Ratchaburi
Ratchaburi (thaï ราชบุรี) est une ville de l'Ouest de la Thaïlande, située à l'Est de la province de Ratchaburi, dont elle est le chef-lieu. Elle se trouve sur la rive gauche (occidentale) de la Mae Klong. En 2006, elle comptait 38 208 habitants.
Ratchaburi | ||
Administration | ||
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Pays | Thaïlande | |
Province | Province de Ratchaburi | |
Démographie | ||
Population | 36 199 hab. (2017) | |
Géographie | ||
Coordonnées | 13° 32′ 08″ nord, 99° 48′ 48″ est | |
Localisation | ||
Géolocalisation sur la carte : Thaïlande
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Le musée national de Ratchaburi expose des œuvres d’art et des objets anciens trouvés dans la région de Ratchaburi et datant de différentes périodes[1].
À proximité, à 12 km au sud-est, se trouve Khu Bua, un important site archéologique de la culture de Dvaravati.
Personnalités
modifierManus Boonjumnong (1980-), champion olympique de boxe en 2004.
Notes et références
modifierEn janvier 2000, la ville de Ratchaburi fait la Une de l'actualité : un groupe de rebelles Karen connu sous le nom "Armée de Dieu", mené par les frères jumeaux Johnny et Luther Htoo alors âgés de 12 ans, prend brièvement en otage le personnel et les patients de l'hôpital de Ratchaburi[2],[3],[4],[5].
- « THAÏLANDE – TOURISME: Le choix de l’Office du tourisme Thaïlandais. Volet 3: Ratchaburi », sur gavroche-thailande. com, Gavroche Thaïlande,
- (en) Richburg Keith B., « Child Terrorists Hold Hundreds Hostage in Thailand », sur washingtonpost.com, The Washington Post,
- Arnaud Dubus, « Un commando birman prend un hôpital en Thaïlande. La guérilla karen demande à Bangkok de faire pression sur Rangoon. », sur liberation.fr, Libération,
- Arnaud Dubus, « Fin de la prise d'otages en Thailande. La junte birmane a salué l'action de l'armée thaïlandaise qui a anéanti le commando karen qui occupait l'hôpital de Ratchaburi. », sur liberation.fr, Libération,
- Arnaud Dubus, « La guérilla karen en déroute dans la jungle birmane. Sous le feu croisé des forces de Rangoon et de Bangkok, l'Armée de Dieu a dû abandonner son camp de brousse. », sur liberation.fr, Libération,