Prix Rivarol
prix littéraire
Le prix Rivarol est un prix littéraire, aujourd'hui disparu. Décerné par l'État français, il récompensait le meilleur roman en langue française écrit par un auteur étranger dont la langue maternelle n'est pas le français[1].
Récipiendaires
modifierAnnée | Récipiendaire | Nationalité | Roman |
---|---|---|---|
1949 | Farjallah Haïk | Liban | Abou Nassif |
1950 | Emil Cioran[2] | Roumanie | Précis de décomposition |
1951 | Emineh Pakravan (fa)[3] | Iran | Le Prince sans histoire |
1952 | Gloria Alcorta (es) | Argentine | |
1953 | Constantin Amariu[4] | Roumanie | Le Paresseux |
1954 | Georges Spyridaki[5] | Grèce | Mort lucide |
1955 | Armen Lubin | Arménie | Transfert nocturne |
1956 | Vahé Katcha | Liban | Œil pour œil |
1961 | Bruce Lowery | États-Unis | La Cicatrice |
1962 | Piotr Rawicz[6] | Ukraine | Le Sang du ciel |
1964 | Elie Wiesel[7] | Roumanie | La Ville de la chance |
Membres du jury
modifier- Entre autres : Jean Paulhan[8], André Gide, Jules Romains, Jules Supervielle, André Maurois.
Notes et références
modifier- (fi) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en finnois intitulé « Prix Rivarol » (voir la liste des auteurs).
- Émile Henriot 1950.
- Montenot 2011.
- France Alumni 2014.
- Artcurial
- A. Mirambel, « G. Spyridaki, La Gréce et la poésie moderne (Book Review) », Revue de littérature comparée, no 28, , p. 507.
- Rudolf 2006.
- Wladimir rabi, « Elie Wiesel : un homme, une œuvre, un public », Esprit (1940-), vol. 45, no 9, , p. 79-92.
- Badré 1996.
Annexes
modifierBibliographie
modifier: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- Émile Henriot, « Le prix Rivarol », Le Monde, (lire en ligne)
- Frédéric Badré, Paulhan le juste, Paris, Bernard Grasset,
- Jean Montenot, « Cioran », L'Express - en ligne, (lire en ligne, consulté le )
Liens externes
modifier- France Alumni, « « Azadi » de Saïdeh Pakravan : Le roman d’une Iranienne française de tête et de cœur », sur www.francealumni.fr, (consulté le )
- (en) Anthony Rudolf, « Piotr Rawicz and his novel », sur www.readysteadybook.com, (consulté le )
- pour la notice de Georges Spyridaki