupe des confédérations remportée par le Brésil.

 
Rivaldo est titulaire en finale du Mondial 98.

Rivaldo est l'un des joueurs les plus en vue lors de la Coupe du monde 1998 en France, marquant trois fois avant la finale[3]. La Seleção s'y incline contre le pays hôte (0-3). Rivaldo est nommé pour l'équipe-type du tournoi.

En 1999, il remporte la Copa América avec le Brésil et est nommé meilleur joueur du tournoi, après avoir réussi un doublé en finale pour terminer co-meilleur buteur[3].

Après une campagne de qualification pour le Mondial 2002 compliquée, où la Seleção est critiquée par la presse et ses supporters[2], Rivaldo est sélectionné dans l'équipe du Brésil à la Coupe du monde 2002. Il se fait remarquer au terme du premier match du Mondial contre la Turquie (2-1) quand, pendant le temps additionnel, Hakan Unsal tire le ballon en direction de Rivaldo situé à quelques mètres de lui et attendant de tirer un corner[8]. Atteint sur la cuisse, le Brésilien s'écroule en se masquant le visage des deux mains et est accusé de simulation punissable de suspension[8]. Aligné en attaque aux côtés de Ronaldo et Ronaldinho[9], il marque lors des cinq premiers matchs du Brésil[3] et devient champion du monde[3]. Il est à l'origine des deux buts de Ronaldo en finale aux dépens de l'Allemagne (2-0)[2]. Rivaldo inscrit cinq buts et termine ainsi co-deuxième meilleur buteur de la compétition[10] au même titre que l'allemand Miroslav Klose, derrière Ronaldo avec ses 8 réalisations.

Italie, Grèce et Ouzbékistan (2002-2011)

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Après la Coupe du monde 2002, Rivaldo signe au Milan AC[11]. Il est présenté à San Siro avant le match de tour préliminaire de Ligue des champions entre le Milan AC et le Slovan Liberec. Malgré la victoire de son club lors de cette coupe d'Europe, son année à Milan est difficile, puisqu'il ne parvient pas à être aussi décisif qu'à Barcelone. D'ailleurs, Carlo Ancelotti ne le fait pas entrer en jeu lors de la finale européenne remportée contre la Juventus. Rivaldo fait 22 apparitions en championnat la première année et rompt son contrat en novembre 2003[11].

Libre de tout contrat, il décide de revenir au Brésil où effectue un court passage au Cruzeiro ponctué de onze rencontres[11] et deux buts. Le meneur de jeu brésilien est libéré de son contrat le liant au Cruzeiro FC en mars 2004, après seulement 50 jours[11].

Après cinq mois sans club, il rejoint la Grèce et Olympiakos pour deux saisons et une supplémentaire en option[11]. Rivaldo dispute les trois saisons pleines pour un total de 39 buts en 87 rencontres. En 2007-2008 il dispute une dernière saison en Grèce à l'AEK Athènes où il trouvera le chemin des filets à 24 reprises en 52 matchs.

 
Rivaldo soulève la coupe du monde

En 2008, Rivaldo signe un contrat de 2 ans avec le club ouzbek de FC Bunyodkor pour un montant de 20M €. Il y inscrit 33 buts en 53 matchs, avant de quitter le club à l'été 2011.

Fin de carrière au Brésil (2011-2015)

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Rivaldo, sans club depuis son départ d'Ouzbékistan, a annoncé qu'il allait reprendre la compétition en 2011 en participant au championnat de São Paulo au sein du club Mogi Mirim EC dont il est président[2],[12],[13] après avoir acheté le club qui lance sa carrière en 1992[3].

Fin et après cinq matches seulement avec Mogi Mirim comme président-joueur, il s'engage avec le São Paulo FC jusqu'en , près 14 ans à l'étranger[2]. Il y a joue de façon très honorable et a fait partie des meilleurs joueurs du championnat.

Le , Rivaldo continue son tour du monde et part en Angola pour s'engager avec Kabuscorp[14]. Mi-mars, à un mois de son 40e anniversaire, Rivaldo inscrit un triplé et la totalité des buts du succès à domicile 3-1 sur le Recreativo Caala pour son deuxième match avec son nouveau club et leur première victoire de la saison[15]. Le , Rivaldo s'offre un triplé en 26 minutes face à Bravos do Maquis[16]. Le troisième but prouve que le Brésilien a encore des jambes à 40 ans passés puisqu'il est parti du milieu de terrain avant de se débarrasser de deux défenseurs pour battre le gardien adverse pour la troisième fois de la soirée[16]. Grâce à ce triplé, Kabuscorp s'impose 4-1 et permet à Rivaldo de prendre la tête du classement des buteurs avec 10 buts[16]. Le , au terme de son contrat, il annonce qu'il quitte le club sans préciser s'il met un terme à sa carrière[17]. En neuf mois, il aura joué 21 matches et inscrit 11 buts.

Le , Rivaldo s'engage, à 40 ans, en faveur de São Caetano, club de D2 brésilienne. Le , pour son premier match sous les couleurs de São Caetano, Rivaldo inscrit à 40 ans un but de la tête contre le SC Corinthians. Le score final du match sera de 2-2. En , Rivaldo affirme son souhait d'entraîner le FC Barcelone, club qui lui est particulièrement cher : « J'ai une affection spéciale pour la ville de Barcelone et pour le Barça. L'ancien président du Barça Sandro Rosell est un grand ami. Si l'opportunité d'entraîner Barcelone se présente, j'en serais enchanté. »[18]. En , le Ballon d'Or 1999 résilie son contrat en raison de douleurs au genou.

À 41 ans, Rivaldo revient dans le club de Mogi Mirim[3] dont il est le président. Le , il joue aux côtés de son fils Rivaldinho, âgé de 20 ans, dans un match de deuxième division brésilienne[3], du championnat Paulista contre Piracicaba[19]. Après avoir annoncé le terme de sa carrière de footballeur le à bientôt 42 ans[20], il revient sur sa décision et recommence à jouer en avec Mogi Mirim. Lors d'une victoire 3-1 de son club, Rivaldo inscrit un but tandis que son fils, Rivaldo Junior inscrit les deux autres réalisations de la rencontre (3-1). La relation se détériore lorsque Rivaldo change le nom du stade en hommage à son père, bien que Romildo n'ait aucun lien avec l'équipe, transfère les centres de formation en son propre nom, en paiement d'une partie de l'investissement, place son épouse vice-présidente et son fils président du conseil d'administration[3]. En décembre 2014, face à des critiques croissantes et devant plus de 10 millions de reais, il vent le club en juillet 2015[3].

Style de jeu

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Attaquant longiligne, Rivaldo est réputé par sa fantaisie et la puissance de sa frappe du pied gauche[4]. Il interpelle l'Europe et même le monde par sa puissance, ses contrôles de balle et la diversité de son répertoire technique[3]. Il associe précision et puissance pour ses frappes mais aussi des passes décisives[3].

Il se considère personnellement comme un milieu de terrain et non un attaquant[2].

Politique

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Lors de l’élection présidentielle brésilienne de 2018, il apporte son soutien au candidat d’extrême droite Jair Bolsonaro[21], tout comme en 2022 ensuite aux côtés des internationaux brésiliens Neymar et Daniel Alves[22].

Statistiques

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Statistiques par saison

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Statistiques de Rivaldo [23],[24],[25],[26],[27]
Saison Club Championnat Coupe(s) nationale(s) Supercoupe Compétition(s)
continentale(s)
Ligue régional Total
Division M. B. P.d. M. B. P.d. M. B. P.d. Comp. M. B. P.d. M. B. P.d. M. B. P.d.
1989   Paulista Série A2 26 3 - - - - - - - - - - - - - - 26 3 0
1990 Série A2 22 4 - - - - - - - - - - - - - - 22 4 0
Sous-total 48 7 - - - - - - - - - - - - - - 48 7 0
1991   Santa Cruz Série B 4 6 - 4 2 - - - - - - - - 18 8 - 26 16 0
1992   Mogi Mirim Série A - - - - - - - - - - - - - 31 13 - 31 13 0
1993   Corinthians Série A 19 11 - - - - - - - - - - - 3 0 - 22 11 0
1994 Série A - - - 3 0 - - - - - - - - 3 0 - 6 0 0
1994   Palmeiras Série A 29 14 - - - - - - - - - - - - - - 29 14 0
1995 Série A 19 11 - 4 2 - - - - CL 6 5 - 3 0 - 32 18 0
1996 Série A - - - 9 4 - - - - - - - - 25 18 - 34 22 0
Sous-total 45 21 - 13 6 - - - - - 6 5 - 33 28 - 97 60 0
1996-1997   Deportivo La Corogne Primera División 41 21 3 5 1 1 - - - - - - - - - - 46 22 4
1997-1998   FC Barcelone Primera División 34 19 7 7 8 3 4 1 - C1 6 0 - - - - 51 28 10
1998-1999 Primera División 37 24 12 3 2 1 2 0 - C1 6 3 1 - - - 48 29 14
1999-2000 Primera División 31 12 6 5 1 2 - - - C1 14 10 2 - - - 50 23 10
2000-2001 Primera División 35 23 9 5 2 - - - - C1+C3 6+7 6+5 2+0 - - - 53 36 11
2001-2002 Primera División 20 8 4 - - - - - - C1 13 6 4 - - - 33 14 8
Sous-total 157 86 38 20 13 6 6 1 - - 52 30 9 - - - 235 130 53
2002-2003   AC Milan Serie A 22 5 4 3 1 2 - - - C1 13 2 0 - - - 38 8 6
2003 Serie A - - - - - - 1 0 - C1 1 0 0 - - - 2 0 0
Sous-total 22 5 4 3 1 2 1 0 - - 14 2 0 - - - 40 8 6
2004   Cruzeiro Série A - - - - - - - - - CL 3 0 - 7 2 2 10 2 2
2004-2005   Olympiakós Superleague 23 10 3 2 2 - - - - C1+C3 6+3 1+0 2+1 - - - 34 13 6
2005-2006 Superleague 22 7 4 2 2 - - - - C1 5 2 0 - - - 29 11 4
2006-2007 Superleague 25 17 7 - - - - - - C1 6 0 2 - - - 31 17 9
Sous-total 70 36 14 4 4 - - - - - 20 3 5 - - - 94 43 19
2007-2008   AEK Athènes Superleague 35 12 15 - - - - - - C1+C3 2+6 1+2 0+1 - - - 43 15 16
2008 Superleague - - - - - - - - - C3 1 0 0 - - - 1 0 0
Sous-total 35 12 15 - - - - - - - 9 3 1 - - - 44 15 16
2008   FK Bunyodkor UPFL 12 7 - 1 0 - - - - AFC 4 2 0 - - - 17 9 0
2009 UPFL 30 20 12 2 1 - - - - AFC 9 1 0 - - - 41 22 12
2010 UPFL 11 6 - 3 3 - - - - AFC 5 2 0 - - - 19 11 0
Sous-total 53 33 12 6 4 - - - - - 18 5 0 - - - 77 42 12
2011   São Paulo Série A 30 5 3 4 0 0 - - - CL 3 1 0 9 1 - 46 7 3
2012   Kabuscorp Girabola 21 11 - - - - - - - - - - - - - - 21 11 0
2013   São Caetano Série B 7 0 - 2 0 0 - - - - - - - 10 2 - 19 2 0
2014   Mogi Mirim Série C 3 0 - - - - - - - - - - - 4 0 - 7 0 0
2015 Série B 4 1 - - - - - - - - - - - - - - 4 1 0
Sous-total 7 1 - - - - - - - - - - - 4 1 - 11 2 0
Total sur la carrière 529 255 89 64 31 9 7 1 - - 125 49 15 115 54 2 840 390 115


En sélection nationale

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Statistiques de Rivaldo [28]
Saison Sélection Phases finales Éliminatoires CDM Matchs amicaux Total
Compétition M B Pd M B Pd M B Pd M B Pd
1993-1994   Brésil Coupe du monde 1994   - - - - - - 2 1 0 2 1 0
1994-1995 Copa América 1995   - - - - - - 2 1 0 2 1 0
1995-1996 - - - - - - - 5 2 2 5 2 2
1997-1998 Coupe des confédérations 1997   + Coupe du monde 1998   2+7 0+3 0+2 - - - 4 2 3 13 5 5
1998-1999 Copa América 1999   + Coupe des confédérations 1999   5+. 5+. 1+. - - - 7 1 4 12 6 5
1999-2000 - - - - 5 4 0 7 6 2 12 10 2
2000-2001 Coupe des confédérations 2001 4e + Copa América 2001 - - - 5 1 1 1 0 1 6 1 2
2001-2002 Coupe du monde 2002   7 5 1 5 3 0 2 0 0 14 8 1
2002-2003 Coupe des confédérations 2003 - - - - - - 3 0 0 3 0 0
2003-2004 Copa América 2004   - - - 4 1 0 1 0 0 5 1 0
Total sur la carrière 21 13 4 19 9 1 34 13 12 74 35 17

Buts internationaux

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Palmarès

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En club

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En équipe du Brésil

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Distinctions individuelles

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En fin d'année 1999, Rivaldo est élu Ballon d'or par un jury de journalistes spécialisés des 51 pays de l'UEFA, sous l'égide du magazine France Football[5], avec 214 points devant David Beckham à 159 points[4]. Il est aussi élu meilleur footballeur de l'année FIFA au même moment[2].

Notes et références

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  1. L'Australie est le principal pays de l'Océanie mais est membre de la Confédération asiatique de football
  2. a b c d e f g h i j k l m et n « Rivaldo : "Pour les Brésiliens, une Coupe du monde, ça se gagne, point" »  , sur inside.fifa.com, (consulté le )
  3. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa ab ac ad ae af ag ah ai aj ak al am et an (en-GB) « The Brazil & Barcelona great who never dared to dream », BBC Sport,‎ (lire en ligne  , consulté le )
  4. a b c d e f et g « ET AUSSI. RIVALDO, BALLON D'OR 99 »  , sur humanite.fr, (consulté le )
  5. a et b « Rivaldo, un footballeur en or. »  , sur Libération, (consulté le )
  6. M. Go., « Ligue Europa : Lille et Yazici créent la sensation en écrasant l'AC Milan »  , sur L'Équipe, (consulté le )
  7. « Rivaldo a confiance en Enrique »  , sur UEFA.com, (consulté le )
  8. a et b « Rivaldo dans le collimateur de la FIFA »  , sur ladepeche.fr, (consulté le )
  9. P. Pr., « Comme Messi et Tagliafico, ces étrangers de la Ligue 1 champions du monde »  , sur L'Équipe, (consulté le )
  10. « Rivaldo | Soulier d'argent | Coupe du Monde de la FIFA, Corée/Japon 2002™ »  , sur fifa.com, (consulté le )
  11. a b c d et e « Rivaldo opte pour l'Olympiacos »  , sur UEFA.com, (consulté le )
  12. « Rivaldo revient au pays »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur L'Équipe.fr,
  13. « Rivaldo court toujours », sur Le Figaro, (consulté le )
  14. « Rivaldo vers l'Angola ! »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur L'Équipe.fr
  15. « Rivaldo, la quarantaine rugissante »  , sur inside.fifa.com, (consulté le )
  16. a b et c « Coup du chapeau pour Rivaldo »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur francefootball.fr.
  17. « Rivaldo quitte Kabuscorp »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lequipe.fr, .
  18. (es) Rivaldo voudrait entraîner le FC Barcelone, sport.es, 16 mars 2013
  19. (es) Rivaldo joue avec son fils Rivaldinho, sport.es, 19 février 2014
  20. (es) Rivaldo met un terme à sa carrière, mundodeportivo.com, 15 mars 2014
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Liens externes

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