Reyersviller

commune française du département de la Moselle

Reyersviller [ʁejɛʁsvilɛʁ] est une commune française du département de la Moselle en région Grand Est.

Reyersviller
Reyersviller
L'église Saint-Bernard.
Blason de Reyersviller
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Moselle
Arrondissement Sarreguemines
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Bitche
Maire
Mandat
Joëlle Wey
2020-2026
Code postal 57230
Code commune 57577
Démographie
Gentilé Reyersvillerois
Population
municipale
376 hab. (2021 en évolution de +2,73 % par rapport à 2015)
Densité 45 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 02′ 32″ nord, 7° 23′ 44″ est
Altitude Min. 266 m
Max. 428 m
Superficie 8,32 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Bitche
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bitche
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Reyersviller
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Reyersviller
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Reyersviller
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Reyersviller

Village rural de Lorraine, du pays de Bitche et du bassin de vie de la Moselle-est, Reyersviller est situé à 55 km au nord-ouest de Strasbourg, dans le terroir du parc naturel régional des Vosges du Nord. En 2021, la population légale est de 376 habitants, appelés les Reyersvillerois.

Géographie

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Localisation

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Avec ses maisons dispersées en ordre lâche, le village de Reyersviller s'étire dans la vallée du Schwangerbach, à deux kilomètres au sud-ouest de la ville de Bitche.

Localités avoisinantes

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Écarts et lieux-dits

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Géologie et relief

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  • Le territoire de la commune est occupé par 85,9 % de forêts, 23 % de terres arables et 5,6 % de prairies[1].

Sismicité

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  • Commune située dans une zone de sismicité faible[2].
Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Hydrographie et les eaux souterraines

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La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau Schwangerbach, le ruisseau Flegels et le ruisseau le Balsch[Carte 1].

 
Réseaux hydrographique et routier de Reyersviller.

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de °C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 943 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 10 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mouterhouse », sur la commune de Mouterhouse à 7 km à vol d'oiseau[5], est de 10,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 954,2 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,4 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −23 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Voies de communications et transports

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Voies routières

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  • Départementale D 620 par Reyersviller-Schwanger.

Transports en commun

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Transports à la demande

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Lignes SNCF

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Transports aériens

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Les aéroports les plus proches sont :

Intercommunalité

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Urbanisme

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Typologie

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Au , Reyersviller est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bitche, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[12]. Cette aire, qui regroupe 10 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (85,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (85,3 %), zones urbanisées (6,8 %), prairies (5,6 %), terres arables (2,3 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Planification

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La Communauté de Communes du Pays de Bitche, en partenariat avec la Communauté d'agglomération Sarreguemines Confluences et les autres intercommunalités du Pays de l'arrondissement de Sarreguemines (anciennement pays de Sarreguemines-Bitche-Sarralbe), a décidé de concrétiser sa politique d’aménagement du territoire à travers un Schéma de cohérence territoriale[16].

Le , les élus communautaires ont approuvé les 2 PLUi du Pays de Bitche[17].

Toponymie

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  • Ryswilre (1285), Reygerssweiller (1594), Reyerschweiller (1626), Rayersweiller (1681), Reigerswiller (XVIIIe siècle), Reiersweiller (1756), Reyerswiller (1771), Reyersweiller (1793), Reyersviller (1801), Reyersweiler (1871-1918), Reichersweiller (Delisle-carte du cours du Rhin).
  • Reierschwiller en francique lorrain[18].

Histoire

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Vue du village avant la Seconde Guerre mondiale.

Le village est mentionné pour la première fois en 1577 sous la forme Reihersweiler, de l'allemand Reiher qui signifie héron et du substantif weiler, qui désigne en allemand un hameau ou, en forêt, un lieu de repos voire une clairière. C'est en quelque sorte la clairière des hérons ou le hameau aux hérons. Reyersviller est donnée en gage en 1275 par le duc Ferry III de Lorraine à Henri de Fleckenstein, dont l'un des descendants, Balthazar, vendra en 1527 ses possessions dans ce lieu au comte Jacques de Deux-Ponts-Bitche. Le chêne des Suédois, sur la route menant à Siersthal, rappelle combien le pays et ses habitants ont été éprouvés durant la guerre de Trente Ans. C'est à ses branches que l'armée suédoise pendait les prisonniers.

Durant la Seconde Guerre mondiale, la commune est évacuée le à Ars, en Charente[19],[20]. Bombardée de décembre 1944 à mars 1945, l'agglomération subit des pertes considérables[21] et l'église Saint-Bernard est détruite.

Du point de vue spirituel, le village est succursale de la paroisse de Schorbach jusqu'en 1802, puis de celle de Bitche jusqu'en 1863, date de son érection en paroisse.

C'est de cette année-là que date la construction de l'église Saint-Bernard, dans le style néogothique[22]. Détruite complètement durant les bombardements de 1945, elle est reconstruite de 1956 à 1959 sur les plans de l'architecte bitchois Roger Sarraih.

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
juin 1995 octobre 2017
(démission)
Édouard Schaming (1944-2023) UMP Retraité, adjoint au maire (1977 → 1995)
Vice-président de la CC du Pays de Bitche
décembre 2017 mai 2020 Gérard Kister   Retraité
mai 2020 En cours Joëlle Wey UDI Profession libérale
Conseillère régionale du Grand Est (2021 → )
Vice-présidente de la CC du Pays de Bitche (2022 → )

Du point de vue administratif, le village est une commune du canton de Bitche depuis 1790.

Budget et fiscalité 2021

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En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi[24] :

  • total des produits de fonctionnement : 286 000 , soit 756  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 223 000 , soit 589  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 34 000 , soit 90  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 53 000 , soit 140  par habitant ;
  • endettement : 219 000 , soit 580  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 8,02 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 24,67 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 105,35 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2019 : médiane en 2019 du revenu disponible, par unité de consommation : 21 800 [25].

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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Pyramide des âges

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].

En 2021, la commune comptait 376 habitants[Note 3], en évolution de +2,73 % par rapport à 2015 (Moselle : +0,52 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1871
388457520432624609541516513
1875 1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921
426379370375377387391393380
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
350353336311366366386407376
1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019 2021 -
382360364368370367375376-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29]. |recens-prem=2004 .)
Histogramme de l'évolution démographique

Vie locale

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Enseignement

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Établissements d'enseignements[30] :

  • École élémentaire,
  • Collèges à Bitche, Lemberg,
  • Lycées à Bitche.

Professionnels et établissements de santé[31] :

  • Kinésithérapeute/ostéopathe situé au lieu-dit Schwangerbach au 64 rue de la fontaine.
  • Bichler Julie, kinésithérapeute/ostéopathe,
  • Médecins à Bitche,
  • Pharmacies à Bitche,
  • Hôpitaux à Bitche.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Le chêne dit des Suédois sur la route vers Siersthal[32].
  • L'ancien bunker de la ligne Maginot le long de la voie militaire.
  • Le site botanique, en bordure de la route de Lemberg : pelouse abritant deux botryches, le botryche lunaire et le botryche à feuilles matricaires.

Édifices religieux

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Personnalités liées à la commune

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  • L'abbé Joseph Nullans, curé de la paroisse de Reyersviller, entre 1953[47] et 1996[48].

Héraldique

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  Blasonnement :
parti d'or à la bande de gueules chargé de trois alérions d'argent, et fascé de sinople et d'argent
Commentaires : Ce sont à dextre les armes des ducs de Lorraine, seigneurs de Reyersviller en tant que comtes de Bitche, et à senestre les armes de la famille de Fleckenstein, à laquelle les ducs ont remis en gage la seigneurie au Moyen Âge[49].

Économie

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Entreprises et commerces

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Agriculture

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  • 81 ha de surface agricole utilisée (SAU) totale exploités par 5 exploitations différentes dont 3 ont leur siège social sur une autre commune[50].
  • Sylviculture et autres activités forestières.

Tourisme

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  • Restauration :
    • Restaurant de la Vallée - Cuisine traditionnelle,
    • Le Marronnier - Cuisine Gastronomique,
    • Au Relais - Restaurant routier.
    • Gîte.

Commerces et artisanat

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Associations

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  • Scouts et Guides de France Groupe du Pays de Bitche, installé dans la salle du presbytère rue de l'église. Le groupe SGDF du Pays de Bitche a été créé en 2008 par le curé du village. Le groupe est composé de 3 unités :
    • Les louveteaux et jeannettes de 8 à 11 ans (Le goût du jeu)
    • Les scouts et guides de 12 à 14 ans (le goût de l'aventure)
    • Les pionniers et caravelles de 15 à 17 ans (le goût d'entreprendre)

Le groupe a en projet la création d'une unité de farfadets, enfants de 6 à 8 ans.

Le groupe accueille des jeunes et moins jeunes qui souhaitent s'engager dans le mouvement et devenir encadrant du groupe, ou chef dans les unités.

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes

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Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Reyersviller » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Occupation du sol
  2. Didacticiel de la réglementation parasismique
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Reyersviller et Mouterhouse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Mouterhouse », sur la commune de Mouterhouse - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Mouterhouse », sur la commune de Mouterhouse - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  10. Transports à la demande Grand Est 54
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Reyersviller ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bitche », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Aménagement du territoire (SCOT)
  17. PLUi
  18. Geoplatt
  19. L'évacuation de la zone rouge du département de la Moselle en 1939-1940 vers les Charente et la Vienne, par M. Henri Hiégel
  20. Un exil intérieur : l’évacuation des Mosellans de septembre 1939 à octobre 1940, par Jean-Claude Bastian
  21. Vues anciennes de Reyersviller
  22. Église Saint-Bernard de Reyersviller
  23. Communauté de Paroisses de Saint-Bernard de Bitche
  24. Les comptes de la commune
  25. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Établissements d'enseignements
  31. Professionnels et établissements de santé
  32. Le Chêne des Suédois à Reyersviller : souvenir vivant des horreurs de la guerre de Trente-Ans dans le Pays de Bitche
  33. Église Saint-Bernard de Reyersviller
  34. « Église paroissiale Saint-Bernard », notice no IA00037999, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  35. « Église paroissiale Saint-Bernard », notice no IA00038000, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  36. Orgue Alfred Kern (1961)
  37. « Statue (petite nature) : Vierge de l'Assomption », notice no IM57001097, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  38. Tombeaux du cimetière
  39. La tombe du curé Brunagel
  40. « Tombeau de la famille Lehrer », notice no IA00038010, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  41. « Tombeau du curé M. Brunagel », notice no IA00038008, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  42. « Tombeau de la famille Brunagel-Koelsch », notice no IA00038009, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  43. Calvaires et croix de chemin
  44. « Croix monumentale », notice no IA00037907, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  45. Liste de répliques de la grotte de Lourdes
  46. Les grottes de Lourdes en Moselle-Est. Reyersviller : Une grotte privée
  47. Nouvelle église : Le Chanoine honoraire Joseph Nulland, nommé curé en 1953
  48. L'abbé Joseph Nullans
  49. Armes de Reyersviller
  50. Diagnostic agricole : Reyersviller - PLUis du Pays de Bitche
  51. Vitrerie Siebering
  52. La Vitrerie Siebering