Projet:Afrique/Évaluation/Comité
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Comité d'évaluation
Cette page recense les contestations en rapport au Tableau d'évaluation de l'importance du projet Afrique.
Veuillez laissez un message expliquant la contestation en question avec un lien vers l'article. Vous pouvez également voir directement avec la personne qui a apposé et rectifié le bandeau.
Les changements seront visibles dans l'historique.
N'importe qui peut faire une demande sur cette page, et n'importe quel membre du projet Afrique peut donner son avis par la suite. Dans tous les cas, le plus important est de trouver un consensus.
Cette page peut être utilisée pour :
- Demander l'évaluation d'un article, si l'on n'ose pas le faire soi-même,
- Débattre de l'importance d'un article, si celle-ci est contestée.
Agnès de Milly
modifierl'article Agnès de Milly a été classée dans le projet Afrique. Je ne vois pas le rapport. C'est une femme des Croisades, vivant dans l'Orient Chrétien, et je pense qu'elle n'a jamais mis les pieds en Afrique. Odejea (♫♪) 5 mai 2007 à 08:49 (CEST)
Article d'interet pour les touargs, pour la politique Malienne ... et permet le renvoi pour les visteurs vers le texre concerné sur wikisource ... donc un interêt encyclo ... Taguelmoust 6 mai 2007 à 20:55 (CEST)
Hicham Arazi
modifierl'article Hicham Arazi a été classé dans le projet Afrique, alors qu'il serait plus lié à la catégorie tennis ou Liste de joueurs de tennis!!
Kinshasa
modifierBonne initiative que ces évaluations. Mais celà pose quelques questions quand je vois la cote que vous avez donnée à Kinshasa. « bon début avec des manques significatifs»? J'ai fait une bonne partie de l'article avec Moyogo, et cet article revient de loin. Avant Wikipedia, il n'y avait tout simplement pas d'article généraliste sur Kin sur le web. Bien sûr il y a encore des choses à rajouter, mais celà reste limité. Bien que d'une taille équivalente, Kinshasa n'est pas Paris... Le patrimoine immobilier à intérêt historique ou culturel est 100 fois (si pas davantage..) moindre, et l'histoire limitée à un siècle. J'ai vécu 8 mois à Kinshasa en 2003, et je pense que ce qu'on pourrait encore rajouter serait le plus souvent annecdotique, et à classer dans les articles ad hoc (communes de Kin, éventuellement des batiments) plutôt que dans "Kinshasa". Et celà va être pire pour d'autres article. Si l'on prend par exemple la commune kinoise de Kimbanseke, à elle seule plus peuplée que Bruxelles ou même que Brazzaville, il ne sera pas possible d'avoir plus que quelques lignes pertinentes.
Bel Adone / Vberger 14 mai 2007 à 12:01 (CEST)
Idem pour Économie de la République démocratique du Congo. L'article est déjà deux fois plus important que l'article équivalent en anglais, et même plus important que l'article consacré à l'économie belge...
Bel Adone / Vberger 14 mai 2007 à 12:07 (CEST)
- Je n'ai pas trop compris, tu reproches quoi à cette évaluation? Les deux articles sont classés en avancement B, c'est le maximum avant BA, qui correspond au label "bon article". Inisheer :: Canal 16 14 mai 2007 à 12:13 (CEST)
- Ca ne correspond pas à « bon début avec des manques significatifs». Et c'est aussi 4ème sur cette échelle de 6. Le cas échéant, il faudrait être plus précis quant à ces «manques significatifs».
- Bel Adone 14 mai 2007 à 12:18 (CEST)
- Pour être qualifié de bon article, il faut lancer une consultation sur Wikipédia:Bons articles. Comme je n'y mets pas trop les pieds, ni sur les AdQ, je te conseille de demander à quelqu'un plus au fait des critères si tu veux te lancer là-dedans. À mon avis, comme ça, empiriquement, on ne devrait effectivement pas en être bien loin. Inisheer :: Canal 16 14 mai 2007 à 12:29 (CEST)
Même, si c'est moi qui ait créé l'article sur ce personnage, je conteste son classement sur deux point :
- Son importance : c'est un personnage très secondaire, même s'il a défrayé la chronique judiciaire et politique. Il n'y aucune raison de le classer en importance moyenne.
- Projet Afrique : né au Maghreb, il n'a absolument rien fait pour ce continent, donc je ne vois pas pourquoi ce portail lui est attribué. Il faudrait créer plutôt un "projet:Immigration"
- -Semnoz 16 mai 2007 à 02:33 (CEST)
- Pour l'importance, j'ai hésité, j'ai fini par mettre moyenne par comparaison avec les articles qui passent généralement en faible. Rien n'empêche qu'un article soit évalué par plusieurs projets différents. Inisheer :: Canal 16 16 mai 2007 à 09:53 (CEST)
Fédération du Mali
modifierIl me semble que aprrécier l'importance de l'article Fédération du Mali comme faible est la sous-évaluer. la Fédération du Mali est une tentative avortée de début de panafricanisme comme l'ont souhaité les "pères de l'indépendances" des pays africains.
Je pense qu'on peut qualifier son importance de moyenne selon le critère:
De portée restreinte, le sujet développe un point d'un article principal (Histoire du Mali) ; l'article avait été éventuellement inclus dans l'article principal ou il pourrait l'être. Olivierkeita | L'arbre à palabres 21 juin 2007 à 19:57 (CEST)
Mettre sur le même plan un article consacré à l'Éducation au Sénégal et des villages comme Affiniam ou Abéné me semble discutable. Certes il ne s'agit que d'une ébauche - ça c'est indéniable -, mais quant à la faible importance du thème, je ne comprends pas. Un malentendu quelque part ? Voir par exemple Éducation au Mali à titre de comparaison. Ji-Elle 12 juillet 2007 à 17:35 (CEST)
- Passé les deux en importance moyenne (après avoir demandé l'avis du Korrigan qui a fait l'éval d'Éducation au Mali. Inisheer :: Canal 16 13 juillet 2007 à 16:48 (CEST)
Ecole Vétérinaire de Dakar
modifierSalut
Faudrait penser à reclasser l'article sur l'EISMV de Dakar
Merci
Attention, l'article est inclus dans le projet Afrique à en voir sa page de discussion. Vanished2012 (d) 6 mars 2008 à 10:19 (CET)
mon fils réve de rencontré un jour dans ses reve d'un jour le Président KABILA Joseph veillez me conctactez agniesotenga@yahoo.fr 0495349314
DEPASSONS L'APROCHE ASSYMETRIQUE ACTUELLE EN INTRODUISANT AUSSI LA LECTURE EN VERNACULAIRE
modifierCAHIER D'UN RECOURS AU PAYS NATAL
Si les efforts et les résultats obtenus en terme de discours sont probants, la consistance et l'authenticité des informations restent particulièrement limités et pour de multiples raison. L'effort d'explication est puissamment biaisé par une absence presque totale de lecture du point de vue endogène c'est-à-dire, du point de vue du regard des populations d'Afrique ou des peuples africains concernés parlant d'eux-mêmes, à partir et avec leurs propres concepts et visions des choses et du monde. Les discours tenus sont pour l'essentiel des reprises plus ou moins bruyantes des points de vues euro-centrés, sans vivifiantes critiques. Je n'en veux pour preuve que ce stimulant article sur Bandjoun qui est à reprendre en plusieurs points essentiels.
Une approche des réalités africaines sans lecture vernaculaire?
Du concept central de "Fô"
Sans qu'on ait besoin de recours aux termes approximatifs et complètement déviants de "roi", de de "chef", etc. la langue maternelle générique du ghom a la donne un sens étymologique et une signification sociologique authentiques à cette appellation complètement contrôlée. Heureusement, une langue ne meurt jamais; ce sont ces locuteurs qui disparaissent, pas la grille de lecture et la construction du sens qu'elle représente et acte en soi! Avis aux analphabètes dans nos propres cultures que nous africains contemporains lettrés et scribes non éduqués vernaculaire-ment de ce dont nous parlons sommes devenus (par reniement inconscient ou volontaire), le terme "Fô" du ghom a lainitial et fondamental signifie tout simplement: "pulvérisateur-propagateur de trouvailles gratifiantes". En somme, le "Fô" est intimement envisagé uniquement au service de son peuple pour qui il n'est et ne doit être rien d'autre, sur le fond, qu'un "pourvoyeur de félicité" bref la "providence" incarnée!
La traduction trahissant l'expression, la méprise qui fait du "Fô" l’équivalent de chef, de roi, etc. est une des sources des indicibles tourments qui ont depuis l'irruption des hégémonies endogènes, puis exogènes, hantés le rapport revu et corrigé entre les "gung" (le tout social faisant monde, "tem gung") et les "Fô" revus et corrigés maladroitement dans leurs sens et partant, dans leur rôles, devoirs et droits respectifs depuis plusieurs siècles de colonisations endogènes puis exogènes. La gouvernance socio-politique s'en trouve complètement détournée, et les rapports foncièrement démocratiques par nature et par option dans pacte social originel essentiellement démocratique est ainsi complètement subvertie. De serviteur par définition, les acteurs mal inspirés et mal guidés en arrive à se pressentir (par option perverse?) plutôt comme des asservisseurs.
Tout le dilemme actuel est bien là: "Que celui qui parle le ghom a la (dire des "a la) ne trahisse pas la pensée ou la parole des dits "a la" et le "la'" et le "gung" seront bien gardés". Régénérer le pacte social en revenant à ses termes interpellatifs et religieux premiers c'est vraiment le défi de l'heure, de tout temps, que le "Fô" ne soit rien d'autre que le "fehe hô"! qu'importe que la diffusion et l'adoption de plus en plus loin de l'appellation est engendré quelques déformation en "fon", "fé" voire "mvé" etc. Le moule et la matrice initiales ont été conservés dans et par la langue que l'on gagnerait à réapprendre à parler plutôt qu'à "magnétophoniser". Rien n'est totalement perdu et il n'est jamais trop tard pour se ressaisir!
Autre concept essentiel abordé dans ce texte: "Djiomghue"
Sans trop s'étendre, "Djiomghue" se décompose en "Djio", la berge, la rive, le coté, le versant (ici le versant opposé par contraste avec "Djio a la'", le versant des gens du cru)! "Mghue" c'est le pluriel de "ghue" c'est-à-dire, "la distance", "l'écart", "la séparation"! Par analogie, "Mghue" est référé de prime lecture ici à "étranger" ou plus exactement, à "l'étranger". "Djiomghue" est donc le versant, la rive, le coté, le versant des étrangers! Mais en fait l'expression est plus subtile et riche car, historiquement bivalente, elle exprime plus exactement "le versant de ceux qui partent" et "le côté de ceux qui arrivent"! En effet, ceux qui partaient une fois à "Djiomghue" c'étaient les personnes vendues et livraison d'esclaves! Et ceux qui arrivaient à "Djiomghue" dans la même dynamique étaient les acquéreurs de cette marchandises, les "naïfs" esclaves ("pou'" au singulier et "mbou'" au pluriel). Et ce n'est pas pour rien que l'"alpha song" dans ces lieux étranges du "Djiomghue" à produit une des danses au corpus poétique le plus lancinant qu'il soit dans l'univers des "Pe la'" (les gens du cru) et du "ghom a la": le "Go'-ghue" c'est-à dire, la misère de l'étranger, ici à la fois esclave arraché à sa terre mais aussi, commerçant d'esclaves relégué à une activité moralement peu recommandable et avilissante!
"Pfuekeng" et "Didum" à tous!
Et, que pouvons-nous aujourd'hui contre tant d'inhumanité qui d'hier à nous cherchent toujours à se reproduire et à s'étendre? En écho à un "Rastaman chant" qui soldera notre apport à la construction de la paix universelle, recourir au mieux au "pfuekeng" ("effondreur" des barrières, des écrans, des séparations bref, des exclusions) et, au minimum, au "Didum" (endormeur, calmant des colère et des ressentiments de frustrations, endormeur des vampires perçus comme destructeur d'essence vivifiante et expression de l'envie dévastatrice à la fois)! Mais là, nous nous éloignons un peu de l'objet principal de notre présent propos soumis ici à discussion! Nous voulions juste montrer qu'à ne pas creuser suffisamment, le texte présenté sur Bandjoun risque de dire le contraire des faits et, peut-être, du fond de la pensée ou des convictions de leurs auteurs! Assez superficiel par bien des aspects, il provoque néanmoins et pousse à mieux en faire un éternel mais toujours progressif chantier intellectuel; et ce n'est pas son moindre mérite.
Les efforts actuels de retour (sans recours) à la démocratie qui est loin d'être une innovation dans la pensée vernaculaire, montrent à souhait jusqu'où on en est venu à ré-inventer la roue! C'est à partir d'un bon point de départ qu'il faut aller à l'assaut de la reconstitution écrite que nous permet Wikipédia, et le chantier est vaste et stimulant!
Reconnaissance vigilante et humbles remerciements
Au passage, je m'interroge sur l'omission (involontaire?) de la mention en bibliographie d'ouvrages hautement interpellatif publiés par le professeur Kayo Patrice sur le sujet parmi lesquels: "Lettre ouverte à un roi bamiléké". Wikipédia ne serait pas Wikipédia s'il perd sa dimension "Wiki-critique".
A nous tous d'y veiller si nous voulons véritablement faire œuvre de "Projet Afrique", sans concession maladroite à nos propres égarements et endormissements! Après les éclats compréhensibles de voix de "sans voix" et de voix de "sans voie", nous savons que vient les temps apaisés de la vivifiante réconciliation, par la demande d'excuses et le don du pardon, au delà des "Mdjio a la'" (côté des gens du cru) et des "Mdioghue" (côté des étrangers" que nous devons toujours dépasser pro-activement et performativementTexte en gras. L'UNESCO devrait intervenir car l'enjeu est bien celui de la préservation de la diversité linguistique et culturelle!
Merci à tous et toutes nos excuses pour nos méprises éventuelles que nous espérons voir très sévèrement critiquées et rectifiées, grâce à vous et à Wikipédia! "Pfuekeng" et "Didum" à tous! c'est-à-dire "confiance et apaisement pour chacun et tous"!
Le Havre, 18 octobre 2011
Athanase BOPDA Professeur à l'Université du Havre