Quettehou (commune déléguée)

ancienne commune française du département de la Manche

Quettehou (prononcé [ketu] ou [kɛtu][1]) est une ancienne commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie.

Quettehou
commune historique
Quettehou (commune déléguée)
L'église Saint-Vigor.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité CA du Cotentin
Statut Ancienne commune
Code postal 50630
Code commune 50417
Démographie
Gentilé Quettehouais
Géographie
Coordonnées 49° 35′ 33″ nord, 1° 18′ 13″ ouest
Altitude Min. 3 m
Max. 104 m
Superficie 16,17 km2
Élections
Départementales Val-de-Saire
Historique
Fusion
Commune(s) d'intégration Quettehou
Localisation
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Quettehou
commune historique

Le , elle fusionne avec sa voisine Morsalines au sein de la commune nouvelle de Quettehou. L'ancien territoire prend alors le statut administratif de commune déléguée[2] qu'il perd le .

Géographie

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Quettehou est une bourgade située à la pointe nord-est de la péninsule du Cotentin au cœur du Val de Saire entre la baie de Morsalines ou le « Cul de loup » et le bois du Rabey. Elle est bordée à l'est par Saint-Vaast-la-Hougue et la mer de la Manche, au sud par Morsalines et Crasville, au sud-ouest par Octeville-l'Avenel et Videcosville, à l'ouest par Teurthéville-Bocage et au nord par La Pernelle.

Quettehou est située en dehors des bassins hydrographiques de la Sinope et de la Saire et possède ses propres fleuves côtiers dont le principal est le Vaupreux[3].

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formes Chetellehou en 1042[5],[6], Chetehol en 1080 et 1081[6], Chetehoil en 1080 et 1082[6], Chetehulmum en 1066 et 1083[6], Ketelhou ou Kethehou en 1214[6], Kathéou au XIVe siècle[7], Katehumus sans date.

Le gentilé est Quettehouais[8].

Histoire

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Moyen Âge

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À l'origine, le village du Rivage était un petit groupe d'habitations sur la côte. À la suite des invasions germaniques, Ysemberville — le village d'Isambert — est établi à l'orée de la forêt. À la fin du IXe siècle, Kétil Flatnes, roi des Hébrides, installa une de ses bases sur la colline où se dresse maintenant l'église[7]. Les Vikings donnèrent au village qu'ils bâtirent le nom de leur chef, Kétilsholm[7].

En 1086, Mathilde, femme de Guillaume le Conquérant, fait don à l'abbaye de la Trinité de Caen de la baronnie de Quettehou. Orderic Vital, nous raconte que quand Henri Ier Beauclerc, reçu la baronnie de Quettehou avec tout le Cotentin, il fit travailler au château qu'il destinait à ses soldats les paysans du domaine que possédait en ce lieu l'abbaye Sainte-Trinité de Caen[9]. En 1214, Hugues de Morville confie le patronage de l'église, avec les deux tiers des dîmes, à l'abbaye de Fécamp, qui acquiert la haute justice à Quettehou, l'autre tiers est attribué au chapitre de la cathédrale de Coutances.

La paroisse médiévale, comme sa voisine Saint-Vaast-la-Hougue était un fief de l'abbaye de Fécamp[10][Note 1].

Le , Édouard III, roi d'Angleterre, débarqué le matin à Saint-Vaast-la-Hougue, arma chevalier dans l'église son fils aîné Édouard, prince de Galles dit « le Prince noir », en raison de son armure. Après ce sacre, il dévaste la ville ; c'est le début de la chevauchée d'Édouard III. Au XVe siècle, sous l'occupation anglaise et la prospérité venant, le village s'agrandit, pour occuper le bourg actuel, avec l'établissement d'un fort militaire à La Pernelle[7].

Légende

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Selon une légende, saint Vigor accompagnait l'évêque d'Arras venu évangéliser le Val de Saire vers la fin du Ve siècle. Ce dernier devait résider dans la petite agglomération sur la colline au milieu de vastes forêts, qui deviendra le bourg de Quettehou, plus hospitalier que le littoral. Alors que les deux évangélistes traversent, sur un tronc d'arbre, le ruisseau séparant les futures paroisses de Quettehou et Saint-Vaast, Vigor laissa passer son maître, et par une feinte maladresse renverse la passerelle improvisée, et de ce fait s'installa à Quettehou[10].

Époque contemporaine

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Carte de la commune nouvelle en 2019.

Un projet de commune nouvelle a été étudié en 2015 avec les communes de Crasville, Morsalines et Videcosville mais refusé par ces trois dernières. Un nouveau projet est proposé avec seulement la commune de Morsalines en 2018. Après un vote défavorable à Morsalines le (six voix contre trois pour), la maire Sandrine Mouchel-Revert avait décider d'envoyer sa lettre de démission[12] mais le conseil de Morsalines s'est à nouveau réuni le avec l'approbation du projet (six voix pour, deux contre et une abstention)[13]. L'arrêté préfectoral de création de la commune nouvelle de Quettehou a été signé le pour une fusion effective au , les anciennes communes de Morsalines et Quettehou deviennent des communes déléguées[2] du au .

Politique et administration

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La mairie.

Liste des maires

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Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1805 1807 Charles Gilles Vigot   Notaire
1808 1840 Thomas Louis Viel    
1840 1840 Jean Quentin    
1840 1848 Louis Le Chevalier    
1848 1876 Eugène Duclouet   Notaire
1926 1945 Alexandre Lecarpentier    
1945 1945 Henri Tournaille   Menuisier-ébéniste
1945 1947 Raymond Lefèvre   Agriculteur
1947 1950 Henri Féquet    
1950 1977 René Mortain   Assureur
1977 1988 Georges Bonnemains   Retraité de l'armée de l'air
1988 1995 Jean-Baptiste Bouché   Commercial
1995 2008 Charles Poisson   Retraité de l'armée de l'air
2008[14] mai 2020 Jean-Pierre Lemyre[15]   Retraité de la défense
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages

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Quettehou est jumelée avec :

Population et société

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Démographie

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En 2018, la commune comptait 1 584 habitants. Depuis 2004, les enquêtes de recensement dans les communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (en 2008, 2013, 2018, etc. pour Quettehou (commune déléguée)[16]) et les chiffres de population municipale légale des autres années sont des estimations[Note 2]. Quettehou a compté jusqu'à 1 814 habitants en 1821.

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 5821 2911 6751 9141 8121 8071 7341 6401 700
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6001 5981 5311 4361 3801 3271 2971 2381 258
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1861 1701 1041 0391 0291 0421 0931 2021 091
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2008 2013 2018
1 0911 1341 1631 3361 3951 4751 5641 5861 584
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[18].)
Histogramme de l'évolution démographique

Le Football Club du Val de Saire fait évoluer deux équipes de football en divisions de district[19].

Économie

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Graffiti marin dans l'église de Quettehou.
  • Église Saint-Vigor, dédiée à l'évêque de Bayeux du même nom. Elle fut bâtie au XIIe siècle et terminée au XIIIe siècle. Le clocher fut construit de 1485 à 1498. À l'entrée du chœur se trouve une chapelle bâtie entre 1612 et 1616 en l'honneur de saint Jean-Baptiste. Cette chapelle est maintenant dédiée à la « bienheureuse Mère Placide Viel » (1815-1877) qui a été béatifiée dans la basilique Saint-Pierre de Rome le . Sur les piliers du bas-côté sont gravés de nombreux graffitis datant de la bataille de la Hougue. L'église qui dépend aujourd'hui de la paroisse Sainte-Thérèse-du-Val-de-Saire et qui fait partie du doyenné de Valognes-Val-de-Saire est classée au titre des monuments historiques par arrêté du [20]. Elle abrite un Christ en croix des environs de 1600 et une statue de sainte Anne du XVIIe siècle, classées au titre objet[21] ainsi qu'un christ de pitié du XVe, une Vierge à l'Enfant du XVe[22].
  • Chapelle Notre-Dame de Grâce sur les fondations de l'ancienne église d'Isamberville. Elle abrite une statue de saint Denis portant sa tête[23].
  • Croix de cimetière (XIXe siècle), croix Chandeleur (XVIIe siècle).
  • Manoir de Thybosville : possession de la famille Herbert, un André Herbert, écuyer, est seigneur de Thybosville. Il passe à la famille de Mons, en 1581, à la suite du mariage de la fille unique et héritière d'André, Françoise Herbert avec Arthur de Mons, écuyer, fils de Jean de Mons, aussi écuyer, seigneur de Saint-Louet, Regnoufmesnil en Magneville, et de Guillemette de Sainte-Mère-Église. La famille de Mons conservera le manoir jusqu'en 1658. Marie-Thérèse de Mons avait épousé le frère d'Anne-Marie Davy d'Amfreville qui le fait passer à la famille d'Avice à la suite de son mariage avec Jacques Richard Avice. Les Avice le conserveront jusqu'à la Révolution[24], époque où il est brûlé. Il en subsiste notamment une entrée double en arcade en plein cintre, pourvue d'un contrefort, faisant fonction de petit fortin percé de meurtrières[25], et quelques communs[26]. Selon Salch, un château est cité dès le XIIe siècle, et Saint Louis y aurait séjourné, par amitié pour Thybosville. L'édifice, dont il reste quelques pans de mur, a été ruiné à la Révolution[27].
Parmi les anecdotes liées au domaine, on peut citer celle de Marie de Thybosville, femme de Jean de Carrouges chambellan du comte d'Alençon qui accusa, à cause d'une fâcheuse ressemblance, Jacques Legris, écuyer normand, de l'avoir déshonorée. Le , à Paris, devant le roi, Carrouges tua Legris dans un duel judiciaire. Le vrai coupable finit par être arrêté, innocentant à titre posthume Legris. Marie ne se pardonna jamais de sa méprise et quand elle apprit la mort de son époux partit en Orient combattre le sultan Bajazet aux côtés du roi de Hongrie, elle se fit religieuse pour faire pénitence[26].
  • Le Grand Manoir, à l'entrée du hameau du Tronquet : il est à partir de 1710 la possession de la famille Béatrix de Mesnilraine, famille anoblie en 1454, à la suite de l'acquisition du manoir par Robert-Henri de Béatrix de Mesnilraine, originaire de Saint-Côme-du-Mont et résidant à Valognes, écuyer, fils de Jean-Antoine de Béatrix de Mesnilraine et de Jeanne Noël, et époux de Jeanne Le Vallois, des mains de Floxel Cantel, écuyer, sieur de Vaugréard[28].
  • Vestiges du manoir d'Ysamberville sur le rivage. À marée basse, on peut encore en découvrir le portail.
  • Ferme-manoir du Val-Vacher (XVe – XIXe siècles).
  • La Grande et la Petite Huberderie.
  • L'ancienne halle aux grains. Reconstruite vers 1865, elle sert actuellement de salle des fêtes.
  • Lavoir du Pont-Rasé restauré en 1999.
  • Bois du Rabey, vestige de la forêt de Brix, et son « Arbre à la Fée », énorme chêne auquel est attachée la légende d'un paysan devenu riche pour avoir promis au diable de ne plus franchir le portail d'une église. Devenu ermite, il se serait nourri de racines et de fruits sauvages afin d'expier sa faute, et il se dit que la nuit de Noël, le tronc de l'arbre s'ouvre pour laisser passer la fée distribuer des pièces d'or[23].
  • Jardin de la ferme de la Gervaiserie (2 500 m2).
Pour mémoire
  • Oratoire aux lépreux[29].
  • Château d'« Abilant », dit aussi du Mont-Haguais. Le site fortifié de hauteur[Note 3], cité par Wace au XIIe siècle et détruit par les Vikings, présente un mamelon sommital dominant le flanc d'un relief aménagé en terrasses[31].

Personnalités liées à la commune

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  • Placide Viel (1815-1877), bienheureuse catholique, née dans un hameau de la commune.
  • Alfred Mouchel né à Tamerville le , décédé à Quettehou en 1989, éleveur et écrivain patoisant.

Héraldique

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Quettehou
  Blason
Taillé : au 1er d'azur à l'église du lieu d'argent mouvant du trait de partition, au 2e de gueules au chaudron d'or[33].
Détails
Adopté en 1984
Alias
 
Alias du blason de Quettehou
D'argent à l'aigle de gueules becquée et armée d'or, à la bordure de sable chargée de douze besants aussi d'or[Note 4].
Ce blason est emprunté aux armoiries de la famille de Mons (subsistante), seigneurs de Thybosville à Quettehou aux XVIe – XVIIe siècles.

Notes et références

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  1. Ainsi en 1458, l'abbé de Fécamp déclare entre autres choses : « Item au baillage de Caen, (nous avons), la baronnie, terre et seigneurie d'Argences, lasquelle Baronnie s'estend au bailliage du Costentin, en la viconté de Valognes, aux paroisses de Quettehou, de Saint Vaast, de Ravenoville, de Beuzeville, de Digoville, de Montaigu et d'Illec Environ… »[11]
  2. Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant à l'année 2006, première population légale publiée calculée conformément aux concepts définis dans le décret no 2003-485 du 5 juin 2003, et les années correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee.
  3. C'est la même logique qui a conduit au choix des sites de Saint-Lô, Coutances, du village de Brix et du château d'Abilant, dit aussi du Mont-Haguais à Quettehou. Seul le castrum de Cherbourg implanté en fond d'estuaire en position encaissée, s'en distingue[30].
  4. Attribué abusivement d'après l'ouvrage de l'Université Inter-Âges de Basse-Normandie, antenne de Cherbourg[32]

Références

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  1. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2), p. 204.
  2. a et b « RAA SP 94 », sur manche.gouv.fr, (consulté le ).
  3. SANDRE, « Fiche cours d'eau le Vaupreux (I4--0200) ».
  4. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  5. François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 180.
  6. a b c d et e Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, Genève, (lire en ligne), p. 1009.
  7. a b c et d André Davy, Les barons du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits et introuvables du patrimoine Normand », , 319 p. (ISBN 978-2-91454-196-1), p. 49.
  8. « Présentation de la commune », sur quettehou.fr, site municipal de Quettehou (consulté le ).
  9. Bernard Beck, Châteaux forts de Normandie, Rennes, Ouest-France, , 158 p. (ISBN 2-85882-479-7), p. 38.
  10. a et b Thin 2009, p. 18.
  11. Éric Barré, « Une extension de la baronnie d'Argences : la baronnie du Petit-Fécamp en Cotentin, au Moyen Âge », Revue de la Manche, t. 37, no 148,‎ , p. 8 (ISBN 979-1-0937-0115-8).
  12. [1].
  13. Mariage entre Morsalines et Quettehou : c’est oui.
  14. « J.-P. Lemyre élu maire du chef-lieu de canton », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  15. Réélection 2014 : « Jean-Pierre Lemyre retrouve son fauteuil de maire », sur Ouest-france.fr (consulté le ).
  16. Date du prochain recensement à Quettehou (commune déléguée), sur le-recensement-et-moi.fr, site spécifique de l'Insee.
  17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 20112012201320142015 2016 2017 2018 .
  19. « F.C. Val de Saire », sur Site officiel de la Ligue de Basse-Normandie (consulté le ).
  20. « Église Saint-Vigor », notice no PA00110552, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  21. « Statue : Christ en croix », notice no PM50000872, et « statue : Sainte Anne », notice no PM50000871, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  22. Gautier 2014, p. 474.
  23. a et b Lecœur 2009, p. 56.
  24. Blasons du Clos du Cotentin, 1996, p. 124-125.
  25. Thin 2009, p. 55.
  26. a et b Lecœur 2009, p. 52.
  27. Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du Moyen Âge en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 28e éd. (1re éd. 1979), 1304 p. (ISBN 2-86535-070-3, OCLC 1078727877), p. 953 (cf. Quettehou, Thybosville).
  28. Blasons du Clos du Cotentin, 1996, p. 125.
  29. Barré, Revue de la Manche, 148, p. 11.
  30. ArchéoCotentin t. 2, p. 32-33.
  31. Laurence Jeanne, Laurent Paez-Rezende, Julien Deshayes et Bénédicte Guillot (avec la collaboration de Gaël Léon), ArchéoCotentin : Les origines antiques et médiévales du Cotentin à 1500, t. 2, Bayeux, Éditions OREP, , 127 p. (ISBN 978-2-8151-0790-7), « S'approprier la presqu'île : encadrement, contrôle territorial et développement des lieux de pouvoir », p. 33.
  32. Université Inter-Âges de Basse-Normandie - Antenne de Cherbourg (préf. Rodolphe de Mons), Blasons armoriés du Clos du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, , 214 p. (ISBN 2-85480-543-7), p. 119.
  33. « 50 417 - QUETTEHOU », sur Armorial de France (consulté le ).

Voir aussi

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 177-178.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 474.
  • Maurice Lecœur (photogr. Christine Duteurtre), Val de Saire, Isoète, , 173 p. (ISBN 978-2-9139-2076-7), p. 52-56d.
  • Edmond Thin, Le Val de Saire : Trésors d'un jardin du Cotentin sur la mer, Éditions OREP, , 165 p. (ISBN 978-2-915762-82-2), p. 55

Articles connexes

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Liens externes

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