Remilly-Wirquin
Remilly-Wirquin [ʁəmiji viʁkɛ̃] est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Remilly-Wirquin | |||||
Vue sur le village de Remilly-Wirquin. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Saint-Omer | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Lumbres | ||||
Maire Mandat |
Paule Rolland 2020-2026 |
||||
Code postal | 62380 | ||||
Code commune | 62702 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Remilly-Wirquinois | ||||
Population municipale |
359 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 69 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 40′ 09″ nord, 2° 10′ 04″ est | ||||
Altitude | Min. 47 m Max. 135 m |
||||
Superficie | 5,23 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Lumbres (banlieue) |
||||
Aire d'attraction | Saint-Omer (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Lumbres | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
| |||||
modifier |
La commune fait partie de la communauté de communes du Pays de Lumbres qui regroupe 36 communes et compte 24 187 habitants en 2021.
Le territoire de la commune est situé dans le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale.
Géographie
modifierLocalisation
modifierRemilly-Wirquin, commune du parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale, est traversée par l'Aa.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :
Hydrographie
modifierLe territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
La commune est traversée par le fleuve l'Aa, un cours d'eau naturel de 56 km, qui prend sa source dans la commune de Bourthes et se jette dans le canal de Neufossé au niveau de la commune de Saint-Omer[1].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 887 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Nielles-lès-Bléquin à 10 km à vol d'oiseau[4], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 976,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Milieux naturels et biodiversité
modifierEspace protégé
modifierLa protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[8].
Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé : le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale, d’une superficie de 132 499 hectares réparties sur 154 communes, géré par le syndicat mixte d'aménagement et de gestion du parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale[9].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
modifierL’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend trois ZNIEFF de type 1[Note 2] :
- les coteaux de la haute vallée de l’Aa et les carrières de Cléty. Cette ZNIEFF est constituée d’une craie marneuse formée il y a environ 90 millions d’années par la sédimentation marine. L’érosion du plateau crayeux de l’Artois a donné naissance à de nombreuses vallées sèches ou parcourues par des ruisseaux temporaires, voire de véritables cours d’eau[10] ;
- les pelouses crayeuses de Wavrans et Elnes, d’une superficie de 137 hectares et d'une altitude variant de 50 à 110 mètres. Ce site, sur le flanc exposé au sud de la vallée de l’Aa, représente la partie méridionale du promontoire crayeux au pied duquel serpente l’Aa à partir de Remilly-Wirquin[11] ;
- La haute Aa et ses végétations alluviales entre Remilly-Wirquin et Wicquinghem, d’une superficie de 564 hectares et d'une altitude variant de 40 à 118 mètres[12].
et deux ZNIEFF de type 2[Note 3] :
- la moyenne vallée de l’Aa et ses versants entre Remilly-Wirquin et Wizernes. La moyenne vallée de l’Aa et ses versants représentent un remarquable ensemble écologique associant des habitats très différents constituant des complexes de végétations souvent complémentaires[13] ;
- la haute vallée de l’Aa et ses versants en amont de Remilly-Wirquin. La haute vallée de l’Aa se rattache à l’entité paysagère des hauts plateaux artésiens, elle intègre la source de ce fleuve côtier situé à Bourthes et les premiers kilomètres de ce cours d’eau qui trace un sillon profond dans les collines de l'Artois[14].
-
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
-
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Patrimoine géologique
modifierSur le territoire communal se trouve le site limite Turonien et Coniacien dans la réserve naturelle régionale (RNR) des anciennes carrières de Cléty. Il est inscrit à l'inventaire national du patrimoine géologique[15].
Urbanisme
modifier-
Entrée de Remilly-Wirquin par la D193E.
-
Vue sur une pâture et sur le paysage de bocage et de vallée, .
Typologie
modifierAu , Remilly-Wirquin est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lumbres[Note 4], une agglomération intra-départementale regroupant huit communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 5],[17],[18]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Omer, dont elle est une commune de la couronne[Note 6],[18]. Cette aire, qui regroupe 79 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19],[20].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (70,8 %), prairies (25,9 %), zones agricoles hétérogènes (3,3 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques naturels et technologiques
modifierRisque inondation
modifierÀ la suite du passage des tempêtes Ciarán, Domingos et Elisa et des inondations et coulées de boue qui se sont produites, la commune est reconnue, par arrêté du , en état de catastrophe naturelle pour inondations et coulées de boue sur la période du au , comme 179 autres communes du département[22].
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous les formes Rumliacum (704), Rumiliacum (Xe siècle), Rumilly (1119), Rumeliacum et Rumelli (1139), Rumelium (1157), Rumeli (v. 1177), Rumeillie (1193), Rumeilli (XIIIe siècle), Rumeilly (1329), Rumilly (1447), Remilly (1492), Rumilly-lez-Villequin (1507), Rumilly-Wilquin (1545), Remilli-Werquin (1739)[23]. Viendrait de l'anthroponyme romain Romilius suivi du suffixe -acum « domaine (de) » donnant « le domaine de Romilius ».
Fut ajouté plus tard -Wirquin, nom du hameau voisin, attesté sous les formes Garchin en 1119 ; Werchin en 1193 ; Wilquin en 1507 ; Wirrequin en 1559[24], qui tiendrait son nom, soit de l'anthroponyme gallo-romain ou latin Vernicius, soit du pré-romain wirk-inio « lieu situé sur la Wirka »[25].
Histoire
modifierIl y a deux sites néolithiques à Remilly-Wirquin.
Politique et administration
modifierDécoupage territorial
modifierLa commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Omer du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
modifierLa commune est membre de la communauté de communes du Pays de Lumbres.
Circonscriptions administratives
modifierLa commune est rattachée au canton de Lumbres.
Circonscriptions électorales
modifierPour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
modifierListe des maires
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].
En 2021, la commune comptait 359 habitants[Note 7], en évolution de +5,59 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierEn 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,1 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 177 hommes pour 178 femmes, soit un taux de 50,14 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Sports et loisirs
modifierLoisirs
modifierAprès la liaison douce, créée à l'initiative de la communauté de communes du Pays de Lumbres et inaugurée en 2021, le long de l’Aa, entre Lumbres et Remilly-Wirquin, via Wavrans-sur-l'Aa et Elnes, en 2023, un nouveau tronçon est ouvert entre Acquin-Westbécourt et Lumbres, long de 4,9 km[37],[38].
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Patrimoine religieux
- L'église Saint-Omer. Sa cloche date de 1462 et est classé monument historique à titre d'objet.
- Chapelle.
- Calvaire.
-
L'église Saint-Omer.
-
La chapelle.
-
Le calvaire.
- Patrimoine commémoratif
- Le monument aux morts dans le cimetière, commémorant les guerres de 1914-1918 et 1939-1945.
- Au cimetière, une tombe de guerre de la Commonwealth War Graves Commission.
-
monument aux morts
-
tombe de guerre de la CWGC
- Patrimoine civil et autre
- L'ancienne gare du Chemin de fer d'Anvin à Calais, transformée en mairie de la commune, restaurée par la Fondation du Patrimoine[39],[40].
- Le moulin à eau sur l'Aa, actuellement gîte rural avec terrain de camping.
- L'école communale mixte.
- Le parc d'éoliennes.
-
L'ancienne gare.
-
Le moulin sur l'Aa.
-
L'école communale mixte.
-
Les éoliennes.
Personnalités liées à la commune
modifier- Augustin Verdure (1825-1873), est une personnalité de la Commune de Paris né dans la commune.
Héraldique
modifierBlason | De gueules à la roue de moulin d'argent[41]. |
|
---|---|---|
Détails | La roue renvoie au moulin sur l'Aa de la commune, le tout aux couleurs des armes de la famille de Renty. Adopté par la municipalité. |
Pour approfondir
modifierBibliographie
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifierNotes et références
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Lumbres comprend une ville-centre et sept communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Sandre, « Fiche cours d'eau - Aa (E4030570 ) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Remilly-Wirquin et Nielles-lès-Bléquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nielles-les-blequin_sapc » (commune de Nielles-lès-Bléquin) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Nielles-les-blequin_sapc » (commune de Nielles-lès-Bléquin) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « Les espaces protégés. », sur le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « espace protégé FR8000007 - Caps et Marais d'Opale », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310030111 - Coteaux de la haute vallée de l’Aa et carrières de Cléty », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310007257 - Pelouses crayeuses de Wavrans et Elnes », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310014125 - La haute Aa et ses végétations alluviales entre Remilly-Wirquin et Wicquinghem », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013266 - La basse Vallée de la Canche et ses versants en aval d’Hesdin », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310007271 - La moyenne vallée de l’Aa et ses versants entre Remilly-Wirquin et Wizernes », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Patrimoine géologique NPC0022 - Limite Turonien / Coniacien dans la RNR des Anciennes carrières de Cléty », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Lumbres », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Remilly-Wirquin ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Omer », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- République Française, « Inondations et coulées de boue », Journal officiel de la République française, no 264, , p. 16 (lire en ligne, consulté le ).
- Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 320.
- Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 404.
- « Les toponymes du Pays de Lumbres », sur medievales.lumbres.net (consulté le ).
- Jennifer-Laure Djian, « Le bilan du maire de Remilly-Wirquin : mairie, voirie, école rénovées, l’église en chantier, après les élections : Élu depuis 1977, maire de Remilly-Wirquin (350 habitants) depuis 1989, René Denuncq, 64 ans, a jonglé, pendant le dernier mandat, entre gros projets et pauses financières. Mairie, école ont retenu l’attention de la municipalité, les travaux de borduration et d’assainissement pluvial viennent de débuter rues Chochoy et de Cléty et la restauration de l’église commencera en avril 2014. Pour suivre ces dossiers, René Denuncq se représentera », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Remilly-Wirquin : René Denuncq réélu pour un cinquième mandat de maire », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Remilly-Wirquin (62702) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- François Wavrant, « Désormais on circule tout en douceur dans le Pays de Lumbres, et ce n’est pas fini », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Anthony Berteloot, « La voie verte entre Lumbres et Acquin-Westbécourt est ouverte », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « L'ancienne gare de Remilly-Wirquin »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur fondation-patrimoine.org (consulté le ).
- « Remilly-Wirquin : le cabinet d’aisance de la ligne ferroviaire Anvin-Calais sera reconstruit », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Remilly-Wirquin (Pas-de-Calais) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).