Ponches-Estruval

commune française du département de la Somme

Ponches-Estruval est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Ponches-Estruval
Ponches-Estruval
L'église Saint-Léger.
Blason de Ponches-Estruval
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Abbeville
Intercommunalité Communauté de communes Ponthieu-Marquenterre
Maire
Mandat
Alain Pouilly
2020-2026
Code postal 80150
Code commune 80631
Démographie
Population
municipale
108 hab. (2021 en évolution de −2,7 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 18′ 37″ nord, 1° 53′ 46″ est
Altitude Min. 10 m
Max. 69 m
Superficie 7,04 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Rue
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Ponches-Estruval
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Ponches-Estruval

Depuis le , la commune fait partie du parc naturel régional Baie de Somme - Picardie maritime.

Géographie

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Localisation

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Ponches-Estruval est un village picard du Ponthieu situé, à vol d'oiseau, à 6,5 km au nord de Crécy-en-Ponthieu[1], à 12,4 km au sud-ouest d'Hesdin[2], à 19,5 km au sud-est de Montreuil-sur-Mer[3], à 23,1 km au nord d'Abbeville[4] et à 54,4 km au nord-ouest d'Amiens[5].

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes:

Nature du sol et du sous-sol

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Le sol et le sous-sol de la commune remontent au Diluvien et au quaternaire. Sur les coteaux, s'étale une terre arable calcaire, sur les pentes affleurent des marnes formées de plusieurs couches séparées par des bandes horizontales de silex. Dans la vallée, sur les trois quarts du territoire communal, le sol est tourbeux et recouvert de terre franche propre à la culture[6].

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Relief, paysage, végétation

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Le territoire de la commune est situé dans la vallée de l'Authie entre 15 et 65 m d'altitude.

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par l'Authie, le marais[7] et les Fontaines[8],[Carte 1].

L'Authie, d'une longueur de 108 km, prend sa source dans la commune de Coigneux et se jette dans la Manche, son embouchure formant une vaste baie, comprise entre Fort-Mahon-Plage et Berck, typique des estuaires picards[9]. Les caractéristiques hydrologiques de l'Authie sont données par la station hydrologique située sur la commune. Le débit moyen mensuel est de 7,83 m3/s[Note 1]. Le débit moyen journalier maximum est de 29 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 26,7 m3/s, atteint le [10].

 
Réseau hydrographique de Ponches-Estruval[Note 2].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Authie ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 253 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de l'Authie. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit est, en 2024, en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte Canche Et Authie[11].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[12]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[13].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 904 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Abbeville à 23 km à vol d'oiseau[14], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 806,2 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Ponches-Estruval est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[18]. Elle est située hors unité urbaine[19] et hors attraction des villes[20],[21].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,6 %), prairies (14,1 %), zones humides intérieures (7,7 %), zones urbanisées (4,6 %)[22]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat

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La commune est constituée de deux entités : Ponches et Estruval qui forment les deux agglomérations principales.

Voies de communication et transports

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La localité est desservie par les lignes de bus du réseau Trans'80, chaque jour de la semaine, sauf le dimanche[23].

Toponymie

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La Table de Peutinger nomme Ad Lullia (ad Lullui = chez Julia) le lieu où la via Agrippa de l'Océan franchissait l'Authie[24].

L'itinéraire d'Antonin le nomme Pontes[6].

Pontes viendrait du gaulois Pontiu ou Pontivoi et aurait donné le nom Ponthieu.

Estruval viendrait du latin strada c'est-à-dire chaussée pavée et de vallis, vallée.

La présence d'un pont sur l'Authie (comme au Ponchel dans le Pas-de-Calais) est très probablement à l'origine du nom du village.

Histoire

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Antiquité

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Ponches était, à l'époque gallo-romaine, une station (mansio ou mutatio du cursus publicus) située sur la via Agrippa de l'Océan qui reliait Lugdunum (Lyon) à Gesoriacum (Boulogne-sur-Mer) à l'endroit où elle franchissait l'Authie[25]. La distance séparant la station de Lintomagus (Brimeux) - d'Ad Lullia était de XIII lieues. Ad Lullia et la station de Duroico Regum (Domqueur) étaient distants de XI lieues, selon la Table de Peutinger[24].

Moyen Âge

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Le village de Ponches était fortifié au XIIIe siècle et Estruval qui dépendait de l'abbaye de Domartin possédait un château-fort[6].

P. de Ponches, lieutenant du bailli de Crécy signa les coutumes du Ponthieu rédigées en 1495[6].

Époque moderne

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Le , est rendue une sentence de noblesse pour Robert de Beugin, licencié-es-lois, seigneur de Ponches et de Cantherine ou Canteraine[26].

Le village de Ponches fut brûlé par les Espagnols en 1635[6].

Les redevances dues à la Noël par les habitants au seigneur étaient composées de : 89 chapons et demi, 72 pains, 1 setier de blé, 8 setiers et demi d'avoine, 60 œufs, 7 poules, 2 oisons, 5 quarterons de poivre, une paire d'éperons de fer, deux paires d'éperons dorés, 73 corvées de bras, 9 livres 19 sous parisii[6].

Époque contemporaine

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En 1826, les deux communes d'Estruval et de Ponches fusionnèrent pour former la commune actuelle de Ponches-Estruval.

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1953 1992 Roger Dobremez gauche  
1992 décembre 1999 Alexandre Pouilly    
mars 2001 avril 2014 Elisabeth Delattre    
avril 2014[27] En cours
(au 8 octobre 2020)
Alain Pouilly   Réélu pour le mandat 2020-2026[28]

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].

En 2021, la commune comptait 108 habitants[Note 3], en évolution de −2,7 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
178180195166235241229255260
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
235261259274252263257230203
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
176167165183180182198200190
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
168167146154123125110108113
2017 2021 - - - - - - -
101108-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune a possédé une école relevant de l'académie d'Amiens et de la zone B pour les vacances scolaires. Cette école était regroupée avec celle de Dompierre-sur-Authie au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal.

En , l'école est fermée. Les élèves relèvent du regroupement concentré à Gueschart[33].

Économie

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Activités économiques et de services

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L'activité dominante de la commune reste l'agriculture.

La commune participe aux journées du patrimoine.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Saint-Léger : construite en 1613, (XVIIe siècle), de style gothique. À l'intérieur, se trouve un autel dédié à saint Josse, ermite d'origine bretonne qui devint chapelain du comte de Ponthieu, Haymon, pendant sept ans.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Les armes de la commune se blasonnent ainsi : d'argent aux huit canettes de sinople, onglées et becquées de gueules, ordonnées en orle.

Voir aussi

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Liens internes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 28/07/2024 à 02:05 TU à partir des 729 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/01/1963 au 01/06/2024.
  2. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Ponches-Estruval » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Orthodromie entre Ponches-Estruval et Crécy-en-Ponthieu », sur fr.distance.to (consulté le )
  2. « Orthodromie entre Ponches-Estruval et Hesdin », sur fr.distance.to (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Ponches-Estruval et Montreuil-sur-Mer », sur fr.distance.to (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Ponches-Estruval et Abbeville », sur fr.distance.to (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Ponches-Estruval et Amiens », sur fr.distance.to (consulté le )
  6. a b c d e et f Notice géographique et historique sur la commune de Ponches-Estruval, rédigée par Jules Boucher, instituteur, 1899, Archives départementales de la Somme
  7. Sandre, « le marais »
  8. Sandre, « les Fontaines »
  9. Sandre, « l'Authie »
  10. « Station hydrométrique L'Authie à Dompierre-sur-Authie », sur l'Hydroportail, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, (consulté le )
  11. « SAGE Authie », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  12. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  14. « Orthodromie entre Ponches-Estruval et Abbeville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Abbeville » (commune d'Abbeville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Station Météo-France « Abbeville » (commune d'Abbeville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  17. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  18. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  19. Insee, « Métadonnées de la commune de Ponches-Estruval ».
  20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  23. « Trans80, Abbeville », sur trans80.hautsdefrance.fr.
  24. a et b « La table de Peutinger », sur L'encyclopédie des hauts pays d'Artois.
  25. https://archive.wikiwix.com/cache/20220804105532/http://recherche.archives.somme.fr/ark:/58483/a011261413542G3feAY.
  26. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 19, lire en ligne.
  27. Le Courrier picard, édition d'Abbeville, 14 avril 2014, p. 11.
  28. « Deuxième mandat pour Alain Pouilly », Courrier picard,‎ , p. 19.
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Auguste Canier, « Quel avenir pour les classes vides ? : Dans le cadre de la sectorisation scolaire et du regroupement des écoles à Vron et à Gueschart, plusieurs établissements ne rouvriront pas à la rentrée », Courrier picard, édition Picardie maritime,‎ , p. 8.